Cristalsky ; Dreydrey : Et voilà, suite et fin de Maudite bénédiction. Si Drago souffrira pour se qu'il a fait à Harry ? Si ils re-vont ensemble ? Sais pas, lisez…
The Wendy Malfoy : Julian… pour la p'tite histoire, je regardait le film Madagascar et le prénom du lémurien (ouai je crois que c'est sa comme bestiole) ma tilté à l'oreille. C'est hyper bien et en plus ça m'arrangeai mais chut, vous aller le savoir en lisant la suite…
Chapitre 3 :
Flash Back :
Julian prit une grande inspiration puis entra dans la cuisine. Son père était occuper à couper des pommes, pour une tarte.
L'enfant regarda ses mouvement précis quelque seconde avant que la voix profonde de l'homme ne résonne.
- Tu es bien silencieux, mon bébé.
Si il savait comme il avait horreur de se surnom. Il avait quatorze ans, il était grand, alors pourquoi est-ce qu'il persistait à l'appeler mon bébé ?
-Dit, papa, pourquoi j'ai qu'un parent ?
La lame du couteau dérapa et pénétra dans la main d'Harry, faisant couler son sang. Il se retourna vers l'évier pour rincer sa plaie, tournant le dos à son fils.
En y repensant, Julian compris que c'était surtout pour cacher ses yeux.
- Pourquoi cette question ? demanda Harry après un moment de silence.
- Parce que j'aimerai savoir.
Harry étouffa un juron.
- Tu… Tu est trop jeune, Julian.
-Papa !
- Non. C'est une histoire trop compliquer et surtout trop dure pour toi.
- J'ai le droit de savoir !
Et Julian quitta la cuisine en courant.
Il n'adressa pas la parole à son père de toute la journée (il fallu qu'il face des crêpes).
Fin du Flash Back.
Julian regarda une dernière foi l'adresse inscrite sur le papier puis s'avança vers l'immeuble. Il était dans un quartier chic de Londres. Il regarda la liste de nom, l'homme qu'il cherchais vivait au troisième étages. Alors qu'il allait sonner, une femme sortit, poussant une poussette dans laquelle un bébé vêtu de rose le regardait : sûrement une fille, se dit-il, et tenant à la main un petit garçon au cheveux blond, comme ce de sa mère. Julian lui tint la porte, elle le regarda, l'air hautain mais lui souri tout de même.
Julian profita de la porte ouverte pour pénétré dans l'immeuble. Huit an qu'il faisait des recherche et elle allait enfin déboucher sur quelque chose. Il était anxieux. Et s'il ne le reconnaissait pas, et s'il ne voulait pas le reconnaître ?
Flash Back.
- Papa, qui je suis ?
Harry posa un regard triste sur son fils en se disant qu'il avait suffisamment reculer l'échéance.
- Ne m'interrompt pas, d'accord ?
Julian avait accepter et, son père assis sur le canapé et lui assis par terre, la tête posée sur ses genoux, il avait écouter son histoire. Il avait rit, il avait pleuré, il avait été impatient, il avait même regretté d'avoir voulu savoir…
Fin du Flash Back.
Il y à un an, il avait demander à son père de lui expliquer pourquoi il n'avait qu'un parent et cette foi là, son père n'avait pas changer de sujet, non il lui avait tout dit, tout. Sa peur de mourir qui avait précipité les chose, la peur de l'Autre (s'est par ces termes qu'Harry l'avait désigné) de trop ressembler à son père, de lui gâcher son enfance. Tout. Julian avait pleurer, bien sur, et oublier se qu'il avait appris mais aujourd'hui il voulais savoir qui était l'Autre.
Arriver devant la porte, il observa le nom, sous la sonnette : « Mr et Mme Malefoy ». Harry ne l'avait pas prévenu, peut-être qu'il ne savait pas, que Drago Malefoy s'était marié.
Il sonna.
Après quelques minutes d'attente, un homme blond, dans la quarantaine vint lui ouvrir. L'homme fixa ses yeux bleu glacée sur le visage de Julian et le sien se décomposa.
