Auteur : kaneda26
Origine : Yuyu Hakusho
Genre : yaoi.
Couple : Bah, comme d'hab !
Disclamer : Y'a aucun des personnages qui m'appartient, heureusement pour eux parce que ce serait encore pire si ils étaient à moi…
Titre : Extinction de la douleur.
Note : Hop là, je poste ce chapitre rapidement en espérant que Saaeliel aura le temps de le lire avant de partir ! (Hé, pour ma revieweuse préférée, je fais des efforts !)
Chapitre trois :
Je suis épuisé. Totalement vidé. Cette nuit m'a plus exténué qu'un combat. Si mon corps est endolori, je n'ose pas imaginer comment se sent Hiei.
Au matin, il finit par s'endormir. Il ne l'avait jamais fait. Du moins jamais dans mes bras. Et jamais aussi totalement. Il s'abandonne contre moi. Sur son visage, il n'y a plus de méfiance, il y a un calme paisible.
Je râle quand j'entends la sonnette de la porte. On ne peut donc pas nous foutre la paix !
Je sors du lit sans réveiller Hiei. Et je m'habille rapidement.
Devant la porte, il y a Yusuke et Kuwabara.
Ils entrent sans demander la permission.
Je ne devrais pas être énervé mais je le suis. Je sais qu'ils s'inquiètent pour Hiei. Pas autant que moi mais ils le font.
« Il est où ?
-Il dort encore.
-Il s'est fait à l'idée ? »
Se faire à l'idée. Je crois que je viens d'éclater de rire parce qu'ils me regardent bizarrement.
Et en effet, je ris.
« Vous croyez quoi ? Qu'en deux minutes, il allait sauter de joie ?
-Mais non, fait Yusuke. On est pas cons à ce point. Mais bon, c'est pas non plus la fin du monde…
-De quel monde tu parles ? C'est la fin de son monde à lui.
-… »
Il faut donc absolument leur mettre les points sur les i à ces deux idiots. Et pourquoi c'est toujours moi qui le fais ?
Ils lui ont apporté quelques trucs. Des vêtements, une carte d'identité, quelques bouquins sur le monde des humains , des jeux vidéos. De la nourriture « spécial déprime » : bonbons et chocolats.
Je dois bien reconnaître que c'est gentil de leur part. Sauf que Hiei n'aime pas ce qui est sucré. Pour lui, se nourrir est une nécessité mais pas un plaisir.
Quand ils repartent, je retourne enfin dans ma chambre. Hiei dort toujours.
Se méfier de ses souhaits car ils peuvent devenir réalité.
J'ai voulu avoir Hiei, je l'ai voulu à moi, je voulais être important pour lui.
Et bien c'est réussi. Je suis celui auquel il s'est raccroché.
Sauf que ce n'est pas vraiment Hiei. Ce n'est pas le Hiei que je connais, ce n'est pas le Hiei dont je suis tombé amoureux.
J'ai été aveugle. Aveugle et complètement idiot.
Hiei, le Hiei que je connaissais n'aurait jamais accepté tout ça.
Je caresse ses cheveux, attrapant entre mes doigts ses mèches blanches.
Il ouvre les yeux. Je me recule. Mais il ne fait pas de gestes brusques. Il me regarde juste. Et en même temps, je ne sais pas s'il me voit.
Quand il s'assoit dans le lit, je vois ses lèvres se serrer.
Je n'aime pas le voir souffrir. Et je suis responsable de cette souffrance. Moi et mon désir. Moi et mon égoïsme. Moi et ma faiblesse.
Ses yeux balaient la pièce comme s'il ne savait plus où il était.
Il me regarde enfin. Et m'attrape par le poignet.
« Refais-le ! »
Non… Je t'en prie, ne me le demande pas, je suis si faible. Et j'en ai envie. J'ai toujours envie de toi.
Je voulais que tu m'aimes… Autant que je t'aime. Enfin, pas autant, non, juste un peu, un tout petit peu. Je ne suis pas heureux et tu ne l'es pas non plus.
