Coucou tout le monde !

Après seulement quelques heures après avoir publié le dernier chapitre je me mets directement à l'écriture du suivant ! En espérant ne pas avoir de problème d'internet et tout et tout...

BIEN Vous êtes près ? Ça va chauffer dans les chaumières, baver sur les claviers et mouiller dans les petites culottes !

Je viens à peine de poster le chapitre et déjà 10 reviews ! Y a pas à dire vous êtes au top :3 vous êtes les meilleurs reviewer du monde entier de la vie et je vous aime aussi fort que ma licorne Yuki et que ma chauve-souris Kuro ! ( c'est peu dire parce que je les aime vraiment fort!)

Pour tout le monde ! Je tiens à préciser que dans l'histoire nous sommes début Novembre ! Mais ne vous inquiétez j'ai de la suite dans les idées et un lemon est vite arrivez vous savez...

Réponse aux reviews :

Etrelley : Ben je veux vous prouver mon amour moi D: Je peux me contenter d'un bisou alors U.U Viiiiii mais j'aime bien faire des fin comme ça ! Je vais être Ministre du Sadisme Voilà U.U

DidiineOokami : Viiii Byakuya est énervé ! Mais un Bya énervé est un Bya appétissant non ? Uhuhuh Moooh mon pauvre Grimm j'essaye de le faire moins con T.T ! Merchiiii voilà la suite !

Loca12 : Je fais monter la chaleur pour faire exploser le thermomètre ensuite U.U Tout est calculer ! NON JE VEUX MA REVIEW ! Je suis contente que que tu aime ma fic :D :*

Sscarlet : Me mange paaaaaaaaaaaaas :O sinon pas de suite !

Yumi Lucky : imagine la voix grave et sensuelle de Bya dire un truc pareil :Q_ Voilà la suite ! Merci à toi encore une fois !

Noah : Non je veux pas que tu meurs ! Imagines la suite ! Si je balance tout c'est plus rigolo T.T Tu peux venir me hanter j'ai un pendule et je fais du spiritisme on pourra parler en tant que 2 Fan de Byakuya *^* !

Reina : Voilà la suiiiiiiite ! :D Merci !

Garulfodansk : Merciiii ! Je fais de mon mieux niveau fautes désoley T.T Encore merci en tout cas :)

GreyFullbuster2a : COUCOU LA REVENANTE ! Ouiiiiiiiiiiiii je suis super contente que tu aimes mon ByaIchi du coup :3 ! Voici la suite ! Et gambate kodasai pour tes cours ! À bientôt !

Shirvalena : J'espère que ton cerveau et ton petit kokoro de yaoiste seront comblé avec ce chapitre ! NON PAS LES KATANAS ! 'sort son zanpakuto au cas où...' Merci beaucoup à toi ! Voici la suite ! :D Ja ne :*

Fin du blabla ! Place à la lecture ! Rendez-vous en bas :)

AndZero

Chapitre 11

Ichigo regardait le noble comme s'il le voyait pour la première fois. Il avait du mal comprendre. Il espérait avoir mal compris ! Sans le toucher ? Mais par Kami et Voldemort ! Il voulait que Byakuya le touche ! L'homme ne fit pas attention au regard rempli d'incompréhension et de supplication du rouquin. Il saisit le poignet blessé du roux afin que leurs peaux ne rentrent pas en contact. Kuchiki conduit son étudiant sans ménagement dans la pièce principale du petit appartement et le fit basculer, torse le premier, contre la table.

La joue droite du rouquin était à présent collée contre le bois froid de sa table, son torse y était également plaqué et son postérieur ressortait agréablement à la vue d'un Byakuya au regard appréciateur. Ichigo n'osait pas bouger, il était tendu et attendait la suite avec impatience mais également avec appréhension. Que lui réservait Kuchiki ? Le jeune homme put sentir le noble bouger derrière lui. Il sentait ses yeux le détailler, le regarder sous tous les angles, comme pour juger ce qu'ils voyaient.

La lumière était éteinte, tout l'appartement était plongé dans l'obscurité et malgré tout Ichigo avait l'impression de tout dévoiler, de tout montrer à l'homme qui se tenait maintenant à côté de lui et qui le regardait dans les yeux. Le jeune homme se sentait tellement vulnérable à ce moment là que pour la première fois de sa vie il y eut envie de fuir. Fuir cet homme. Fuir Byakuya parce qu'il l'aimait et qu'il avait peur qu'il se moque de lui. Pourtant ce qu'il voyait dans les yeux de son professeur lui disait qu'il n'avait rien à craindre, que l'homme ne lui ferait pas de mal, bien au contraire. Alors Ichigo restait là, il attendait. Il ne savait pas quoi, mais il attendait avec impatience. Quand Byakuya lui avait dit cette phrase ô combien érotique auprès de son oreille, le rouquin c'était senti défaillir, le désir s'était répandu comme une traînée de poudre dans son bas ventre et ses entrailles s'étaient tordus délicieusement.

Maintenant, maintenant Ichigo avait le souffle court. Le regard de l'homme était toujours braqué dans ses yeux et ce qu'il pouvait y lire l'excitait comme un fou. Un mélange de désir, de colère, de passion et domination enflammait le noble. Le jeune homme ne l'avait jamais trouvé aussi beau, il semblait gigantesque, bien plus impressionnant que d'habitude et il émanait de lui une aura sexuelle telle que le rouquin se senti légèrement durcir. Les joues du jeune homme se colorèrent instantanément faisant sourire Byakuya. Le noble semblait avoir compris ce qu'il se passait dans la tête de son étudiant. Doucement Kuchiki se déplaça face à Ichigo qui bougea la tête afin de ne pas le lâcher des yeux. Le noble se baissa au niveau du visage du jeune homme. Son souffle se heurtait aux lèvres du rouquin. Ils étaient proches, très proches, mais pourtant ils ne se touchaient pas. Byakuya semblait décidé à aller jusqu'au bout de ce qu'il avait annoncé quelques minutes plus tôt puisqu'il tira une chaise vers lui, s'installa dessus et se rapprocha une nouvelle du rouquin qui n'avait pas bougé d'un pouce. Les lèvres de l'homme étaient une nouvelle fois très proche de celles d'Ichigo mais lentement elles dérivèrent vers la joue rougie par la gène, l'envie, l'attente et le désir. Puis toujours lentement la bouche du noble arriva à l'oreille du rouquin. Le souffle chaud et musqué du professeur envoyait de délicieux frissons dans le corps d'Ichigo, qui essaya de bouger légèrement afin d'entrer en contact avec Byakuya. Cependant ce dernier anticipa le mouvement et bougea également pour éviter le contact. Quand le jeune homme s'immobilisa l'homme retourna à sa place et sa bouche revint près de l'oreille de l'étudiant.

Le simple fait de sentir le souffle de son professeur contre son oreille et se répandre dans son cou, sur sa nuque et dans ses cheveux, excitait déjà plus que de raison le rouquin. Ichigo se sentait déjà légèrement à l'étroit dans son pantalon et il essaya de gigoter afin de se sentir un peu moins mal à l'aise. Kuchiki allait le tuer. Il ne le touchait pas, il ne lui faisait absolument rien à par respirer contre son oreille et cela seulement suffisait à lui donner une érection. L'homme devait s'en rendre compte car il avait lâché un petit rire. Rire qui fit voler des papillons dans l'estomac du rouquin. Papillons qu'il aurait plutôt qualifier de vélociraptors au vu de l'effet que ça avait eu sur lui. Une bouffée de chaleur monstrueuse le submergea, ses joues se firent encore plus rouge et ses pupilles se dilatèrent d'un seul coup. Ichigo dû se mordre violemment la lèvre afin de s'empêcher de gémir. Il était un putain d'abruti ! Byakuya ne lui faisait absolument rien et lui il avait envie de gémir. Il devait ressembler à un pauvre puceau. Le rire rauque et profond qui s'échappa de la bouche du noble fit perdre la tête d'Ichigo qui attendait maintenant avec impatience la suite des événements. Suite qui ne tarda pas à arriver. Le jeune homme se tendit encore plus quand il entendit l'homme se lever de la chaise et se rapprocher encore un peu plus de lui. Si bien que les cheveux de jais du professeur chatouillaient les joues du rouquin, lui prodiguant une douce caresse. Les cheveux laissaient se diffuser une odeur suave, sensuelle, masculine et virile totalement érotique. Ichigo se mordit une nouvelle fois la lèvre et retint sa respiration quand Byakuya commença à parler de sa voix profonde.

_ Sans même avoir encore prononcé un mot tu es déjà pantelant...

Ichigo inspira un grand coup. La phrase avait été prononcée à voix basse, d'une façon très sensuelle, très proche de son oreille. Byakuya savait très bien ce qu'il faisait.

