Titre : Aventure et sentiments.

Auteur : Seth Bedhit.

Type : Aventure, yaoi, lemon.

Couple : HoroRen, …

Disclaimer : Les personnages de Shaman King ne sont pas à moi, malheureusement, mais à Hiroyuki Takei.

Note : Le chapitre 2 a été modifié. Je vous conseille de le relire pour voir les changements. Laissez-moi vos avis.

Réponses aux reviews :

Voilà, après presque 1 an (honte sur moi), je vous livre la suite de cette histoire. Merci pour vos gentils messages, ça fait toujours plaisir. Bonne lecture et continuez ainsi.

Chapitre 3 : Des visiteurs inattendus.

Ren était sous la douche, l'eau claire coulant en cascade le long de son magnifique corps, détendant ses muscles après une journée d'entraînement intense. Il aurait aimé qu'Horo soit là, avec lui, afin de le masser, chose qu'il faisait agréablement bien. Mais cela faisait déjà une semaine qu'il était parti et il n'avait toujours pas envoyé de ses nouvelles.

Le jeune Chinois sortit de la salle de bain sans même prendre la peine de s'habiller, gardant uniquement avec lui une serviette pour sécher ses cheveux. Il ramassa le courrier devant la porte et regarda frénétiquement s'il n'y avait pas une lettre d'Horo. Mais, comme il s'y attendait, il n'y avait toujours rien. Par contre, une enveloppe attira son attention. Il l'ouvrit et y découvrit une lettre rédigée en anglais. L'expéditeur, un ami que Ren serait heureux de revoir, annonçait sa prochaine arrivée en Chine pour la promotion de son premier roman… Enfin, sa prochaine arrivée au moment où il avait écrit le courrier, parce que la date de sa venue était le jour même. Ren regarda la pendule. Il lui restait une demi-heure avant l'arrivée du train. Il fila dans sa chambre, jeta les lettres sur le bureau et s'habilla en vitesse, enfilant un jean bleu et une chemise blanche, avant de se ruer hors de l'appartement.

Il arriva à la gare en même temps que le train, juste au bon moment pour accueillir son ami. Il le vit approcher un grand sourire aux lèvres et Ren se sentit envahir par la joie.

- Ren !

- Lyserg !

Le jeune Anglais lui sauta au cou. Ren fut un peu embarrassé, parce qu'il ne s'attendait pas à cette réaction. Mais il se décida quand même à le serrer contre lui, rendant le jeune écrivain encore plus heureux.

Durant le trajet qui les amenait chez Ren, les deux amis discutèrent de leurs vies, des changements qui s'étaient produit depuis la dernière fois qu'ils s'étaient vus, mais le Chinois ne dévoila rien de sa relation avec l'Aïnou. La conversation continua tout le début de soirée, tant il y avait à dire. A la tombée de la nuit, les garçons décidèrent de sortir manger un morceau. En passant le seuil, Ren remarqua qu'il avait oublié de cacher les photos qui le montraient en compagnie d'Horo. Cependant, Lyserg ne montrait pas les signes inhérents à ceux qui font habituellement cette découverte, c'est-à-dire mitraillage de questions, incrédulité et incompréhension. C'est la raison qui poussait Ren à garder Lyserg dans l'ignorance. Moins il en savait, mieux ils se portaient.

Ils rentrèrent tard, relativement épuisés par leurs journées et la question du coucher se présenta.

- Je suis désolé Lyserg, mais pour cette nuit, je n'ai qu'une proposition à te faire : celle de partager mon lit.

Il s'attendait à un refus catégorique et fut bien surpris par la réponse. C'est avec un sourire jusqu'aux oreilles que Lyserg répondit.

- Aucun problème. Ca me convient parfaitement.

Le jeune Chinois guida son ami jusqu'à la chambre et se prépara à aller au lit. Tout en tournant le dos à Lyserg, il se déshabilla totalement. Mais l'Anglais ne le quittait pas des yeux, hypnotisé par ce fascinant spectacle. D'un autre côté, il ne savait pas quoi faire. Finalement, après un instant d'hésitation, il imita Ren et le rejoignit sous les draps, totalement nu.

