Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à la merveilleuse J.K. Rowling, excepté l'intrigue et les personnages que je pourrais créer (qui sait ? lol)
Note de l'auteur : Kikou !! Me voilà déjà de retour ! Comme promis je vous envois déjà le dixième chapitres, mon préféré pour l'instant (allez donc savoir pourquoi hihi) !! J'espère qu'il vous plaira autant qu'à moi !
Merci à tout ceux qui me laissent des reviews, vous fais d'énormes poutous !!
Pour Harry Potter Fanfiction
Francesca : Je suis très contente qu'il t'ai plu ! Il faut me comprendre : on ne peut pas vraiment dire qu'il est court le chap 9, alors l'écrire 3 fois, à la fin…argh !! lol ! Merci beaucoup, voilà ma suite !
Lauramalfoy : Merci !! Tu as beaucoup d'intuition apparemment lol. J'espère que ce chapitre te plaira aussi !
Nymphadora : Merci pour tes 8 messages (qui ne sont pas tous volontaires je me doutes lol), j'ai cru comprendre que tu voulais la suite : la voilà !! lol
JeSsOu : Mirci !!! Je t'avoues que moi aussi, j'aime beaucoup le fait que Mione soit avec Dray hihihi !
Laly : Vi, Ron en Mickey, c'est m mémorable lool ! Le pauvre, je ne sais pas pourquoi, mais je me défoule sur lui, alors que je l'aimais bien quand j'ai commencé cette fic lol ! Va savoir ! Voilà le chap 10 !
Emma : Merci !! Je te rassure, je n'ai pas l'intention d'arrêter pour le moment, alors, ne t'inquiète pas !!
Lol : lol (comme ton pseudo hihi), t'es catégorique toi !! Voilà la suite chef ! ;)
top-girl : Merci beaucoup !! Voilà la suite !! (je crois que c'est ça que tu voulais lol)
Pour TWWO
Tricia : Mdrrrrrrrr !! Ta review ma beaucoup plu hihihiiii ! J'espère ne pas t'avoir fais trop attendre, voilà le chapitre 10 !! Kissous (bien baveux niak niak) !
N : Merci !! Voilà la suite !
Voilou !!! Bonne lecture à tous (et à toutes) !!!
Chapitre 10 : Quand vient Noël…La première semaine de vacances commença donc tranquillement. Hermione, qui prenait très au sérieux son rôle de préfete en chef responsable du bal, faisait tout son possible pour que les choses se passent au mieux. Nous en rediscutâmes le lendemain du tirage au sort, et elle finit par aller demander la permission au professeur Dumbledore que les élèves puissent se rendre deux heures par jour à Prés-au-Lard, pour qu'ils puissent faire leurs achats nécessaire à Noël et au bal. Devant tant de bonne volonté, le Directeur ne put faire autre chose qu'accepter, ce qui ravi beaucoup la jeune fille, ainsi que les élèves : beaucoup vinrent nous remercier.
Je fus très content de voir à quel point Hermione était ravi du couple sur lequel nous étions tombé. Il fallait que j'avoue que le destin n'était pas vraiment le seul responsable du faite que nous nous soyons retrouvé ensemble pour le bal. J'y étais peut-être un petit peu pour quelque chose. Même pour beaucoup d'ailleurs. En faite, un peu avant le dîner, où le tirage au sort avait eu lieu, j'avais lancé un sort sur les boîte pour qu'Hermione soit obligatoirement ma cavalière. Pourquoi avais-je agi ainsi ? Je ne le savais pas vraiment. Mais une chose était sur, c'était que depuis que Dumbledore avait prononcé le mot « bal », la seule fille que je voyais à mon bras n'était autre qu'Hermione Granger. Etant connu comme un garçon plutôt déterminé, j'avais fais mon possible pour que cette image devienne réalité. Par contre, je n'y étais vraiment pour rien si nous étions tombé sur le film préféré de ma colocataire.
J'eu à plusieurs reprise dans la semaine l'occasion de comprendre à quel point elle aimait cette histoire moldue. Au début, je me contentais de lui demander un rapide résumé, pour que je sache au moins de quel personnage j'allais devoir porter le costume. Mais je compris rapidement que quand la jeune fille appréciait quelque chose, elle tenait à le montrer aux autres : elle fit plusieurs recherches durant les deux premiers jours, lança divers sorts, et arriva enfin au résultat qu'elle attendait : elle parvint à visionner un film moldu dans l'enceinte de l'école. Et elle m'obligea à le regarder avec elle. J'avoue que je n'étais pas très motivé au début ; je n'avais jamais vu ce genre de chose fabriqué par les moldus, et je n'en avais jamais eu l'envie d'ailleurs. Mais il s'avéra qu'en fin de compte, cela se révéla intéressant. Il était amusant de voir des images défiler ainsi. Je me pris à l'histoire, fus même un peu attrister pour le pauvre Christian à la fin (c'est vrai qu'il n'a vraiment pas eu de bol) mais ma peine n'était pas aussi violente et visible que celle d'Hermione : je la vis se mettre à sangloter un bonne dizaine de minutes avant la fin, mais cette fois, je ne jouais pas le rôle du protecteur, me contentant de regarder la fin du film, lui lançant de petits regards intrigués du coin de l'œil. Ah, ces femmes, tellement sensible…
A part ça, je ne fus pas beaucoup avec elle le reste de la semaine ; elle passait chaque jours ses deux heures autorisées au village des sorciers, puis allait s'enfermer dans sa chambre ou à la bibliothèque.
