Salut encore une fois! Je suis vraiment désolée du retard, j'ai perdu mon texte il y a un certain temps de ça…Pour que ma beta me pardonne, j'ai essayé de faire le chapitre un peu plus long! (En passant, je vous la présente, elle s'appelle Sango) Bon, alors Shaolan, fais le disclaimer maintenant!
Shaolan : Eh bien, Ceres ne me possède pas et ne possède pas Kinomoto non plus (à moi +.+). Il n'y a que Miitsu qui lui appartienne. Les autres appartiennent tous à CLAMP.
Ceres : c bien, Shaolan n.n (aux lecteurs) bon, ben, bonne lecture maintenant!
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Chapitre 3
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POV SAKURA
Je m'étirai. Cette journée avait été vraiment très longue et pénible, devant suivre Li partout. Je rentrai au dojo tranquillement et silencieusement avec To-chan, qui n'arrêtait pas de me jeter de petits regards inquiets à chaque seconde, sans que je ne sache pourquoi. Au dojo, Miitsu nous fait travailler; Tomoyo et moi sommes des professeurs d'art martiaux, pour les plus petits. Lorsqu'on ne travaille pas, sensei nous donne de petites tâches à exécuter, comme le ménage ou la cuisine…comme si elle avait peur qu'on s'ennuie. J'ai remarqué récemment qu'il y avait plusieurs garçons qui venaient nous mater, mais mon frère les dissuadait beaucoup, il est toujours très protecteur envers Tomoyo et moi. Lorsque Miitsu m'a prise en charge, Toya, mon grand frère, a été placé dans une autre famille. Alors, pour me voir plus souvent, il s'est inscrit au dojo avec son meilleur ami Yukito, un garçon vraiment très gentil que j'adore! Et puis il n'y a pas longtemps, sensei m'a apprise qu'elle était fiancée avec mon frère…
- Salut Miitsu! s'exclama Toya en entrant dans la pièce ou se trouvait sensei. J'espère que Kanji n'a pas détruit ton dojo!
- Bonjour mon cœur. Ne t'inquiète pas, mon dojo reste encore debout, par miracle!
- C'n'est pas vrai! M'écriais-je en sortant de la salle où j'enseignais quelques minutes plus tôt. Si j'étais aussi maladroite, tu ne me donnerais pas tant de tâches à exécuter!
- Ah! Sakura-chan! Tu tombes à pic…dit Miitsu-sensei avec un ton inquiétant, puis sourit malicieusement. Alors quand vas-tu me présenter ton petit ami?
Toya et moi la dévisagions avec de grands yeux abasourdis et nous écriâmes en même temps. « Woééééééé! Mais de qui parles-tu?»
- Ben…de Shaolan!
Mon frère resta silencieux un moment, enregistrant tout ce que Sensei venait de dire. J'eus l'impression qu'il prenait sa blague très au sérieux. Il se tourna vers moi et me regarda, encore plus confus. « QUI est Shaolan? »
- C'est mon maître et rien de plus, affirmais-je en fronçant les sourcils, puis sourie à la façon de Miitsu. …En parlant d'amour, c'est pour quand le mariage?
Ils devinrent rouge pivoine en une fraction de seconde. Fière de ma victoire, je parti dans ma chambre prendre ma douche, laissant planer derrière moi un silence très embarrassant.
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POV SHAOLAN
Le lendemain après-midi, comme nous n'avions pas de cours, nous étions allés nous promener, Eriol, Tomoyo, Cindy, une anglaise super jolie qui était ma copine du moment, et moi.
(Ceres : Bien sûr notre Shaolan aime follement Sakura! --Shaolan : Je n'ai jamais dit ça ! Quand on lui parle elle nous regarde comme si on était un répugnant insecte, sauf pour Tomoyo. J'aime beaucoup les petites anglaises comme Cindy. -- Ceres : QUOAAA! -- Shaolan : …Ceres, je t'aime beaucoup aussi, tu sais, et je te demande de poser doucement la batte de baseball à côté de toi et ensuite on discutera calmement… -- Ceres : Tu vas rompre immédiatement avec Cindy! -- Shaolan : Ça va pas la tête elle est super canon! -- Ceres : lueur sadique dans le regard : Je sens que j'ai beaucoup d'inspiration pour les prochaines tortures que je vais te faire subir… -- Shaolan : AU SECOURS CETTE AUTEURE EST ASSEZ FOLLE POUR METTRE SES MENACES A EXECUTION!)
