Salut

Me revoilà avec la suite de cette os qui mélange les univers d'Harry Potter et Esprit criminel j'espère qu'il vous plaira. =)

Couple: Harry Potter/Surprise

Rating M

Bêtas: misa2

Disclaimer : Rien ne m'appartient. Les personnages d'Harry Potter appartiennent à JK Rowling et les personnages d'esprit criminel à Jeff Davis.

Dans cette histoire JJ est déjà mariée et a déjà eu son fils, il sera donc plus âgé que Jack, Harry et Henri les deux dernier ayant le même age.

Bonne Lecture

Note: Bonjour je suis sincèrement désolé du temps que je mets a écrire la suite de mes histoires mais j'ai de gros problème familiaux m'empêchant d'écrire aussi rapidement que ce que je voudrais.

Je tenais à m'excuser auprès de vous pour cette longue attente.


-Nous n'avons rien a voir avec cela je te le jure Harry. Les jumeaux ont monté leurs commerces grâces à des jobs effectués par ci par la. Moi, je ne vis même plus en Angleterre, mais en Roumanie pour mon travail. J'ai d'ailleurs mon propre compte. Ce... ce doit être celui de nos parents, car Bill se débrouille très bien sans ça, surtout que les Gobelins ne l'auraient pas employé si c'était le cas. Et Percy est trop Honnête pour gâcher son avenir au ministère avec ça. Ça ne peut donc qu'être nos parents... donc il te faudrait demander des comptes à eux, voir à Dumbledore. Affirme Charlie doucement, attristé de découvrir de tel chose sur sa famille, les deux plus jeunes étant clairement impliqués.

-Admettons que je vous crois... Vous êtes quand même a la botte de ce Dumbledore. leurs énonce Harry Énervé espérant avoir tord.

-Nous ne somme pas vraiment à sa botte. Réplique Charlie sur un ton agressif. Ce qu'il faut que tu saches, c'est que nous te connaissons depuis longtemps. Avant même la mort de tes parents. Nous t'avons connu quand tu étais un bébé. Ta mère venait régulièrement pour voir la notre. Mais bizarrement, tu n'as jamais voulu t'approcher de Ron, malgré que nos mères aient essayé à chaque fois de vous faire jouer avec lui. Tu restais calme qu'avec moi ou les jumeaux, chose qui faisait rire ton père qui disait que tu savais faire comprendre ce que tu voulais. Nous sommes avec Dumbledore, c'est vrai. Mais c'est parce que toi et tes parents comptaient pour nous. On pensait qu'avec Dumbledore, on pouvait t'aider et te retrouver.

-C'est vrai on te le jure. Renchérit Fred et Georges, parlant chacun leur tour. C'est d'ailleurs ton père qui nous a donné l'amour des farces. Il nous raconté, derrière le dos de maman et de Lily, toutes les blagues qu'il avait fait et nous avons décidé de prendre la relève. Nous voulons juste venger tes parents et t'aider. Rien de plus.

-Et si je vous disais que vous vous battez contre la mauvaise personne, qu'est-ce que vous diriez ? Osa Harry après une légère hésitation.

-Comment sa ? S'étonnèrent les trois choqué.

-C'est Dumbledore qui a tué mes parents. lâcha t-il.

L'air de poisson rouge qu'affichèrent les trois Weasley firent que Harry et Spencer éclatèrent de rire.

-tu nous fait une blague c'est sa ? Demande Charlie en les voyant rire.

-Non, même si vos têtes en auraient valu le détour. Je peux vous le prouver si vous voulez. Enfin, si vous avez une pensine. déclare Harry en retrouvant son sérieux.

Fred alla cherché la pensine et Harry mit son plus ancien souvenir dedans.

Flash Back.

La porte d'entrée explosa et qu'un homme entra :

-Lily, court ! Sauve toi avec Harry ! Dépêche toi ! Cria James baguette en main.

Lily prit son fils dans ses bras et monta a l'étage, commença à réciter une incantation Harry se retrouva englobée dans une bulle bleue.

-Mon chéri écoute moi bien. Maman t'aime et papa t'aime aussi. Ne l'oublie jamais mon cœur.

Elle eut a peine le temps de finir sa phrase que la porte explosa, comme celle de l'entrée, laissant entrer le même homme qu'en bas. Il était assez âgé avec une barbe blanche.

-Voyons Lily, pourquoi en arriver là ? demanda l'homme.

-Vous le savez vieux fou cette prophétie ce n'est que du vent. Vous ne l'avez surement jamais imaginé, mais jamais Voldemort ne pourra tué mon fils. Et mon fils, ne pourra jamais le tué également. Et cela parce qu'ils ont le même sang dans leurs veines. Cracha Lily.