Depuis une semaine, Ren commençait à être en manque de relation sexuelle. Au vu de la situation, il savait qu'il devait éviter Lyserg à tout prix, sans quoi… Mais dans cette décision, il ne prenait pas en compte les sentiments de Lyserg, pas plus que le fait que le jeune Anglais se cherchait et qu'il était prêt à tout essayer.

Simple fruit du hasard, ou plan soigneusement préparé, tout commença banalement. Tandis qu'il cherchait le sommeil, Ren sentit le corps de Lyserg collé au sien et le bras de ce dernier posé sur son flanc. Mais il ne réalisa ce qu'il se passait qu'au moment où ce bras bougea, positionnant la main au niveau de sa verge. A la première caresse, Ren sentit sa volonté fondre comme neige au soleil. Mais Lyserg ne s'arrêta pas là. Il massa maladroitement le pénis bandé avant de caresser son entrejambe du bout des doigts. Puis sa main se retira, tel un serpent. Le jeune Chinois soupira de soulagement, d'autant plus que le contact disparu. Mais la suite ne fit qu'empirer les choses.

- Ren… Fais moi l'amour.

L'interpellé n'esquissa pas le moindre signe.

- Ren, s'il te plait, regarde moi.

Le Chinois obéit, mais le regretta bien vite. A peine retourné, il découvrit le corps nu de Lyserg agenouillé à ses côtés, et c'était un corps plutôt plaisant à regarder. Il commit une dernière erreur, celle de lever les yeux vers le visage de l'Anglais. Il avait son regard triste qui faisait qu'on ne pouvait rien lui refuser et, d'une voix presque suppliante, il demanda :

- Ren, fais moi l'amour.

C'était la fin. Ses dernières barrières tombèrent. Il se redressa et embrassa Lyserg, tendrement pour ne pas le brusquer et longuement pour l'habituer. Ils se séparèrent et Ren prit la parole.

- Je ne sais pas si…

Sans lui laisser le temps de finir, Lyserg l'embrassa. Ce fut le début d'une longue nuit d'amour… 1


Voilà déjà quelques jours qu'Horo avait quitté Tokyo et encore plus qu'il était parti de Chine… Ren lui manquait terriblement. Que ne donnerait-il pas pour rentrer, pour pouvoir le prendre dans ses bras, pour sentir son parfum de lotus. Mais il ne pouvait pas. Pas tant qu'il n'avait pas retrouvé Hao, comme il l'avait promis à Yoh. Mais où chercher ? Il avait déjà visité plusieurs villages, interrogé des dizaines de personnes, mais toujours aucune nouvelle. Cela faisait depuis le matin qu'il marchait et il n'y avait pas la moindre maison en vue, rien. Il décida donc de monter sa tente à l'abri des arbres afin de passer la nuit à cet endroit. Après un rapide repas, il s'installa dans ses couvertures et sombra vite dans le sommeil.

Au milieu de la nuit, Horo se réveilla brusquement pour une raison inconnue. Il resta assis dans ses draps, silencieux, à l'écoute du moindre bruit. Et il découvrit l'origine de son trouble : une sourde mélopée semblait montrer des bois alentours. Il prit alors rapidement une décision, remballa ses affaires et partit en direction de cette musique.

Il se rendit vite compte de la stupidité de sa décision : traverser une forêt obscure en pleine nuit, sans lumière, est une épreuve peu facile, même pour un shaman. Finalement, il parvint tant bien que mal à la source de cette envoûtante mélodie. C'était un petit hameau composé de quelques rares maisons qui lui rappelaient le style architectural aïnou. Pour avoir une idée plus précise de sa situation, il décidé de se rapprocher et pénétra dans le village.