Moi, pour la première fois de ma vie, je fis des achats de Noël. Car je devais l'avouer, je n'avais jamais eu de vrais amis. Les gens qui restaient près de moi le faisant souvent attiré par l'argent et le pouvoir de ma famille. Mais moi, je n'en avait rien à faire. C'est vrai, j'avais toujours vécu seul, je ne savais donc pas ce qu'était la réel affection pour quelqu'un.
Mais ça avait changé.
Je comptais bien acheter quelque chose de vraiment bien pour Hermione, pour la remercié en quelque sorte. La remercier de rester en ma compagnie pour d'autre chose que mon argent. Ou pour la remercier d'être elle même, tout simplement. Et je trouvais ce qui convenait deux jours avant Noël.
La semaine passa donc rapidement, et le matin de Noël arriva. Je m'habillais, puis sortais de ma chambre.
Elle était déjà là, debout devant le petit sapin que nous avions installé au coin du feu. Quand elle m'entendit sortir, elle se tourna vers moi, elle me fit un vrai sourire.
- Joyeux Noël ! me dit t-elle d'un ton enjoué.
Je lui rendais ses vœux sur le même ton, et la regardais se jeter sur les cadeaux comme une enfant, ce qui me fit sourire.
Moi, comme d'habitude, je ne ressentait pas vraiment d'impatience à l'attente de mes cadeaux. Je savais très bien ce que c'était : mes parents et divers membres de ma famille m'envoyaient toujours la même chose à Noël, des bourses pleines de gallions. Je pensais que tous ces gens faisaient partis des personnes qui croyaient que l'argent faisait obligatoirement le bonheur. Ce qui n'était évidemment pas le cas.
J'expliquais tout ça à Hermione quand elle me demanda pourquoi j'avais cette (horrible) mine renfrogné. Je souri en la voyant se mordiller la lèvre, comme si elle avait l'impression d'être responsable en quelque sorte.
- Ne fais pas cette tête là non plus, lui dis-je d'un ton taquin. Tu n'y es pour rien si je fais parti d'une famille hyper matérialiste.
Mais je la vis jeter des regards coupables autour d'elle, désignant le petit tas de papier d'emballage déchirer.
- Ne t'inquiète pas pour moi, la rassurais-je, je suis très content que tu reçoives des colis des gens qui t'aimes.
Elle perdit de nouveau son sourire quelques minutes plus tard, en lisant une lettre que lui avait envoyé la mère de la belette (m'expliqua t-elle). Sa lecture finit, elle secoua doucement la tête de gauche à droite, comme si quelque chose de particulièrement peinant l'ennuyait.
- Qu'est-ce qu'il y a ? me risquais-je à demander.
Elle soupira, puis leva les yeux vers moi :
- C'est Mrs Weasley… elle…elle reste persuadée qu'Harry va guérir, malgré le fait que…
Mais elle n'arriva pas à terminer sa phrase, une grimace douloureuse déformant ses traits.
- Il te manques, n'est-ce pas ? questionnais-je gentiment.
Elle hocha la tête, respirant profondément pour calmer ses émotions.
- Oui…surtout dans ce genre de moment, qui rappels beaucoup de souvenir…
Je sentis un sentiment m'envahir en l'entendant prononcé ces paroles. Cela ressemblait à de la colère, mais ça n'en était pas. C'était un sentiment que j'avais depuis toujours ressentit vis à vis de Potter. La jalousie. Mais aujourd'hui, ce n'était pas un sentiment d'énervement que je ressentait, mais plutôt une étrange tristesse mélancolique. Il posséderait toujours plus que moi, même dans le pire des états…
- Mais heureusement que tu es là, reprit Hermione en levant les yeux vers moi. Grâce à toi, j'oubli mes malheurs…
Je restais un peu abasourdi par cette révélation. J'avouais que je ne m'y attendais pas, mais c'était plutôt agréable à entendre. Même très agréable. Alors, comme toute réponse, je lui fis un sourire sincère, auquel elle répondit.
Mais elle finit par détacher ses yeux des miens, cherchant quelque chose derrière elle. Quand elle se tourna à nouveau vers moi, elle tenait entre ses mains un petit panier en osier garnit d'un ruban rouge. Les joues légèrement rouges, elle me le tendit.
- C'est…pour moi ? demandais-je, abasourdi.
Elle hocha la tête, un léger sourire au coin de ses lèvres.
Je lui prenais donc le panier, et le posais devant moi. Curieux, je détachais le ruban, puis ouvrait doucement le couvercle.