-Bien c'est ce que nous verrons. Adieu Lily AVADA KEDAVRA.

Le rayon vert sortit de la baguette et toucha de plein fouet la jeune femme qui s'écroula au sol devant le lit de son fils. L'homme lança un sort en direction d'Harry, mais le sort rebondit et se dirigea vers le plafond qui s'effondra et fit une cicatrice en forme d'éclair sur le front de l'enfant. L'homme transplana aussitôt et un autre homme arriva. Cet homme avait une chevelure ébène avec un teint pale et des yeux rouge. Il s'empara de l'enfant et essaya de transplaner mais il ne réussit pas. Soudain plusieurs transplanages se firent entendre dans le jardin, il regarda par la fenêtre et vit au moins 15 personnes. Sachant qu'il ne pourrait rien faire, il reposa l'enfant et sortit sa baguette. Il lança un sort sur l'enfant puis transplana sans difficulté cette fois-ci. Un homme bien plus grand que la normal entra et prit l'enfant. Il ressortit de la maison, monta sur une moto volante et s'envola dans le ciel. L'enfant bien protéger contre lui, il atterrit dans un quartier chicou où un veille homme l'attendait.

Fin Flash Back.

Ils sortirent de la pensine en colère. Ils avaient été manipulé depuis le début. Harry reprit rapidement ses souvenirs et reporta son regard sur les trois rouquins en colère.

-Que comptez vous faire maintenant ? Interrogea Harry avec un ton neutre.

-Le lord noir est donc de ta famille...

-Mon grand père. répondit Harry toujours avec le même ton.

-Emmène nous le voir. Demanda Charlie d'une voix déterminé.

Harry les fixa un instant, puis fit un signe de tête pour que les jumeaux ferment la boutique. Une fois fait, ils sortirent tous ensemble, les Weasley portant une cape pour les recouvrir, et ils transplanèrent (nouveau verbe pour les potterien xd) devant un grand manoir. Harry posa sa main sur le grillage et il s'ouvrit doucement. Ils avancèrent ensuite dans un couloir pour se diriger vers une salle où on entendit des cris.

-Ne vous en faites pas. Vous ne risquez rien. Les rassura Spencer avec un sourire, en les voyant blanchir au fur et à mesure qu'ils approchaient de la salle.

-Spencer chut. on y va. dit Harry sur un ton autoritaire.

-Fréquente trop son grand père. Lui marmonna t-il. Quoi que c'est peut-être la faute au patron... sa doit être les gênes alors. Ajout-il toujours en marmonnant, suivit d'un soupir.

Harry ne l'écoutait déjà plus et ouvrit les portes se trouvant devant lui. Dans la salle, il y avait déjà une centaine de personne de présente. Harry les ignora et avança directement vers le trône où se trouvait son grand père, sans faire attention que les Weasley se sont arrêté à l'entrée.

-Hé bien. Que m'amènes-tu là ? Demanda le Lord Noir étant curieux et perplexe.

-Des informations. Si tu faisais disparaitre un peu tout ce monde pour que sa reste plus discret ? Demanda Harry.

-Sortez. Sauf Severus, Lucius et Spencer. Alors que peuvent m'apporter ces Weasley ? Questionna le lord noir après que tous soit sorti, que les Weasley aient enlevé leur capuche et qu'il est embrassé son amant.

-Des informations et des espions que personne ne soupçonnera cher Grand-père. Lui répondit Harry sur un ton insolent.

-Que pouvez vous me dire concernant les plans du vieux fou ? Leurs demanda le lord noir avec une voix froide, sachant qu'Harry a du faire attention avec de la légimencie.

-euh... Dumbledore souhaiterait rallié les dragons à sa cause... Il a également envoyé plusieurs émissaires chez les vampires, les géants et les elfes. Raconta Charlie après un regard en direction de ses frères et d'Harry.

-Dumbledore nous a demandé de créer plusieurs sortes de bijou qui aurait des sortilèges de protection pour… commença Fred.

-Les sort simple comme le stupéfix, pétrificus totalus et les autres sorts dans le genre. Termina George.

-Vous pourriez être utile, c'est vrai. Vu que c'est toi qui les a emmené, tu seras notre

agents de liaison. Compris Harry ? Annonça le lord narquoisement.

-Hein, ha non certainement pas. J'ai d'autre chose à faire. répliqua Harry.

-Tss... allons, tu oublies que c'est moi qui te dit ce que tu as à faire dans cette guerre. Rappela le lord noir avec un sourire narquois.

