Ch 12 : La Décision?

-Bon ben désolé, dit Ginny une foi que le choc fut passé.

-Désoler de quoi?

-Ben je présume que tu espérais arriver en finale, et je vais devoir te battre, lui dit-elle en souriant.

-C'est pas drôle.

Un silence religieux s'installa, les laissant seuls avec leurs pensées.

-Harry, fais moi une promesse.

-Laquelle?

-De te donner à fond dans notre combat. De ne pas retenir tes coups, de te battre comme contre Smith.

-Mais Ginny…

-Promes moi Harry

Devant son regard dur mais suppliant à la foi, Harry ne put que craquer

-Je te le promets.

-Merci. Aller, on devrait aller dormir si on veut partir à l'heure pour le terrier demain.

Ils remontèrent vers la salle commune, se dirent bonne nuit. Mais lorsque Harry commença l'ascension des marches de son dortoir, il fût retenu par le bras.

-Harry, tu veux bien qu'on dorme ensemble?

-Bien sur, comment résister à une si belle invitation!

Alors que Ginny commençait à monter vers le dortoir masculin, ce fut Harry qui la retint.

-Non, j'ai une surprise, suis moi.

Il la conduisit ensuite dans un dédale de couloir et arriva devant une tapisserie représentant l'épée de Godric Griffondor. Il tapota le tissu avec sa baguette, la fit disparaître, révélant un tableau de Godric.

-Grand Père?

-Oui Harry? Dit le portrait qui venait de se réveiller.

-Ca te dérange si Ginny et moi dormons dans la chambre?

-Bien sur que non, tu sais bien que ce sont tes appartements.

-Merci

Le portrait pivota alors, laissant entrer Harry et Ginny. La nouvelle pièce était en faite un salon de belle taille, muni de grands divans en velours rouge. Les murs étaient recouverts de tapisseries luxueuses, rouge et or, de plusieurs tableaux et des armoiries des Griffondor. Une belle cheminée donnait à la pièce une douce chaleur apaisante. Cinq autres portes étaient présentes dans la salle. Harry fit visiter les autres pièces, deux chambres vides, une petite salle à manger, une salle d'entraînement avec une estrade de duel et la dernière porte donnait accès à leur salle de cours avec Griffondor.

-Alors, ça te plait? Demanda Harry

-Bien sur, et ça t'appartient?

-En faite, ces appartements sont à la disposition des héritiers de Godric. Helga Poufsouffle, Rowena Serdaigle et Salazar Serpentard ont également créé des endroits identiques. Enfin, on a détruit celui de Serpentard lors de notre petite escapade il y a quatre ans.

Harry comprit tout de suite que ses mots avaient attristés Ginny. Elle n'arrivait toujours pas à surpasser ces souvenirs malgré la grande force morale dont elle faisait preuve habituellement. Voyant son erreur, Harry ne s'attarda pas sur ce point.

-Et je me demandais si tu voulais venir vivre ici avec moi plutôt que dans nos dortoirs? Je vais également le proposer à Hermione et Ron.

-Bien sur que je veux, dit-elle en lui sautant au cou.

-Alors c'est d'accord, on en parlera à Dumbledore, MC Gonnagal et tes parents.

-Ma mère?

Ben oui, tu vas quand même dormir hors de ton dortoir, elle doit le savoir.

-Mouais, si tu le dis, acquiesça Ginny

Ils se dirigèrent vers une des deux chambres. Harry stoppa Ginny et lui expliqua:

-Bon, la chambre marche avec le même fonctionnement que la salle sur demande. Tu dois visualiser comment tu souhaites la chambre, je le ferai aussi et lorsque je dirai l'incantation, nos désirs se figeront. Et si on veut changer quelque chose, on devra recommencer. Tu as compris?

-Bien sur,Tu me prends pour quoi?

-Allez, on y va, concentre toi et serre ma main quand tu es prête.