Un petit sursaut de surprise me secoua en voyant ce qu'il y avait dedans, et je sentis un drôle de sentiment envahir mon cœur. Délicatement, je plongeais la main dans le panier, et en ressortais un petit chaton tout noir au poil soyeux.
- Elle s'appelle Salem…murmura Hermione.
Les yeux toujours fixé sur la petite bête, j'entendis tout de même la légère note d'appréhension qui perçait dans sa voix, et j'en comprenais la cause. Elle devait se demander comment j'allais réagir en me retrouvant face à une copie conforme de quelque chose qui m'avait beaucoup touché dans mon enfance. J'aurais pu très mal réagir, et ça aurait sûrement été le cas, si ce n'était pas venu d'elle. Mais c'était venu d'elle, et je savais qu'elle n'aurait pas fais ça pour me blesser. Elle l'avait fait pour me faire comprendre quelque chose. Peut-être pour me dire que les choses du passé qu'on a apprécié peuvent êtres reprises là où elles ont été stoppé. Ou que celles qu'on a détesté peuvent être évincées… Tout ce qui comptait, c'était que, quelque soit réellement ce message, je l'avais compris. Et je l'en remerciais.
Je levais finalement les yeux vers elle, laissant paraître l'émotion qui m'avait traversé.
- Merci, lui dis-je d'une voix un peu rauque, en serrant contre moi la petite boule de poils qui s'était mise à ronronner.
Elle me fit un sourire rayonnant, soulagée.
Je détachais alors une de mes mains du chaton, pour la glisser dans la poche de mon pantalon, puis en ressortait un écrin de velours plat. Je le tendis à la jeune fille, qui le fixait avec des yeux ronds. Elle me lança un regard étonné, mais flatté, puis me pris la boîte. Quand elle l'ouvrit, elle poussa une petite exclamation en voyant ce qu'elle contenait, et je vis ses joues devenir rouges vives.
- C'est…c'est…une…essaya t-elle de dire.
- Oui, c'est une larme de dragon, complétais-je avec un sourire.
Elle semblait hypnotisé par le collier, et passa doucement un doigt sur la larme.
- Ca a du te coûter une fortune ! s'exclama t-elle sans quitter des yeux le pendentif.
Je secouais vigoureusement la tête.
- Le prix n'a aucune importance, répondis-je. En plus, il te fallait bien quelque chose pour aller avec ta robe, ce soir.
Elle leva enfin les yeux vers moi, et je vis qu'ils brillaient d'émotion.
- Merci…me dit-elle très sincèrement.
Délicatement, je reposais Salem dans son petit panier, et allais me placer près d'Hermione. Je lui prenais la boîte des mains, prenais le collier, puis me plaçais derrière elle. Doucement, je fis glisser tous ses cheveux d'un côté de son cou pour laisser apparaître sa nuque. Je mis alors le collier autour de son cou, laissant mes doigts rentrer en contact avec sa peau douce tendit que j'attachais le fermoir. Je le lâchais ensuite, mais laissais mes doigts sur sa nuque, les faisant lentement glisser jusqu'à ses épaules, puis les remontant le long de son cou avec toujours autant de lenteur et douceur. Je l'entendis soupirer, soupire qui ne fit qu'accroître la douce chaleur qui montait en moi. Je m'accolais doucement à elle, et délicatement, déposait de légers baisers dans le creux de son cou.
- Drago…murmura t-elle dans un souffle.
Mais à cet instant…
- Mioneeeeeeeeeeeeeeeee !!!!! Youuuuuhouuu !!! Mione !!!!
La voix qui hurlait à l'extérieur de la salle nous sorti violemment et brutalement de la transe dans la quel nous étions plongé. Hermione sursauta violemment, et se décolla de moi.
- Et ohhhhh Mione !!! Il est dix heures et demi !! Me dis pas que tu dors encore je te crois pas !!! Hurlait la belette.
J'eu une soudaine envie de meurtre, mais le regard que me lança la jeune fille me calma, j'y vis de l'excuse et du regret, mais également de la déception et du désir, ce qui me fis me sentir légèrement mieux. Doucement, elle détacha le collier de son cou et le remit dans sa boîte, qu'elle posa ensuite sur la table, avec ses autres présents.
Puis, elle enfila rapidement sa cape et alla vers la portrait pour sortir. Mais avant de le faire coulisser, elle se tourna vers moi.
- Je suis vraiment désolé…murmura t-elle sincèrement.
- MIOOOOOOOOOOOOOONNNNNEUUUUUUUUUUHHHHHHHHH !!!!!
Son expression changea alors, pour prendre une mine très énervé, et elle se précipita dehors. Je me levais d'un bond et me dépêchait de me rendre au portrait qui s'était déjà refermé, tendant l'oreille. Un sourire apparut sur mes lèvres quand j'entendis les cris de fureurs d'Hermione, qui était très distinct, même à travers les murs épais.