Harry ne répondit rien et bouda, faisant sourire son grand père et les autres, qui avaient compris que c'était surtout une blague en voyant que Spencer ne disait rien allant contre l'un ou l'autre. Il sortit de la salle les laissant tous en plan, les trois rouquins ne savant plus où se mettre. Lucius le remarqua et s'exclama :

-Je pense que ce sera bon pour aujourd'hui. Vous n'avez plus besoin de moi mon lord ? S'enquit Lucius.

-effectivement Lucius. Profites-en pour raccompagner ces jeune gens jusqu'à l'air de transplanage. Déclare le lord noir en se tournant vers les trois rouquins, qui attendaient toujours. Messieurs au plaisir de vous revoir, avec, je l'espère, des informations intéressantes. Mais avant de partir, je vais vous lancer un sortilège pour vous empêcher de divulguer tout ce que vous entendrez ici à l'avenir. Termina t-il en levant sa baguette vers les rouquins, qui malgré tout se tendirent.

Un rayon lumineux sortit de la baguette du lord et toucha les trois rouquins en même temps, qui sentirent une chaleur au niveau de leurs gorges, qui disparut tout aussi vite que ce qu'elle était venue. Lucius les raccompagna jusqu'à l'air de transplanage, puis ils disparurent pour réapparaitre au magasin des jumeaux où ils trouvèrent un mot de Dumbledore signifiant une réunion. Ils se rendirent donc à Square Grimaud où tous les membres étaient déjà là. Ils étaient donc les derniers.

-Excusez-nous, une expérience de dernière minute. Donna comme excuse Charlie, espérant que la personne ayant posé le mot soit resté en dehors du laboratoire.

-Aucun problème, installez-vous. Leurs dit Dumbledore avec son sourire de papy gâteau, se tournant vers eux.

Une fois les jumeaux installés, Dumbledore commença la réunion.

-commençons. Harry Potter a été aperçu en Angleterre. Il a été vu entrain de sortir de Gringotts en compagnie d'un homme et se diriger vers votre boutique messieurs Weasley. Déclara t-il en se tournant vers les jumeaux.

-effectivement. Il est bien venu a la boutique. Mais ce n'est pas en tant qu'amis qu'il est venu. Il nous demandait des comptes sur de l'argent qui aurait été prélevé de ses voutes vers le coffres de la famille et des voutes ouvertes au nom de Ronald, Ginevra et Hermione. Annonce Charlie en fixant ses parents et ses plus jeunes frères et sœur.

Cette nouvelle choqua la plus part des membre de l'ordre sauf Molly, Ron et Ginny, chose que Charlie remarqua rapidement.

-Quel est cette histoire de voutes à mon nom ? S'écria Hermione, affolée en se relevant soudainement.

-Allons du calme mon enfant. Commença Dumbledore, je…

-Je quoi Dumbledore ? Coupa Hermione. Je ne suis pas une voleuse. Puis-je savoir ce que va penser ce gars de moi ? J'ai rejoins cette ordre pour vaincre un homme appelé Voldemort, voulant soit disant exterminé les moldus. Mais qui me dit que c'est la vérité si déjà vous vous permettez de toucher à ce qui n'est pas à vous ? hurla-elle à Dumbledore très énervée.

-Voyons Hermione. Le professeur Dumbledore ne mentirait pas la dessus. S'exclama Ronald. Je suis certain que c'est une erreur de Gringotts.

-Et pourquoi n'es-tu pas si surprit que cela Ron ? Alors que quand il est venu nous demandé des comptes, nous n'avions absolument aucune idée de ce qu'il disait. Enfin, jusqu'à qu'il nous montre les papiers qui sont authentique. Demanda Fred sur un ton ironique dégouté de tous cela.

Ronald rougit mais ne trouva rien à répondre a son frère. Dumbledore, voyant la situation lui échappait, reprit les rennes de la réunion.

-C'est un problème qu'il faudra régler avec lui et les gobelins directement. Finit par dire Dumbledore. Severus. Avez-vous appris quelque chose de Voldemort ? Est-il au courant qu'Harry Potter est en Angleterre ? S'enquit t-il.

-Non. Ou alors, il ne m'en a pas parlé, déclare froidement Severus. En revanche, il nous a tous surpris en nous présentant son âme sœur.

-Une âme sœur ? S'exclama avec incrédulité Ronald. C'est un homme incapable de sentiment. Comment peut-il avoir une âme sœur ?

-quel est son nom ? demanda Dumbledore les sourcils froncés.

-Spencer Reid. Homme américain d'une trentaine d'année. Sorcier de son état. répondit Severus comme s'il répétait une leçon apprise par cœur.

-Hum. Il faudrait essayer de capturer cette homme. Ainsi, nous pourrions surement anéantir Lord Voldemort grâce a lui. Peux-tu nous le décrire que nous puissions si nous le rencontrons le reconnaître ? questionna Dumbledore.

