Auteur : kaneda26

Origine : Yuyu Hakusho

Genre : yaoi.

Couple : Bah, comme d'hab !

Disclamer : Y'a aucun des personnages qui m'appartient, heureusement pour eux parce que ce serait encore pire si ils étaient à moi…

Titre : Extinction de la douleur.

Note : Bon sang de bon soir, vous allez laisser des reviews, oui ou m...?

Kurama: C'est pas la peine d'être vulgaire en plus!

k26: Toi, tu te tais et t'apprends ton texte!

Kurama: Je vois pas le strip tease que je t'ai demandé...

Hiei: Tu as demandé QUOI? (bruit de sabre...)

Kurama: Mais rien du tout, trésor. Enfin, tu me connais, tu sais que je ne ferais jamais rien qui puisse te nuire...

k26 ( yaouh, il est encore pire que moi... )

Hiei: Hn, y'a intérêt. Sinon (se tourne vers moi), j'espère pour toi que je suis pas encore uke!

k26: Ca, ça dépendra de Kurama... (sourire sadique...). T'as assez de fric pour ce chapitre?

Kurama (tout gêné, tout rouge, bref, très mal barré...) Mais mais mais... De quoi tu parles?

k26: Du fait que tu m'a payé pour être le semé... (je suis pour la paix des ménages mais j'aime bien foutre le bordel de temps en temps!)

Hiei: QUOI ! T'AS OSE FAIRE CA!

Kurama : Mais non, c'est lui qui racontes des conneries... Enfin ( yeux verts larmoyants), tu le crois lui, plutôt que moi? (larmes qui dévalent les joues...)

Hiei (se fait complètement avoir...): Pardon, mon coeur. Je suis désolé... Tu me pardonnes?

Kurama: (sanglote, putain qu'il est bon acteur, j'ai bien fait de l'engager, enfin, de le voler!): Moui, pour cette fois...

Chapitre deux :

Je ne sais pas combien de temps je suis resté dans le terrain vague, à l'endroit où se trouvait le portail la veille au soir.

J'ai été tiré de mon absence quand j'ai senti Botan arriver.

« Hiei ! Tu es là ? »

C'est quoi cette question idiote ? Ne me voit-elle pas ?

Elle commence à parler. Je ne retiens que des bribes de phrases, pêchant ce qui me semble intéressant. Selon leurs sources, le portail a été conquis pendant la nuit. Heureusement, Koemma a réussi à le fermer à temps. Sauf qu'une énorme masse d'énergie est en train de se former dans le makai et la réouverture du passage n'est qu'une question de temps.

« Comment ça se fait que tu sois dans le ningenkai ? me demande t-elle. »

Je ne réponds pas. Je suis encore coincé dans ce monde. Tout ça à cause de Kurama.

Elle me laisse seul, elle doit tenir Yusuke au courant de la situation.

Je m'éloigne moi aussi. Qu'est-ce que je fais là ? Je viens de me rendre compte que mes pas m'ont conduit près de chez Kurama. Alors que je n'ai aucune envie d'y retourner.

Plus aucune envie.

Tout à coup, je me sens à la limite de l'écoeurement. Depuis deux mois, il a fait tout ce qu'il voulait de moi. Je n'ai jamais résisté, je n'ai jamais rien fait pour arrêter cette relation de plus en plus malsaine.

Je pensais que tant que j'en tirais moi aussi quelque chose, du plaisir, ce n'était pas un problème. Mais tout à coup, je réalise que je me suis totalement planté.

Parce que Kurama a réussi à me convaincre de rester cette nuit, je sais maintenant qu'il peut obtenir tout ce qu'il veut. Sans que je ne me rebelle. Et il le sait puisqu'il sait toujours tout.

Il me contrôle totalement. Je ne suis qu'un pantin. Comme ça doit le faire rire, le brigand légendaire, de m'avoir capturé aussi facilement.

Contre quelques secondes d'oubli dans l'extase, je me suis perdu.

Il commence à pleuvoir. Même le temps subit l'influence du makai. Il pleut et le ciel est de plus en plus sombre. Ce n'est pas pour me déranger. Je suis plus à l'aise dans le noir qu'en pleine clarté. En un saut, je suis dans un arbre, protégé par son feuillage.

Je suis encore fatigué. Et c'est toujours la faute de Kurama.

Comment trouver le sommeil en sentant un corps contre le mien, sentant ses pouvoirs, son énergie comme une menace ? Et lui, comment y arrive t-il ?