En son cœur se trouvait une petite place sur laquelle semblait avoir lieu une sorte de cérémonie. Afin de ne pas la troubler, Horo resta en retrait. Mais il était tellement absorbé par le spectacle qui s'offrait à lui qu'il ne sentit pas l'ombre qui s'approchait par derrière…

- Yôkoso ! 2

Horokeu se retourna, surpris. Il découvrit, face à lui, une jeune femme qui lui souriait.

- Qu'est-ce qui vous amène chez nous aussi tard ?

- Je dormais à la lisière du bois et j'ai entendu de la musique, alors je suis venu.

- Et vous avez bien fait !

Tout en disant cela, elle le prit par la main et l'entraîna vers la danse. Elle le fit s'asseoir sur un tronc et lui fourra un bol de fruits secs entre les mains avant de s'installer à côté de lui.

- Alors, quel est ton nom ?

- Horok… Horohoro.

- Je vois… Et que viens-tu faire dans notre village ?

- Je suis à la recherche de quelqu'un… un ami.

- Et tu ne sais pas où il est ?

- Non. Mais je pense qu'il doit se trouver dans les environs.

- Et comment est-il ?

- Il a mon âge, à peu près ma taille, de longs cheveux bruns…

- Oh ! Tu parles de Hao-kun.

- Vous le connaissez ?

- Oui. Je te conduirais à lui demain, si tu veux.

Finalement, voilà qu'après une semaine de voyage, il l'avait retrouvé et uniquement grâce à la chance. Mais ce qui comptait c'était le résultat. S'il arrivait à le convaincre de le suivre, dans au plus trois jours, il serait avec Yoh. Ca valait le coup d'essayer.

- Tu as une petite amie ?

La question le prit de cours.

- Pardon ?

- As-tu une petite amie ?

- Non… Pourquoi me demandez-vous ça ?

- Parce que tu sembles plaire à la petite Lou… Elle doit à peu près avoir ton âge.

- Et ?

- Comme tu es aussi un Aïnou, j'ai pensé que…

- Désolé, mais je ne suis pas libre.

- Pourtant tu as dit que … !

- …

- Tu veux dire que…

- … j'ai un copain qui m'attend chez moi.

Le reste de la soirée passa silencieusement et finalement, ce fut l'heure de se coucher. Horo reçut un futon dans une des maisons et s'endormit profondément.

Le lendemain, il mangea un rapide petit-déjeuner avant de sortir sur la place. Il repéra la jeune femme de la veille et la rejoignit avant de partir, silencieusement, à sa suite vers la forêt. Ils marchèrent quelques temps et finirent par arriver à une cabane.

- C'est ici.

Puis, sans autre forme de procès, elle repartit vers le village. Horo observa les alentours. C'était une petite clairière recouverte d'herbe fraîche. Un petit ruisseau d'eau claire la traversait avant de se perdre dans les taillis touffus qui séparait ce lieu de paix de la forêt. Les rayons du soleil matinal descendaient sur la maisonnette qu'Horo contourna. Modeste, elle semblait loin d'être confortable, ce qui amena tout un tas de questions au cerveau de l'Aïnou.

- Horokeu Usui.

L'interpellé se retourna, surpris.

- Ainsi, c'est donc bien toi… Hao.

Le jeune garçon l'observait avec une vigilance accrue.

- Que fais-tu ici, seul ?

- Et si on allait s'asseoir ?

Hao le suivit, lentement, méfiant, puis vint s'asseoir face à lui.

- Alors ?

- Je suis revenu pour te ramener à Tokyo.

- Les Asakura…

- Non. Ton frère.

- Yoh !

- Oui. Depuis ta « mort », il en est malade. A mon avis, tu es le seul qui pourra lui redonner le sourire.

- Vraiment ?

Hao semblait captivé par les paroles d'Horo, comme si quelque chose en lui s'était soudain réveillé.

- Lorsque je vois comment ton ikupasi à agit sur lui, c'est certain.

- Tu as donc deviné… J'aurais du m'en douter.