Harry pensa à ce qui serait pour lui la chambre idéale. Lorsqu'il sentit la main de Ginny serrer la sienne, il dit :

-Moi, Harry James Potter, héritier de Godric Griffondor, prend possession de cette chambre accompagnée de Ginevra Weasley.

Il posa sa main sur la porte qui se teinta de rouge, et laissa entrer Ginny.

Cette fois-ci, Ginny ne fut pas la seule à être étonnée. La grande pièce comportait maintenant deux belles fenêtres en forme de croissant de lune, imbriquées dans des murs d'une couleur pourpre, muni d'une frise dorée. Un grand lit gracieux (avec matelas à eau) arborant les emblèmes Griffondor, Potter et Weasley sur sa devanture. De multiples cadres représentant des photos de Harry, Ginny, Ron, Hermione ou même la famille Weasley au complet, les parents de Harry, Sirius, Lupin, Hagrid, Dumbledore et Godric. En faite, des photos des gens qu'ils aimaient. Dans une vitrine se trouvaient diverses reliques de Griffondor : L'épée qui avait permis à Harry de sauver Ginny, une gourmette au nom de Godric, une baguette magique et une pensine. Un placard à balai, une petite bibliothèque, une petite table basse et deux sofas. La pièce était un savant mélange entre les besoins de racines de Harry et de confort de Ginny. Après avoir terminer le tour du propriétaire, ils se déshabillèrent, se mirent au lit et ne purent s'empêcher de faire l'amour une seconde fois dans la soirée.

Après leur réveil, ils se douchèrent dans leur nouvelle salle de bain et partirent déjeuner. Ils expliquèrent à Ron et Hermione leur intention de vivre dans les appartements de Griffondor. Ce qui ravit le second couple et après avoir obtenu l'accord du directeur et de MC Gonnagal, ils déménagèrent leurs affaires.

Le repas du réveillon au Terrier fut comme à son habitude délicieux. Harry reçut de Ginny une chevalière en argent frappée d'un lion. En la mettant à son doigt, Harry ressentit une douce chaleur l'envahir. De Ron, une paire de gant d'attrapeur, de la part d'Hermione, un vif d'or comme celui que possédait son père, de Hagrid, un livre sur les dragons, de Dumbledore et des membres de l'ordre du phénix un abonnement à quidditch magazine, l'habituel pull de Mrs Weasley et un album photo des maraudeurs de la part de Lupin.

Harry demanda le lendemain à parler avec Molly et Arthur :

-Pourquoi voulais-tu nous parler Harry, demanda Mr Weasley

-Voilà, je ne sais pas si vous le savez, mais je suis l'héritier de Godric Griffondor.

-Heu, nous l'ignorions, s'étonna Arthur

-Et ce dernier, comme tous les fondateurs avait créer des salles où seuls ses héritiers pourraient entrer. J'ai donc découvert une bibliothèque où un portrait de Griffondor, mon grand père, peut nous parler.

-Normal, c'est un ancien directeur de Poudlard, dit Arthur

-Il nous a donc donné des cours et aider dans nos études. Mais j'ai également des appartements à ma disposition. Il y a une salle à manger, une salle de bain, un séjour, une salle d'entraînement et deux chambres.

-Et tu te demandes si on accepterait que Ron et Ginny y vivent avec toi, ajouta Mr Weasley avec un sourire.

-Heu, oui c'est ça. Ginny et Hermione prendraient une chambre et Ron et moi une autre.

-Dans ces conditions cela me semble convenable, dit sèchement Molly

Harry aperçut Mr Weasley lui faire un clin d'œil qui le fit rougir.

Avant que les deux adultes ne partent, il ajouta :

-Ce n'est pas tout. Voilà, vous avez toujours été là pour moi, vous m'avez accueillit comme votre fils. Chez vous je me suis senti aimé comme nulle part ailleurs, et je ne pourrais jamais vous remercier assez pour ça.

Les Weasley étaient ébahis alors qu'une larme creusait un sillon sur la joue de Harry.