-C'est un homme assez grand environs 1m75. Des cheveux bruns avec des yeux bleus et un style vestimentaire assez vieux. décrivit Severus en pensant réellement la fin de sa phrase.

-Bien. Je pense que personne d'autre n'a rien à ajouter. Si vous le voyez, essayez de le capturer sans causer de dommage bien sur. Fit hypocritement Dumbledore. Je pense que la réunion peut s'arrêter là. Bonne fin de journée a tous. Termina t-il en se levant et partant vers la cheminée.

PDV Hermione

Ce n'est pas normale. Il y a quelque chose de louche là dedans. Pourquoi a t-il ouvert une voute à mon nom ? Les jumeaux et Charlie qui semblent savoir quelque chose. Et cette histoire d'âme sœur. Ce n'est pas possible que Voldemort soit un homme sans cœur. Ce n'est pas possible, on ne peut avoir une âme sœur si on n'a pas de cœur. Je veux savoir et les jumeaux semblent avoir des réponses à mes questions, alors ils ont

intérêts à nous les donner.

FIN PDV Hermione

Hermione se rendit à la boutique des jumeaux où ils étaient encore une fois.

-Fred et Georges Weasley. J'exige voir Harry Potter maintenant. Et ne me faites pas le coup de ceux qui ne savent pas où il se trouve, je ne vous croirais pas. ordonna t-elle sans détour.

-Du calme petite tigresse. Et si tu nous expliquais ce qui te fait croire que nous savons où se trouve Harry Potter. S'exclamèrent en cœur les jumeaux.

-Ne me prenez pas pour une imbécile, répliqua t-elle sèchement. Je sais parfaitement que si vous avez découvert ces problèmes d'argent, vous n'avez pas pu ne rien fait pour prouver vote bonne fois. Vous êtes trop Gryffondor pour sa. Termina t-elle.

-Laisses nous une heure. Nous verrons ce que nous pouvons faire pour toi. Souffla Fred incapable de tenir tête plus longtemps a cette femme sans risquer sa vie.

Hermione réprima son sourire et sortit de la boutique pour aller à Gringotts où elle demanda à parler à un gobelin.

-Bonjour maitre gobelin. J'ai sollicité un entretien avec vous au sujet d'une voute ouverte a mon nom. J'aimerais restituer à son propriétaire légitime ce qu'il y a dedans s'il vous plait. Est-ce au moins possible ?

-c'est tous à fait possible miss Granger, nous allons voir sa.

Il sortit plusieurs feuilles d'un dossier et les examina.

-Effectivement. Il y a un compte qui a été ouvert par Albus Dumbledore en plus de celui que vous avez ouvert avec l'aide de vos parents. L'argent prélevé de la voute vient de celle de monsieur Potter. Vous souhaitez restituer cette argent c'est cela ? Interrogea le gobelin.

-Oui. Répondit Hermione avec détermination.

Le gobelin claqua des doigts et un autre arriva.

-Vide le compte numéro 796 et remets cette argent sur le compte de monsieur Potter. Ordonna le gobelin.

-Tout de suite monsieur. Répondit l'autre gobelin qui paraissait bien plus jeune que celui qui s'occupait d'Hermione.

-Bien cela sera fait rapidement. Est-ce tout miss Granger ?

-Non. J'aimerais également savoir si autre chose a pu être fait derrière mon dos. Et si c'est possible, est-ce que cette « chose » a été faite ? demanda t-elle avec une voix ferme.

-Non miss. Il aurait été impossible de faire quoi que ce soit d'autre sans l'autorisation de vos parents, même s'ils sont moldus. Donc rien d'autre n'a été fait. Répliqua le Gobelin.

-Bien je vous remercie. Au revoir maitre gobelin.

Elle se retourna, soulager que tous ce qui la concernait soit réglé légalement, sortit de la banque et retourna au magasin des jumeaux où elle tomba sur une scène surprenante.

-Sa alors, si je m'y attendais. S'exclama t-elle en faisant séparer les jumeaux qui la regardèrent avec de gros yeux.

-Hermione déjà ? S'exclama Fred avec toute l'innocence dont il étais capable.

-Hum oui. Je dois dire que ce n'est pas tous les jours où l'on trouve une relation dans votre genre. Répondit-elle distraitement.

-A quoi penses tu donc ? susurra George a son oreille, ayant bien vu son regard intéressé.

-Vous deux c'était chaud. répondit-elle dans un état second, suite à une caresse légère sur sa joue de Georges.

-Nous pourrions toujours t'offrir autre chose. Lui murmura Fred dans l'autre oreille.