Le reste de la journée passa rapidement. L'après-midi, tous les préfets furent convoqués pour la décoration de la Grande Salle, sous la direction, à ma grande joie, des préfets en chef. J'espérait avoir assez fait souffrir Weasley, l'obligeant à faire toutes les tâches difficiles. Mon grand jeu fut d'essayer de faire rire Hermione, qui, je le voyais bien, en avait très envie, mais apparemment elle ne tenait pas à trop vexer sa belette. En tout cas, même si elle réussit à se contenir tant bien que mal, je réussi au moins avec les autres préfets, qui rigolèrent beaucoup de toutes les bêtises que je pus sortirent durant l'après-midi. Je m'étonnais moi même, car ce n'était pas du tout dans mon habitude d'être aussi sociale envers les autres.
Il y eut ensuite un rapide dîner, le banquet ayant eu lieu la veille, puis tout le monde fonça à sa salle commune, pour se mettre en costume, car il ne restait plus que deux petites heures avant le bal.
Je montais tranquillement, et m'habillais avec tout autant de désinvolture. Il fallait dire que je n'avais pas chercher dans le compliquer. Le problème qui s'était posé, c'était que Christian était un personnage relativement pauvre, qui apparaissait souvent de le film avec des habits assez miteux. Voulant conserver tout mon charme, j'avais décidé de revêtir un costume imitant celui que le jeune homme portait au début, quand il doit se faire passer pour le duc.
C'était donc vêtu d'un impeccable costume noir (avec chapeau d'époque s'il vous plaît !!) que j'allais attendre ma cavalière dans la salle commune. Je regardais ma montre. Il était 20h50, et le bal commençait à 21h00. Je décidais de savoir ce que faisait ma colocataire. Je montais donc d'un pas léger les quelques marches qui menait à son portrait, et frappais trois petit coup sur le cadre.
- Hermione ? demandais-je.
- Oui ?? répondit-elle au bout de quelques secondes, un peu essoufflé.
- Tu es prête à descendre ?
- Euh…non, pas tout à fait ! Tu…n'as qu'à descendre sans moi, je te rejoins dans le hall dans cinq minutes !
- Tu es sûr ? demandais-je une dernière fois.
- Oui oui !! Ne t'inquiètes pas, j'arrive !
Haussant les épaules, je la laissais donc à ses préparatifs de dernières minutes, et allais l'attendre dans le hall.
Là, je fus de nouveau agresser par Pansy Parkinson, et fus écroulé de rire en la voyant, une grosse paire d'oreilles autour de la tête, le nez peint en noir, des moustaches de souris dessinées, et elle portait une horrible robe rose à point blanc.
- Ohhhh !! Comme tu es beau, Dragouneeeeeeeet !! s'exclama t-elle quand je descendit.
J'étais effectivement fière de l'effet que je produisis, car beaucoup de fille me fixait avec des yeux avides, et je leur lançais des sourires charmeurs.
- Regarde-moi, Dragonichouuuu !! Je suis la plus belle des souris !! Je suis Minie !!!
J'éclatais de rire devant autant de stupidité, et Pansy resta quelques secondes interdites, avant de se mettre à son tour à rire, imaginant sûrement qu'elle venait de faire une remarque particulièrement amusante et intéressante. Il régnait un grand brouhaha dans le hall, tous les élèves attendant avec beaucoup d'excitation l'ouverture des portes.
Mais il se produit alors un événement étrange. Le volume sonore sembla diminuer brutalement d'un coup, et un très grand nombre de regards –surtout des garçons- s'était tourné vers le haut des marches du hall. Intrigué, je tournais la tête, et mon cœur cessa de battre instantanément.
Une déesse venait d'apparaître.
OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO
Fixant mon reflet, je demeurais complètement figée devant mon miroir. Mais comment, dites moi COMMENT, j'avais pu imaginer une seule seconde que ce costume était idéale pour le bal ??? Quand j'y avais réfléchi, il y avait déjà une semaine, c'était tout de suite celui-là que j'avais imaginé ; ensuite, quand j'avais mis le prix dans une robe métamorphomable (robe à usage unique : on la transforme en ce qu'on veut, mais une fois créée, elle ne peut plus changer) et que j'en avais fais une copie conforme de la « robe » que Satine portait vers la fin du film quand elle chante la chanson indienne, là encore, je fus ravi du résultat. Mais à cet instant, me voyant presque nu, j'étais horrifié d'une telle idée.
Si je ne m'en rendais compte que maintenant, soit cinq minutes avant le début du bal, c' était parce que j'avais utilisé le reste du temps pour la coiffure : J'avais attaché mes cheveux avec une petite demi-queue, de façon à ce qu'ils retombent en boucles sur mes épaules et mon dos, mais tout en laissant mon visage dégagé. Ensuite, j'avais mis le diadème que j'avais crée par métamorphose. J'étais assez fier du résultat, car on aurait vraiment dit qu'il était fait de pierres précieuses (alors qu'à l'origine, j'avais pris une vieille couronne en carton qu'on trouve avec les galettes des rois). Mais quand il avait fallu que j'enfile la « robe »… Oh, je n'avais eut aucun soucis pour la mettre, pas de risque ! Le costume comportait une partie « supérieur », qui avait pour usage de cacher un tant sois peu ma poitrine. A ce haut étaient accrochés de légers fils de perles, qui étaient malheureusement trop fins et trop peu nombreux pour cacher la partie de mon corps complètement dénudé, qui allait d'en dessous de la poitrine à la taille, ce qui était beaucoup pour une fille comme moi qui avait depuis longtemps pris l'habitude de se cacher derrière des vêtements. Et enfin, il y avait le bas, sorte de jupe qui en réalité était juste un espèce de voile de soie gris-bleu, qui laissait aussi voir beaucoup de mes jambes. Encore heureux, je n'avais pas mis de talon, mais de simple chaussures ouvertes un peu compensée, qui allait avec le reste.