-Et donc même si ce n'est que matériel, je me disais que je pourrais vous léguer la maison Square Grimaud. Vous pourriez la vendre si vous le vouliez, car je sais que cette maison est horrible et que le Terrier est beaucoup mieux. Ne pensez pas que c'est de la pitié, j'essaie juste de vous rendre un peu de ce que vous m'avez donné.

Un long silence s'installa.

-Harry, nous avons fait tout ça de bon cœur, nous t'aimons, dit Mrs Weasley

-Je le sais bien, c'est justement pour ça que je veux vous remercier, car c'était de l'amour.

-He bien, je te connais assez bien pour me douter que ta décision est déjà prise, dit Mr Weasley

-Oui, l'ordre est déjà envoyé à Gringots, admit Harry, le 28 vous deviendrez propriétaire. Sauf si vous ne voulez vraiment pas.

Pour toute réponse, ils se serrèrent dans leurs bras et pleurèrent tous les trois, comme si chaque larme était là pour fixer leurs sentiments.

Le matin du 28, Harry, Ginny, Ron, Hermione et Bill furent accompagnés par Maugrai Fol Œil habilement déguiser. Ils avaient prévus de faire un détour par le Londres moldu pour s'acheter de nouveaux vêtements. Ils prirent la poudre de cheminette jusqu'au Magasin de Fred et George, et après avoir salué ses propriétaires, ils se dirigèrent vers la banque. Une fois entrés, Bill se dirigea vers l'accueil et deux minutes plus tard, un gobelin leur demanda de le suivre. Ils les emmenas dans un bureau, prit un dossier assez épais et commença à le lire en silence. Harry ne savait pas que faire, mais Bill lui fit comprendre d'un signe de tête de patienter. Cinq minutes plus tard, le gobelin prit la parole.

-Tout d'abord, je vous annonce que Mr Black a été réhabilité. Une annonce sera faite officiellement dans la gazette de demain je pense. Or, Mr Black avait fourni à la banque un testament vous désignant comme son seul et unique hériter. Vous bénéficiez donc dès aujourd'hui de la somme de 26.439gallions, 12mornilles et 3noises et du bâtiment au 12 Square Grimaud. Nous avons bien reçut votre demande par écrit et le 12 Square Grimaud est donc propriété de Mr Arthur Weasley à partir de ce jour. Il nous reste donc à discuter des frais d'héritage dont bénéficie la banque. Nous suggérons la somme de 2.500 gallions.

Avant que Harry n'eut put répondre quoi que se soit, Bill posa une main sur sa cuisse pour lui demander de se taire.

-Je pense que le fait que Monsieur Potter soit un fidèle client de Gringot's lui permettrait d'obtenir une réduction.

-Bien sur, nous avions prévu cela et avons décidé de diminuer la somme à 1750 gallions. Nous transférerons le reste de l'héritage sur le compte de Mr Potter. Cela conviendra-t-il?

-Oui, cela nous semble très correcte.

Harry dût signer une dizaine de papiers après que Bill les ait lût les uns après les autres.

-Voilà, nous pouvons donc maintenant passer au cas Potter-Evans. Cela s'avère plus délicat. En plus de l'argent disponible depuis 16 ans sur votre compte, vos parents vous ont laissé la somme de 63.219gallions et 12noises, la maison de Godric's Hollow, un appartement dans le Londres moldu au 198 Evergreen Terace, et du manoir Potter dans le Sussex dont la banque n'a jamais pût connaître l'adresse exacte.

-Mais comment pourrais-je le trouver alors? S'étonna Harry

-D'après votre père, tout serait éclairci dans une lettre qui vous est destinée et qui constitue la dernière partie de l'Héritage. La difficulté réside dans le fait que tous ces biens étaient désignés comme votre propriété mais sous la garde de feus Mr Black jusqu'à votre majorité. Cette tutelle n'étant plus possible depuis que Mr Black fut déclaré hors la loi, la banque a scellé ces biens en assurant donc la garde jusqu'à votre majorité. Vous en êtes donc propriétaire mais vous ne pourrez en prendre possession qu'à partir 1er juillet, date de votre 17ème anniversaire.