Hermione ne répondit pas mais s'appuya sur le jumeau derrière elle. Les jumeaux commencèrent à l'embrasser dans le cou tout en laissant leurs mains balader sur le corps d'Hermione. Celle-ci lâcha un gémissement quand Fred mordilla le lobe de son oreille, alors que George lui pinçait les tétons à travers ses vêtements. Alors que les mains se baladaient plus bas, un raclement de gorge les interrompit, faisant redescendre sur terre les trois.

-Hé bien, je suppose que vous ne m'avez pas appelé pour m'offrir ce spectacle. Bien que j'aurais pu apprécier de voir un trio en live. S'exclama le brun avec un sourire amusé.

-Harry, non mais tu pouvais en profiter pour apprendre tu sais. Lui répondit Fred avec un large sourire. Cette jeune demoiselle désirait te rencontrer. On a pu qu'abdiquer car elle a beau être une Serdaigle, elle est aussi têtu que peut l'être une Gryffondor. Et également aussi dangereuse.

-Bonjour. Je suis Hermione Granger, Serdaigle. Actuellement en plein conflit pour la guerre. Savoir si je dois rester avec Dumbledore, aller vers Voldemort ou rester neutre. Annonce t-elle en lui tendant la main.

-Harry Potter. Mais je suppose que tu le savais déjà. Répondit-il en lui prenant la main.

-Au faite, pour l'argent. Il doit avoir été remis dans ta voute maintenant. Je suis désolée de cette histoire, mais je ne savais pas pour ce compte. Je suis pas folle pour voler, et encore moins un des lords du monde Magique. Et je suppose que Dumbledore avait besoin d'une couverture pour utiliser le mien. J'aimerais aussi rencontrer Voldemort. Termina t-elle avec un sourire respirant réellement après avoir dit tous cela rapidement.

-Qu'est ce qui te fait croire que je connais Voldemort ? Demanda Harry soupçonneux.

-Simplement que ta mère était sa fille. Que tu as vécu toute ta vie aux État-Unis. Et également que tu as connu ton grand-père à tes 11 ans. Expliqua t-elle calmement.

-Comment ? s'exclama t-il choqué.

-Je ne l'ai jamais dit à personne, mais j'ai un don. Je peux voir la vie d'une personne en le touchant directement. Lui dit elle avec un doux sourire.

-Hum intéressant vous pouvez fermer la boutique ? Demanda Harry aux jumeaux.

-Bien sur.

-Alors fermez la et suivez moi. Leurs dit-il en se tournant et se dirigeant vers la sortie.

D'un coup de baguette, un écriteau apparut sur la porte et les jumeaux avec Hermione suivirent Harry. Il tendit sa main, les trois autres posèrent leurs mains par dessus et ils disparurent tous les trois pour réapparaitre devant un portail qu'Harry ouvrit sans difficulté une nouvelle fois. Il avança sans même se soucier des autre le suivirent ou pas, ceux-ci s'étant couvert entièrement au cas où, pour ne pas être reconnu et tué à peine arrivée. Il les mena à nouveau devant la porte, celle que les jumeaux et Charlie avait déjà franchis un peu plus tôt. Il les poussa dans la salle, tombant sur son grand-père et Spencer en pleine séance de pelotage.

-Hum Hum. C'est le jour du sexe ? Fallait me le dire, j'aurais pris des caméra pour filmer sa. D'ailleurs, il y a des chambres pour ça vous savez. Balança t-il avec un sourire narquois, également en direction des trois derrière lui.

-Harry, que veux-tu encore ? Soupira son grand père avec ennui.

-te présenter quelqu'un de nouveau. Voici Hermione Granger, membre de l'ordre du phœnix. Dit Harry.

-tien donc. Que veux-tu que j'en face ? Un jouer pour moi ? Répliqua le lord noir.

-Mais non. Sert lui donc la main, tu sais que je ne ferais jamais rien qui te portera préjudice mon grand-père adoré ?

-je suis le seul morveux. Réplique t-il, et bien que méfiant, il tendit sa main vers la jeune fille.

Hermione approcha , lui prit la main et la lâcha précipitamment en rougissant.

-Qu'y a t-il ? Questionna Spencer perplexe.

-Alors Hermione ? Demanda Harry en ricanant.

-Quelque chose que je n'aurais pas du voir. Déclare t-elle en rougissant et gardant le regard par terre. Je suis désolée monsieur... je ne voulais pas... je ne contrôle pas encore mon don correctement...

-Harry... aurais-tu l'amabilité de m'expliquer ce qu'il se passe ? Susurra le lord noir d'une voix mortellement froide.