Soudain, Cindy m'emmena un peu a l'écart de Tomoyo et Eriol et me dit tout bas avec un ton un peu arrogant « Tu étais vraiment obligé de les emmener avec nous à cette promenade, ces deux-là? »
-Eh bien, Eriol est mon cousin et mon meilleur ami, et il a invité Tomoyo alors…
-Bon, alors, laissons-les seuls un moment pour qu'ils apprennent à mieux se connaître! En disant cela, elle m'entraîna encore un peu plus loin.
-Ce n'est pas pour être toute seule avec moi? dis-je avec une petite moue d'enfant.
-Bien sur que non! répliqua Cindy en regardant par-dessus mon épaule.
J'essayai de répliquer, mais elle m'embrassa passionnément pour me que je me taise -je n'allais pas me plaindre, évidemment- puis m'entraîna rapidement dans une petite ruelle sombre.
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POV TOMOYO
Pendant que Shaolan et Cindy traînaient derrière, Eriol et moi commencions à faire connaissance. ''J'espère qu'il deviendra mon maître…c'est un garçon très gentil et compréhensif. Je suis certaine que ce n'est pas pour rien que le maître de Sa-chan soit Shaolan; peut être l'aidera-t-il à chasser les démons de son passé. C'est, entre autres, une des raisons pour laquelle je supporte mal cette arrogante et détestable Cindy; ma petite et adorable Sa-chan serait bien mieux pour Shaolan! …Bon, alors c'est décidé : à partir de maintenant, je vais jouer les marieuses, qu'ils le veulent ou non! Je devrais peut-être en parler a Eriol, je persuadée sur qu'il serait prêt à m'aider. ''
Je regardai en arrière de nous pour m'assurer que tout allait bien avec les « zamoureux », quand je remarquai, à ma grande surprise, qu'ils avaient disparus…Une minute! Ce parc était toujours rempli d'enfants, pas silencieux comme une tombe! Je n'aimais pas ça du tout…mon instinct de Mutoru ne m'as jamais trompé. Je frissonnai un peu. Soudainement, j'aperçus des hommes sortir prestement d'une limousine noire que je n'avais pas vue jusqu'à présent, perdue dans mes pensées. Ils coururent dans notre direction en pointant sur nous des objets noirs suivis d'un léger cliquetis. Des pistolets. Eriol me tira un peu par la manche et me chuchota : « Viens! Il ne faut pas rester là... »
Il me prit par la main et m'entraîna dans un labyrinthe de ruelles toutes aussi obscures et délabrées les unes que les autres. Après plusieurs minutes de course sans avoir réussi à semer nos poursuivants, nous débouchâmes dans un cul de sac. Je vis sur la veste noire des hommes un dragon de couleur saphir aux yeux de chat écarlates; étrange. Sensei ne nous avait jamais parlé d'un clan ou d'une organisation ayant pour symbole le dragon… (…) L'un des hommes pointa son pistolet dans ma direction. Je jurai à voix basse. Miitsu-sensei me répétait toujours que c'était mon pire défaut : je réfléchis beaucoup trop. Ça peut être utile parfois mais en ce moment-là ce n'était pas très pratique… Que penserait Sa-chan si elle me voyait dans cette salle situation. Parlant de Sa-chan… Ah non! ce n'est pas vrai! Fais tes prières, ça va chauffer! Un cliquetis –un peu trop près à mon avis- me fis revenir à la réalité. Je vis l'homme presser son doigt sur la gâchette de son pistolet... Je fermai les yeux et attendis le coup fatal…
Après quelques instants sans que rien ne se passe, j'ouvris mes yeux et vis Eriol gisant sur le dos, des taches d'un rouge vif à quelques centimètres de mes pieds. Je réalisai tout d'un coup ce qui venait de se passer; il m'avait sauvé la vie. Je tremblai fortement, de rage, de peine ou de peur, je ne sais trop, mais je ne pus me retenir. Je tombai à genoux, et murmurai juste assez fort pour que lui seul ne puisse m'entendre « Idiot…pourquoi as-tu fait ça…? »
Eriol se contenta de me sourire faiblement malgré la douleur qui se lisait parfaitement sur son visage. Je sentis la rage et la haine monter en moi, guider mes mouvements. Jusqu'à présent, ça ne m'était arrivé que 2 fois. Dans les deux cas je m'étais mise à tout casser et il avait fallu m'enfermer pendant une semaine pour que je puisse enfin me calmer... mais tout le mobilier de ma chambre avait eu le temps d'y passer. Je levai ma tête en direction des hommes qui reculèrent devant le regard que je leur lançai. Je levai ma main et une boule indigo se forma aux bouts de mes doigts, puis je la lançai sur eux. Sans qu'ils n'aient la chance de s'enfuir ou même de lever le petit doigt, je les assommai sans en épargner un seul. Je les aurais probablement tous tués si un gémissement d'Eriol ne m'eu rappelé qu'il était blessé et toujours présent.