« Refais-le encore ! »
Je suis le seul à aimer dans cette histoire… Et je croyais que ça justifiait tout !
Parce que je t'aime, j'ai le droit de te toucher, j'ai le droit de te faire l'amour. J'ai le droit d'utiliser ton mal-être pour mon propre plaisir.
Parce que je t'aime, j'ai le droit de te faire du mal.
Et parce que je t'aime, j'ai le devoir de penser à ton bonheur. Au tien et seulement au tien.
« Non. C'est fini.» J'ai essayé d'être aussi ferme que possible. Je dois y être parvenu parce qu'il me regarde avec un air choqué.
Le « pourquoi ? » qui s'échappe de sa gorge est suivi d'un coup de poing sur ma mâchoire.
« Pourquoi ? » Il se lève, nu et magnifique, brûlant de colère.
Je préfère. Tout plutôt que l'indifférence.
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J'ai entendu des voix. Mais je n'ai pas compris les paroles. J'ai du mal à bouger aussi je reste immobile.
Le makai m'est inaccessible et… Cette nuit, Kurama m'a fait oublier autant de fois que je le souhaitais. Eprouver tant de plaisir, ce n'est pas réel, ce n'est pas concevable !
Pourtant… j'ai dû me l'avouer, je l'aime. Et je suis prêt à tout accepter. Tout ! Il doit le savoir. Evidemment qu'il le sait puisqu'il sait tout !
Il me l'a encore dit. Ces mots. Il me les a dit en me faisant l'amour. Il n'a pas besoin de les dire. De toutes façons, je suis à lui maintenant. Je n'ai que lui.
Le lit bouge quand il s'y assoit. Et je sens sa main dans mes cheveux.
J'ouvre les yeux, je me relève et je le regarde. Mon corps est douloureux mais c'est vraiment le dernier de mes soucis. Il n'a pas boutonné sa chemise complètement.
Je sais qu'il est beau. Je l'ai toujours su. Je suis capable de reconnaître la beauté. Mais je ne pensais pas y être sensible. Mais depuis ma naissance, je n'avais sans doute jamais vu quelque chose, quelqu'un d'aussi beau que Kurama.
Mes yeux parcourent la chambre. Si je dois rester ici… Dans ce monde… Alors, cette chambre est le meilleur endroit que je puisse trouver.
Je voulais le fuir et voilà ce qui arrive. Quelque part, j'ai dû le mériter.
Il ne m'a pas quitté des yeux. Je l'agrippe.
« Refais-le ! »
Il ne bouge pas. Il en a assez ? Je ne l'intéresse plus ?
Suis-je bête ! C'est évident ! Kurama est un voleur ! Une fois qu'il a obtenu ce qu'il veut, ça ne l'intéresse plus. Il sait que je suis à lui, il sait que je l'aime. Il le sait !
« Refais-le encore ! »
Ca y'est, je peux dire au revoir à la dernière parcelle de fierté qu'il me restait.
« Non. C'est fini. »
Je ne peux pas croire ce que je viens d'entendre. Je ne peux pas le croire.
Comment il peut ? Comment il ose me le refuser alors qu'il m'en a rendu dépendant ?
La colère m'envahit et je hurle. Et je le frappe violemment au visage.
« Pourquoi ? Pourquoi ? »
Je suis debout, et la rage bouillonne dans ma tête.
Je crois que je vais le tuer !
Mais je ne peux pas. Je n'ai que lui !
Et… Cette pensée est ignoble. Et en même temps tellement logique. Il n'a pas que moi.
« Je ne suis pas le seul ? » Je crache ces mots avec dépit pendant qu'il se masse la joue.
Il ne répond pas. Mais pourquoi ne parle t-il pas ? C'est lui d'habitude qui me saoule de paroles. Alors pourquoi ne répond-il pas ?
Parce que j'ai deviné juste. J'ai enfin compris ce qu'il pense.