Cela étant, l'importance de cette somme nous a engendré des frais assez important, de par sa gestion et sa durée.

-Certes, mais cette somme importante à donc été mise à disposition de la banque durant cette longue durée, intervint Bill

-Exact, dit le gobelin d'un air surpris, nous avions donc estimé la part de la banque à 5.200Gallions mais suite aux arguments que vous avez mis en avant, nous devrons donc revoir cette somme à la baisse je présume.

-Vous présumez bien.

-Vous avez une proposition à nous faire?

-Je pense que 2.500gallions et l'assurance que Mr Potter restera dans votre établissement devrait suffire.

-Comprenez que dans les circonstances actuelles, nous ne pouvons pas permettre de laisser de telles sommes.

-Comprenez également que nous pourrions rapidement avoir un rendez-vous avec Mr Bargniok.

A l'entente de ce nom inconnu de Harry, le gobelin fusilla Bill du regard mais dit calmement :

-Nous serons donc d'accord sur la somme de 2500gallions.

Après avoir signer les nouveaux papiers, Bill expliqua à Harry que Bargniok était un gobelin qui venait d'ouvrir son agence bancaire, ce qui apeurait très fort Gringot's. Harry résuma son entrevue à ses amis qui exprimaient des sentiments différents. Hermione ne cessait de se demander pourquoi le manoir Potter était introuvable, Ron et Ginny, abasourdis des sommes mentionnées mais très touchés par le geste de Harry pour leur famille. Ce dernier, lui, était frustré : son père lui avait écrit une lettre qu'il ne pourrait lire avant le mois de juillet. Ils se dirigèrent tous les six vers le chaudron baveur pour retourner dans le Londres moldu. Ils firent un petit détour pour apercevoir l'appartement de Harry. C'était apparemment un appartement de belle taille, occupant tout un étage d'un immeuble avec un balcon ayant vue sur un petit parc boisé. Ils arrivèrent enfin dans l'allée commerçante et flânèrent de boutiques en boutiques. Harry et Ron s'achetèrent quelques jeans baggy pour leur confort et quelques uns plus moulants pour le plaisir de leur amie, des chemises, des T-Shirt et des pulls. Bien sur, le tout en suivant l'avis de leur compagne. Ces dernières vidèrent leur bourse dans l'achat de jupes, jeans taille basse, chemisiers, toppes et autres. Elles s'achetèrent même quelques sous-vêtements en discrétion pour faire une surprise aux garçons.

C'est donc vers 17h30 qu'ils entamèrent le chemin du retour. Bill et Maugrai s'étant transformés pour l'occasion en porteurs de sacs alors que la nuit commençait à tomber.

-La rue semble fort agitée depuis quelques minutes, remarqua Fol Œil

-C'est normal, les bureaux ferment, les gens rentrent chez eux, expliqua calmement Hermione

-Peut-être, mais cela rend les menaces moins visibles. Surtout n'oubliez pas, vigilance constante.

-Ne t'en fait pas Alastor, tous ira bien, nous sommes…

Bill ne termina pas sa phrase, touché par un sortilège, il s'effondra. Fol Œil lâcha directement les sacs, et sortit sa baguette en cherchant le coupable de l'attaque. La réponse ne se fit pas attendre, cinq Mangemorts les encerclaient à présent. Le plus grand d'entre eux prit rapidement la parole:

-Laissez nous Potter et nous vous laisseront la vie sauve, dit-il d'une voix grasse.

Pour toute réponse, Maugrai entama la bataille. Chacun se lança en duel avec son plus proche adversaire.

-Stupéfix, cria Harry

Le rayon se dirigea vers le Mangemort qui le contra grâce à un bouclier et riposta d'un maléfice d'entrave. Harry le dévia en essayant de viser le Mangemort de Ginny, mais il le rata de peu. D'après ce que Harry pût voir, ils n'avaient pas à faire à des débutants. Mêmes Maugrai peinait devant les assauts de son opposant.