Les deux garçons restèrent un moment silencieux, Hao réfléchissant aux paroles de l'Aïnou, ce dernier l'observant tout en étant envahi de questions.

- Comment se fait-il que tu sois ici, vivant ?

- Je ne sais pas. Je me souviens juste avoir erré un moment entre les deux mondes avant de me réveiller ici, dans mon corps bien vivant.

- Alors pourquoi ne pas avoir repris ta croisade ?

- … J'ai… J'ai perdu mes pouvoirs de shaman.

- Vraiment ?

- Oui. Mais j'ai l'impression d'avoir retrouvé mon âme. Je suis à nouveau capable d'avoir des sentiments autres que la haine.

- Oh ! Je vois… Et je te crois. Tu sembles vraiment avoir changé. Ce sera bien pour Yoh.

Tout en disant cela, un grand sourire ornait son visage.

- Bien, et si nous y allions. Ils doivent s'impatienter à Tokyo.

- Attendons demain. J'ai encore des choses à faire.

- Comme tu veux.

Horo s'allongea dans l'herbe, contemplant le ciel, laissant Hao vaquer à ses occupations.

C'est dans l'après-midi que la quiétude d'Horo fut troublée. Un chant mélancolique s'élevait quelque part dans la clairière et attira son attention. Touché en son âme par la beauté de cette douce voix, il partit à sa recherche. C'est ainsi que ses pas le guidèrent u sommet d'une petite colline surplombant le ruisseau et la cascade qui lui donnait naissance. Et c'est précisément cet endroit qui était à la source de la douce mélodie chantée par la créature qu'Horo soupçonna être une naïade, noble nymphe des rivières. C'est pourquoi il fut surpris d'y trouver Hao…

Le jeune garçon était entièrement dévêtu, son corps à moitié plongé dans l'eau. Horo ne put retenir l'émerveillement qu'engendrait un tel spectacle, ses yeux captivé par la magnificence que dégageait Hao à ce moment précis : son corps finement taillé, ses muscles roulant sous sa peau halée, parsemée de fines gouttelettes d'eau, luisant comme un millier de perles sous le soleil, ses longs cheveux coulant en cascade sur ses épaules, son regard de braise…

Il sortit de la rivière avec une grâce angélique et constata la présence du jeune Aïnou auquel il lança un sourire charmeur. Ce dernier se laissa tomber derrière la colline, rougissant de honte et de gêne pour avoir assisté à un tel spectacle, son cœur battant à tout rompre. A peine remis de ses émotions, il tenta un furtif coup d'œil. Mais Hao n'était plus là. Tout était calme. Comme s'il ne s'était rien passé. Comme s'il s'était agit d'un rêve… 3


Ren se réveilla enfin de sa nuit passée avec Lyserg. Assis dans son lit, seul, il avait le regard vague, plongé dans ses pensées, dans ses regrets. Il finit par se lever et s'habilla avant de rejoindre la cuisine. C'est là qu'il découvrit son ami, amant d'une nuit, aux fourneaux.

- Ren-chan !

Lyserg lui sauta au cou et l'embrassa, mais Ren le repoussa.

- Qu'y a-t-il ?

- Pour cette nuit, toi et moi, ça a été une erreur.

- Comment ça ? Tu n'as pas aimé ?

Le jeune anglais était au bord des larmes.

- Bien au contraire ! Le problème n'est pas là. Mais mon cœur est déjà pris. J'aime Horo et pour lui, je n'aurais pas du.

- Mais je t'aime moi !

C'était dur pour Ren. Il ne supportait pas d'imposer une telle épreuve à son ami.

- Je ne crois pas… et toi non plus. Un jour tu comprendras.

- Ren !

Le Chinois serra son ami dans ses bras, le berçant tendrement.

- Lyserg, je suis désolé… Tout est de ma faute. Pourras-tu seulement me pardonner…

- Tant que tu ne me laisses pas tomber. Tant que nous restons amis…

- Jamais je ne te laisserais tomber, jamais. Je t'en fais le serment.