_ Tes joues sont rouges, tes pupilles dilatées, tu as le souffle court et je peux pratiquement entendre ton cœur battre d'ici. Tout cela sans même avoir dit quelque chose d'osé... Tu es quelqu'un de très réactif Ichigo... J'aime beaucoup ça. Voyons voir si on peut aller plus loin.

Ichigo essayais de gigoter. Son sexe devenait un peu plus dur et il commençait vraiment à avoir chaud. Cependant le noble ne lui laissa aucun répit.

_ Te souviens-tu des photos que tu m'as envoyé ?

Le rouquin se mordit la lèvre une nouvelle fois et ferma les yeux. Il ne voulait pas répondre à ça, c'était bien trop gênant. La voix chaude de Byakuya continuait à provoquer des frissons incontrôlés dans tout son corps. Frissons qu'Ichigo avait du mal à ignorer. En effet Kuchiki était toujours au-dessus de lui, ses cheveux étaient toujours contre sa joue et la bouche de l'homme semblait être encore plus près du rouquin qu'avant.

_ Réponds moi Ichigo.

Le prénom du jeune homme avait était ronronné dans le creux de son oreille réveillant un peu plus son érection. C'était quelque chose d'affreusement sexy d'entendre Byakuya prononcer son prénom de cette façon. Presque érotiquement.

_ Oui...

_ Oui quoi ?

Ichigo se mordit la langue. Ce mec allait avoir sa mort.

_ Oui je me souviens.

Le rouquin put presque entendre son professeur sourire.

_ Je veux que tu te souviennes exactement ce à quoi tu pensais à ce moment là. Je veux que tu imagines encore une fois la sensation de mes mains sur ton sexe.

Ichigo prit une grande goulée d'air. Il ne pouvait que trop bien l'imaginer cette sensation. Il ne pouvait pas s'en empêcher même. Il imaginait parfaitement les grandes mains habiles de son professeur autour de sa hampe durcie. Il pouvait sentir leur chaleur, la peau douce des deux paumes rentrer en contact avec sa chaire tendue. Une forte chaleur se répandit au creux des reins du rouquin et il dû se retenir de gémir. Cependant un léger couinement s'échappa et la honte et la gêne teintèrent encore plus les joues déjà bien rouge du jeune homme.

_ D'après ce que j'entends je pense que tu y arrives parfaitement. N'est-ce pas ?

L'étudiant ne put que déglutir difficilement. Penser aux mains de son professeur sur lui, sur son sexe, et entendre sa voix dans son oreille, le sentir si proche de lui, ne lui permettait pas d'aligner des pensées cohérentes.

_ Réponds Ichigo. Imagines-tu facilement mes mains s'enrouler autour de ton sexe ?

_ Ou... Oui...

_ Parfait. Les sens-tu descendre et monter sur toute ta longueur tendue ?

Putain son érection était parfaitement réveillée à présent et Ichigo sentait définitivement les mains de Byakuya bouger sur lui. Ajouté à ça la voix du noble au creux de son oreille et le rouquin ne fut, à partir de cet instant, plus qu'une marionnette obéissant aux ordres donnés par Kuchiki Byakuya.

_ Réponds !

Le ton autoritaire employé envoya un frisson droit dans le bas ventre du jeune homme ce qui ne fit qu'accentuer son inconfort et son étroitesse dans son pantalon.

_ Oui...

_ Bien. Me sens-tu derrière toi ? Me sens-tu me frotter contre tes fesses nues ? Tu le sens n'est-ce pas ?

Pour toute réponse le rouquin poussa un léger gémissement. En effet il pouvait très bien imaginer Byakuya se frotter contre lui, ses mains toujours occupées à caresser lentement sa verge. Il avait chaud. Trop chaud. Son bas ventre était en feu et la tension dans son corps ne demandait qu'à sortir. Byakuya n'en avait cependant pas fini avec lui et Ichigo dû avouer que ce jeu lui plaisait vraiment beaucoup.

_ Mes mains quittent ton sexe et viennent sur tes fesses. Tu me sens dur contre toi. Tu as de plus en plus envie que je te prenne ici, contre cette table. Que je te fasse gémir et crier de plaisir.

Le souffle du professeur toujours présent contre l'oreille du rouquin le rendait complètement dingue. Il bandait maintenant comme un fou et il avait réellement l'impression de sentir les mains du noble sur lui, de sentir son sexe dur contre ses fesses. Cependant il voyait toujours le peu de peau que laissait passer le manteau et la chemise de l'homme. Ichigo pouvait voir le torse musclé de son professeur caché derrière sa couche de vêtement. Cela avait quelque chose d'absolument excitant, de sentir l'homme de partout sur lui, d'avoir la sensation de ses mains sur son corps mais également sentir le souffle chaud et légèrement musqué contre son oreille et son cou. Pourtant Ichigo était également totalement frustré. Il avait envie de plus, de beaucoup plus.

_ Tu me sens introduire un doigt en toi. Lentement. Je joue avec ton corps Ichigo.

Le jeune homme se cambra légèrement, essayant d'avoir plus grâce à ce doigt imaginaire qui jouait dans son antre. Il se sentait délicieusement frustré mais il ne pouvait s'empêcher d'apprécier bien plus que de raison cette caresse onirique.

_ Est-ce que tu aimes Ichigo ? Tu aimes ce que mon doigt fait à l'intérieur de toi ?

_ O... Oui...

Il ne lui était même pas venu à l'idée de ne pas répondre. Byakuya l'avait totalement à sa merci.

_ J'introduis un autre doigt en toi. J'écarte doucement tes chaires, je veux te préparer à me recevoir.

Un gémissement particulièrement érotique s'échappa de la bouche d'Ichigo. Gémissement qui ne fit qu'augmenter l'excitation de Byakuya. Ce dernier ne pouvait pas nier que ce jeu était en train de devenir la chose la plus érotique de sa vie. Il était affreusement excité par le corps alangui qui se tenait sous lui et les sons qui sortait de la bouche du rouquin ne faisait que l'exciter encore plus. Son sexe le tiraillait doucement, lui rappelant qu'il n'était qu'un homme et que de voir Ichigo de cette manière était l'une des choses les plus belles et les plus excitante qui lui avait été donné de voir. Dans sa tête les images qu'il décrivait était à couper le souffle et cela aurait été mentir de dire qu'il n'avait pas envie de prendre le rouquin sur le champs. Cependant ce dernier l'avait mis hors de lui avec ses allégations concernant Yumichika Ayasegawa et savoir également que Grimmjow avait posé ses sales pattes sur son rouquin le rendait fou de rage. Alors Byakuya était bien décidé à se venger, se venger de la plus délicieuse des façons.

Le noble se voyait donc parfaitement jouer avec l'anneau de chaire de son étudiant, le rendre pantelant et enfin le posséder avec passion, sensualité et une touche de violence. Il put voir le corps du jeune homme se cambrer encore plus à ses paroles. Il savait que les joues de son étudiant étaient rouge de gêne, de désir et également de plaisir coupable face à ce jeu bien trop excitant. Il avait hâte de les voir rougir de plaisir sous ses vrais coup de reins. Byakuya se passa la langue sur les lèvres et dégluti difficilement. Il avait chaud, ses joues étaient également légèrement rouge et son sexe dans son pantalon était plus dur que jamais. Cependant il continua sur sa lancé.

_ Je cherche un point sensible en toi qui te fera voir des étoiles. Je compte bien te faire hurler de plaisir. Tu vas oublier les mains de Jaggerjack simplement grâce à mes doigts. Mes doigts qui font des mouvements de ciseau en toi afin de te préparer au mieux à ce qui va suivre. Je compte bien te baiser tu m'entends Ichigo ? Je vais te posséder tellement fort, tellement violemment que tu en redemanderas toujours plus.

Un autre gémissement sorti de la bouche du rouquin. Un gémissement bien plus fort et bien plus érotique. Byakuya aurait pu le classer dans la catégorie gémissement d'acteur porno. Putain ce gosse allait le tuer de désir.

Ichigo quant à lui se cambra violemment. Il pouvait sentir les doigts de Kuchiki jouer à l'intérieur de lui. Il pouvait sentir ces deux petits membres écarter délicieusement ses parois interne. Frottant intensément contre ses chaires. De plus le jeune homme pouvait toujours sentir une des mains de Byakuya jouer avec son sexe. Faisant de lent et très frustrant va et viens. Le menant peu à peu vers les portes du paradis. Cela combiné aux doigts jouant avec ses fesses, le jeune homme sentait qu'il allait bientôt venir. Cependant l'homme semblait avoir lu dans son esprit et ce qui arriva ensuite fit presque pleurer de frustration Ichigo.