La réponse me laissé dégoûté de moi-même. Il y arrive car il n'a rien à craindre de moi. Il me possède entièrement.

Tout ça ne me ressemble pas. Tout a commencé à partir en vrille, à s'effriter petit à petit et j'ai le sentiment que c'est trop tard maintenant pour y faire quelque chose.

Appartenir à Kurama, ce n'est pas ce qu'il a de pire. A peine cette idée m'effleure que je la rejette. Plutôt crever !

Il n'est pas trop tard. Je dois retourner dans les ténèbres et ne plus jamais en partir.

Ce n'est pas aussi simple. Je sens une puissance et Yusuke est à côté de moi.

« Hiei ! J'suis content que ce soit toi ! »

Encore une mission et évidemment, je fais partie de l'équipe. Sans qu'on ne me demande mon avis. Mais de toute façon, je veux retourner dans le makai alors nos intérêts concordent.

Je le suis jusqu'à chez lui. Kuwabara est déjà là, ainsi que Yukina, Keiko et Botan.

Kurama arrive discrètement faisant sursauter cet abruti de ningen. Yusuke et moi, on l'a senti venir de loin. Il ne me quitte pas des yeux et sourit. Bon sang, ce sourire !

Ce sourire qui dit « tu es à moi ». Je déteste ce sourire. Et en même temps, il m'attire.

« En tous cas, dit Yusuke. C'est un bon point que tu sois ici et pas dans le makai. Comment ça se fait d'ailleurs ? »

Le sourire sur les lèvres de Kurama se fait plus ironique. Je ne suis pas rentré parce que… Parce que ce kistuné sait comment me faire perdre la tête ! Et que je suisune victime bien trop consentante !

De toutes façons, Yusuke ne s'attend pas vraiment à une réponse de ma part. Alors Botan nous expose le problème.

Comment ça a pu empirer en si peu de temps ? Maintenant, ce n'est plus un portail qui risque de s'ouvrir mais des dizaines ! Apparemment, Koemma avait sous-estimé leurs adversaires. Les petites attaques désordonnées n'étaient là que pour masquer le fait qu'un groupe bien plus fort et beaucoup mieux organisé se préparait à mettre un plan en action.

Moi aussi, je n'ai rien vu. Faut dire que je m'en fous à un point…

Sauf que je n'aime pas être bloqué ici.

Je sursaute ! J'avais perdu le fil de la discussion. Mais tout à coup, je tourne la tête.

« Quoi ! »

Botan me regarde. Et elle a un petit mouvement de recul.

« Répète ! Qu'est-ce que tu as dit ? »

Je viens de me mettre à hurler. Et ma voix frôle l'hystérie.

« Calme-toi, Hiei ! Ce n'est pas sa faute ! » La voix de Kurama. Posée et autoritaire.

Me calmer ! Me calmer !

Botan prends une inspiration.

« C'est une solution qui a déjà été envisagée par le passé mais qui n'a jamais été mise en pratique. Mais là, c'est trop critique. Un portail, ça irait mais pas plusieurs qui laisseraient passer même les catégories A. De plus, l'influence des ténèbres sur le monde des humains n'a jamais été aussi présente. Si on ne déconnecte pas vite les deux mondes, le ningenkai va être détruit.

-Et alors ?

-Hiei ! »

Quoi ? Qu'est-ce que j'en ai à faire de ce monde ?

« Il y aura des conséquences sur le ningenkai, continua Botan. Séismes, éruption volcanique, le climat va se dérégler. En bref, les éléments vont se déchaîner pendant quelques mois. Mais… Disons qu'entre deux maux, nous avons choisi le moindre. »

Je secoue la tête.

« Ce n'est pas définitif ? »

Un faible « si » me parvient des lèvres de Botan.

« Alors, renvoyez-moi d'abord dans les ténèbres… »

Un grondement s'élève. Dehors, la pluie s'est changée en orage violent.

« C'est trop tard. Les mondes sont déjà séparés. »

Je suis sous le choc. Et je perçois en même temps l'expression sur le visage de Kurama. Son air victorieux. Il a gagné. Je ne peux pas repartir. Je suis perdu. Définitivement.

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L'eau est froide maintenant. Je suis resté à rêvasser trop longtemps. Et le jet de la douche s'est progressivement refroidi sans que je ne m'en aperçoive. Je me sens seul. Et misérable. Avec ces idées stupides dans la tête. Comme de vouloir partager une douche chaude avec Hiei.

