Ennemis pour la vie... ?

Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à la merveilleuse J.K. Rowling, excepté l'intrigue et les personnages que je pourrais créer (qui sait ? lol)

Note de l'auteur : Et viiiiiiiiii, c'est encore moi !! J'espère ne pas vous avoir trop manqué pendant une semaine !! (comment ça, c'est la fic qui vous a manqué et pas moi ???!! lool). Voilà le new chapter, j'espère que vous l'aimerez !

Bien sûr, voici les réponses aux reviews, je ne vous remercierais jamais assez !!!

Pour ff net:

Sammy297 : Tiens, voilà la suite lol, et merci !!

flogudule : Merci beaucoup !! Je suis contente que tu ais aimé !! Voilà la suite !

pearl : Mirci my sister, mais tu pousses pas un tit peu la ?? Mais sinon, c'est sympa, je me sens flatté lol

Pauapu : Merci !! Pour Ron, je ne peux rien dire (ça serait pêcher comme on dit lool), et pour les zamoureux, comme je me connais, ils vont êtres gâtés hihihi !!

Pour Harry Potter Fanfiction

Lilou : Merci beaucoup pour ta review !!

Emma : Yes, une fan rien que pour moi !!! lool ! Tiens, voilà le chapitre 11, j'espère que tu l'aimeras !

Morgane : Je tenais à te faire un grand merci pour toutes les reviews que tu m'as laissés !! Ca réchauffe le cœur de lire plein de choses positives comme ça !! lol. En tout cas, sache que ça m'as vraiment fait plaisir, et j'espère que tu apprécieras ce chapitre autant que les autres ! Kissous !

Laly : Merci !! Et oui, Ron,l'éternel jaloux !! lol. Jusqu'où ils vont aller ? Seul le destin nous le dira…niak niak !

pupuce2a : Merci beaucoup !! J'espère ne pas t'avoir trop fait attendre !!

lady 22 : lol, mirci! Voilà la suite!!

Lauramalfoy : Merci pour ta longue review lol. Le chapitre 10 est mon préféré pour le moment, c'est celui-que j'ai adoré écrire de la 1ère ligne à la dernière ! Peut-être que ça se sent à la qualité lool !

Elanore : Merci !!Voilà la suite !

Francesca : Mirci beaucoup ! Voilà la suite que tu attendais !

Zoizo : Merci d'aimer ma fic !! Moi aussi, c'est mon couple préféré (comment ça, c'est pas une surprise ??lol). Voilà le chap 11 !!

Mystéria : Personne n'est parfait…lol, non j'rigole !!!Après, on va me prendre pour une…hum…lol Chacun ses goût de toute façon ! Merci pour ta review !!

missangel : Merci beeaucoup!! Je suis désolé de t'avoir fait pleurer (mais en même temps, c'est flatteur pour mon ego d'auteur lol) ! Voilà la suite !

Pour TWWO

Tricia : Mdr !! J'aime beaucoup tes reviews, elles sont très distrayantes, et elles m'occupent bien (le temps que je lise tout le pavé loool) Je suis contente que ça t'ais plu (si j'ai bien compris le message lol !)

Dragonia : Oui, ma aussi je suis pressé, pasque j'arrive à utilisé word sur le vieux, mais msn, ça le fait planté… :'( Je suis moi aussi très contente que tu m'ai poussé à publier !!! J'adore ta fic, mais je déteste la pouf de Serdaigle !!! lool !

Stephanie : Vi, moi aussi Ron m'énerve, je crois que je vais medéfouler sur lui dans cette fic…lool ! Merci pour ta review !

Aurore : 'snif' mirci 'snif' suis toute mumu par ta review…'snif'…Faut arrêter de m'en faire des comme ça, je vais finir par avoir les chevilles tellement grosses que je n'arriverais plus à mettre de chaussure (la preuve, j'suis condamné au tong depuis que j'ai commencé à écrire hihihihi). Pour le film « Moulin Rouge », c'est un film à voir absolument, il est génialissime!!!! (me laisse encore emporté là, lol), je te conseil de le regarder en VO (tte façon, c'est en majorité des chansons anglaises alors…). Kissous, et merci beaucoup pour toutes les gentilles choses que tu dis à chaque fois !!