-Hé bien... Hermione que voici commençait à douter de Dumby. Elle est entrée en contacte avec moi par les jumeaux, et je pense que son don pourrait nous être utile pour découvrir les traitres. Enfin, les rare qu'il pourrait y avoir ici, car le fait que Dumbledore se met toujours sur ton chemin et bizarre avoue le. Lui dit Harry.

-et ben, en une journée, tu trouves d'intéressantes personne Harry. Je convoque tous mes mangemorts alors remettez cette cape miss, et vous aussi les rouquins. Par contre,

miss. N'ayez même pas l'idée de mentir sur ce que vous verrez. Leur ordonna le lord noir.

Il s'exécutèrent sans un mot. À peine eurent t-il remis la capuche des capes qu'un peu plus d'une centaine d'homme, une centaine de loup garou ainsi qu'une armée de vampire arrivèrent.

-Mes fidèles serviteurs, mes alliés. Je vous ai convoqué pour rencontrer cette jeune personne, qui doit pouvoir entrer en contacte avec chacun d'entre vous pour éviter de vous attaquez à l'avenir. Déclare le lord noir sur un ton froid, donnant ainsi une raison de le faire sans révéler la vérité. Quand je donnerais vos noms, vous viendrez lui serez la main. Ordonna t-il.

Tous hochèrent la tête rapidement, bien que les loups-garous et les vampires se doutent que ce n'est pas la raison de cela. Au bout d'une heure, tous étaient passé et le lord s'adressa à Hermione, qui était assise par terre à force d'utilisation de son don et de ses « visions ».

-alors ? Dit-il froidement.

-Avery, Macnair, Carrow frère et sœur et Peter Pettigrow. Annonce t-elle.

-Que les cinq personnes cités s'approchent. Demanda le lord noir.

Il approchèrent et avant qu'aucun d'eux ne puisse dire un mot, le doloris tomba sur eux, les uns après les autres.

-Voila ce qui arrive a ceux qui me trahisse. s'exclama le lord avec une lueur mauvaise dans les yeux. Mettez moi ces choses au cachot, et avec un sort pour que le rat ne puisse s'évade. Ordonna le lord noir.

-Avery a transmit a Dumbledore que la bataille final aurez lieu dans 1 semaine. rajouta Hermione, voulant éviter des morts inutiles.

-nous allons donc changer nos plans. La bataille final aura lieu dans deux jours mes chers fidèles. Notre jour de gloire est proche, tous comme nos vengeances. Dit le lord noir. vous pouvez disposer.

Tous disparurent aussi rapidement qu'ils étaient arrivés, ne laissant que Lucius, Harry, les anciens griffons, le lord et spencer dans la salle.

-Deux jours, ça ne fait pas beaucoup de temps. Penses-tu que si je ne préviens pas Henry et Cameron, ils m'en voudront ? Demanda Harry a Spencer.

-Évidemment. Si tu ne préviens pas également Rossi, il t'en voudra lui aussi. Tous le monde t'en voudra tu sais. Ils tiennent tous a toi. Lui répondit Spencer.

-Bien je les appelle par cheminette. Charlie, peux tu venir avec moi cinq minutes ? Lui demanda Harry calmement.

-Bien sur. je te suis. Lui répondit-il surpris.

Ils sortirent de la salle et ne virent pas le sourire narquois des jumeaux ainsi que celui de son grand père qui le fit discrètement.

-Bien. Nous allons disposer aussi monsieur, si vous le voulez bien ? L'interrogea Hermione.

-Faites. Dit le Lord noir son regard fixé sur Spencer.

Tous disparurent et Spencer s'approcha du lord qui le prit dans ses bras en le serrant fort.

-J'ai peur Tom. je ne veux pas te perdre, ni perdre les autres.

-Je sais. J'ai également peur de te perdre ainsi qu'Harry. Mais c'est pour vous que je vais me battre, sans jamais abandonné. Lui dévoile doucement le lord noir.

-Fait moi l'amour Tom. S'il te plait.

-A tes ordre mon amour. Répondit le dit Tom en transplanant dans la chambre.

du côté d'Harry

Harry emmena Charlie dans une chambre dans des tons bleu. Il s'approcha de la cheminée et lança une poignet de poudre de cheminette, pendant que Charlie s'assit sur un fauteuil près d'un piano.

-Hotchner home. dit Harry.

-Ho, mon chéri. Comment vas-tu ? s'exclama une voix féminine.

-Je vais bien maman. Dis moi, est-ce que Papa et là ? Demanda Harry étrangement sérieux.

-Il est là, je l'appelle. Répondit-elle en voyant son sérieux.

Puis elle sortit sa tête de la cheminée et appela Aaron si fort qu'Harry l'entendit clairement malgré qu'elle ne soit plus dans la cheminée.