_ Ma main sur ton sexe remonte sur tes hanches et j'enlève mes doigts qui son en toi. Je caresse ton dos, tes hanches, tes fesses.

Le rouquin gigota comme pour montrer à l'homme qu'il voulait qu'il continu ses caresses imaginaires. Le rire de Byakuya retenti dans ses oreilles et se répercuta dans tout son corps. Cela eu pour résultat de faire gémir bruyamment Ichigo et le noble le remarqua. Un sourire diabolique se dessina sur ses lèvres.

_ Je sais que tu es excité Ichigo. Tu bandes n'est-ce pas ?

Le rouquin avait ouvert les yeux et mordit sa lèvre. C'était gênant.

_ Réponds-moi Ichigo.

_ Oui...

_ Oui quoi ?

Putain d'enfoiré. Il était bien décidé à lui faire payer ses paroles apparemment.

_ Oui je... Je bande.

Un autre rire profond se fit entendre et Ichigo ferma fortement les yeux. Ce mec était une pilule de viagra.

_ Veux-tu que je continue ce que j'étais en train de faire ?

_ Ou... Ouais...

Byakuya eut un sourire satisfait. Il voulait qu'il continue ? Parfait ! Il allait s'en donner à cœur joie.

_ Mes mains redescendent sur tes fesses, les massent, les caressent doucement. Deux de mes doigts retournent jouer entre tes fesses. Tu les sens jouer avec ton anneau de chaire n'est-ce pas ? Tu les sens te masser à cet endroit si sensible sans jamais entrer en toi ? Ils te torturent, te provoquent sans jamais accéder à ta demande.

Ichigo bougeait ses hanches comme pour chercher plus de contact. Il ne retenait plus les soupires qui s'échappaient de sa bouche et son sexe tendu était maintenant douloureux. Il voulait tellement plus qu'il était à deux doigts de supplier son professeur, mais il avait tout de même une fierté et elle lui interdisait d'agir de la sorte.

_ Je rentre mes doigts en toi et viens directement frapper contre cette boule de nerfs si érogène. Je la caresse sans relâche. Je veux t'entendre gémir Ichigo.

Ichigo imaginait parfaitement les doigts de l'homme venir caresser sa prostate et cela le fit bruyamment gémir. Un millier de petite décharge se propagèrent dans son corps et un frisson incontrôlable le parcouru. Les soupires qu'il poussait les excitaient l'un comme l'autre et Byakuya dû se retenir de ne pas sauter sur son étudiant ou simplement de ne pas le sauter tout court.

_ Je sais que tu es prêt Ichigo. Je le sens ton sexe est humide sous mes mains. Tu as envie que j'entre en toi n'est-ce pas ?

Ô oui il en avait envie. Il en avait même très très envie là tout de suite. Il n'attendait même que ça pour tout dire. Il déglutit difficilement et un petit couinement sortit de sa bouche quand il sentit les cheveux du noble bouger sur sa joue, son souffle vint encore plus près de son oreille frôlant délicieusement sa nuque. Il aurait tout donné pour que Byakuya l'embrasse, pour qu'il pose réellement ses mains sur lui. Il était tellement frustré. Pourtant il imaginait parfaitement le plaisir que Kuchiki pouvait lui procurer. Il ne bougeait cependant pas, il acceptait volontiers la punition que lui infligeait l'homme pour avoir été insolent.

_ Réponds... Réponds Ichigo.

_ Oui... Oui S'il vous plais...

Ichigo pouvait sentir le sourire de l'homme. Il pouvait sentir qu'au moment où ces quelques mots avaient franchis la barrière de sa bouche, Byakuya avait gagné.

_ Tu me sens avancé en toi, écarté doucement tes parois. Tu es serré autour de moi. Je te rempli délicieusement, je t'étire totalement.

_ Putain...

_ Ne jure pas Ichigo... Je pourrais arrêter ici.

Ichigo poussa un gémissement de protestation que fit rire une nouvelle fois Byakuya. Ichigo était totalement à sa merci et c'était très jubilatoire.

_ Tu ne veux pas que j'arrête n'est-ce pas ?

_ Non... Non je ne veux pas...

_ Bien...

C'était décidé Ichigo n'avait plus aucun dignité à cet instant.

_ Mes hanches bougent doucement, à chacun de mes mouvements tu sens que je t'emplis de plus en plus, que je prends possession de ton corps d'abord lentement mais tu sais aussi bien que moi que ça ne va pas durer n'est-ce pas ? J'ai bien trop envie de te baiser et tu as bien trop envie que je te baise pour que je continue avec un rythme aussi lent.

Le jeune homme gémissait doucement. Le plaisir qu'il imaginait n'était pas aussi puissant que lors de l'acte mais il pouvait définitivement sentir qu'il allait devenir totalement fou de désir, de frustration mais également de plaisir coupable.

_ Je touche brutalement ta prostate et je te pilonne maintenant avec violence. Me sens-tu entrer et sortir en toi avec brutalité ? Sens-tu mes coups de reins ?

_ Oui... Hmm...

Ichigo se mordait violemment les lèvres. Il respirait fort et il pouvait aussi sentir que Byakuya n'était pas totalement hermétique à ce qu'il racontait. Il était également excité et cela regonfla un peu la dignité du rouquin.

_ Tu sens mon sexe frotter délicieusement contre tes parois et mes mains aller et venir rapidement sur ton sexe ? Tu sens comme je t'écartèle ?

_ Ah... Oui...

Ichigo en voulait beaucoup plus, il voulait sentir l'homme en lui. Cependant il savait que c'était chose impossible. Son sexe lui faisait mal et il avait besoin d'être soulager de toute cette tension dans son corps pour ne pas exploser de frustration. Byakuya allait le faire mourir de désir.

_ Je ralentit un peu le rythme. Je veux te faire languir. Je ne laisse cependant aucun répit à ta prostate Ichigo. Je pilonne ton cul et tu en redemandes.

_ Hmm...

_ J'arrête tout mouvements. Je reste juste profondément enfoncer en toi. Mes mains on stopper tout mouvement elle aussi. Dis-moi Ichigo ? Ma première leçon sur les bonnes manières est-elle agréable ?

_ Pu... Putain !

_ Je t'ai dis de ne pas jurer. Réponds seulement à ma question.

Ichigo allait le tuer. Il allait d'abord le violer, se faire violer puis ensuite il allait le torturer et le tuer.

_ Oui !

_ Que veux-tu Ichigo ? Dis-moi ce que tu veux.

_ Continuez...

_ Je n'ai pas bien entendu... Répètes.

Putain d'enfoiré de merde... Il l'humiliait totalement là ! Mais bon il l'avait bien cherché et c'était vraiment très érotique.

_ Continuez !

_ Je veux que tu dises mon prénom Ichigo.

_ Bya... Kuya... Byakuya...

_ J'aime la façon que tu as de prononcer mon prénom... C'est très excitant...

Ichigo voulait jouir. Il souffrait le martyr et Byakuya jouait avec lui comme on jouait avec une poupée.

_ Mes mouvements reprennent avec encore plus d'intensité. Je te baise avec ferveur. Mes hanches claquent contre tes fesses. Mes mains reprennent leur activité sur ton sexe et tu sens que tu vas bientôt venir. Le plaisir grimpe en toi rapidement, au rythme de mes coups de reins endiablés. Je maltraite ta prostate et je sens tes parois se resserrer autour de mon sexe. Maintenant je veux que tu sois très attentif à ce que je vais te dire. Quand je te baiserai en vrais je vais te laisser pantelant. Il te sera impossible de te relever après ça, mais je m'enfoncerait encore en toi, dans ta bouche, dans ton cul accueillant. Ton corps m'appartient et je compte bien te le montrer encore et encore. Je compte te baiser de toutes les façon possible et inimaginable, sur toute les surfaces de ton appartement et de ma maison. J'espère que tu es prêt parce que tu n'auras aucun répit et tu en redemanderas. As-tu envie que je te baise de cette façon Ichigo ?

_ Ouiii !

Dans un gémissement plus bruyant que les autres Ichigo jouit. Il jouit après les paroles prononcées par son professeur. Paroles ô combien prometteuses.

Le rouquin était alangui contre la table, il avait baissé la tête de honte et de gêne, son front reposait donc maintenant sur la table. Il avait le souffle court, les joues rouges et ses yeux était indubitablement clos. Il ne voulait pas regarder Kuchiki. Il en était incapable. Pourtant l'homme passa une main sous son menton et lui releva la tête afin que leurs regards se captent. Le noble était à la même hauteur que le rouquin, leurs visages étaient très proche l'un de l'autre et Ichigo pouvait y voir un désir infinie. Les joues de l'homme étaient également rouge, il semblait avoir chaud et son corps était tendu par le désir. Pendant plusieurs minutes ils se regardèrent, leurs yeux ne se lâchaient pas, échangeant des paroles silencieuses pleines de promesses. Pourtant Byakuya coupa le silence qui s'était imposé, les lèvres proche de celle du rouquin sans pour autant les toucher, encore.