Ce genre de moment, c'est fait pour les amoureux, pas pour nous. Pas pour Hiei.

Mes épaules portent de fines griffures. J'ai été un peu trop violent cette nuit et il me l'a rendu en enfonçant ses ongles dans ma chair.

Je sors de la salle de bains. Ces blessures, je les aime. Parce que c'est la marque de Hiei sur moi. C'est le signe tangible de ce qui existe entre nous.

Ce qui existe ? Qu'y a t-il à part du sexe ? Il n'a jamais manifesté le moindre sentiment. Et c'est toujours moi qui l'entraîne. Il se plie à mon désir. Il en retire du plaisir. Mais je ne l'attire pas vraiment. Parce qu'il n'a jamais fait le premier pas. C'est toujours moi qui cède en premier. Je ne peux pas résister. Son regard noir, sa moue boudeuse. Son corps nerveux et musclé. Je craque à chaque fois. Je suis faible. Il doit rire de savoir à quel point je suis faible face à lui.

Faible au point de lui murmurer des « je t'aime » dont il se fiche. Faible au point de le supplier de rester dormir avec moi.

Je boutonne ma chemise quand le téléphone sonne. Kuwabara, c'est urgent. Tout est toujours urgent en ce moment. Mais là, ça dépasse tout ce que j'avais pu imaginer.

En quelques mots, je viens de perdre toute une partie de mon âme.

Le portail a été fermé, la résistance de Mukuro a été balayée. Et Hiei… Hiei était dans le makai. Une douleur me traverse le corps, il est peut-être… Non, je ne dois pas y penser. Hiei est en vie. Loin de moi mais en vie. Botan l'aurait su s'il était mort.

La douleur ne me quitte pas, quelque chose est en train de broyer mon cœur consciencieusement.

Je n'ai jamais été blessé aussi profondément. Même pendant les pires combats. Je maudis pendent un court instant mes sentiments humains. Ceux qui me font ressentir la perte de mon amour avec tant de violence.

Cette humanité qui m'a fait l'aimer.

Je me précipite chez Yusuke. Et mon cerveau entre en ébullition. Je dois trouver un moyen de gagner le makai. Je dois retrouver Hiei. Je me faufile dans l'appartement et je me fige. Il est là. Il est là. Il est là. La douleur diminue, reflue. Ce n'est plus qu'un souvenir.

Quand je le vois, je sens un sourire de soulagement se peindre sur mon visage. Je me retiens de me jeter sur lui. J'ai bien cru ne pas le revoir aussi je ne peux m'empêcher de le dévorer du regard.

Lui n'affiche pas le plus petit intérêt pour moi. Il ne s'imagine sans doute pas à quel point j'ai eu mal.

Yusuke a commencé à parler à Hiei mais je n'ai pas suivi. Jusqu'à « C'est un bon point que tu sois ici et pas dans le makai. Comment ça se fait d'ailleurs ? »

J'ai la sensation de son corps contre le mien qui me revient. Je ne crois pas aux pressentiments ou autre, mais peut-être que c'est quelque chose de ce genre qui m'a poussé à le supplier de rester. Je souris encore. Et il me lance un regard énervé.

Botan parle et je l'écoute attentivement. Et en même temps, je suis comme détaché. Ca m'est égal. Du moment que Hiei est sain et sauf et prêt de moi, je me fiche de ce qui peut arriver.

Mais pas lui. Quand il se met à hurler, je sursaute.

C'est par réflexe que je lui dit de se calmer. Mais il ne fait pas attention à mes paroles.

Moi, ce n'est pas la colère qui me gagne mais la tristesse. La douleur revient me serrer le cœur. Des mondes séparés, ça veut dire…

« Et alors ?

-Hiei ! » Encore une fois, c'est un réflexe. Il a bien le droit de se foutre du ningenkai après tout. Si je le reprends à chaque fois, c'est parce que je n'aime pas que les autres le déprécient parce qu'il ne pense pas comme eux.

Il n'est pas comme eux, comme moi. C'est un yohkai à part entière. Pas comme moi ou Yusuke.

« Alors, renvoyez-moi d'abord dans les ténèbres… »

Je suis glacé. Cette phrase là résume toute notre relation, toute notre absence de relation. Il n'a même pas réfléchi avant. Il n'a même pas eu une pensée pour moi. Je n'existe pas.