Chapitre 11 : Accélération

Ce fut le son d'un puissant ronronnement qui me sorti du doux et apaisant sommeil dans lequel j'étais plongé. Sans ouvrir les yeux, je tendais la main derrière ma tête en direction du bruit, et mes doigts rentrèrent en contact avec une petite boule de poil soyeuse. Salem. Son ronronnement s'intensifia, et j'ouvrais finalement les yeux. La première chose que je vis, c'étais l'ange qui dormait contre moi. Je souris tendrement en la voyant si paisible, et me redressait légèrement sur les coudes pour pouvoir la contemplé. Je me souvenais de tout ce qui s'était passé hier soir, et y repenser me réchauffait le cœur. La soirée avait été magnifique, surtout la fin… Combien de temps avions nous passé à nous embrasser ? Je n'en avais aucune idée, car dans ce genre de moment, on a l'impression que la Terre arrête de tourner. Elle s'était finalement reblotti contre moi, alors que nous étions allongés sur les tapis (N/A : Mé je vous jure !!! ils zont rien fait !!). Elle s'était rapidement endormie, et moi, j'étais resté un long moment à la contempler dormir, comme à cet instant, avant de moi même plonger dans le sommeil.

Doucement, je me penchais et déposais un baiser su son front, et je vit un léger sourire apparaître sur ses lèvres. Elle entrouvrit légèrement les paupières, et son sourire s'élargit un peu plus. Elle referma alors les yeux.

- Ce n'étais pas un rêve alors ? chuchota t-elle doucement.

- Non, répondis-je sur le même ton, ou alors, j'ai fait exactement le même…

Elle s'étira alors gracieusement, avant de d'ouvrir les yeux pour de bon.

- Ca faisait longtemps que je n'avais pas aussi bien dormi ! dit-elle d'un ton enjoué, tandis qu'elle se redressait pour se retrouver à ma hauteur.

Je levais un sourcil, amusé.

- Dormir par terre sur des tapis te réussi mieux que de passer une nuit dans un bon lit douillet ?? ?? lui demandais-je d'un ton taquin.

- Non, répondit-elle sur le même ton en se rapprochant, c'est de dormir dans tes bras qui me réussi.

A peine sa phrase finie, elle déposa un doux baiser sur mes lèvres, baiser qui se transforma rapidement, passant du chaste au passionné. J'adorait la sentir frissonner au contact de mes mains sur la peau dénudée de son dos (elle portait toujours son ravissant et très sexy costume…). Finalement, elle se détacha de moi pour reprendre un son souffle.

- Bonjours ! me dit-elle alors, sans dépérir de son sourire.

Elle du remarquer mon air interrogateur, car un petit rire lui échappa.

- Peut-être ne connaissez-vous pas les bonnes manières, Monsieur Malefoy, me dit-elle prenant une voix exagérée de noble, mais moi, je les applique !

Elle était assise devant moi, et sans prévenir, je posais mes mains sur ses épaules et la faisait basculer, suivant moi-même le mouvement. Elle se retrouva une nouvelle fois sous moi.

- Tu sais bien que je suis un vrai petit délinquant, répliquais-je d'un ton coquin, avant de l'embrasser.

Nous passâmes ainsi un bon moment à s'envoyer de petites vannes, en souvenir du « bon » vieux temps, entre deux étreintes passionnées, qui prouvaient par leur présence que cette époque était belle et bien révolue.

J'entendis alors un drôle de gargouillement, et me détachais légèrement de la jeune fille pour regarder autour, à la recherche du responsable du bruit ; alors que je regardais de nouveau Hermione, je vis que ses joues étaient devenues rouges.

- C'est…mon estomac, dit-elle d'un ton un peu coupable, tandis que le bruit se répétait.

Je rigolais alors gentiment, pas par moquerie, mais son air gêné la rendait encore plus irrésistible.

- Ce n'est pas grave, lui dis-je, toujours souriant. C'est normal que tu ais faim, il est…(regard à ma montre) dix heures quarante cinq !

Ses yeux s'ouvrir comme des soucoupes sous le coup de l'étonnement, et s'exclama d'un ton presque machinal :

- Merlin ! Ron va s'inquiéter !