« Je ne suis pas le seul. » C'est une affirmation maintenant.
C'est tellement élémentaire, même un enfant de six ans aurait pu comprendre. Bien sur que je ne suis pas le seul. Kurama est beau, intelligent. Il peut avoir qui il veut, y compris moi.
Pourquoi moi d'ailleurs ? Qu'est-ce que je lui ai fais ? Ou est-ce que c'était un moyen pour lui de me rabattre mon orgueil ?
Et bien, c'est fait. Parce qu'au moment même où je comprends que je ne suis sans doute pas le seul avec qui il couche, je me rends compte que je m'en fous.
Il peut bien avoir des centaines, des milliers d'autres mecs tant qu'il…
Mais je deviens complètement fou !
« De quoi tu parles ? me demande t-il.
-Tu le sais très bien ! »
Kurama secoue la tête.
« Hiei, je ne peux pas te comprendre si tu ne me dis rien. Je ne peux pas te comprendre si tu ne me parles pas… »
Mais bien sûr que si ! C'est ce qu'il a toujours fait ! Il m'a toujours compris sans que…
Kurama est mon meilleur ami, mon seul ami. Il sait tout de moi, il me connaît mieux que personne. Mais je ne lui ai jamais rien dit.
« Hiei… Parles-moi… »
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J'attends un deuxième coup qui ne vient pas. Je ne sais pas si je dois en être content. Parce que, oui, ça fait mal mais voir cette colère retomber aussi vite qu'elle est venue, c'est… presque décevant.
Hiei qui as la rage, c'est Hiei.
Quand il parle, je ne comprends pas un mot de ce qu'il dit. Le seul ? Le seul quoi ?
« Tu le sais très bien ! »
Je soupire, je dis « non » en secouant la tête. Je ne sais pas. Je ne sais rien du tout.
La seule chose que je sais, c'est que je l'aime.
Mais je ne sais pas ce qu'il ressent, je ne peux pas deviner.
« Hiei, je ne peux pas te comprendre si tu ne me dis rien. Je ne peux pas te comprendre si tu ne me parles pas. »
Il reste à me regarder. Ce que je viens de dire n'a pas l'air de le faire réagir.
« Parles-moi… »
Il ne dit rien. Je m'approche de lui lentement. Je ne tiens pas à prendre un autre coup finalement. Il cogne plus fort que je ne pensais. Je le rhabille de son peignoir. Il est tellement mignon avec les manches trop grandes. Et sa peau bronzée qui contraste sur le tissu blanc.
Je m'agenouille devant lui pendant qu'il s'assoit sur le lit. Il ne me regarde pas.
Quelques mots très rapides que j'ai du mal à démêler.
« Pourquoi tu fait ça ? »
C'est un écho. Je lui ai posé la même question il y a pas si longtemps.
« Que veux-tu dire par « ça » ? »
Hiei hausse les épaules comme si ça tombait sous le sens.
Puis à nouveau des mots heurtés :
« Pourquoi tu te sers de moi ? »
Je ferme les yeux une seconde. Il a deviné quel monstre je suis.
Sa voix est de plus en plus claire.
« Pourquoi tu m'as fait ça ? »
Je n'aurais jamais dû lui demander de me parler ! Jamais ! Tout ce qu'il dit, je le savais mais je ne voulais pas l'entendre. Je ne voulais pas l'entendre de sa bouche.
« Pourquoi si tu ne m'aimes pas ? »
Non ! Non ! Ca, ce n'est pas vrai ! Tout le reste, oui, mais pas ça !
« Pourquoi tu ne m'aimes pas ? »
Je me lève, je pose mes deux mains de chaque côté de son corps et je plonge mes yeux dans les siens.
« Tu ne peux pas me dire ça ! »
Je ne sais pas si j'ai crié. Mais Hiei a reculé. Et il se met à crier à son tour.
« Mais c'est la vérité ! »
La gifle est aussi rapide que mon regret de l'avoir donnée.