Le tout additionné au maquillage donnait une Hermione Granger totalement transformée, à moitié nue, qui ne se reconnaissait même plus.
Avec un gémissement, j'enfouissais mon visage dans mes mains. Mais quelle idiote ! Et dire que c'était moi qui avait eut l'idée stupide de ce bal costumé ! Ce qui me désolait le plus, c'était que je n'avais aucun échappatoire possible. Soit j'y allais et me couvrait de ridicule, soit je n'y allais pas, me retrouvais couverte de furoncle, et me couvrait aussi de ridicule. Argh !!!
Bon, allez Hermione, reprends-toi !! Tu es préfète en chef, tu dois montrée l'exemple ! Et en plus, Drago t'attend en-bas !
Respirant profondément, j'enlevais mes mains pour me fixer une dernière fois. Nouveau gémissement. Puis, je prenais délicatement le collier que Drago m'avait offert(m'extasiant une nouvelle fois devant l'allure de diamant qu'avait la larme) et me l'attachais autour du cou. Juste avant de sortir, j'essayais dans un geste automatique de voilé un peu plus mes jambes, sans obtenir bien sûr de résultat concret.
Drago était parti, comme je lui avait demandé, et la salle commune était vide. Quand je sorti, j'entendis Lady Bella pousser une puissante exclamation.
- Par tous les cheveux de Merlin ! s'écria t-elle. Miss Granger ?! Est-ce bien vous ainsi vêtu ?
Je poussais un grognement et m'éloignais à grand pas sans répondre, ne l'entendant donc pas murmurer « Quelle créature magnifique ! ».
Plus je descendais de marches, plus mes pas me rapprochais du hall, et je me sentais de moins en moins à l'aise. Quand je fus dans le dernier couloir qui me séparait des escaliers du hall, j'eut l'impression de marcher dans le couloir de la mort. Je le traversais à vitesse ralenti, le brouhaha du hall de plus en plus puissant à mesure que j'approchais. Je finis par atteindre le seuil de l'escalier.
Et alors que je commençais à descendre lentement les marches, une chose très étranges arriva. Presque tout le monde avait tourné la tête dans ma direction, et pratiquement plus personne ne parlait. Je fus alors stupéfaite de voir à grand nombre de garçons qui m'observaient, la mâchoire pendante, tandis que les filles me lançaient des regards meurtriers. Je me sentis rougir violemment devant tant d'attention qui m'était porté, tout en continuant à sonder la foule du regard. Je le vis alors, magnifique dans son costume de noble du début du siècle, son chapeau mit de travers sur sa tête. Mais alors qu'il avait les yeux rivé sur moi, j'eut l'impression qu'il avait été touché par la foudre. Il n'avait pas ouvert bêtement la bouche comme l'avaient fait certains, mais à en juger par son regard, il ne devait pas me trouver déplaisante non plus. La douce chaleur qui m'avait envahit se matin refit son apparition, et sachant qu'il m'observait, je me sentis tout de suite beaucoup mieux. C'est donc avec défis que je descendais le reste des escaliers, sans le quitter une seconde des yeux.
Cela m'avait parut long, mais en réalité, à peine une minute s'était écoulée et déjà, les conversations reprenaient de plus belle. Alors que je m'avançais vers Drago, notre contact visuel fut coupé par une personne qui se tint devant moi. Clignant des yeux, surprise, je levais le regard pour me retrouver devant…une souris ! C'étais Ron, qui s'était mis une paire d'oreille autour de la tête ; il n'avait pas jugé bon de se maquiller. Je vis tout de suite que mon « costume » lui faisait autant d'effet qu'aux autres. J'étais sûr que si j'avais pu voir ses vraies oreilles, elles auraient été rouges vives. Il y avait une lueur indescriptible dans ses yeux.
- Mione…souffla t-il. Tu es…magnifique…on dirait un ange…
Je lui fis un sourire crispé, mal à l'aise devant un tel regard désireux, que je n'appréciais pas de voir dans les yeux de mon ami.
La voix de McGonagall résonna alors dans le hall :
- S'il vous plaît, veuillez rejoindre votre partenaire pour pouvoir pénétrer dans la salle.
Mais Ron ne semblait pas avoir entendu, il continuait à me fixer, les yeux brillants.
Je vis alors un doigt tapoter sur l'épaule droite de Ron. Comme celui-ci ne réagissait pas, ce fus la main entière qui lui agrippa l'épaule et le força à se pousser, laissant apparaître Drago Malefoy :
- Excuse moi la belette –oups, je veux dire la souris !- Retourne donc grignoter ton fromage avec ta petite chérie à moustache, et sois sympa : laisse ma cavalière entre les bras d'un vrai homme.