Elle rougit à nouveau en voyant mon air renfrogné, et m'embrassa gentiment pour tenter de se faire pardonner.

- Excuse-moi, dit-elle, s'est presque un réflexe maintenant… Il devenu tellement (trop) protecteur !

Je décidais alors d'aborder un sujet pénible ; je répugnais à en parler, mais plus vite nous serons fixé, mieux ça sera.

- En parlant de ça…commençais-je finalement en refoulant ma jalousie. Tu crois qu'il faudrait… que ça reste secret ? Je veux dire, nous deux…

Je vis devenir mal à l'aise, et elle contempla ses mains, se mordillant légèrement la lèvre inférieur. Finalement, elle releva la tête.

- Je… je pense que c'est mieux, oui…dit-elle doucement.

Je m'y préparais bien sûr, mais l'entendre le dire me blessa. Elle du voir l'expression sur mon visage, car elle s'empressa de reprendre, d'un ton rapide, ouvrant des yeux ronds :

- Oh ! Non, ne le prends pas mal ! Je t'assure que ce n'est pas contre toi !

Je fis une grimace qui lui montrait à quel point j'en était convaincu.

- Je te promet, reprit-elle en prenant une de mes mains dans les siennes, que cela ne me gênerais absolument pas de promener doigts entrelacés avec toi dans les couloirs, ou d'annoncer à toute l'école que je suis avec toi ! Je me fiche complètement de l'avis des autres, de se qu'ils pensent, de la façon dont ils me jugent !

Sa voix était si sincère, et ses yeux tellement plein de vérité, que je sentis mon morale remonter.

Je comprenais alors ce qui la gênait.

- C'est la prophétie, n'est-ce pas ? lui demandais-je.

Elle hocha doucement la tête.

- Oui… répondit-elle. Je repense à ce que Dumbledore nous a dit : nous devons être prudents et ne pas attirer l'attention sur nous. Or, nous montrer ensemble au grand jour, vu nos antécédent, je pense que ça aviserait les curiosité.

Je hochais la tête, conscient à présent des risques que l'on courrait. Qu'elle courrait.

- Tu as raison…dis-je finalement. Il vaut mieux rester discret… Enfin, moi, ça me convient, du moment que tu es d'accord pour qu'on ne se cache plus quand on est dans cette salle…

Pour toute réponse, elle se jeta presque littéralement sur moi (pas que je m'en plaigne hihi).

Le temps continua donc doucement sa course. Les vacances prirent fin, remplacées par les cours et une belle masse de travail pour les 7èmes années. Je ne vis pas le mois de janvier défiler et bientôt, février débuta. Il fallait dire que si je ne voyais pas le temps passé, c'était parce que j'étais bien occupé : la journée, j'avais cours, et le soir, en dehors de mes patrouille des couloirs, j'essayais de faire mes devoirs. Je dis bien « essayais », car, étrangement, c'était la meilleure élève du collège qui avait la fâcheuse manie de me déconcentrer. Mais, je pouvais avouer en toute sincérité que je ne m'en plaignais pas le moins du monde. Le long mois qui avait passé fut le meilleurs de ma scolarité, et peut-être même de ma vie.

C'était étrange, j'avais l'impression d'être plus léger, que les autres étaient plus sympathiques, et que la neige était plus blanche (N/A : et le ciel plus bleu, l'herbe plus verte, blablabla…ça vous dis rien ??mon tit délire). En dehors de la salle commune, nous nous amusions à nous comporter comme de vrais et haineux ennemis (à la grande joie de la belette d'ailleurs, qui ne cessait de me lancer des regards supérieur alors que moi, je riais sous ma cape). Mais dès que nous le pouvions, on essayait de se faire pardonner l'un à l'autre du mieux que l'on pouvait. J'avais découvert à quel point s'était grisant de se cacher dans un coin de couloir, ou derrière une tapisserie, avec le risque d'être débusquer en pleine séance de bécotement hihi !

Ce fut donc d'excellente humeur que me m'asseyais à la table des Serpentard, un matin de ce début du mois de février, non sans lancer un petit clin d'œil coquin à la plus belle jeune fille de l'école, attablée plusieurs mètres plus loin.