« Tu ne peux pas dire ça ! Je t'aime ! Je te l'ai dit ! Je te l'ai toujours dit ! »
Je me prends un coup de pied dans le ventre qui m'envoie valser contre mon bureau.
« Tu le dis toujours quand… Tu sais quand ! Ca ne compte pas !
-Mais qu'est-ce que tu crois ? Que je fais l'amour comme ça avec n'importe qui ? Que je dis « je t'aime » au premier mec venu ?
-Ce n'est pas le cas ? »
Cette fois-ci, je ne regrette pas mon crochet du gauche qui le fait décoller du lit.
« Bien sûr que non ! Tu es le seul ! Le seul que j'aime, le seul avec qui je couche et le seul à qui je dis « je t'aime » ! »
Je me mets en garde pour amoindrir le coup que je vais me prendre.
« C'est vrai ? »
Je baisse les bras prudemment.
« C'est vrai ? »
Je m'approche de lui. Je me penche et attrape ses lèvres entre les miennes.
« C'est vrai. Je t'aime. Et je ne suis qu'un minable parce que je me suis servi de toi. Parce que je t'aime tellement que je… »
Il m'arrête d'un baiser. Sa langue s'engouffre dans ma bouche. Et il me renverse sur le lit.
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Je me sens idiot quand les mots sortent de mes lèvres.
« Pourquoi tu ne m'aimes pas ? »
Pourquoi m'aimerait-il en fait ? Y a t-il seulement une personne au monde qui peut m'aimer ?
Son visage s'approche du mien et ses yeux verts sont accrochés au miens.
« Tu ne peux pas me dire ça ! »
Il me demande de parler mais il y a des choses que je n'ai pas le droit de dire. C'est pourtant le cas, il ne m'aime pas.
« Mais c'est la vérité ! »
C'est la première fois que Kurama me frappe. Je ne suis pas une foudre en matière d'amour mais quand on aime, on ne cogne pas.
Et ses paroles sont en totale contradiction avec son geste.
« Tu ne peux pas dire ça ! Je t'aime ! Je te l'ai dit ! Je te l'ai toujours dit ! »
Quand il était en train de me baiser ! Oui, il l'a dit ! Mais… Je riposte par un coup de pied.
« Tu le dis toujours quand… Tu sais quand ! Ca ne compte pas !
-Mais qu'est-ce que tu crois ? Que je fais l'amour comme ça avec n'importe qui ? Que je dis « je t'aime » au premier mec venu ?
-Ce n'est pas le cas ? »
Heureusement que la chambre de Kurama est assez haute de plafond parce que je fais un de ces vols planés ! J'atterris sur le sol et mon corps se rappelle à mon bon souvenir.
Et puis des mots, des mots que je n'attendais pas.
« Bien sûr que non ! Tu es le seul ! Le seul que j'aime, le seul avec qui je couche et le seul à qui je dis « je t'aime » ! »
Je me relève. Lentement, j'assimile ces mots, je les répète dans ma tête, je les savoure. Je suis le seul. Il y a encore un léger doute qui persiste en moi.
« C'est vrai ? »
Le doute devient plus grand.
« C'est vrai ? »
Le doute est un gouffre béant. Ce n'est pas vrai…
Et… Il est prêt de moi et il m'embrasse doucement.
Le doute n'existe plus. Qu'importe qui se sert de qui ! Il m'aime ! Et je… Non, ça je ne vais pas lui dire. Pas tout de suite.
« C'est vrai. Je t'aime. Et je ne suis qu'un minable parce que je me suis servi de toi. Parce que je t'aime tellement que je… »
Je le fais taire. J'en ai assez de parler. Je veux autre chose. Je le veux, lui.
Ma langue caresse la sienne.
Je lui ai dit quand je lui ai fait l'amour.
Entre deux souffles, il m'a murmuré :
« Ca ne compte pas… »
Mais il a souri et s'est agrippé à mes épaules avec passion.