_ Malgré tout cela, je vais également te faire l'amour Ichigo. Aimer ton corps comme personne ne l'a jamais fait. Je vais te montrer que tu n'as pas besoin de céder aux avances de n'importe quel homme. Je vais te montrer que tu es beau, désirable, et que tu n'as rien à envier à personne. Je vais aimer chaque parcelle de ta peau, chaque membre de ton corps. Je vais te faire l'amour comme jamais je n'ai fais l'amour, parce que je veux que tu saches à quel point tu es spécial pour moi. Je vais flatter ton corps parce que tu mérites d'être aimer de cette manière.

Sur ces paroles qui laissèrent Ichigo sans voix, l'homme se redressa regardant toujours le rouquin. Puis lentement contourna la table où ce dernier était toujours lamentablement avachis. Il suivait cependant Byakuya du regard. Les yeux du noble se firent moins doux, plus dominateur et plus coléreux.

_ Je ne pense pas avoir besoin de préciser qui a une longueur d'avance.

L'homme tourna les talons et se dirigea droit vers la porte d'entrée de l'appartement du rouquin, posa sa main droite sur la poignet de porte puis stoppa ses mouvements et se retourna pour regarder Ichigo qui venait de se redresser. Le jeune homme le regardait comme s'il le voyait pour la première fois, les joues rouge, de légère gouttes de sueur sur le front. Il essayait lamentablement de cacher la tâche sombre qui s'était formée au niveau de son entrejambe mais Byakuya le vit et lui adressa un sourire victorieux. Avec une voix plus que sensuelle et un petit regard provocateur l'homme mit fin à leur échange.

_ Oyasumi Ichigo.

Kuchiki tourna les talons et sorti de l'appartement. La porte se referma derrière lui et Ichigo se retrouva totalement seul. Seul et totalement frustré. Oh oui, il allait finir par violer ce mec.

Le jeune homme alla lentement dans sa salle de bain. Il alluma la lumière et se retrouva face à son reflet dans le miroir. Ses joues étaient encore rouge, ses lèvres étaient gonflées du fait d'avoir trop été mordue, ses cheveux étaient encore plus décoiffés qu'à l'accoutumé et ses pupilles étaient encore totalement dilatées. Quand Ichigo baissa les yeux sur son pantalon il pu effectivement voir une tâche bien plus sombre recouvrir légèrement l'avant de son jean. Putain il était vraiment pitoyable. Le jeune homme enleva son t-shirt, puis ouvrir la fermeture éclaire de son pantalon en le fit descendre, ainsi que son caleçon, le long de ses jambes. Une fois nu, Ichigo se dirigea vers sa douche, alluma l'eau chaude et se glissa dessous. L'eau détendit ses muscles, enleva toutes trace de transpiration et de sperme qui restaient sur son corps et ses cheveux s'humidifièrent pour finir totalement trempés. Le rouquin jeta sa tête en arrière afin de faire couler l'eau chaude sur son visage. Il était totalement détendu. Cependant une frustration sans nom grimpait peu à peu dans son corps. Malgré le fait qu'il ait jouit il se sentait totalement insatisfait. Une tension insupportable submergeait son bas ventre. Il fallait qu'il se concentre sur autre chose que sur cette tension grandissante mais c'était tout bonnement impossible. Byakuya avait laissé le son de sa voix profondément ancré en lui, dans sa tête et dans son corps. Il pouvait encore entendre le son profond de sa voix, le son délicieux de son rire grave et légèrement rauque, il pouvait aussi encore sentir la douce caresse de ses cheveux sur ses joues et son souffle venir se heurter dans ses cheveux, sur sa nuque et sur son cou. Et ses paroles... Des paroles excitantes, érotiques qu'Ichigo était certain de ne pas pouvoir effacer de sa mémoire avant des années. Byakuya lui avait laissé beaucoup trop de souvenir auxquels repenser pour qu'il puisse se concentrer sur autre chose. Résultat sa frustration n'avait fait qu'augmenté et le rouquin se retrouvait donc pantelant, une tension inqualifiable dans le corps et une nouvelle érection qui ne tarda pas à prendre véritablement en main cette fois.

Les allés retours qu'il faisait sur son sexe étaient rapide et vif. Ichigo n'avait qu'une seule envie, se libérer un temps soit peu de cette frustration. Alors il se masturbait rapidement repensant aux paroles provocatrice de son professeur. Il voulait le baiser ? Oh oui ! Il n'attendait que ça ! Il se voyait alanguit sous le corps musclé et souple de Byakuya et il s'imaginait en train de hurler son plaisir. L'homme lui défonçait littéralement le derrière et ses mains étaient sur sa queue maintenant douloureusement tendue. Le souffle du rouquin était erratique et il sentait qu'il n'allait pas tarder à venir.

« Tu as envie que je rentre en toi n'est-ce pas ? »

La main du rouquin accéléra encore un peu. Oh putain oui qu'il en avait envie !

« Tu es serré autour de moi. Je te rempli délicieusement, je t'étire totalement. »

Oh bordel ! Il sentait doucement l'orgasme arriver, la tension dans son bas ventre avait grimpé encore quelque marche. Sa main faisait maintenant des mouvements brusques et son autre main caressait doucement ses tétons durcis.

« je te pilonne maintenant avec violence. »

Oui !

« Je te baise avec ferveur. »

Il allait venir. Ses testicules devinrent lourdes et il se cambra légèrement, bougeant à présent ses hanches au même rythme que les allés et venus qu'exerçaient ses mains sur sa hampe tendue.

« Aimer ton corps comme personne ne l'a jamais fait. »

Ah ! Il y était presque ! Byakuya était à présent sur lui, leurs corps bougeaient en symbiose. Une danse lente, sensuelle, érotique. La chaleur grimpa brusquement dans le corps du rouquin mais également dans la pièce.

« Je vais te faire l'amour comme jamais je n'ai fais l'amour, parce que je veux que tu saches à quel point tu es spécial pour moi. »

Ichigo jouit dans un gémissement bruyant. Sa semence se répandait par petits jets dans sa mains et dans le siphon de la douche. Sa tête était rejetée en arrière, sa bouche légèrement entrouverte laissait échapper un souffle chaud et saccadé, ses yeux étaient hermétiquement clos. La tension dans son corps était légèrement redescendue mais il se sentait toujours totalement frustrer. Ichigo avait vraiment envie de faire l'amour. Enfin il avait plutôt réellement envie que Byakuya revienne et lui face l'amour. Ce mec était tellement excitant...

Le jeune homme secoua la tête. Il devait garder les idées claires et trouver un moyen de se venger, ou de faire craquer Kuchiki. Ichigo coupa l'eau après avoir fait partir les dernières traces de sa jouissance et s'être savonné énergiquement. Le rouquin sorti de la douche et enroula ses hanches dans une serviette. Après avoir regarder une nouvelle fois son reflet dans le miroir il put une constater qu'il était un peu plus présentable mais ses joues étaient tout de même rouge. Saloperie de Kuchiki Byakuya. C'est en pestant contre l'homme que l'étudiant sorti de la salle de bain et se dirigea vers sa penderie pour y sortir un caleçon. Il avait bien trop chaud pour mettre autre chose de toute façon. Une fois le fin tissu enfilé le jeune homme prit son téléphone et se glissa sous sa couette. Il ne pouvait pas regarder sa table sans avoir des images de lui étendu dessus et c'était bien trop gênant pour le moment.

Ichigo avait la tête posée sur son oreiller, ses cheveux formaient une auréole rousse autour de sa tête et ses joues rougies lui donnait un air totalement craquant.

Cependant Ichigo ne pensait pas à l'air qu'il abordait mais plutôt aux paroles de son professeur. Les choses qu'il lui avait dit en le regardant dans les yeux. Il avait été sérieux et il lui avait retourné le cœur. Jamais personne ne lui avait dit de telle choses, personne n'avait prit la peine de lui montrer cela et Ichigo avait donc du mal à croire en lui. Malgré ce qu'il pouvait montrer, il n'était pas vraiment sûr de lui et il se cachait derrière son sarcasme et son tempérament de feu. Cependant avait su voir à travers lui et c'était également un peu sa propre faute. Il lui avait dit, lors de leurs nombreuses conversations, tout ce qu'il pensait et ressentait. Ichigo se sentait perdu. Devait-il penser que Byakuya voulait plus avec lui qu'une simple aventure ? Il lui avait qu'il était spécial pour lui, qu'il le trouvait beau, désirable. Les joues du rouquin se colorèrent de plaisir. Kuchiki était quelqu'un de surprenant, d'incroyablement excitant et érotique, d'insaisissable, d'orgueilleux et de légèrement nombriliste et autoritaire, mais il émanait de lui une incroyable gentillesse, une douceur et une sensation de confort et de protection qui laissait Ichigo sans voix. Il l'aimait vraiment.