Avant que Ron n'ai eut le temps de réagir, Drago m'avait tendu un bras, et je m'y accrochais volontiers, le regardant avec un sourire rayonnant. Alors qu'on allait pénétrer dans la salle, il se pencha vers moi, et me murmura à l'oreille :
- Est-ce que je t'ai dit à quel point tu était magnifique ce soir ?
Je me contentais de glousser et de lui lancer un sourire plein de reconnaissance, auquel il répondit.
La soirée fut vraiment excellente. Nous pouvions danser avec qui nous voulions, sauf quand le Directeur( déguisé en Hercule hihihi) annonçait de reformer les couples pour telle ou telle danse. Bien sûr, je dansais plusieurs fois avec Ron, mais beaucoup d'autre garçons m'invitèrent également à danser, ayant toujours beaucoup de mal à prononcer une phrase compréhensible quand ils tentaient de me parler durant la danse. Mais bien entendu, celui avec qui je m'amusais le plus, c'était Drago. A chaque fois que nous devions danser ensemble, il en profitait pour me faire un commentaire bien senti sur toute les personnes déguisées qui nous entouraient, ce qui eut pour effet de provoquer plusieurs fous rires. Mais le meilleurs moment, qui restera à jamais dans les mémoires des élèves qui ont eu la chance de le voir, c'est la brève mais imbattable apparition de Rogue. Il avait du être poussé par le directeur pour piocher un nom dans la liste, car apparemment, il s'était vu contraint de venir au bal déguisé. Bien entendu, il ne voulait certainement pas y aller, mais la menace des furoncles étaient très persuasive, et il n'eut pas le choix. Il essaya donc de faire au plus discret, son costume apparaissant une seconde avant son entrée dans la salle, et disparaissant une seconde après, dès sa sortie. Il avait même choisi un moment où un rock endiablé résonnait dans la salle pour apparaître, pour que personne ne le remarque. Malheureusement pour lui, ce ne fut pas le cas, car au moins deux élèves le virent : Drago et moi, car nous dansions ensemble à ce moment là, et il était entrain de faire un commentaire sur un Prince/Grenouille près de la porte quand le maître des potion fit son apparition éclair. Nous fûmes tellement mort de rire que nous dûmes allez nous écrouler sur une chaise pendant dix bonnes minutes. C'était une image gravé à jamais dans ma mémoire :
Rogue en Tarzan.
Je m'amusais tellement que je ne vis pas le temps passé, et bientôt, le bal tira à sa fin.
- Mesdemoiselles, messieurs, dit Dumbledore d'un ton joyeux, je ne crains que ce soit la fin des réjouissances. Voyez reformer votre couple pour une dernière danse.
Des protestations se firent entendre, et je partageais leur déception. Je dansais avec Ron au moment de l'annonce, mais n'hésitais pas une seule seconde avant de le lâcher, avec un petit sourire, et d'aller rejoindre les bras de mon gentleman, tandis que les premières notes d'un doux slow envahissait la Grande Salle.
OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO
Avec beaucoup de déception, Ron vit Hermione se détacher de lui avec un petit sourire avant d'aller presque se jeter dans les bras de la sale fouine blonde.
Pansy était venu le rejoindre, et avec dégoût, il posa le bout de ses doigts sur la taille de la jeune fille, tandis qu'elle faisait de même sur ses épaules, tout deux voulant laisser le plus d'espace possible entre eux, comme à chaque fois qu'ils avaient du danser ensemble dans cette soirée.
Ron ne pouvait pas vraiment dire qu'il s'était amusé. Les seuls moments qu'il avait apprécié, c'était quand Hermione acceptait de danser avec lui, mais même là, il la sentait absente, son regard fouillant toujours la salle. A cet instant, Ron n'en avait rien à faire de sa cavalière, il ne quittait pas la jeune fille la plus belle de la soirée des yeux. Une violente amertume l'envahit, tandis qu'il la regardait danser avec son ennemi, faisant tout le contraire de Pansy et lui : elle s'était scotché au jeune homme, les bras autour de son cou, tandis que lui avait posé les siennes sur son dos dénudé, et Ron la voyait rire au parole que Malefoy lui chuchotait à l'oreille. Mais tandis que le slow avançait, il les vit finalement arrêter de parler, se contentant de danser, les yeux fermés, collés comme des sangsues.
Ron sentait la colère monter doucement en lui. Il ne comprenait pas le comportement de son amie. Comment pouvait-elle agir ainsi avec leur ennemi de toujours ??! Les voir se serrer aussi étroitement l'un contre l'autre ne faisait qu'augmenter sa fureur. Mais que le slow en était à la moitié, ce qu'il vit fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Les deux danseurs s'étaient arrêtés, et avaient maintenant le regard soudé l'un dans l'autre. Ron vit leur visage se rapprocher dangereusement, et ce fut trop.