Si, ça compte. Alors, je l'ai redit, et redit encore.
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Je m'éveille en premier dans une fin d'après-midi qui ressemble à tout sauf à une fin d'après-midi. Le soleil est caché, la pluie ne cesse de tomber et le vent est de la partie. Les éléments se déchaînent. Je m'en fiche, Hiei me tient dans ses bras. Et il ne me lâche pas.
Il me l'a dit. Ces mots que je le croyais incapable de dire. Pendant qu'il me faisait l'amour.
Hiei m'aime moi et pas un autre. Et je m'estime heureux, comblé au delà de toute mesure.
Quand il s'éveille enfin, il dépose un baiser sur mes lèvres et…
Un grand coup de genou dans le ventre qui me fait sortir du lit.
« Hé ! Ca va pas ?
-Tu ne croyais quand même pas que je n'allais pas te rendre le coup de toute à l'heure. Maintenant, on est à égalité. »
Et oui. Ca, c'était quelque chose que je n'avais pas du tout prévu. Dans mon lit, il y a le Hiei que je connais, le Hiei dont je suis tombé amoureux. Avec son caractère rancunier en prime !
Mais il m'aide à me relever et il m'embrasse.
Et encore une fois. Et… Mais c'est pas possible ! On ne peut donc vraiment pas nous foutre la paix !
Je m'habille aussi rapidement que possible pendant que Hiei fait de même. Je ris. Il me lance un regard interrogatif.
« On a l'air de deux gamins qui ne veulent pas se faire prendre en flagrant délit par leurs parents… »
Il sourit.
Devant la porte… Yusuke et Kuwabara qui entrent comme s'ils étaient chez eux.
Je sais, je ne devrais pas être énervé. Je sais qu'ils s'inquiètent eux aussi.
« Hé, Hiei, comment ça va ? lance Kuwa en s'approchant de la fenêtre sur laquelle Hiei est perché.
-Bien jusqu'à ce que je vois ta tronche d'abruti !
-Sale nabot arrogant !
-Stupide ningen ! »
Yusuke se tourne vers moi.
« Il a l'air en forme. Comment t'as fait ?
-On a parlé… »
Les yeux de Yusuke passe de mon bleu sur la mâchoire au cocard qui orne l'œil de Hiei.
« Vous avez juste parlé ?
-Non, on s'est tapé dessus et quand on a eu marre, on s'est envoyé en l'air le reste de la journée ! Ca te va comme ça ?
-T'as un sens de l'humour assez bizarre, parfois. »
Je souris. Et je regarde Hiei qui me fait son demi-sourire en coin.
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Je ne sais pas si je pourrais m'habituer à ce monde. Surtout si je dois voir la tronche de cet abruti congénital tous les jours !
Mais en tous cas, je sais que je suis déjà habitué à ton sourire, à ton rire, à ton corps, à ton amour. Mais j'espère quand même qu'on aura pas à parler trop souvent, j'ai vraiment mal à l'œil.
FIN
Ouais ! Fini ! Et en plus, ça se termine bien ! Bon, j'avais prévu un happy end depuis le début donc c'est pas vraiment une surprise (enfin, pour vous peut-être !)
Je crois que cette fic est définitivement ma préférée parmi toutes celles que j'ai écrites jusqu'à maintenant ! J'aime bien le fait que Hiei et Kurama se tapent dessus pour se parler, ça m'a fait beaucoup fait rire (euh, vous aussi ?).
Sinon, j'avais dit qu'au départ, je voulais faire une songfic, et bien je me suis amusé à mettre quelques unes(deux en fait)des paroles dans les dialogues de Hiei (traduites de l'anglais). Y'a même le nom du groupe dans ma fic ! Si, si. Même que le titre de ma fic (qui peut paraître bizarre, je l'accorde) est en fait une partie de la définition de ce mot !