Ils restèrent ainsi, dans les bras l'un de l'autre, hors du temps présent, dans un besoin mutuel de chaleur et de réconfort. Ren fut le premier à rompre cette union, déposant un tendre baiser sur le front de son ami, essuyant ses larmes.

- Je te préfère quand tu souris.

Il le regarda dans les yeux, tiraillé par de multiples sentiments.

- Il faut que je te dise. J'ai pris une décision importante. Je compte rejoindre Horo, à Tokyo.

- Mais et ta vie ici ?

- Au diable tout ça, il est bien plus important à mes yeux. Mais la question est, m'accompagneras-tu ?

- …

- Peut-être que tu rencontreras quelqu'un…

Lyserg eut un grand sourire auquel Ren répondit joyeusement.

- Je suppose que ça veut dire oui. Nous partirons donc cette après-midi ! Et si nous mangions, j'ai faim moi !


La nuit venait de tomber sur la clairière. Hao avait allumé un feu, sans même avoir recours au Spirit of Fire, son esprit de jadis, qui semblait avoir disparu. Il était devenu ce qu'il avait toujours haït plus que tout, un faible humain. Rien de plus. Le seul lien qui l'unissait encore au monde des shamans était sa capacité à voir les esprits.

- Je sais que ça doit être dur pour toi, mais vois le bon côté des choses, tu es redevenu quelqu'un de bien.

Hao lui jeta un regard noir.

- Ce n'est pas ce que je voulais dire… Au fond, j'ai toujours pensé que tu avais raison, mais que tes méthodes étaient mauvaises.

- Vraiment ?

- Oui… Je comprenais tes motivations, même si je ne partageais pas ton avis. C'est pour ça que je veux t'aider aujourd'hui.

Hao sourit.

- Merci… Il a vraiment de la chance de t'avoir.

- Qui ?

- Ne joue pas l'innocent, tu sais très bien de qui je parle. Tao Ren.

- Comment…

- N'oublie pas que j'ai été le prétendant au trône… et puis j'ai entendu ce qui se dit au village.

Horo rougit.

- Bon, c'est pas tout, mais nous devons partir tôt demain. Il est temps d'aller se coucher. Je t'ai préparé un futon dans la cabane.

Horo se réveilla en sursaut. Une terrible explosion venait d'avoir lieu non loin de la cabane. Hao sortit de sa chambre, totalement nu, ce qui ne sembla pas le gêner, avant de filer hors de la maisonnette. Horo le suivit rapidement, à peine plus vêtu.

Une épaisse fumée brouillait la vue, empêchant de voir un mètre devant soi. Horo cherchait son nouvel ami lorsqu'un cri retentit non loin de lui.

- Toi !

C'était une voix haineuse, celle d'Hao. Horo couru vers lui, inconsciemment. Une force le renversa aux côtés d'Hao qui gisait, inanimé, dans l'herbe. Il se sentit alors vidé de son furyoku, sombrant dans un abîme insondable. Il ne se souvint plus que d'une chose avant de s'évanouir :

- Lui aussi ?

- Oui.

Ainsi que la vision d'un masque d'oiseau…

A SUIVRE…

Seth – Tiens, c'est qui lui ?

Yoh – Lyserg.

Seth – Je le connais pas.

Yoh – C'est pas grave, il est avec Ren.

Seth – Ah…

Ren – Kisama ! Ne raconte pas de connerie ! Je suis qu'avec Horo.

Seth – Ah !

Yoh – Tiens, on dirait qu'il te fait un signe.

Seth – Tu es sûr ?

Yoh – Oui.

Seth (grand sourire)

A SUIVRE…

1 : Désolé pour ceux et celles qui bavaient déjà, mais pas de lemon. ;-) Deux en trois chapitres, ça ne ferait pas sérieux. Je ne fais pas dans le porno. :p

2 : Bienvenue, en japonais.

3 : Partie totalement inutile pour le scénario… Mais j'avais envie de l'écrire. :D