Il est prêt à partir, à quitter ses amis sans un seul regret. A me quitter moi.

Je me maîtrise parce que je sais que dans quelques secondes, je vais me mettre à le supplier de rester. Devant tout le monde, au mépris de ma fierté, je sens que je vais craquer.

« C'est trop tard. Les mondes sont déjà séparés. »

Ces mots-là, je les aime. Je sais que je suis un monstre d'égoïsme quand je vois la colère, la stupeur sur le visage de Hiei. Mais je souris. Je souris parce que je ne suis qu'un égoïste.

Tout est de ma faute.

Hiei est sous le choc. Je ne l'ai jamais vu comme ça. Dans ces cas là, il se tire vite fait. Mais là, il ne bouge pas.

« Ok, c'est pas cool pour toi, dit Yusuke. Mais tu va t'habituer.

-On va t'y aider, ajoute Botan. »

Ils l'entourent tous de leur attention. Et je me sens jaloux. Mais je ne peux rien faire. C'est de ma faute après tout.

« Ce monde est pas mal, tu vas t'y plaire, j't'le garantis. »

Yusuke, toujours Yusuke.

« Tu pourra faire plein de choses. » Keiko maintenant qui s'y met.

« Et tu n'auras plus à te battre… » C'est Yukina qui vient de dire ces mots-là.

N'a t-elle pas compris que pour Hiei, se battre, c'est vital ! Ce n'est pas une question d'envie ou de choix. Hiei est un guerrier, il n'a que les combats. Il ne vit que pour ça.

« Ca va être cool…, j'te l'assure. » Cool ? Yusuke connaît-il un autre mot ?

Ils ne comprennent rien du tout ! Hiei ne peut pas s'adapter au monde des humains. Il ne l'est pas. Il ne peut pas vivre ici.

Et mon égoïsme s'efface pour laisser place à un sentiment de culpabilité. Ce qui arrive, c'est ma faute. Si je ne l'avais pas retenu, il ne serait pas là. Il ne serait pas obligé d'entendre les conneries monumentales que sortent les autres.

J'ai mal pour lui. Et mal pour moi. Je viens d'obtenir ce que je voulais. Mais ce n'est certainement pas ce qu'il voulait, lui.

Dehors, la pluie est devenue d'une rare violence.

Je tends la main et murmure son nom. Il ne m'entends pas. Je l'appelle à nouveau.

Il se dirige vers moi comme un aveugle. Je le laisse sortir en premier et je le suis. Les autres nous laissent partir sans rien dire.

Je ne sais pas pourquoi mais Hiei me laisse le conduire jusqu'à mon appartement.

Nous sommes tous les deux trempés. Et pour ma part, gelé jusqu'aux os. Je ne sais pas si Hiei ressent le froid aussi intensément que moi.

Une fois dans ma chambre, il frissonne. Je ne sais pas si c'est de froid.

Je me penche vers lui et l'embrasse. Ses yeux s'ouvrent de surprise. Puis, il les ferme et me rends mon baiser.

Je le déshabille tout en l'embrassant par intermittences. Puis j'ôte moi-même mes vêtements avant de le pousser dans la salle de bains.

L'eau est chaude. Hiei est avec moi. Tout pourrait être parfait. S'il m'aimait. S'il avait eu seulement le choix.

Une fois que nous sommes réchauffés, je l'emmitoufle dans un peignoir trop grand pour lui. Et j'en revêts un aussi.

Je le pousse sur le lit et rabat la couette sur lui. J'ai envie de lui. La douche n'a fait que rendre mon désir de plus en plus pressant. Mais ce n'est pas le moment. Ce n'est vraiment pas le moment. Car je suis sûr que cette fois-ci, il me repousserait violemment. Je crois qu'il est à deux doigts de se mettre dans la plus grande rage de sa vie.

Alors je me contente de lui effleurer la joue du bout des lèvres.

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Je ne veux pas entendre ce qu'ils me disent. Et qu'ils arrêtent de m'entourer comme ça, j'étouffe !

Je hais ce monde, je déteste les ningens ! Je ne veux pas rester ici !

De quoi parlent-ils ? Je ne veux pas les entendre. Je veux qu'ils se taisent ou je les transforme tous en cendres !

« Hiei… »

Cette voix là est douce. Je sais que c'est Kurama qui m'appelle.