En fait, c'est parti d'un gros délire à propos d'une chanson qui date d'une dizaine d'années. A cette époque, je me marrais bien en voyant tout le monde la chanter sans en comprendre les paroles (qui sont plutôt explicites). Allez, si y'en a un qui devine le nom du groupe et la chanson, je promets de me remettre à mes dessins et de faire des fanarts de Hiei et Kurama (mais attendez-vous pas à des miracles, ça fait des siècles que j'ai plus touché un crayon !). Voilà…
Tiens, c'est quoi ce bruit ? On dirait un sifflement, bizarre ça…
Hiei : Tu vas mourir !
(évite un coup de sabre avec un double salto arrière, ça vous épate, hein ?)
k26 : Oui, bonjour aussi !
Hiei : Je vais te tuer… lentement, très lentement.
k26 : Quoi ? Mais qu'est-ce que j'ai fais !
Hiei : C'est ça ! Fais l'innocent en plus ! T'as osé… T'as osé… (grosses larmes…) KURA-CHAAANNNNN !
Kurama : Qu'est-ce qui se passe encore ?
Hiei (se jette dans ses bras en pleurant) : Il… il…
Kurama : J'croyais que c'était réglé ce dédoublement de personnalité ?
(se reporter à la fic « que je ne puisse plus avoir peur »)
Hiei : Il a mangé mes chocolats ! Ceux de ce chapitre ! C'était les miens !
Kurama : T'inquiètes pas trésor, je vais lui faire payer à ce méchant vilain ! Allez, va jouer maintenant. Laisses les grandes personnes s'expliquer. Et tiens, ton doudou !
(Hiei qui part en tenant un gros ours en peluche rose contre lui, ben oui, il est rose, c'est un cadeau de Kurama !) Maintenant, tu vas avouer…
k26 : Hé ! C'est pas moi !
Kurama : Bon, le droguer, le kidnapper, l'envoyer chez le psy, le bloquer dans ce monde (il va pas tout m'énumérer, on va y passer la journée…) et tout (ah, bien résumé !), passes encore ! Mais lui voler ses chocolats, ça c'est honteux !
k26 (regarde attentivement…) : C'est quoi qui dépasse de ta poche ?
Kurama : Hein ? Détournes pas la conversation !
k26 : Ouais, ouais… (m'approche et hop, sort un paquet de chocolats de la poche).
Kurama (désespéré…) : Ca va me coûter cher, j'imagine…
k26 (sourire le plus sadique du monde) : C'est fou ce que t'imagine bien…
A bientôt pour ma prochaine fic ! Enfin, si j'arrive à en faire quelque chose de présentable parce que c'est le méga bordel, j'écris les chapitres dans le désordre et j'ai toujours pas le chapitre 2 ! Mais j'ai le 1, la moitié du 3 et le 12 ! Comme quoi, c'est vraiment le bordel ! Et côté rangement, suis pas doué ! Donc, patience, patience…
A plus et oui, encore une fois, je vais le dire : Laissez des reviews, svp ! Allez, pour une fois que je suis super fier de moi pour cette fic, si vous avez envie de me casser le moral, faîtes-le !
Hiei : Elle est pourrie, ta fic !
k26 : Toi, tu prends ta peluche rose et tu te casses !
Hiei (tintement de sabre qu'on sort) : Tu veux mourir ?
k26 (attrape un micro) : La maman du petit Hiei est attendue à la fin de la fic. Je répète, la maman du petit Hiei est attendue à la fin de la fic.
Kurama : Voilà, voilà, qu'est-ce qui se passe ?
k26 : Y se passe qu'on ne donne pas d'objets tranchants à des touts petits. C'est dangereux. Ils pourraient avoir envie de trucider des fanficteurs.
Kurama : En quoi c'est mon problème ?
k26 : Juste un mot. Chocolats.
Kurama (chope Hiei et disparaît à la vitesse de l'éclair).
k26 : Eh oui, encore une fois, grâce à mon esprit totalement perverti, je m'en sors indemne !
A plus.