Le jeune homme saisit son oreiller et se le plaqua sur le visage violemment. Il devenait totalement stupide ou quoi ? Il réagissait comme une fille ! Comme une fille totalement amoureuse et totalement niaise en plus de ça ! Il devait se ressaisir bordel ! Il ne pouvait pas agir de la sorte, pas après ce qu'il venait de se passer. Il ne s'agissait pas d'une scène d'amour de shojo manga ! Loin de là même ! Vraiment il était vraiment un abrutis par moment... Avant que le jeune homme n'est pu aller plus loin dans ses réflexions la sonnerie de son téléphone annonçant un message retentit dans l'obscurité de son appartement. Ichigo se leva donc en pestant. Il était fatigué, frustré et il avait envie de dormir pour oublier tout cela alors il avait pas envie de se faire déranger maintenant qu'il était enfin posé dans son lit. Quand il trouva son téléphone il alluma l'écran et le nom qui s'affichait lui fit monter un bouffé de chaleur. Byakuya. Il hésitait à ouvrir le message mais la tentation était vraiment trop grande. Alors le rouquin se dirigea dans son lit, se remit sous la couette et une fois installé il ouvrit le message.

Comment te sens-tu Ichigo ?

Très bien. Il allait le faire souffrir, le torturer et le violer puis le tuer. Ce mec se foutait littéralement de sa gueule à ce moment et il en était sûr. Personne n'aurait pu lui faire croire le contraire.

Vous êtes un véritable salop.

Il ne trouvait rien d'autre à dire. Il le pensait vraiment à ce moment. Byakuya l'avait tellement excité qu'il en avait jouit comme un putain de puceau. Il n'avait pas posé la main sur lui, ne l'avait pas touché ne serait-ce qu'une seule fois et Ichigo était certain qu'il savait exactement dans quel état il allait être après son départ et maintenant il revenait à la charge ?Ce mec était un parfait enfoiré quand il voulait. La sonnerie de son téléphone se fit de nouveau entendre et le rouquin ouvrit le message immédiatement.

Quelque chose ne va pas Ichigo ?

Putain il le faisait vraiment exprès.

Vous le savez très bien ! Arrêtez de faire l'innocent !

La réponse ne se fit pas attendre et Ichigo eut envie d'aller lui arracher la tête.

Tu es frustrer n'est-ce pas ? Tu aurais voulu que je te touche ?

Arrêtez ça ! C'est de la pure torture ce que vous faites !

Ichigo envoya valdinguer son coussin à travers la petite pièce. Kuchiki pouvait également être un bourreau de choque quand il voulait.

Je pense que tu as compris la leçon n'est-ce pas ? Je t'avais avertis de ne pas me provoquer et tu as quand même voulu jouer avec le feu. Maintenant assume. Assume le fais d'être totalement frustrer et d'avoir envie de beaucoup plus que ce que je t'ai donné. N'as-tu pas compris le but de tout cela ? Je vais donc t'expliquer. Outre le fait de te montrer qu'effectivement personne n'a d'avance sur moi, je te fais me désirer tellement fort que tu ne veux personne d'autre que moi. Je te fais donc ressentir ce que je ressens. Je ne veux personne d'autre que toi et je suis bien déterminé à t'avoir. Personne ne se mettra sur mon chemin.

Byakuya le rendait fou. Pas seulement fou de désir parce qu'à ce niveau là ce n'était même plus du désir qu'il ressentait pour lui, c'était carrément de la dépendance. Mais il le rendait également fou d'amour. C'était stupide et totalement nian nian, pourtant c'est ce que lui provoquait ce message. Le jeune homme c'était radoucis immédiatement et relu le message. Byakuya disait ne vouloir que lui, qu'il était déterminé à l'avoir et qu'il voulait qu'il ressente la même chose à son égard. Il ne ressentait pas la même chose, lui il en était totalement amoureux et ça il ne pouvait pas lui dire. Il ne voulait pas risquer de tout mettre en l'air avant même d'avoir commencé quoique ce soit. Après avoir soufflé un bon coup, et avoir calmé les battements irrégulier de son cœur, qui était devenu apparemment fleur bleue entre le moment où il avait rencontré Byakuya pour la première fois et maintenant, Ichigo répondit à l'homme.

Je suis totalement frustré et insatisfait. J'ai tellement envie de vous que ça fait mal. Vous n'avez pas besoin de faire tout ça. Vous m'avez déjà.

Sans réfléchir une seconde de plus le jeune homme envoya le message. Puis prenant compte de ce qu'il avait envoyé, le rouquin se gifla mentalement. Qu'est-ce qui ne tournait pas rond chez lui au juste ? Il ne pouvait pas faire plus débile comme réponse ! Sérieusement parfois il méritait des claques. Il avait envoyé la réponse la plus niaise de toute la planète et à présent il ne voulait qu'une chose se planquer dans un trou et ne plus en sortir. Une nouvelle sonnerie retentit et Ichigo ouvrit le message avec hésitation.

Ichigo ne me dis pas de telles choses...

Ichigo ne comprenait pas pourquoi il lui disait une chose pareille. Il pensait, au contraire, que l'homme allait se saisir de cette opportunité pour le frustrer encore plus ou bien, connaissant Byakuya, se vanter d'avoir réussi à l'avoir sans rien faire. Alors le rouquin fronça les sourcils et essaya de comprendre pourquoi. Cependant aucune réponse ne lui venait en tête, soit à cause de la fatigue, soit à dû au fait qu'il soit stupide, il omettait quelques réticences sur se point, ou alors il n'en avait réellement aucune idée. C'est donc pour cela qu'il demanda un éclaircissement au noble.

En fait, c'est à cause de vous j'en suis sûr, je ne comprends pas vraiment ce que vous voulez dire par là.

Il envoya ensuite son message, posa son téléphone et se releva d'un bond. Ichigo avait trop chaud maintenant, alors il prit un verre d'eau et regarda l'heure, il était près d'une heure du matin et la fatigue de la journée passé commençait à se faire sentir sur son corps. Le matin Byakuya était venu chez lui, ils avaient parlé, mis les choses au clair, puis l'homme avait fait battre son cœur à une vitesse folle en lui confirmant qu'il comptait tenir sa promesse. Ensuite Yumichika était venu et ils étaient tout les deux allés au dojo avec Renji et Madarame pour des combats, certes libérateurs mais également fatiguant et légèrement douloureux, sa rencontre avec les deux autres professeurs. Il préférait mettre ça de côté, ce n'était même pas la peine d'en parler... Jaggerjack était juste dur de la feuille et Ulquiorra avait bien du courage. Et puis le dîner de famille, joyeux, fortement bienvenue et nécessaire pour Ichigo mais également fortement fatiguant. Merci le vieux. L'ennuie au gala de danse mais le bonheur de voir sa sœur heureuse, le yoyo des émotions... Et pour finir... Cette chose qui venait de se passer... Il ne savait pas comment la qualifier mais il était sûr d'une chose. Il voulait recommencer, et cette fois il voulait vraiment que l'homme le touche. La frustration qu'il ressentait était bien trop grande pour qu'il n'aille pas plus loin la prochaine fois. Donc effectivement sa journée avait été des plus fatigantes. Il avait les paupières lourdes et son corps commençait à devenir légèrement plus lourd également, comme si ses muscles et ses os arrivaient à leur limite. Le jeune homme retourna donc se coucher et son téléphone sonna une nouvelle fois.

Ne me dis pas de telles choses parce que j'ai vraiment envie de venir te voir là tout de suite, et je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Si je viens te voir je ne serais pas capable de résister à l'envie de te toucher après que tu m'ait dis une chose pareille.

Même fatigué le rouquin voulu courir le voir. Cependant il se reprit. Il avait tellement envie d'être dans les bras de Byakuya à cet instant qu'il se mordit la lèvre pour résister à l'envie de lui demander de venir. De toute façon il était sur d'avoir un refus.

J'ai envie de vous voir. Mais ce n'est effectivement pas une bonne idée, je suis tellement frustrer que vous voir sans pouvoir vous toucher m'achèverait littéralement. Je ne comprends pas pourquoi vous refusez d'ailleurs de poser vos mains sur moi...

Ichigo envoya son message et ferma les yeux. Il avait réellement besoin de dormir. Il était totalement épuisé et son corps refusait pratiquement de lui obéir. Si Byakuya ne se dépêchait pas de lui répondre il allait s'endormir. Le jeune homme sursauta violemment qu'en son téléphone vibra à côté de son oreille.

Je ne pense pas que tu sois le seul à penser ça. Je crève d'envie de te toucher mais je ne peux pas. Je ne peux pas car je suis ton professeur et que je ne veux pas mettre en péril tes études et mon travail. Pourtant je meurs d'envie de te toucher et de t'embrasser à chaque fois que je te vois. Se soir a été très dur pour moi également. Tu es frustrer et je le suis aussi.

Putain d'homme d'éthique.

Je pense que nous sommes assez intelligent pour être discret. Vous me rendez totalement dingue vous êtes au courant au moins ? Je n'en peux plus il faut que je dorme parce que mon corps ne répond plus et malgré ça j'ai envie de courir pour venir vous voir. Je vous souhaite une bonne nuit et à demain je l'espère.

Ichigo éteignit ensuite son portable, le posa à côté de sa tête et ferma les yeux. Heureusement que le lendemain était un dimanche, il allait pouvoir faire une grâce matinée bien méritée. Deux minutes plus tard la pièce était plongée dans le silence et le rouquin dormait déjà profondément.

À quelque kilomètre de là, Yumichika Ayasegawa était lui aussi étendu dans son lit et discutait avec son professeur sur les réseaux sociaux. Cela faisait plus de deux heures qu'ils se parlaient et le jeune homme avait pourtant l'impression de ne rien savoir sur le blond. À chaque fois que le brun posait une question Hirako lui répondait évasivement, comme s'il voulait lui cacher quelque chose ou bien rester flou. Le jeune étudiant avait tout de même obtenue quelque réponse et il savait à présent que l'homme avait une petite sœur de 16 ans et qui répondait au nom de Hiyori, que ses parents étaient décédés et qu'il avait dû s'occuper tout seul de « la morveuse » comme il l'avait appelé. Yumichika savait également que l'homme aimait les abricots mais préférait les pêches, que son plat préféré était les Yakitoris et qu'il aimait le jaune. Il savait aussi que l'homme aimait la musique, qu'il jouait lui-même du piano et qu'il adorait le rock old-school. Le jeune homme n'avait rien appris sur les relations de l'homme car ce dernier restait toujours très vague sur le sujet. Yumichika était donc autant perdu qu'au début.

Le brun se leva de son lit afin de prendre un verre d'eau. Shinji l'allumait comme un dingue et le jeune homme essayait de rester le plus lointain possible. Il ne voulait pas laisser savoir à cet homme qu'il lui donnait des bouffé de chaleur. Dans son dernier message le professeur lui avait clairement dit qu'il voulait goûter toutes les parties de son corps sans en oublier aucune. Yumichika ne savait plus sur quel pied danser avec le blond. L'homme restait évasif sur sa vie sentimentale, il ne savait rien, il ignorait si Shinji avait quelqu'un dans sa vie, ou bien s'il désirait quelque chose de sérieux ou l'inverse. Cependant il ne se privait pas pour lui envoyer des messages chauds et aguicheurs qui ne faisaient que troubler encore plus le pauvre Yumichika. Le jeune homme se sentait totalement faible devant son professeur. Il l'avait entraîné dans ce jeu de séduction stupide et maintenant il s'en mordait les doigts. Il s'en mordait les doigts pour une seule et bonne raison. Il était fou amoureux de Hirako Shinji.

Le professeur lui avait posé de nombreuses questions lui aussi. L'homme l'avait questionné sur sa famille, ses amis, sa vie intime, ses relations, ses cours, ses choix concernant son futur, tout y était passé, absolument tout. Et Yumichika lui avait tout dit, il n'avait même pas résisté une seule seconde et il avait raconté toute sa vie à Shinji. L'homme s'était attardé sur tout les points, s'intéressant réellement à ce que lui racontait le jeune homme, avec un intérêt tout particulier pour les précédentes relations du brun et son amitié toute particulière avec Ichigo. Pour la première fois depuis qu'ils se parlaient, Yumichika avait pu sentir l'homme légèrement inquiet par rapport au lien qui l'unissait au rouquin et cela gonfla le cœur du brun. Peut-être que l'homme faisait preuve de jalousie... C'était un bon point à creuser et à exploiter.

L'étudiant retourna dans son lit après un rapide passage aux toilette et se plaça sous les couvertures. Shinji lui avait renvoyé un message. Il lui disait à présent qu'il avait envie de plonger en lui tendrement, ce à quoi Yumichika répondit avec assez de retenu qu'il l'attendait mais qu'il ne le pensait pas réellement capable de faire cela, puisque après tout le fait qu'il refuse de lui en dire plus sur ses relations précédentes voulait peut-être dire qu'il n'en avait pas eu ou bien qu'il n'était peut-être pas assez doué avec ses partenaires pour avoir quoique ce soit à raconter. Le jeune homme soupira. Il se doutait bien que ce n'était pas ça, il suffisait de regarder l'homme pour se douter qu'il était plus que doué. Cependant il s'était dit que peut-être la provocation était une bonne manière d'obtenir des réponses. Les trois petits points dans la fenêtre de chat montrait que l'homme était en train d'écrire. Yumichika se mordit la lèvre. Il en avait mare de ce petit jeu, de cette séduction qu'il savait vaine et inutile. Il se doutait bien que l'homme ne faisait que se jouer de lui mais il n'arrivait pas à s'empêcher de lui parler, de lui répondre et de répondre à ses provocations. Pourtant il sentait que cette fois ça allait être différent. Il avait l'impression d'avoir réussi à faire tiquer son professeur et il angoissait un peu de la réponse qui allait suivre. Réponse qui arriva bien vite et qui confirma ce que Yumichika pensait.

Si je ne te dis rien mon petit Yumi c'est parce que j'attends que tu me demandes clairement ce que tu as envie de me demander depuis le début. Tes tentatives déguiser pour en savoir plus sont inutile parce que je t'ai percé à jour. Quand tu me demanderas clairement ce que tu veux je te répondrais clairement aussi. Et n'imagine pas que je n'en sois pas capable, je peux te faire hurler de plaisir sois en sûr. J'ai un piercing sur la lange, le savais-tu ? Je sais très bien m'en servir en plus de ça... J'ai très envie de te faire l'amour, depuis la première fois où je t'ai vu d'ailleurs. Cette fois la pendant le discourt chiant au possible de Yama-jii. Cette fois là j'ai eu envie de te prendre dans n'importe quelle pièce de cette fac, mais maintenant j'ai envie de te faire l'amour alors ne me provoque pas. Je n'ai pas assez d'éthique pour ne pas obéir à mes envies. Je suis quelqu'un d'épicurien, je vie comme je l'entends et j'apprécie tout les plaisirs de la vie, notamment les plaisirs de la chaire et crois mais j'ai très envie de m'adonner aux plaisirs de ta chaire.

Dans un appartement chic au dernier étage d'une des plus grandes tours de Karakura, Grimmjow Jaggerjack faisait les cents pas. Il ne comprenait rien. Enfin plus rien pour être tout à fait exact.

Quelques heures plus tôt quand Ulquiorra et lui étaient sorti du dojo son meilleur ami l'avait amené chez lui sans aucunes paroles, ils étaient montés dans l'appartement d'Ulquiorra et sans attendre l'homme aux cheveux noir s'était dirigé dans sa salle de bain. Grimmjow était resté là comme deux ronds deux flans, les bras ballent le long de son corps. Alors il avait pris l'initiative de rentrer de lui-même chez son meilleur ami et s'était dirigé dans le salon. Il entendait la douche coulé et son esprit lubrique avait tout de suite imaginé Ulquiorra dessous. Le corps élancé et fin nu sous l'eau chaude, les grandes et fines mains se baladant sur ce corps afin de le savonner et de faire partir toutes traces et toutes odeurs de transpiration. Grimmjow avait ensuite imaginé rejoindre l'homme et l'aider à se laver. Bien sur ils n'auraient pas fait que cela mais ses pensées furent coupées par le retour d'Ulquiorra qui avait vêtu des vêtements noir, pour changer, et qui le regardait avec une colère non dissimulée. Sans lui adresser la parole Shiffer s'était dirigé dans sa cuisine et s'était servit une bière puis en avait tout de même apporté une à son ami. Jaggerjack l'avait fixé en attendant qu'il commence à lui dire ce qu'il lui reprochait mais l'homme gardait la bouche close. Seul ses sourcils froncés montraient qu'il était en colère. Grimmjow le savait, un Ulquiorra énervé était l'une des choses les plus effrayante qu'il pouvait se passer. Une des plus effrayante mais également l'une des plus belles. Quand Shiffer se mettait en colère ses yeux brillaient d'une lueur fugueuse, son visage habituellement pâle gagnait un peu de couleur et ses expressions d'habitudes figées devenaient mobiles et magnifiques.