Je baissai la tête et aperçu mon reflet dans une flaque d'eau. L'image qu'elle me refléta me fit froid dans le dos; mes yeux étaient devenus noir comme du charbon et brillaient comme la petite flammèche d'une chandelle que l'on essaie d'éteindre… J'observai attentivement mes yeux reprendre graduellement leur douce couleur lilas et un reflet assez vague…Aveuglée par la haine, je n'avais probablement pas remarqué que ma vision était devenue floue à cause des larmes qui se formaient peu à peu dans le coin de mes yeux.
Je m'accroupis auprès d'Eriol qui venait tout juste de s'évanouir. Je soupirai de soulagement. Au moins il n'était pas mort…sa blessure à la poitrine aurait pu être fatale s'il avait bougé ne serait-ce qu'un centimètre de plus... D'un geste discret de la main, sa blessure disparut, non sans laisser une épaisse tache écarlate sur sa chemise. J'enfilai son bras autour de mon cou et le mis sur ses pieds, et le ramenai à la maison de cette manière –ça l'aurait été beaucoup plus facile s'il n'était pas évanoui, par contre-. J'entrai dans le dojo et refermai fermement la porte derrière-moi, comme pour avertir sensei. Dès qu'elle vit Eriol dans cet état, elle me fit signe de le monter dans ma chambre pour qu'il se repose un peu. Après qu'elle lui eu changé de chandail et qu'elle m'eu assuré qu'il était hors de danger, j'attendis qu'arrive Shaolan.
-Qu'est-ce qui est arrivé à Eriol? dit un Shaolan tout essoufflé, car il venait de courir de son appartement qui se situe à l'autre bout de la ville jusqu'au dojo.
-Des hommes nous ont poursuivit et ils ont assommé Eriol. Il va bien mais …ça fait 30 minutes que tu es censé être arrivé.
-Heu… J'étais occupé, marmonna Shaolan, tout embarrassé.
J'ouvris de grands yeux, faisant semblant d'être toute choquée et surprise et je-ne-sais-quoi-d'autre, avant de m'exclamer silencieusement « Avec…Cindy? Ne me dis pas que--»
-ÇA N'A RIEN AVOIR AVEC ELLE!
-Tais-toi, tu vas réveiller Eriol.
J'ouvris la porte de la chambre de Sa-chan, Shaolan sur mes talons. Il s'arrêta et jeta un coup d'oeil dans la chambre. Oh non! Il vient d'apercevoir la photo des parents de Sakura... Il est mieux de se taire, sinon Sa-chan ne sera pas contente du tout… En fait, je crois que j'ai une idée. (Elle est vraiment sadique quand elle veut, cette petite To-chan, un peu comme moi ou Sango-chan…) Je fixai la porte de la salle de bain avec une sorte de demi-sourire. Bon, si mes prévisions sont exactes, dans 5… …4… …3… …2… …1...
À ce moment là Sakura sorti de la salle de bain vêtue uniquement de sa petite serviette rose clair. Mouarf, on va voir si Shaolan pourra résister à ça, parce qu'une colère Kinomoto, surtout une de type Sakura, est pire qu'un ouragan. Leur réaction ne se fit pas attendre, et je sourie malicieusement, toute contente de la situation dans laquelle je les avais mis.
-Kyyyaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa! Qu'est ce que vous faites dans ma chambre? s'écria-t-elle en lançant un coussin dans le visage de Shaolan, qui évita de justesse le projectile.
-Aaaaaaaaaarrrrrrrrrgggggggggggggg! Pardon, je ne savais pas!
Je les regardai avec plaisir se lancer le pauvre oreiller de Sa-chan, qui à la fin ne ressemblait plus qu'à un objet-volant-non-identifié...Soudain, je remarquai qu'une sorte de lueur étrange brilla dans leurs yeux. Auraient-ils réalisé que j'étais la cause de cette scène de ménage? Puis les deux tournèrent leurs têtes vers moi. S'ils avaient des mitraillettes à la place des yeux je serais déjà morte avant même d'avoir eu le temps de cligner des yeux. Je me réfugiai dans ma chambre ou Eriol se reposait pour échapper aux deux tueurs en série qui me poursuivaient, a.k.a. Sakura Kinomoto, mon ouragan préféré lorsqu'elle ne s'abattait pas sur moi, et Shaolan Li, que j'aurais pu comparer à un tremblement de terre.
-Je pourrais savoir ce qui se passe ici? dit faiblement Eriol en tournant sa tête vers moi
-Écoute et tu verras…lui répondis-je en me cachant derrière mon lit.
J'attendis encore un instant, puis entendis des coups furieux sur ma porte. On entendait des cris de l'autre bord : « Tomoyo, traîtresse, je suis sure que tu l'as fait exprès! Avoue-le! » et d'autres, comme : « TOMOYO DAIDOJI, JE TE JURE QUE SI JE T'ATTRAPE, TU VAS PAYER POUR AVOIR FAIT RENTRER LI DANS MA CHAMBRE ALORS QUE JE SORTAIS DE LA DOUCHE! »
-Je vois… Tu as vraiment fait ça? On ne le dirait pas, mais derrière cette figure d'ange se cache un démon… dit Eriol, amusé par la situation
Je me relevai, mis mes mains sur mes hanches et sourie, fière de moi : « Hehe… Ne jamais se fier aux apparences! »
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POV SAKURA
''Je n'arrive pas à croire que Tomoyo aie fait ça! Si elle a le malheur de sortir de cette chambre avant le mois prochain…Elle va souffrir! Je vais peut-être épargner Li; vu son expression, je vois bien qu'il ne s'y attendait pas du tout non plus…'' Je le regardai s'éloigner un peu, furieux et embarrassé, abandonnant l'idée de défoncer la porte de To-chan. C'était un peu normal qu'il ne puisse pas l'ouvrir, puisque toutes les portes de cette maison étaient verrouillées grâce à un sort ancien caractéristique des Mutoru. Alors question sécurité, ce n'était pas trop inquiétant… Le facteur pouvait à peine se rendre jusqu'à la boîte aux lettres sans être détecté, capturé, et ensuite questionné pour s'assurer qu'il ne fasse parti d'aucun clan de ninja. Je le fixai du coin de l'œil, et me rendis soudain compte qu'il me fixait bizarrement depuis un bon moment déjà…
-Quoi? dis-je très froidement sans le quitter des yeux.
-Heu…Tu ne crois pas que… tu devrais aller t'habiller, maintenant? dit Shaolan d'un ton moqueur.
C'est vrai que dans ma hâte d'étrangler To-chan j'étais sortie toujours vêtue de ma serviette…Je laissai durer le silence, bien qu'un peu humiliant, et retournai à grands pas dans ma chambre. Je ramassai mon coussin en chemin et me jetai sur mon lit, enfonçant mon visage dans mon oreiller. Je sentis mes joues se chauffer, bien que je luttai de toute mes forces pour garder mon calme (chose bien difficile lorsque l'ouragan s'est déchaîné quelques temps avant…) ''Il a rougi, tout à l'heure, ce stupide Li…'' Je me rendis compte que je n'étais pas très bien placée pour critiquer, en ce moment. ''Moi aussi…mais moi, c'est… c'est de colère…''.