-« Ton fils dans la cheminée demande à te parler »

-J'arrive. Répondit une voix d'Homme beaucoup plus lointaine, voir si basse qu'Harry eut de la chance d'entendre, un homme finissant par arriver dans la cheminée.

-Bonjour papa. dit Harry.

-Bonjour mon grand. Alors que ce passe t-il ? Demanda l'homme.

-la bataille final aura lieu dans deux jours finalement. Je dois avouer que je ne voulais prévenir personne. Mais Spencer m'a fait remarqué le danger. C'est vrai que si je ne prévenais pas Henri,Cameron et David, ils vont plus que m'en vouloir. Ainsi, tu es au courant, et tu peux les prévenir. Surtout dit leurs bien qu'ils ne sont pas obligés de venir, que je suis même contre qu'ils viennent. Termina Harry en ricanant.

-D'accord. Harry, fait bien attention a toi, à ton grand-père et à Spencer. Nous ne voulons pas vous perdre tous les trois. lui répondit l'homme inquiet.

-Promis. a bientôt papa. Je vous aime tous. dit Harry tristement

-Nous aussi mon grand, à bientôt. Termina son père en se retirant de la cheminée.

-Harry nous allons forcement gagner. Nous ne pouvons pas perdre en le prenant par surprise. rassure Charlie en s'avançant pour prendre Harry dans ses bras.

-Merci Charlie. Remercie Harry relevant la tête vers lui.

-De rien. répondit Charlie en baissant la tête vers Harry pour que leurs lèvres se touchent.

Le baiser d'abord chaste se transforma rapidement en un baisé passionné. Ils se séparèrent à bout de souffle.

-Je t'aime. Déclare Charlie.

-...Moi aussi... j'ai su que c'était toi, que je voulais dès que je t'ai vu... lui répondit Harry avec un sourire. je... j'aimerais te faire écouter quelque chose.

-Je suis tout a ton écoute. Répondit Charlie avec une voix charmeuse.

Harry se leva et s'approcha du piano, qui attend qu'on l'utilise. Il s'assit, fait un signe à Charlie de s'assoir a côté de lui, puis il commence alors à jouer Tired Of Being Sorry (Laisse Le Destin L'emporter).

I don't know why

You want to follow me tonight

When in the rest of the world

With you whom I've crossed and

I've quarrelled

Laisse-toi tomber

Pour mieux renaître et être aimé

Tu cherches l'histoire à sauver

Sans plus chercher à t'excuser

Beneath the silver moon

Maybe you were right

But baby I was lonely

Quand ton cœur éclate

Laisse le destin l'emporter

We're all bloodless and blind

And longing for a life

Ose le meilleur

Et lève-toi sans avoir peur

Beyond the silver moon

Maybe you were right

But baby I was lonely

Quand ton cœur éclate

Laisse le destin l'emporter

I'm standing in the street

Crying out for you

A toi d'exister

Seul face à la nuit

So far away

A tout jamais

I've trashed myself

I've lost my way

I've got to get to you

Je serai là pour nous

Maybe you were right

But baby I was lonely

Quand ton cœur éclate

Laisse le destin l'emporter

I'm standing in the street

Crying out for you

A toi d'exister

Seul face à la nuit

-C'est très joli. Dit Charlie.

-c'est là toute première chanson que j'ai appris a joué. Déclara Harry avec un sourire.

Les deux jours passèrent très rapidement, et bientôt ce fut l'heure d'aller ce battre pour un avenir meilleur.

-Le jour est venu. Montrez au monde qui sont les plus fort. À la fin de cette bataille, Poudlard nous appartiendra.

-ouai. Crièrent tous les mangemorts en levant leur baguette vers le ciel.

Quand le lord transplana, tous le suivirent sans attendre. Ils se retrouvèrent devant les grilles de Poudlard où les attendait Severus Rogue pour leurs ouvrir le portail. Une fois le portail ouvert, tous entrèrent dans le parc de Poudlard sans attendre. Le directeur sortit rapidement dans le parc pour voir l'armée devant lui. Son visage se changea pour montrer un visage de rage pur et simple.

-Rogue ! Tu n'es qu'un traitre. Cria quelqu'un derrière Dumbledore.

-et c'est là qu'on voit votre intelligence légendaire... on ne peut être un traitre si on n'a jamais été d'accord avec votre camp. Réplique Rogue sarcastique.

-Que mes fidèles me rejoignent. Ordonna le lord noir avec un sourire en coin.