Grimmjow secoua la tête. Ce n'était pas le moment de divaguer, surtout que son meilleur ami le regardait bizarrement.

_ Bon tu vas m'dire pourquoi t'es comme ça ?

Il commençait à s'impatienter, et si Ulquiorra ne voulait pas parler par lui-même il allait le forcer.

_ Il n'y a rien qui te dérange dans ton comportement ?

_ J'vois pas de quoi tu veux parler alors sois plus clair.

Il ne voyait pas vraiment ce que lui reprochait Ulquiorra. Son ami était normalement habituer à le voir flirter devant lui. Grimmjow avait en tête que peut-être le fait de le voir ainsi Ulquiorra serait prit d'une subite crise de jalousie et qu'ainsi il découvrirait qu'il avait des sentiments plus qu'amicaux pour lui. Jaggerjack se trouva soudain totalement ridicule. Jamais une chose pareille ne pourrait arriver.

_ Tu dragues tes étudiants ! Tu ne devrais pas faire ça ! Tu penses un peu à ta carrière ?!

Ah... C'était juste ça... Il aurait dû y penser plus tôt.

_ Je ne vois pas ce que ça change qu'il soit étudiant ou pas, on vas pas finir ensemble de toute façon !

_ Grimmjow tu as quoi dans la tête ? Si quelqu'un le découvre tu peux dire adieux à ton poste !

_ Ulqui tu penses encore être à la vieille époque... C'est pas si dérangeant que ça qu'il soit un étudiant et que je sois prof... Faut juste pas trop que tout le monde le sache c'est tout...

_ Et si ça se sait ? Tu as pensé à ce qu'on pourrait penser de ce garçon ? Et de toi ?

_ J'vois pas pourquoi ça te dérange... Tu le connais pas et moi je sais me débrouiller tout seul.

Ulquiorra fit les cents pas sous le regard de plus en plus surpris de Grimmjow. C'était quoi au juste son problème ? Jaggerjack avait même l'impression que l'homme en face de lui ne savait pas vraiment quoi lui reprocher.

_ Et le harcèlement on en parle ?

_ Le harcèlement ?

_ Oui ! T'es prof de droit pénal tu devrais savoir ça quand même !

_ Mais je...

_ Non tu te tais. D'après ce que j'ai compris il t'a dit plusieurs fois qu'il ne voulait pas de toi et toi tu insistes. Tu es autant en manque que ça pour aller jusqu'à harceler un de tes étudiants pour du sexe ?

_ Du calme OK ? Et puis d'ailleurs je vois pas en quoi ça te dérange ce que je fais...

_ T'es un abrutis tu le sais ça ?

Celle-là c'était la meilleur.

_ Tu t'calmes OK ? Tout es pas aussi simple que tu sembles le penser ! Pour toi l'hétéro qui les fait toutes tomber comme des mouches ! Tu as une copine, tu as un taf, tu as un appart'. Moi j'ai rien OK ? J'ai un appart', un super taf mais j'suis tout seul depuis trop longtemps alors tu vas pas me reprocher de vouloir trouver quelqu'un.

À ce moment-là Grimmjow eu envie de lui dire ce qu'il avait sur le cœur mais il s'abstint. Il valait mieux qu'il la ferme et qu'il garde son meilleur ami plutôt que de le perdre entièrement.

_ Je suis plus avec Halibel.

Oh non... Il aurait préféré ignorer ça. Il allait de nouveau se faire des films et il ne voulait pas souffrir encore plus.

_ Pourquoi ?

Il n'avait pas pu s'en empêcher. Il voulait savoir.

_ Parce que t'es un abrutis. Et je ne te reproche pas de vouloir trouver quelqu'un.

_ Il est où le rapport entre le fait que je sois un abrutis et le fait que tu sois plus avec Halibel ? Tu parles par énigme et je comprends rien.

_ Tu as qu'à réfléchir. Maintenant vas t'en j'ai des copies à corriger.

Réfléchir à quoi ? Putain il était perdu...

_ Je comprends que dal Ulqui ! Éclaire moi bordel !

_ Non. Tu es juste aveugle et trop obnubilé par le prochain cul que tu pourras mettre dans ton lit. Maintenant dégage.

Grimmjow avait donc pris ses affaires et était rentré chez lui.

Ce qui nous ramenait à maintenant. Le bleuté faisait les cents pas dans son appartement et il essayait de comprendre les paroles de son meilleur ami. Quel était le rapport entre lui et Halibel ? L'ex blonde de Ulquiorra était certes très jolie mais Grimmjow s'était toujours demandé ce que son meilleur ami pouvait lui trouver. Sa jalousie parlait sûrement à sa place mais il trouvait cette fille sans intérêt. Elle minaudait tellement qu'elle en devenait insupportable. La jeune femme voulait attirer l'attention sur elle et elle y arrivait très bien avec ses vêtements court et provocant. Ulquiorra était quelqu'un de discret qui n'aimait pas forcément se faire remarquer. Il était intelligent, gracieux, élégant, il parlait bien en communauté et savait se tenir. Cette nana était tout l'inverse. Alors peut être avait-il enfin ouvert les yeux. Mais cela n'aidait pas le bleuté à savoir pourquoi il lui avait dit qu'il n'était plus avec elle parce qu'il était con. Il lui avait aussi dit qu'il était aveugle est trop obnubilé par le prochain cul qu'il pourrait mettre dans son lit. Il n'avait pas vraiment tort sur se dernier point mais il ne faisait ça que pour éviter de faire une connerie et de tout lui avouer sous peine de le perdre. Quant au fait d'être aveugle, il n'en avait pas l'impression. Il avait toujours su voir les choses assez facilement mais pour une fois il avait l'impression que quelque chose de primordiale lui échappait.

Et puis il y avait le fait que Ulquiorra lui dise qu'il avait harcelé Ichigo. Ce n'était pas totalement faux maintenant qu'il y repensait. Il n'avait pas lâché l'affaire même après que le rouquin lui ait dit ne pas vouloir de lui. Il n'avait pas voulu y croire parce que accepter ce refus c'était accepter le fait d'être seul. Encore et toujours seul. Et ça il ne supportait plus. Il voyait son meilleur ami avec sa copine et lui il était là fou amoureux de cet homme qu'il ne pourrait jamais avoir et il avait mal. Tellement mal. Grimmjow s'arrêta de marché et se servit une bière avant de se laisser tomber sur son canapé. Sa tête était jeté en arrière et son bras était maintenant posé sur ses yeux. C'était de plus en plus dur pour lui de faire semblant d'être seulement ami avec Shiffer. Quand il rentrait chez lui après avoir passé une journée en sa compagnie il avait une énorme boule dans la gorge. Pourtant il refusait de se laisser aller, c'était tout de même Grimmjow Jaggerjack et il refusait tout bonnement d'agir comme une fille. Alors il souffrait en silence. Il regardait son meilleur ami heureux dans les bras d'une personne qui n'était pas lui et qui ne serait jamais lui. Mais il se disait que voir Ulquiorra heureux, même si ce n'était pas avec lui, c'était mieux que rien. Alors il ne disait rien et ne dirait jamais rien. L'homme lâcha un soupire déchirant. Il ne savait plus quoi faire. Son meilleur ami lui avait dit de réfléchir et c'est ce qu'il faisait. Il réfléchissait au fait qu'il tait seul, définitivement seul et amoureux d'Ulquiorra.

Quand Byakuya arriva chez lui après être parti de chez le jeune Kurosaki, il se dirigea immédiatement vers sa chambre. Là il laissa tomber son lourd manteau au sol, défit rapidement les boutons de sa chemise noire qu'il laissa également choir sur le sol dans un bruit sourd et enfin il enleva son pantalon et son caleçon. Son sexe douloureusement tendu depuis déjà bien trop longtemps lui rappelait qu'il n'était qu'un homme et que de voir Ichigo aussi alangui et offert l'avait excité plus qu'il ne l'avait jamais été. Alors une fois totalement nu, le noble se dirigea gracieusement dans sa salle de bain, alluma l'eau de la douche et se glissa à l'intérieur. Après avoir savonné énergiquement son corps il sorti de la douche et se sécha puis enfila un caleçon propre. Il se glissa dans son lit et s'étendit de tout son long. Son érection était douloureuse. Son bas ventre le tiraillait vivement et la tension dans son corps ne demandait qu'à sortir alors il prit son sexe en main et commença de lent va et viens. Il se souvenait parfaitement des gémissements et soupires que poussait le jeune homme, de la manière qu'il avait d'essayer de s'empêcher de gémir en se mordant la lèvre. Son corps semblait divin, ses fesses étaient rondes et pleines, son torse semblait fort et ses jambes interminables. Tout chez lui emmenait Byakuya à le désirer que plus intensément à chaque fois.