Mon sourire se crispa à l'arriver des hiboux. Cette années, je n'avais rien reçu de la part de ma famille (excepté à Noël), je fus donc très surpris quand je vis mon hiboux déposer devant moi un long paquet, accompagné d'une lettre scellée. Je devinais tout de suite à la forme du colis que c'était un balais, et le sceau étant celui des Malefoy, qu'il venait de mon paternel. Un vent glacé passa dans ma poitrine. J'attrapais le paquet et la lettre, et sortais rapidement de la Grande Salle, car les élèves de ma table étaient très intrigué par le contenu du courier. Je montais donc l'escalier du hall, et n'ouvrais le paquet qu'une fois dans un couloir silencieux. Malgré le fait que je savais qu'il venait de mon père, je ne pus retenir un sifflement admiratif devant le balais. C'était le dernier sorti, le « Vitesse-Lumière », le plus rapide et performant des balais, capable de porter une charge de plus de 300kg ! « L'éclair de Feu » ne lui arrivait même pas à la cheville ! Je sortais soudain de ma contemplation quand je me souvins de la lettre. Posant le balais contre le mur, j'ouvrais le parchemin. C'était belle et bien une lettre de mon « cher papa »…

«Mon fils,

N'ayant reçu aucune nouvelle de ta part depuis fort longtemps, je prends moi-même l'initiative de t'en demander, qu'on ne s'imagine pas que je ne m'inquiet pas de mon fils unique, au contraire : je prends toutes les dispositions nécessaires pour toi, Drago. A notre dernière entrevue, avant ton départ pour Poudlard, je n'ai pas eu le temps de te faire part de tous ce que tu devais savoir, ton attitude m'ayant contraint à te congédier rapidement. Comme je te l'ai donc appris, ton entrée dans la vie active ne serait tarder à présent, une place t'étant déjà réservée. Ton intégration aurait du se faire durant les vacances de Pâques, mais il s'avère que notre Maître à déjà un novice à former pour le moment. Je suis donc navré de te l'apprendre, mais il va te falloir patienter jusqu'à juin, après tes examens.

En attendant, je t'envois un petit présent, pour te faire comprendre que je pense bien à toi, et pour te remercier d'accepter de patienter.

A bientôt.L. Malefoy. »

J'avais mal aux doigts de ma mains gauche tellement je serrais fortement le poing. D'un geste rageur et dédaigneux, je froissais le papier, respirant profondément pour tenter de ma calmer, mais je n'y parvins pas. Qu'il me rappel ainsi ce que j'étais censé devenir me mettait hors de moi ! Mais ce qui me touchais le plus, c'étais son histoire de « cadeau ». Mon père était loin d'être un homme stupide, je le savais très bien. Il était évident qu'il avait déjà comprit ma façon de voir les choses, à propos de mon « entrée dans la vie active », et le balais étais la pour tenter de m'acheter. Mais bien sûr !! « Oh, mon petit Drago, je t'offre un balais ! Ca vaut bien que tu acceptes de venir zigouiller des innocents avec nous, non ? ». Je ne me faisais aucune illusion. C'était clair que mon père n'abandonnerait pas, même si le coup de la carotte ne donnais pas de résultat. Il n'aurait qu'à passer à la manière persuasive de la violence.

Avec un cri de rage à moitié contenu, je donnais un coup de poing rageur dans le mur, ce qui n'eut comme seul de résulta de provoquer une vive douleur dans ma main droite, pas du tout efficace pour calmer ma colère. C'est ce moment là qu'elle choisit pour arriver. Vraiment un très mauvais moment.

- Dray ?

J'entendis la voix d'Hermione avant qu'elle n'apparaisse au coin de couloir.

- Tu es sorti en trombe de la salle, commença t-elle en se dirigeant vers moi, et je viens d'entendre un…

Mais elle se stoppa, voyant mon air écumant de rage. Elle fronça les sourcils, complètement incrédule.

- Drago ? Qu'est-ce qui ne va pas ?? demanda t-elle d'un ton inquiet.

J'essayais de contrôler ma fureur, mais la lettre m'avais blesser trop profondément. