Blanche Neige

Dans ce conte qui n'en est pas un, beaucoup d'incohérences. Ne cherchez pas de logique, vous risquez le mal de crane et, enfin, ne cherchez pas 1 manga pour cette histoire, j'ai utilisé plusieurs personnages de plusieurs fics. Cependant, la majorité viennent de Fruits Basket.

Ce coup ci, pas de distribution parce que ça ferait trop de spoils sur l'histoire et de toutes manières... Je crois qu'il y a pas d'histoire en réalité ! Bonne Lecture.


Cela se passait en plein hiver et les flocons de neige tombaient du ciel comme un duvet léger. Une reine était assise à sa fenêtre encadrée de bois d'ébène et cousait. Tout en tirant l'aiguille, elle regardait voler les blancs flocons. Elle se piqua au doigt et trois gouttes de sang tombèrent sur la neige. Ce rouge sur ce blanc faisait si bel effet qu'elle se dit : Si seulement j'avais un enfant aussi blanc que la neige, aussi rose que le sang, aussi noir que le bois de ma fenêtre ! Peu de temps après, une fille lui naquit ; elle était blanche comme neige, rose comme sang et ses cheveux étaient noirs comme de l'ébène. On l'appela Blanche-Neige …

- : Hey ! Mais tout le monde la connaît cette histoire ! La reine meurt. Le roi se remarie. La belle-doche veut tuer la pure créature qui lui sert de belle-fille. La gamine fuit dans la forêt, rencontre 7 nains et devient femme de ménage. Au bout d'un moment la méchante reine vient, lui propose des pommes empoisonnée. La cruche accepte, mange et meurt. Puis le prince arrive sur son cheval vert, l'embrasse. Elle revit, ils partent et elle se retrouve à élever plusieurs mioches dans un château mal chauffé.

- Moi : Hein ? Mais, Kyo, ne raconte pas l'histoire. En plus, tu n'es même pas de ce conte

/me attrape Akki et Shi-chan : Vous, vous êtes dans le conte. Idem pour Aya. Ensuite, vous le découvrirez en lisant

Blanche Neige, nouvelle version

Donc, la reine meurt et laisse sa fille, non pas Blanche-Neige mais Arisa, seule avec un père qui ne peut s'empêcher de se marier. En réalité, c'est déjà sa troisième femme qui meurt dans des circonstances étranges.

D'ailleurs, Arisa trouvait cela étrange et elle appela deux détectives hors-pair. Non, pas Nokoru et Suo. Tout faux ! Mais je vais y revenir.

Bref. Le roi Nakagopersonnage charmant de FushigiYuugi eut un coup de foudre pour une jolie jeune fleur Shigure !, fille prénommée… Saki.

- Arisa : Mais, 'pa, cette fille à mon âge ! On va au même lycée !

- Nakago : Elle est mignonne et Kazuma a dit oui

- Arisa ? De quoi tu parles ?

- Nakago : de rien. J'ai décidé de l'épouser, je l'épouse

- Saki : Je ne dois pas être d'accord pour ça ?

- Nakago : Tu es contre ?

Finalement, Saki accepta, il avait promis de la nourrir gratuitement à vie et de la laisser ouvrir un magasin de viande séchée à côté du château. Saki était une grande sorcière mais elle s'inquiétait, connaissant le sort funeste de celles qui l'avait précédé. Elle convoqua les détectives qui vivaient dans le pays sous couverture et les supplia d'enquêter sur l'affaire. Tous deux acceptèrent volontiers, d'autant plus qu'Arisa les payait déjà pour exactement le même boulot.

Ils retournèrent donc dans leur boutique chercher leurs plus beaux modèle à proposer au roi Nakago. Ce dernier, qui recevait l'empereur Ayame, les fit entrer.

- Aya : Vous !

- Nakago : Vous connaissez ces hommes ?

- Aya : Oui, ils m'ont vendu un merveilleux costume. D'ailleurs, je leur ai montré quelques unes de mes techniques. Shigure, s'il vous plait venez près de moi pendant que votre compagnon montre vos derniers modèles à notre hôte.

- Shigure : Mon amour, avec plaisir

Nakago, qui connaissait bien Aya, se détourna et laissa discuter le couturier et son empereur. Il admirait Akki et se disait que, q'il n'était pas déjà marié, il l'épouserait bien. Il ferait un excellent 4ème époux (nda : quand je dis qu'ils font ce qu'ils veulent ! M'enfin l'histoire fonctionne aussi comme ça).

- Kyo : Mais c'est pas Blanche-Neige ça ! C'est quoi ce conte ?

- Mwa : C'est MA version de Blanche-Neige. Et tais-toi, sinon, je me venge sur le prochain conte !

Pendant que Nakago et Akki sympathisaient, Arisa et sa belle-mère discutaient paisiblement autour d'une tasse de thé, préparée par l'empereur Ayame en personne (quelle chance) dans la boutique de viande de Saki.

- Arisa : A ta place, je me méfierais. Mon père a une fâcheuse tendance à aimer les mariages

- Saki : Bah ! Moi je l'ai juste épousé pour la boutique, il peut divorcer quand il veut. D'ailleurs, j'ai rencontré un jeune homme charmant. Il a l'âge de ton père mais il est moins radical sur la séparation

- Arisa : Alors, je vais t'aider à t'enfuir, si tu veux bien

- Saki : Bof. Je tiens à ma boutique tu sais, Arisa-chan. Non, ce qui serait bien c'est qu'on lui fasse peur.

- Arisa : Et comment ?

- Saki : J'ai un miroir magique qui pourrait nous y aider. Il vient toujours en aide aux jeunes femmes en détresse.

Toutes deux se dirigèrent alors vers la chambre de Saki. Le miroir trônait, au centre de la chambre. C'était un grand miroir en pied, fait dans un bois de chêne tri-centenaire. Le miroir lui-même avait été poli par les nains de la montagne du dragon, 127 ans auparavant.

- Saki : Miroir, miroir joli, Qui est la plus belle au pays ?

Un jeune homme apparut alors, il se prénommait Nokoru. C'était un garçon d'une dizaine d'année, blond comme les blés, au regard aussi pur que le cristal.

- Nokoru : Il n'y a aucune femme qui soit, à mes yeux, plus belle que les autres. Toutes les femmes sont belles.

Il souriait et toutes deux eurent envie de le croire. Elle lui expliquèrent la situation et il accepta de les aider.

- Nokoru : Si seulement je pouvais quitter ce miroir, je lui apprendrais à traiter correctement deux jeunes filles superbes comme vous. Malheureusement, il va nous falloir recourir à la ruse. Ce qui marchera le mieux, c'est de l'avoir par la ruse.

- Arisa : Mais, attention, je ne veux pas qu'il meure, c'est mon père, ou du moins, l'homme qui m'a élevée !

Grâce aux conseils avisés de Nokoru, elles décidèrent donc de piéger l'assassin des reines précédentes. Pour cela, elles décidèrent de le convaincre qu'il y avait une femme plus belle que celle qu'il avait épousé. En toute logique, il voudrait tuer sa femme actuelle pour épouser l'autre. Elles venaient de terminer leur lecture de Peau d'Âne, ce qui leur donna une idée (Désolée, c'est un détournement que j'ai pas encore posté, et qui porte sur Harry Potter !).

Le plus difficile fut de convaincre le miroir, qu'il allait devoir mentir. En effet, il allait lui falloir dire

- Nokoru : Madame la reine, vous êtes la plus belle ici Mais Arisa est encore mille fois plus belle et je ne parle pas du charmant Akito qui fait les yeux doux au roi.

Seul un méchant aurait pu croire à la véracité de ces mots, car Nokoru disait cela les larmes aux yeux (sa consolation est réservée à une amie à moi, je vous déconseille d'approcher) mais, comme c'était pour le bien de deux charmantes fleurs, il sut se tirer à merveille de sa tâche. La réflexion sur Akito avait été ajoutée à la demande d'Arisa qui avait remarqué le manège du jeune homme.

Un serviteur qui passait par là alla rapporter au roi Nakago que la reine Saki avait piqué une crise de jalousie monstrueuse en entendant cela et menacé de tuer la malheureuse enfant ainsi que le couturier.

Le roi, piqué par la curiosité, abandonna son Akki-chan et se dirigea droit vers les appartements de sa femme. Il la trouva au milieu de verres brisés, qui ressemblaient à des éclats de miroir, de tentures déchirées et de vases brisés.

- Nakago : Voyons, chérie, que t'arrive-t-il ? Que c'est-il passé ici ?

- Saki, feignant la rage : Ce satané miroir a osé mentir ! Il ne fera plus jamais de mal !

Voyant que sa femme n'était pas vraiment prête à discuter et craignant pour sa vie (Saki en colère, c'est tout de même très effrayant), il regagna rapidement la salle du trône, préférant de loin la conversation d'Akki-chan à celle de son épouse adorée.

Et Arisa, dans tout ça ? Elle sirotait tranquillement un thé avec Ayame et Shigure, tout en leur expliquant leur idée. Elles allaient mimer la dispute, elle partirait dans la forêt pour chasser (de toutes manières, elle avait besoin de faire du sport), avec le jeune Suo (nda : encore un clamp school). Là, elle mettrait en scène sa propre disparition et irait vivre aux frais des nains de la montagne du dragon (les mêmes qui ont emprisonné Nokoru-chan dans le miroir).

Quelques jours passèrent et tout le monde remarqua la détérioration des relations entre la reine et sa belle-fille. Elles se traitaient à tout bout de champ de « yankee » et de « sorcière » et ne se parlaient plus qu'en criant. Nakago lui-même commençait à en avoir marre mais le couturier l'occupait assez pour qu'il n'intervienne pas.

Pendant ce temps, Shigure et Ayame avaient commencé leur enquête. Le premier parmi le personnel du château, le second parmi les membres de la cour qui, heureux de parler à un empereur, étaient moins sur leurs gardes. Quand ils surent enfin qui était l'assassin des trois reines précédentes, la seconde partie du plan commença. Convaincre l'assassin qu'il était temps que le roi change d'épouse.

Ce jour là, un soleil printanier brillait, poussant chacun à se promener à l'ombre dans le parc du palais. Arisa et Suo se promenaient, tout en discutant avec le roi qui essayait, exceptionnellement, de convaincre sa fille de se réconcilier avec la reine.

- Arisa : très bien Père. Je vais aller me promener quelques heures en forêt et, à mon retour, j'irais lui parler.

- Nakago : Ne rentre pas trop tard s'il te plaît, ce satané empereur s'incruste et je n'ai aucune envie de dîner en tête à tête avec lui.

- Arisa : invite donc Akki-chan à ta table !

- Nakago : c'est un serviteur, je ne peux pas, c'est contre le protocole.

- Arisa : et épouser une paysanne, ça ne l'était pas, contre le protocole ?

Et elle le planta là, le laissant à ses réflexions.

Les heures passèrent et Arisa ne rentrait toujours pas. D'un autre côté, la reine Saki semblait de plus en plus heureuse. Il était tard lorsque Suo rentra et expliqua qu'ils avaient été attaqués par une tigresse et qu'il n'avait pas réussi à sauver la jeune princesse, elle avait disparu dans la forêt, peut-être même qu'elle était morte.

Nakago se leva alors et quitta la pièce, ne souhaitant pas qu'on le voit attristé. Son serviteur préféré, son ombre, Hotohori ndN : encore un perso de Fushigi Yuugi lui emboîta le pas et exprima ce doute affreux qui s'était emparé du roi

- Hotohori : C'est sans doute la reine qui l'a fait disparaître

- Nakago : Assure-toi qu'elle est encore en vie.

Sur ce, Hotohori disparut sans laisser la moindre trace, laissant le roi seul avec son désespoir.

Arisa quant à elle, continuait d'avancer dans la montagne, à la recherche des sept nains qui avaient conçu le miroir de Saki, elle s'était promis de délivrer Nokoru et d'emprisonner l'assassin de sa mère à sa place. Finalement, elle les découvrit et s'installa et attendit leur retour. Pour me simplifier l'écriture je pose directement la distribution. Après moultes menaces, et en promettant à tous ceux qui accepeteraient un dîner gratuit préparé par Tohru (vraiment pas contrariante) et en l'absence d'Ayame (qui est occupé) et de Shigure (qui est avec lui), voilà ce que j'arrive à faire.

Prof est interprété par Sôma Kureno,
Grincheux par Sôma Hiro,
Dormeur par Sôma Yuki,
Atchoum par Honda,
Timide par Sôma Hatori ,
Simplet par Sôma Kyô (Hey ! Pourquoi moi ? Mwa : parce que j'ai personne d'autre sous la main)
Joyeux sera joué par Sôma Hatsuharu

Cependant, elle ne pouvait pas rester complètement inactive.

Dans la maisonnette, tout était minuscule, gracieux et propre, grâce à Atchoum qui était une véritable fée du logis. On y voyait une petite table couverte d'une nappe blanche, avec sept petites assiettes et sept petites cuillères, sept petites fourchettes et sept petits couteaux, et aussi sept petits gobelets. Contre le mur, il y avait sept petits lits alignés les uns à côté des autres et recouverts de draps tout blancs. Arisa avait faim et soif qu'elle prit dans chaque assiette un peu de légumes et de pain et but une goutte de vin dans chaque gobelet : car elle ne voulait pas manger la portion tout entière de l'un des convives. Fatiguée, elle voulut ensuite se coucher. Mais aucun des lits ne lui convenait ; l'un était trop long, l'autre trop court. Elle les essaya tous. Le septième, enfin, fut à sa taille. Elle s'y allongea, et s'endormit. Quand la nuit fut complètement tombée, les propriétaires de la maisonnette arrivèrent.

Ils allumèrent leurs sept petites lampes et quand la lumière illumina la pièce, ils virent que quelqu'un y était venu, car tout n'était plus tel qu'ils l'avaient laissé

- Hatori : Qui s'est assis sur ma petite chaise ?

- Hiro : Qui a mangé dans ma petite assiette ?

- Yuki : Qui a pris de mon pain ?

- Kyo, incapable de cacher sa joie : qui a fini mes poireaux ?

- Kureno : Qui s'est servi de ma fourchette ?

- Hatsuharu : Qui a coupé avec mon couteau ?

- Tohru Qui a bu dans mon gobelet ?

- Kyo : Décidemment tes nains sont vachement matérialiste
- Mwa : Si tu veux, je te rends les poireaux
- Kyo : Non, non, ça ira.

Le premier, en se retournant, vit que son lit avait été dérangé. Arrivé à celui de Tohru, ils découvrirent Arisa tranquillement endormie. Tous la trouvèrent jolie, sauf Kureno qui estima qu'elle était la plus belle créature que la terre eut portée. Surprise par le bruit, Arisa ouvrit les yeux et son regard croisa celui de Kureno

- Pensée d'Arisa : C'qu'il est mignon

- Kureno : Comment t'appelles-tu ?

- Je m'appelle Arisa.

- Hatori : Comment es-tu venue jusqu'à nous ?

Comme convenu avec Saki et Nokoru, elle leur raconta que sa belle-mère avait voulu la faire tuer, mais qu'elle avait réussi à s'enfuir et était arrivé là totalement par hasard. Tohru fut prise de pitié pour la jeune fille et insista pour qu'ils la gardent. Arisa travaillerait à la mine avec les nains tandis qu'elle-même se consacrerait aux tâches ménagères qu'elle préférait.