Les allé retour sur le sexe tendu du noble se firent plus rapide et plus brusque au fur et à mesure que l'homme se rappelait des expressions de son futur amant. Ichigo était un appel à la luxure et il n'en avait pas conscience. Byakuya avait bien l'intention de lui montrer en lui faisant l'amour de toutes les façons possible. Il imaginait parfaitement le rouquin assis sur son sexe, le chevauchant de la plus délicieuse des manières, ses hanches ondulant sur lui approfondissant toujours plus la pénétration.

Putain c'était bon ! Le noble se cambra légèrement à cette pensée et il accéléra encore plus les mouvements sur sa hampe tendue. Il essayait de retenir ses soupires du mieux qu'il pouvait car malgré le fait qu'il était très tard il pouvait toujours être entendu par un domestique et il en était hors de question. Cependant c'était un exercice périlleux. En effet il n'arrivait plus à s'empêcher d'imaginer Ichigo dans des positions des plus excitante, demandant encore et toujours plus, plus fort, plus vite, plus profond. Byakuya se voyait le prendre sur sa grande table de salon, nu comme des vers. Leurs corps bougeant ensemble dans une danse des plus sensuelle et érotique. Ichigo criant encore et toujours son prénom de sa voix si particulière. Et quand Kuchiki en vint à imaginer la bouche du rouquin autour de son sexe s'en fut trop et il vint dans sa main, dans de long jet chaud et libérateur.

L'homme était essoufflé. Ses joues étaient légèrement colorées et son torse se soulevait rapidement. Lentement l'homme se saisit d'un mouchoir et essuya ses mains et son torse sur lequel des gouttes de spermes avaient échouées puis le jeta au loin. Il retomba ensuite dans ses couvertures et commença à réfléchir.

Quand Ichigo lui avait dit qu'il était avec son ami Yumichika Ayasegawa, il avait vu rouge. Il n'appréciait pas ce garçon. Il était charmant, et semblait drôle. Le rouquin semblait beaucoup l'apprécier et Byakuya n'aimait pas ça du tout. Il voulait être l'exclusivité aux yeux du jeune Kurosaki et il ne voulait personne en travers de son chemin. Et puis le rouquin lui avait dit qu'ils s'étaient déjà embrassé et Kuchiki avait carrément détesté le brun. Les lèvres comme le corps entier d'Ichigo lui appartenait. Déjà que Grimmjow Jaggerjack l'avait touché il ne fallait pas non plus abuser. Il avait d'ailleurs du mal à accepter ça. Les grosses mains de Jaggerjack sur le corps souple et fin de son rouquin... C'était une chose à laquelle il ne préférait pas penser au peur de commettre un crime. Ichigo était à lui. Maintenant plus que jamais. Il avait vu un côté de lui qui le rendait encore plus attaché à ce jeune homme et pour rien au monde il ne donnerait sa place.

Quand Byakuya lui avait dit qu'il ne comptait pas que le baiser mais qu'il voulait aussi lui faire l'amour, lui montrer qu'il en valait la peine et qu'il était beau, désirable, que son corps méritait d'être flatté et adulé, le jeune homme avait semblé réellement surpris. Cela laissait le noble perplexe. Le jeune rouquin paraissait sûr de lui aux premiers abords mais il n'en était rien, bien au contraire. Ichigo avait besoin d'être rassuré. Parfait il allait s'en charger. Il le savait depuis un moment déjà, en effet ils en avaient beaucoup parlé lors de leur correspondance mais jamais il n'aurait cru que c'était à ce point là. Mais Byakuya était rentré dans sa vie et il allait se charger de lui montrer quel charmant jeune homme il était et à quel point il était désirable. Kuchiki avait envie de retourner le voir, de le prendre dans ses bras, de le toucher, de l'embrasser et de lui faire l'amour mais il ne pouvait pas. Il s'en empêchait du mieux qu'il pouvait. Bien que la faculté n'avait émit aucune restriction quant aux relation professeur, étudiant, il fallait tout de même rester sur ses gardes et Byakuya avait peur pour son étudiant et pour lui-même. Il ne voulait pas faire de bêtise et tout gâcher même si s'était affreusement dur de résister à la tentation.

Après avoir hésité un long moment l'homme pris son téléphone et envoya un message au rouquin. Ce dernier lui répondit rapidement et sa réponse le fit sourire. Il aimait cette fougue. Il aimait se côté tête brûlée de Kurosaki. C'était vraiment plaisant. Tout chez lui l'était. Et puis il avait reçu ces quelques mots qui avait faillit le faire craquer. Ces mots qu'il disait clairement qu'Ichigo était à lui et à personne d'autre. Byakuya aurait pu mourir de bonheur à ce moment-là. Il aurait voulu le rejoindre immédiatement et le serrer dans ses bras mais c'était impossible. Il dû d'ailleurs lui expliquer les raisons qui faisait qu'il ne voulait pas le toucher. Le jeune homme semblait comprendre qu'à moitié et cela ne l'étonna pas. Lui-même avait du mal à trouver ses arguments percutants maintenant. Il refusait ne serait-ce que de lui toucher le bras parce qu'il se connaissait et il savait que le moindre contact physique avec le jeune Kurosaki provoquerait chez lui une montée de désir incontrôlable et il se jetterait sans ménagement sur le jeune homme afin de le faire sien et de lui montrer à quel point il tenait à lui. Quand il reçu le dernier message du jeune étudiant Byakuya su qu'il ne pourrait jamais le laisser partir même s'il le voulait. Il tenait bien trop à lui, sa présence lui était bien trop indispensable pour qu'il ne le laisse s'en aller.

Je le sais et il en va de même pour moi. Tu me rends fou Ichigo et je ne comprends pas comment tu t'y prends. Je meurs d'envie de t'avoir auprès de moi maintenant... Je tiens à te prévenir qu'il est maintenant hors de question qu'il se passe un jour sans que tu me donnes de tes nouvelles. Je veux savoir comment tu vas et ce que tu fais. Tu pourras dire que je suis un stalker mais je m'en contre fou. Je ne veux pas passer une semaine comme celle qui vient de passer une nouvelle fois. Être dans l'ignorance était bien trop dur à supporter... Je ferais la même chose de mon côté cela va de soit. Donc c'est un à demain obligatoire tu n'as pas à l'espérer. Je te l'ai déjà dit mais tu me rends dépendant de toi et je n'aime pas ça parce que ça m'effraie. Oui tu as bien lu, cela me fait peur mais ça provoque en moi un étrange sentiment de bonheur également... Dors bien Ichigo.

Byakuya posa son téléphone à côté de lui et se tourna dans ses couvertures. Il ne savait pas pourquoi il agissait ainsi. Il avait se besoin de protéger, d'aimer, d'écouter et de réconforter ce jeune homme. Il s'était attaché à lui lors de leurs nombreuses conversations ça ne faisait aucuns doutes. Après tout le rouquin avait été là pour lui au moment où il allait le moins bien dans sa vie. Et puis il l'avait vu. Il avait vu qui était réellement Yasu. Il avait qu'il s'agissait de ce jeune homme fougueux, qui avait osé lui tenir tête devant tout le monde, qui n'avait pas peur de le remettre en place et qui lui avait tout de suite plu. Il en ignorait la raison, certes Kurosaki était définitivement très beau mais il avait eu l'occasion de croiser de nombreux jeunes hommes très beau et jamais il n'avait ressenti cela. Ichigo avait quelque chose de spécial, quelque chose en plus qui lui plaisait bien trop. Alors additionner la personnalité de Yasu à cela, Byakuya avait craqué. Quand leurs regards se croisaient le cœur du noble avait des loupés et quand il entendait le rire du rouquin un sourire s'étalait inconsciemment sur son visage. Ce jeune homme avait un pouvoir inhumain sur lui.

Kuchiki qui avait fermé les yeux les rouvrit instantanément. Il savait. Son cœur accéléra d'un coup. Il était amoureux. Amoureux d'Ichigo Kurosaki.

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Fin du chapitre !

Moins d'une semaine mouahahahahahahah i'm back in the game guys !

Dites moi ce que vous en avez pensé, donnez moi vos avis et tout et tout !

Merci de me lire vous êtes de plus en plus nombreux ! Merci beaucoup:)

J'en serai pas là sans vous vos reviews me donne du courage pour continuer !

Je vous aimes d'amour :*

Je vous laisse ici !

N'oubliez pas les reviews !

Baibai et à bientôt pour la suite !

AndZero