Tout est de ta faute, stupide kistuné ! Toi et tes lèvres, ton corps qui me font atteindre le nirvana. C'est à cause de ça que je reviens toujours. Pour ces quelques secondes d'absence, où je ne pense plus, où je n'ai que du plaisir. Je sais que j'en suis devenu dépendant.

« Hiei… »

Je me dégage du cercle dans lequel ils m'ont enfermé. Echec. Echec. J'ai échoué sur toute la ligne. Je ne peux plus retourner chez moi.

Je suis aimanté à Kurama, je ne peux que rester avec lui.

Il n'a pas vu mes larmes, la pluie les a masquées. C'est aussi bien. Je ne veux pas être encore plus minable.

Une fois dans sa chambre, un frisson d'anticipation me remonte le long de la colonne vertébrale. Qu'il me fasse oublier, c'est tout ce que je veux à cet instant.

Quand il m'embrasse, je suis surpris. Surpris d'avoir tant désiré ce baiser. Et de le trouver si bon.

L'eau sur mon corps me réchauffe. Kurama me tient contre lui, mon dos calé contre son torse. Je sens son désir se manifester tout contre moi. Qu'est-ce qu'il attend pour passer aux choses sérieuses ?

Il me pousse hors de la douche, m'entrave dans un de ces vêtements humains.

Une fois dans le lit, j'attends. Mais ma patience a des limites. C'est quoi ce petit baiser de pacotille ? Et pourquoi s'éloigne t-il ?

Je l'attrape par son peignoir.

« Fais-le et fais-le encore… »

Je n'arrive pas à croire ce que je viens de dire. Je n'arrive pas à croire que je viens de réclamer ça. Mais je dois l'avoir fait réellement puisqu'il me rejoint dans le lit et que je sens sa langue dans mon cou.

Appartenir à Kurama, ce n'est pas ce qu'il y a de pire.

Le pire, c'est que je viens de me rendre compte pourquoi je suis revenu, pourquoi je suis resté, pourquoi j'aime tant coucher avec lui, pourquoi j'en ai besoin.

Le pire, c'est que je suis amoureux de lui.

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Il le dit avec tant d'autorité dans la voix que je ne peux qu'accepter. Si je peux le recomforter comme ça, ça me va. Tout me va à partir du moment où je peux le serrer contre moi, lui faire l'amour. Tant pis si je ne suis qu'un lot de consolation.

Je l'aime. Je lui dit quand je me glisse en lui avec douceur. Il tourne la tête et ferme les yeux pour éviter mon regard. Il s'en fout, il ne veut pas l'entendre.

Mais je lui répète.

« Je t'aime, Hiei. »

A suivre…

Pfuuu, suis fatigué… Mais bon, encore un chapitre de bouclé (on applaudit). Alors, selon mes prévisions, il devrait y avoir encore un dernier chapitre qui arrivera demain ou lundi ! Mais bon, mes prévisions… elles sont vraiment pas fiables !

Sinon, suis tout triste, y'a que ma Saaeliel qui me laisse des reviews (je t'adore, merci beaucoup) allez, un petit effort, ça prend que deux secondes et même si c'est pour faire une review « bateau », ça me va tout à fait !

Yusuke : Yo !

K26 : T'as rien à foutre là, toi, t'es qu'un figurant dans cette fic !

Yusuke : Ouais, justement. Pourquoi j'ai pas le 1er rôle ?

K26 : T'as du fric ? (oui, je suis vénal, vous le saviez pas ?)

Yusuke (me sort trois minables billets) c'est tout ce que j'ai… et pour ce que je veux (me chuchote à l'oreille, hihihi, je crois que je vais bien m'amuser…)

K26 : Bon, bon, je vais y reflechir. Allez, zou ! (yusuke part)

Kurama : J'peux savoir ce que tu lui as promis ?

K26 : Rien, rien (sourire espiègle, je vais vraiment m'amuser…)

Kurama ( suspicieux) : Ca a rien à voir avec moi ?

K26 (ment super bien) : Mais non.

Hiei : Ni avec moi ?

K26 : (ment encore super bien) : Non plus.

Kurama et Hiei : Ouf.

Hiei : J'espère que c'est pas des salades ! Parce que je surveille cette fic !

K26 : (dit la vérité pour une fois…) Surveille, surveille, t'as rien à craindre ! (niark, niark, niark, c'est pour ma prochaine fic, niark, niark, niark)

A plus et laissez des reviews !