Après plusieurs minutes de lutte acharnée, Ron vint à bout de son adversaire en lui bloquant les jambes au sol avec des mains de terre. Il partit tout de suite aider Hermione qui semblait blessée à la jambe. Le peu de temps que Harry mit pour observer ses amis fût mit à profit par le Mangemort qui décocha un avada kedavra. Le survivant eût juste le temps de se coucher pour éviter l'éclair vert. Le sort continua sa route et toucha Maugrai dans le dos qui tomba les yeux ouverts, les bras en croix, caractéristiques de ce sort. Les yeux d'Harry se remplirent de larmes, il venait de voir l'un de ses protecteurs mourir. S'il n'avait pas été distrait, il aurait pût dévier le sort plutôt que de se coucher. Il ne pût cependant rester dans sa rêverie, tiré à la réalité par la chaleur que produisit un sort lui effleurant l'épaule. Il se releva, retourna dans la bataille mais entendit la voix de Bellatrix Lestrange crier :

-Endoloris

Les cris suivants furent ceux de Ginny, victime du maléfice. L'adversaire du récent décéder qui n'était nul autre que la cousine et meurtrière de Sirius, avait profiter de sa liberté pour toucher Ginny dans le dos. En voyant sa petite amie souffrir, en entendant sa voix si douce d'habitude refléter maintenant la douleur, le sang de Harry ne fit qu'un tour.

Tout se passa très vite, les larmes inondant ses yeux se changèrent en flammes, sa tristesse en rage.

-Pyro cruxe, cria Harry vers son adversaire qui se retrouva crucifié sur une croix de flammes, ôter de toute mobilité et dépourvu de sa baguette.

-Pyro protecto, enchaîna le jeune homme en visant son groupe d'ami.

Rien ne sembla changer jusqu'à ce qu'un sort de l'adversaire d'Hermione rencontre une barrière invisible, qui absorba le sort en une petite gerbe de flammes. Le même phénomène se produisit lorsque Ron tenta de toucher la barrière. Harry venait d'enfermer Ron, Ginny, Hermione, Bill et Maugrai derrière un mur de flammes les protégeant des assaillants, mais le laissant seul face à cinq ennemis dont trois encore capables de combattre.

Harry se retourna alors vers la Mangemort qui meurtrissait auparavant le corps de la jeune rousse.

-Hainairia, dit Harry avec un calme effrayant

Un long filet de flammes sortit de sa baguette, se dirigea vers le cœur de Bellatrix, et s'infiltra complètement dans sa poitrine. A ce moment, des images se succédèrent dans la tête de Harry. Il revit les parents de Neville à Sainte Mangouste, son parrain tomber derrière le voile dans la salle de la mort, le visage de Ginny se tordant de douleur, tandis que Bellatrix semblait dans la même situation que Ginny une minute plus tôt, ses yeux tournant dans leurs orbites, ses membres agités de spasmes.

Ensuite tout redevint normal, le flot d'image stoppa de circuler dans l'esprit de Harry et Bellatrix semblait dormir.

Il se concentra alors sur l'ennemi " officiel " de Ginny,

-Avada Kedavra, cria le Mangemort.

Harry ne s'arrêta même pas, il continua sa marche en se contentant de créer une boule de feu dans la paume de sa main et d'accueillir le sort avec celle-ci. Les flammes crépitèrent au contact de l'incantation mortelle, mais brûlèrent l'éclair vert à la plus grande stupéfaction du Mangemort.

Harry enchaîna sans attendre :

-Meldown.

Cette fois-ci tous ce qui se trouvait à un mètre autour de la cible fut absorbé par le point d'impact du sort sur le Mangemort. Tout explosa ensuite, projetant le corps du Mangemort à un mètre de hauteur

Lorsqu'il se retourna pour faire face à son dernier adversaire, il l'aperçut en train de lutter contre la muraille de feu.

-Pyro cruxe

Le Mangemort se trouva également bloqué sur une croix de flammes.

Harry regarda autour de lui, tous ces amis étaient en sécurité. A cette pensée, il sombra dans le sommeil.