Des personnes du camps de Dumbledore avancèrent rapidement. D'abord les jumeaux Weasley avec Charlie, Hermione les suivit rapidement. Bill, Arthur, les suivent par la suite après s'être regarder en coin. Mcgonagall et Mme Pomfresh suivirent les Weasley, ayant depuis longtemps décidé de quitter Dumbledore dès que cela serait possible. À peine furent-il arrivés derrière le mage noir qu'un sort venant des rang de Dumbledore se dirigea vers les mangemorts, commençant ainsi la bataille.

Le parc de Poudlard devint rapidement un champs de cadavre et de blesser. Ron, qui se battait contre Harry, lui lança :

-Tu sais que tu défends le meurtrier de tes parents. Ils auraient honte de t'avoir pour fils, monsieur le survivant. Même moi je suis meilleur que toi. Lança t-il sur un ton arrogant.

-Vraiment ? Tu as l'air si sur de toi. Répliqua t-il en lui lançant un Sectumsempra, qui le toucha sur le bras qui tenait la baguette. Regardes toi par terre. Crois-tu vraiment être meilleur que moi sale voleur ? Je ne vais même pas prendre le temps de te tuer pour deux raisons. La première, tu es faible et inoffensif maintenant, sans ton bras et ta baguette. Fit Harry qui désigna la baguette brisée au sol. La seconde, c'est pour Charlie et les jumeaux. Je voudrais pas perdre d'aussi bon allié que les jumeaux, ni même toute mes chances avec Charlie à cause de toi. Bien adieu Weasley.

Harry le planta là et alla aider Henri, qui été en difficulté plus loin en prise avec Tonks. Plus loin, se battaient Tom et Dumbledore. Le second s'épuisant vite, à cause de son âge. D'un habile mouvement du poignet, le lord noir l'entrava, lui prit sa baguette et le menotta avec des menottes anti-magie, avant de crier :

-Dumbledore est vaincu. Rendez-vous et la guerre sera fini.

Tous comprenant que c'était fini, et les plus « têtu » étant battu, lâchèrent leurs baguettes rapidement pour ne pas se prendre d'autre sort. Ils se laissèrent attacher les

poignets par les mangemorts et emmener la tête baisser. Tous rentrèrent au château pour soigner les blessés et mettre les prisonniers aux cachots. Tous allèrent se reposer par la suite. Le lendemain, quand tous furent réunis, le lord noir prit la parole :

-Hier, nous avons vaincu. Alors aujourd'hui, une nouvelle ère commence. Déclara le lord noir. Je ne deviendrais pas un Poufsouffle, mais je vous remercie tous pour avoir mis leurs vie en jeu. Pour que cette nouvelle ère commence, il faut juger les prisonniers.

Tous furent surpris et fière du discours du lord noir et de ses remerciements. Les prisonniers défilèrent donc devant le lord. Une dizaine fut tué, risquant s'ils retournaient en liberté de créer une nouvelle guerre. Les autres se soumettent ou promettent de ne pas s'en prendre au régime ni aux autres sorciers, à moins qu'ils soient attaqué en premier. Et enfin, vint le procès de Dumbledore.

-Dumbledore, vous avez commis beaucoup trop de crime pour que l'on vous pardonne. De toutes façon, il y a aucune chance que vous acceptiez de vous soumettre. Vous êtes donc condamné à mort, une dernière volonté ? Demanda le lord noir, poussé par Spencer.

-Une tasse de thé et un bonbon au citron. Déclara Dumbledore avec un sourire assez triste, surement de ne pas pouvoir gouverner.

-Bien qu'on lui apporte. S'exaspéra le lord noir, voyant que son ancien professeur était bel et bien fou.

Ce que Dumbledore avait demandé lui fut apporté. Il but son thé lentement et ouvrit son bonbon. Mais avant même qu'il ne puisse le manger, il se crispa, une main sur le cœur et tomba en arrière. Tous le regardèrent les yeux rond, quand un murmure qu'on entendit dans le silence raisonna.

-il est mort. Murmura Severus, mais tout le monde l'entendit.

-C'est une blague n'est ce pas ? Demanda Harry, énerver de ne pas avoir sa vengeance.

-Non, ce n'est pas une blague. Depuis le temps que madame Pomfresh le prévenait, il a fallu qu'il est une crise cardiaque alors qu'il venait d'être condamner à mort. Répondit Severus sidérer, qui avait la baguette dirigé vers Dumbledore.

Après qu'il est expliqué ce qui l'avait tué, personne ne dit plus rien, étant tous sous le choc de cette fin étrange.


Voila ici s'achève cette histoire, je m'excuse encore du temps de publication extrêmement long mais comme expliqué en haut j'ai plusieurs choses qui me prenne mon temps. Je vous avoue que cette histoire fini brusquement car je ne savait pas trop comment la finir voila j'espère qu'elle vous aura plus et vous dit bientôt pour la suite de mes autre histoire.