Pendant ce temps, au château, Saki commençait à s'inquiéter pour la jeune princesse. Elle alla donc demander à Nokoru de ses nouvelles. Cependant, ils devaient jouer la comédie donc, quand elle lui demanda qui était la plus belle jeune fille du pays, Nokoru, contraint par son désir de sauver les deux jeunes filles, déclara :

- Nokoru : Madame la reine, vous êtes la plus belle ici, Mais, par-delà les monts d'airain, auprès des gentils petits nains, Blanche-Neige est mille fois plus belle

Hotohori, lui aussi entendit cette déclaration et il fila apprendre la bonne nouvelle au roi. Le dénouement approchait donc, tout comme une nuit d'encre où, enfin, l'assassin allait se dévoiler. Saki devait aller jusqu'au bout et faire croire qu'elle désirait empoisonner Arisa. L'assassin devait empêcher ce meurtre car il voulait… Non ! Donner le mobile du meurtre, serait donner le nom de l'assassin ! Suffit !.

Saki se présenta à la maisonnette, déguisée en vieille femme fatiguée, et Tohru, dans sa bonté légendaire la laissa entrer. Caché dans les arbres, l'assassin veillait, mais il n'était pas le seul, une ombre surveillait le moindre de ses agissements depuis qu'il avait compris ce qu'il se passait.

Au château, Aya et Akki jouaient tranquillement aux échecs, sous l'œil aiguisé d'un arbitre aux yeux magnifiques.

Enfin les 6 nains et Arisa rentrèrent. Kureno la regardait tendrement mais n'osait pas se déclarer. Ils furent surpris de voir une vieille femme, qui portait un panier empli de pommes juteuses ndN : ça me donne faim. Arisa, comme toujours, avait une faim de loup, elle se jeta sur les pommes et tomba, apparemment morte. Hotohori et Shigure accoururent au bruit de la chute et découvrirent un triste spectacle.

Kureno serrait sa bien aimée dans ses bras, en pleurs tandis que les autres attaquaient Saki, menaçant de la tuer. Hotohori sortit lui-même un couteau et se précipita sur la reine. Il avait l'excuse parfaite pour s'en débarrasser enfin et il pourrait couler des jours heureux avec le roi (nda ! j'ai dû louper un épisode). Shigure avait un temps de retard, surtout parce que Kyo et Yuki, légèrement à l'ouest, l'empêchèrent d'approcher. Hotohori était tout près de la reine maintenant et, soudain, une douleur lui transperça l'épaule. Il se retourna et constata que la princesse Arisa lui avait planté un tisonnier dans l'épaule, ce qui était assez douloureux.

Kyo et Yuki relâchèrent Shi-chan qui se précipita sur Hotohori et lui arracha son masque. Tous reculèrent surpris. Comment étais-ce possible ? Là, devant eux, se dressait la première épouse du roi, Ren-sama, qui avait été répudiée à cause de sa conduite indigne. Elle se précipita sur Arisa pour se défendre mais trop tard, les autres l'avaient ceinturée. Ils la ligotèrent et l'entraînèrent vers le château.

Nakago fut surpris de découvrir que son second était cette femme qu'il avait tant aimé et détestée. Il la fit exécuter et demanda à sa fille de revenir vivre au château avec Akito et lui. En effet, Saki venait de déclarer qu'elle en avait marre d'être reine, que c'était trop dangereux et qu'elle préférait sa boutique de viande.

Arisa, elle aussi, refusa, préférant emménager en ville avec Kureno qui s'était décidé à lui demander de partager une vie commune. Les autres nains décidèrent alors de rentrer chez eux lorsque le chasseur Suo les arrêta :

- Suo : Et pour Nokoru dans le miroir, comment on le délivre ?

- Hatori : Facile, il n'y a qu'à briser le miroir !

Et le prince charmant, me direz-vous, où est-il ? N'est-il pas censé réveiller Blanche-Neige avec un tendre baiser ? C'est ce qui était prévu. Mais, voyez vous, le prince Charmant s'appelle en réalisé Sôma Kazuma et il a le béguin pour la belle-mère. Il a donc décidé d'abandonner son royaume à Shigure pour le consoler d'avoir perdu son partenaire de couture, qui a invité les nains de la montagne à venir vivre avec lui.


Voilà la véritable histoire de Blanche-Neige. Qu'en pensez-vous ?

PS : J'ai en réserve une autre enquête de mes chéris adorés ou alors Peau d'Âne mais je celui là, je ne le mettrais pas ici.