Je restai là, étendue sur mon lit et perdue dans mes pensées, pendant plusieurs minutes encore. Je me relevai paresseusement et me décidai enfin à me changer. Une fois cela fait, je descendis en bas. Alors que je passais devant la salle à manger, je surpris une conversation entre sensei et nos deux invités. Très curieuse de nature, je collai mon oreille contre la porte.
-…Et vous jeune homme, -Eriol, n'est-ce pas?- comment va votre tête? entendis-je dire Miitsu-sensei.
-Très bien. Merci aussi d'avoir prit soin de moi.
À ma droite, j'entendis un petit bruit, signe que Tomoyo écoutait la conversation elle aussi, mais en étant invisible. Je suivis son exemple et continuai d'écouter le discours sans que personne ne puisse me voir, car une fille à l'oreille collée contre la porte n'est pas très subtile, même si on lui a appris à rester discrète pendant toute sa jeunesse.
-Ce n'est rien! Ce n'est rien! (Je la sentis sourire chaleureusement comme elle le fait souvent) Mais vous devriez vous reposer un peu… (J'eus comme un mauvais pressentiment, sans trop savoir pourquoi…) Bien sûr! Que diriez-vous d'aller passer une fin de semaine à notre petit chalet dans les montagnes, appartenant à ma famille depuis des lustres?
-Nous ne voudrions pas vous déranger! répondit Eriol d'une voix polie
-Non, non, j'insiste!
-Dans ce cas j'accepte votre invitation! Et toi Shaolan, ça te va?
-C'est d'accord…Mais cela ne risque pas de déranger Kinomoto et Tomoyo?
-Non! Je suis sure qu'elles seront ravies que vous veniez avec nous! répondit sensei avec un grand sourire, que je sentis même derrière la porte.
Je reculai vivement de la porte et trébuchai sur ma pantoufle. Je me rattrapai à temps, et ensuite je m'écriai, choquée : « Wooooééééé! Jamais de la vie! » Réalisant que je venais de répondre à haute voix, je me maudis à voix basse. Instantanément, le sort qui nous camouflait, To-chan et moi, s'annula et nous redevînmes visibles. Il ne manquerait plus que Li et Hiiragisawa nous voient invisible, ou bien voient sensei parler au vide!
Miitsu-sensei dévisagea To-chan et moi et croisa les bras. « Mais c'est une manie d'écouter aux portes ici! » Les deux garçons nous regardèrent, clignèrent des yeux, et continuèrent leur contemplation. Il fallait que je dise quelque chose; apparemment, il ne fallait pas que je me fie à To-chan, en ce moment, puisqu'elle restait silencieuse comme une brique.
Je feignis un sourire innocent et dit d'une voix angélique, croisant les bras derrière mon dos. « Oh…vous étiez la sensei! Je ne vous avais pas vue. Je discutais avec Tomoyo du fait que vous alliez supprimer le maniement du sabre durant les cours de l'après-midi et j'ai protesté disons…très vivement! »
Sensei leva un sourcil et me fixa suspicieusement. To-chan me donna un léger coup de coude dans les côtes. « Tu sais Sakura…Je ne pense pas qu'ils sont très convaincus de ta belle histoire… » Je me pris à rire un peu nerveusement. J'aurais dû la laisser s'occuper de nous sortir du pétrin, même si sa stratégie serait de ne rien dire du tout. Je regardai Li, et j'aperçus un petit sourire amusé sur ses lèvres. Je me maudis intérieurement d'avoir été capable, encore une fois, de lui montrer ma vraie personnalité.
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(…) Dans l'histoire, il y a plusieurs clans de ninja. Les Mutoru ont pour symbole le tigre blanc. C'est juste pour éviter la confusion
Ouf! Enfin terminé! J'ai déjà commencé le chapitre 4, alors inquiétez-vous pas, je vais updater beaucoup plus rapidement, cette fois...et puis si j'oublie, ma beta va me le rappeler!
Sango : tsk, qu'est-ce que tu ferais sans moi, hein!
Ceres : bah…plein de choses!
Sango : …
Ceres : …euh, non, en fait… je ne sais pas…maintenant rend-moi ma batte de baseball, s'il te plaît…
Shaolan : Je retire ce que j'ai dit, Sango-chan est encore plus dangereuse que Ceres o.o;
Tomoyo : R&R! Au prochain chapitre! n.n