Il lâcha Pansy et se précipita sur le couple, percutant Malefoy juste avec que celui-ci ne pose ses sales lèvres sur celles d'Hermione.
Pris par surprise, le jeune homme tomba à terre, et regarda Ron avec un étonnement non dissimulé. Mais il recouvra très facilement son air froid et se releva, toisant Ron :
- Qu'est-ce qui va pas la belette ? T'as une oreille qui te démange ??
Ron grogna furieusement et envoya son point vers la figure de Malefoy. Heureusement pour lui, celui-ci avait beaucoup de réflexe, et il évita le coup de justesse. Par contre, quand il redressa la tête, la fureur apparaissait dans ses yeux gris-bleu.
- Si jamais tu reposes tes sales pattes sur Hermione … ! menaça Ron.
Malefoy le poussa violemment avec ses mains, le faisant reculer de quelques pas.
- Quoi ? Vas-y, dit moi tout. Qu'est-ce que tu me fera, sourissette ?
Tout les élèves avaient les yeux braqués sur eux, et Hermione demeurait figé, les yeux écarquillés d'horreur.
Ron balança à nouveau son poing, et atteignit la lèvre de son ennemi. Celui retourna lentement la tête vers lui, la lèvre inférieur légèrement fendu, le regard assassin.
- Tu vas regretter…souffla t-il.
Mais alors qu'il s'apprêtait à se jeter sur lui…
- ARRETEZ !!!!! Hurla Hermione.
Les deux garçons, agrippés l'un à l'autre, regardèrent Hermione, stupéfaits, mais la colère coulant toujours dans leurs veines.
- Mione, ce mec est une sale POURRITURE !!!!! Hurla Ron à plein poumon.
Et il lança un nouveau coup à Malefoy, qui ne fit rien pour se défendre, obéissant à la demande d'Hermione.
Alors que des professeurs se précipitaient sur les deux jeunes hommes, Hermione éclata en sanglot, et s'enfuit de la salle, sous le regard des élèves. Surpris, Ron, lâcha Malefoy, qui se releva d'un bond, s'époussetant d'un air fière, lançant un regard de défis à l'entourage.
- J'espère que tu es fière de toi, Weasley.
Et sans attendre de réponse, il sorti d'un pas rapide de la salle.
OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO
Les larmes coulant silencieusement sur mes joues, je me précipitais dans les escaliers, m'éloignant le plus rapidement possible de la Grande Salle, du bal, et de toutes les personnes présentes. Essoufflée, j'atteignis enfin le portrait, dis le mot de passe et pénétrais dans la salle sans faire attention aux remarques de la Lady. Je m'effondrais ensuite sur le canapé, et me mis à sangloter.
Quelle imbécile j'avais été !! Comment avais-je pu imaginer que tout se passerait bien ?? Je n'avais pas fait attention. J'étais resté accroché à Drago presque toute la soirée, ayant complètement oublier que c'était toute l'école qui nous entourait, et que nous étions connu lui et moi comme étant des ennemis depuis toujours. Je comprenais la réaction de Ron, qui avait réagi instinctivement, pour me protéger, mais cela ne m'empêchais pas de souffrir. J'étais tellement bien quand il était intervenu !…
De toute façon, il fallait que je me fasse une raison : ma vie était et serait pour toujours faite de malheurs. Cette pensée ne fit rien pour apaiser mes pleurs, au contraire, et la tête enfoui dans tissu du canapé, je poussais un gémissement de tristesse douloureuse.
Je sentis alors une main se poser doucement sur mon bras, et je relevais légèrement la tête.
- Drago…lui dis-je d'une voix suppliante et étranglé.
Je me redressais et il me serra fortement contre lui, et je me lançais aller, apaisé par ses paroles de réconfort et par ses caresses dans mes cheveux.
Finalement, au bout de quelques minutes, je fus calmé, et me détachais doucement de lui, les yeux baissés.
- Je suis désolé…murmurais-je honteusement. Je suis qu'une pleurnicharde qui doit être horrible à regarder.
Il me redressa la tête pour me forcer à le regarder.
- Je te trouve toujours autant à croquer, tu n'as donc pas perdu tout ton charme, me dit-il avec un sourire amusé.
Je poussais un petit rire, contente qu'il soit là.
Je relevais finalement les yeux et vis que sa lèvre saignait. Je poussais une petite exclamation de surprise, puis passait doucement un doigt sur la coupure.
- Ca te fais mal ? demandais-je doucement.
Il secoua la tête, un sourire tendre apparaissant sur ses lèvres meurtries :
- Si c'est le prix à payer pour te défendre, non, je ne souffre pas.
Je lui rendis son sourire, puis détachais (à contre cœur) mon regard du sien, et attrapais ma baguette qui était tombé par terre. De nouveau face à lui, je murmurais une petite formule, et sa blessure disparut. Il passa un doigt la où elle se trouvait une seconde auparavant et sourit.
- Merci, me dit-il.
A mon étonnement, il se remit ensuite debout, avant de me tendre une main.