- Heu… Entre…entrez.
Il s'effaça pour le laisser pénétré dans le vaste appartement qui s'étendait sur deux étages. Il s'installèrent au salon.
- Qu'est ce que tu… vous… voulez… veux ?
La première crainte de Julian était veine, il l'avait parfaitement reconnu.
- Tu. Vous pouvez me dire « tu ».
- Ok… Pourquoi es-tu là ? Pas que ta venu me gène, rajout-t-il précipitamment.
- Je vais me marier, bientôt. Et ma future épouse est enceinte de trois mois. Mais avant, je voulez vous rencontrer.
- Tutoie-moi.
- Non.
- Bon, comme tu veux, je comprend… Harry à du te mettre en garde contre moi…
- Papa n'est pas au courent de ma venu. Ecoutez, je ne suis pas venu pour refaire le passé.
- Que veux-tu alors ?
- Je… j'ai une question à vous poser.
Drago remarqua alors qu'il serrait dans son point quelque chose, comme pour se donner contenance.
- Est-ce que c'est vous qui, a chacun de mes anniversaire, m'avez offert un cadeau avec un mot signer « D. » ?
- Les gryffondor et leur curiosité. Oui c'est moi et crois-moi, j'aurai aimé être là pour voir tes yeux s'illuminé lorsque tu les ouvraient.
Julian souri à l'évocation et son point se desserra, laissant glisser le pendentif en forme de vif d'or qu'il ne tenait plus que par la chaîne.
- Je suis devenu attrapeur, vous savez, murmura Julian.
- Oui…
- J'ai simplement cru en mes rêves…
- Je m'en veux pour se que j'ai fait à Harry mais je ne pouvait pas te faire connaître la même enfance que celle que j'ai connut.
- Je sais.
Silence. Julian parcourut le salon des yeux. Sur le montant de la cheminée, des photographies. Il se leva pour les observer. Sur celle du jour du mariage, Julian reconnut la jeune femme blonde qu'il avait croisé dehors.
- Alors, j'ai un demi-frère et une demi-sœur.
Flash Back.
- C'était délicieux chérie.
- Drago, j'ai quelque chose à te dire, d'ou le dîner.
- Je t'écoute.
- Chéri, je suis enceinte.
Drago ! Drago ! C'est positif ! C'est positif !
- Chéri ?
- Oui, oui, c'est merveilleux, murmura faiblement Drago.
Fin du Flash Back.
- Désolé. Désolé de ne pas…
- C'est bon, je sais que je suis né trop top.
- Oui, trop tôt pour moi mais il faut que tu sache que ta naissance a du bon. Sans toi, Harry ne serrais plus là.
- Papa me l'a dit…
- Tu ne le crois pas.
- J'ai l'impression que s'est pour m'éviter de culpabiliser.
- Culpabiliser ? Mais sur quoi ?
- Bas… de sous avoir séparé, vous et papa. D'après les témoignages que j'ai recueillis, s'était l'amour avec un grand « a » entre vous et lui et…
- Et il se serais achevé à la mord de Tu-Sais-Qui parce qu'Harry ne supporte pas d'être vu comme le monde le vois. Mais grâce à toi, il à surmonter l'épreuve, comme tant d'autre d'ailleurs, courageux griffondor, et il vit.
- Vous l'aimez toujours ?
- Je ne sais pas… un Malefoy n'aime pas. Harry m'a fait oublié cette devise… Je crois que oui… oui je l'aime toujours. Mais les choses entre lui et moi son finit.
A se moment là, la porte de l'appartement s'ouvrit pour laisser entrer la femme et les deux enfants.
- Chéri, dit-elle à l'adresse de Drago, qui est-ce ?
- Personne, répondit Julian. Je ne suis personne. Au revoir.
Il quitta l'appartement et Drago s'enferma dans son bureau ou il rédigea une lettre qu'il envoya immédiatement. Qu'importe qu'il face nuit, il lui fallait une réponse, et vite.
OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO
La petite église se replissait à mesure que les temps avançait. Julian attendait dans une salle annexe que la cérémonie débute, plus nerveux que jamais.
- Alors, gamin, stressé ?
- Devine.
Son père lui ébouriffa les cheveux : ces dernier n'avaient put être coiffé malgré les heures d'acharnement qu'il avait passé dessus.
- Papa !
- Tu est magnifique.
- Magnifiquement décoiffé, maintenant.
- Pour ce sa change de d'habitude.
-Je te retourne le compliment.
Harry rigola, puis dit, sérieusement :
- Julian, j'ai quelque chose à te donner.
Il lui tendit une boite, petite, sans doute contenait-elle une bague.
Julian l'ouvrit et découvrit à l'intérieur une chevalière en argent frapper de ses initiales : « J-P »
- Elle appartenait à ton grand-père, James Potter. C'est mon parrain, Sirius Black qui me l'a donner quelque jour avant… avant de mourir.
La voix d'Harry s'était serrer.
- Papa, je peux pas accepter. Elle était à ton père et tu enfin… tu ne l'a pas connu… Il s'est sacrifier pour toi. Cette chevalière, elle doit être tout se qui te reste de lui.
- Je veux que tu la garde. Tu te marris aujourd'hui et de toute manière, elle te revient de droit.
- Je… Merci papa.
Harry serra son fils dans ses bras au moment ou un ami vint leur annoncer que la cérémonie allait débuté.
OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO
Assis au tout premier rang, Harry ne put voir l'homme blond, debout au fond de la nef, qui observait la cérémonie avec autant d'émotion que lui.
Drago voyait le prêtre prononcer les psaumes correspondant, face à son fils et à la mariée, resplendissante, dans sa robe blanche.
Puis vint la question crucial.
- Gwendoline Wesley, demanda le prêtre, souhaitez-vous prendre pour légitime époux Julian Potter Malefoy, ici présent ? Jurez-vous de l'aimer et de le chérir jusqu'à ce que la mort vous sépare ?
Drago n'écouta pas la réponse bien qu'il se douta qu'elle soit positive, il avait sursauté à l'entente du nom de son fils. Malefoy ? Non, il avait du mal entendre. Reportant son attention sur la cérémonie, il écouta le prêtre poser la même question à Julian :
- Julian Potter Malefoy…
Bon sang, il portait bien son nom. Mais pourquoi ? Il avait fuit et pourtant Harry lui avait donner son nom, pourquoi ? Et pourquoi n'en avait-il rien su ?
Julian portait son nom… Il fallait qu'il parle à Harry.
Il se fondit dans l'ombre au moment ou le couple passa, tout sourire, suivit par l'ensemble des personnes présentes.
Sur les marche de l'église, la séance de photo débuta et lorsque celle du couple fut prise, sous le regard attendrit d'Harry, Drago, qui restait en retrait, s'approcha de lui.
Quand Harry le vit, son visage s'assombrit.
- Je peut te parler ?
- Pourquoi ?
Les convives s'en allait pour la réception.
- Quelques minutes… s'il te plait.
Harry se dirigea vers quelqu'un et lui murmura quelque chose à l'oreille avant de rejoindre Drago, qui attendait à l'entré de l'église.
- Qu'est-ce que tu veux ?
Harry était retourné dans le temple et s'assit sur un ban. Drago l'imita.
- Pourquoi est-ce qu'il porte mon nom ?
- Ca te gene ?
- Non, non mais… je… enfin après se que j'ai fais…
Tu reste son père biologique. Julian est né de notre amour tu le sais, je le savait. Sa n'a pas beaucoup plus que je lui donne ton nom mais je m'en fichait… Il porte le nom de l'amour.
- Merci.
Harry se leva, et, avec un dernier regard pour Drago, murmura :
- Le passé c'est le passé. Tu a déjà manqué beaucoup de chose, essaye de ne pas en manquer d'autre.
Il quitta l'église, laissant l'ex-serpentard perplexe.
