Cela faisait trois jours que les événements du 31 juillet s'étaient déroulés et personne n'avait encore remarqué la disparition du héros. Le directeur de la célèbre école de magie, Poudlard, était tranquillement assis dans son fauteuil de cuir rouge attendant la lettre d'Harry quand il aperçut une chouette immaculé se dirigeait vers avec une lettre attaché à la pâte. A peine, s'était-elle posé que le directeur se saisit de la lettre et la lu. Cette lettre était du même type que les précédentes, c'est à dire, courte et sans aucuns commentaire inutile. Il y avait simplement écris :
ODP, je vais bien
HP
Il continua à recevoir ces lettres tous les trois jours comme prévu. Il commença à s'inquiéter pour son protégé qu'une dizaine de jours avant la rentrée quand on lui rapporta l'information que l'on avait plus vu Harry hors de son domicile depuis le jour de son anniversaire. Il décida d'aller voir en personne ce qui l'advenait de celui-ci. C'est ainsi qu'il se retrouva devant la porte du 4 Privet Drive, attendant que quelqu'un vienne lui ouvrir. A sa grande surprise se fut Harry lui-même qui vint.
« - Bonjour, Harry, comment va-tu depuis juin ? lui demanda-il
- Tout va pour le mieux, monsieur le directeur. Que me faut l'honneur de votre visite ? Répondit celui-ci.
- Eh ! bien, il se trouve que tu n'étais pas sortis depuis longtemps de chez toi et tous s'inquiétaient. De plus, nous sommes à quelques jours de la rentré scolaire et je me disais que tu souhaiterais peut-être aller acheter tes fournitures scolaires avec un vieil homme.
- Pourquoi pas, et au moins avec vous, je serais en sécurité.
- Si tu es d'accord, alors allons-y, ajouta le directeur en lui tendant la main. »
Quelques instant plus tard, deux personnes apparurent dans l'arrière cours d'un pub nommé le Chaudron Baveur. Après avoir tapé avec leur baguette sur les pierres du mur, une arche apparu, laissant le passage aux deux sorciers vers le chemin de Traverse, la rue sorcière de Londres.
Harry et son directeur pénétrèrent dans un bâtiment qui semblait tenir debout que par magie et c'était très certainement le cas, la banque Gringotts. Un être de petite taille s'approcha des deux sorciers et les salua :
« - Bonjour, M. Dumbledore, M Potter. Qu'est ce que nous autres gobelins pouvons nous faire pour vous ?
- Nous venons pour retirer de l'argent du coffre de M Potter, répondit le directeur.
- Est-ce que M. Potter à sa clef ?
Pour unique réponse, Harry sortis de sa poche une petite clef dorée. En la lui remettant, Harry salua le gobelin d'une manière que celui-ci avait rarement vu de la part de sorciers. Le gobelin se demanda comment le jeune Potter avait pu apprendre les coutumes de son espèce.
Le gobelin les mena au coffre d'Harry, toujours en proie à ses interrogations. Il attendis bien gentiment à l'extérieur du coffre que les deux sorciers aient terminé de remplir plusieurs bourses de cuir. Tous trois remontèrent dans le hall de la banque et se séparèrent. Une nouvelle fois, le gobelin fut surpris de l'attitude du jeune M Potter mais se retint bien de formuler toutes questions devant le directeur de Poudlard. Il savait qu'un jour ou l'autre, il aurait sa réponse.
Après être sortis de la banque, les deux sorciers avaient commencé à acheter toutes ce qui fallait à Harry pour suivre les cours qu'il aurait durant l'année scolaire. Harry avait ayant eu qu'un effort optimal en potion, il avait vu ses perspectives de carrière au sein des aurores réduite à néant. Il avait alors décidé d abandonner plusieurs autre matière qui ne lui serait plus d'aucune utilité comme la Divination et l'Astronomie.
Ils eurent tôt fait de finir leurs achats concernant l'école. Harry qui n'avait pas beaucoup parlé, demanda s'il pouvait aller acheter de la nourriture pour sa chouette, ainsi qu'une nouvelle montre. Le directeur répondit par l'affirmatif. Ils se dirigèrent alors vers la ménagerie magique et pénétrèrent dans la boutique d'animaux magiques où un silence de plomb se fit.
Harry, au contraire de son directeur, ne paru pas du tout surpris du comportement des animaux. Il se dirigea vers le comptoir et demanda de la nourriture pour plusieurs animaux alors que le directeur ne lui connaissait comme compagnon que sa chouette blanche, Hedwige. Il l'interrogea, Harry lui répondit :
« - J'ai recueilli un ou deux animaux cet été.
- Les Dursleys ont été d'accord avec cela ? Répondit le directeur légèrement surpris.
- Non, mais je ne leur ai pas demandé leur avis. Combien je vous dois ? Demanda Harry au vendeur qui de cette manière mis fin à la conversation avec Dumbledore. »
Après avoir payer, les deux sorciers sortir du magasin et se dirigèrent vers l'horloger magique "A la montre folle". Harry qui en avait assez de faire de course, ne mis pas longtemps à se décider pour la montre qui était le plus compliqué, prétextant auprès de son directeur que cela l'occuperai chez les Dursleys. A peine avaient–ils franchis l'arcade que Dumbledore transplana à Privet Drive avec Harry. Ils se dirent rapidement au revoir. Harry monta dans sa petite chambre et ferma la porte à l'aide d'un sort bien qu'il ne puisse toujours pas utilisé la magie en dehors de Poudlard et disparut.