- Mademoiselle, je crois que nous avons été interrompu durant notre dernière danse tout à l'heure, il faut y remédier ; me feriez-vous l'honneur de danse avec moi ? demanda t-il avec un sourire charmeur, lançant son chapeau sur la table de sa main libre. Je lui rendis son sourire, attrapais sa main, puis me collais contre lui.
- Je crois que je connais la chanson parfaite…me murmura t-il doucement à l'oreille.
Il remua alors sa baguette dans l'air, puis la laissa tombé sur le canapé.
Alors que j'entendais les premières notes de la chanson résonner entre les murs de la salle, je me serrais un peu plus contre lui, reconnaissant « Come What May », la chanson secrète des deux amants dans Moulin Rouge. Son petit clin d'œil au film me réchauffa le cœur.
Never knew I could feel like this
Like I've never seen the sky before
Want to vanish inside your kiss
Everyday I love you more and more
Bercé par les paroles, je posais ma tête contre son épaule et fermais les yeux.
Listen to my heart can you heart it sings
Telling me to give you everything
Seasons may change
Winter to spring…
But I love you
Until the end of time
Je sentis ses mains quitter mes hanches, pour se mettre à glisser lentement dans le creux de mon dos, et le contact de ses mains sur ma peau nu me fit frémir.
Come What May
Come What May
I will love you
Until my dying day
La chaleur que j'avais déjà ressenti plusieurs fois au cour de la journée était réapparue, mais cette fois, elle était comme décuplée. Je ne savais pas si c'était la très grande proximité de nos deux corps enlacés qui en était la cause, ou si c'était l'ambiance que créait la chanson autour de nous. A choisir, je dirais que c'était les deux…
Suddenly the world seems such a perfect placeSudlenly it mooves with such perfect grace
Suddenly my life doesn't seem such a waste
And all revolves around you
Ses mains continuaient à vagabonder sur ma peau, produisant ainsi une douce mais agréable torture, et la tête enfoui dans le creux de son cou, je poussais de petits soupires qui lui laissaient entendre l'effet qu'il produisait.
And ther's no montain too high
No river too wide
Sing out this song and I'll be there by your side
Storms clouds may gather
Stars may collide…
But I love you
Until the end of time
Ne tenant plus, je retirais mon visage du creux de son cou pour pouvoir le fixer, le cœur battant à tout rompre dans ma poitrine.
Come What MayCome What May
I will love you
Until my dying day
Le regard avec lequel il me fixait me donnait l'impression de brûler de l'intérieur ; jamais je n'avais autant apprécié une brûlure… Je sentis une de ses mains monter le long de mon dos et aller se placer derrière ma nuque. Son regard quitta mes yeux pour aller se fixer un peu plus bas et mes yeux furent immédiatement attirés par la même partie de son visage. Lentement nos visages effacèrent les derniers centimètres qui les séparaient, et mes yeux se fermèrent. Le contact se fit, doux et timide au début, puis le désir l'emporta, et notre étreinte fut passionné, comme si nos deux êtres avaient attendu ce moment toute leur existence.
Perdu dans le doux délice de la passion, je compris que cela avait été effectivement le cas…
OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO
N/A : Voulez-vous coucher avec moooooooooooooi ce soooooooooooir ????
Mdrrrrrrrrrr. Suis désolé, c'est une autre chanson du film ! Je suis comme une tite folle devant mon ordi. A y é !! Il se sont enfin bécoté houhouhouuuuuuu. :D
Bon, je tenais à préciser, car la façon que j'ai de décrire les choses portent à confusion (comme toujours d'ailleurs lol), mais nos deux tourtereaux ne s'envoient pas en l'air là (oh !! I'm chocking !!), et se font juste de gros bizous bien baveux hihihiiiiii !!!
….
….
Veuillez accorder quelques secondes à l'auteur pour qu'elle calme ses hormones d'adolescente, mirci
…
…
A y é, suis un peu calmé lol. Non sérieux, j'suis très contente, j'ai adoré écrire ce chapitre, du début à la fin, je me suis bien marré à certain passage (« MIOOOOOOOOOOOOOONNNNNEUUUUUUUUUUHHHHHHHHH !!!!! » mdrrrrr), et j'ai beaucoup apprécié écrire hummm, certains autres ;)
Je sais que beaucoup d'entre vous attendait ça depuis un moment, j'espère que j'ai pas trop raté le moment (une tite review pour me rassurer ((ou m'engueuler hihi))??)
Sinon, j'espère que vous avez aimé ce chapitre. Dans le prochain, y va y avoir de l'action !! (mais nooooon, pas le genre d'action à laquelle vous pensez, bande de cochon lol :p )
Je tenais aussi à m'excuser pour ceux qui n'aime pas le film Moulin Rouge, je me suis un peu lâché, mais m'en veuillez pas lol, je suis tout simplement amoureuse de ce film !! Si vous ne l'aimez pas, c'est pas grave… je vous laisse cinq secondes d'avance niark niark.
Bon allez, l'auteur va arrêter sa longue note, et ses délires débiles, en vous demandant…
des REVIEEEEEEEEEEEWS !!!!!!
Elialys la folle dingue !!
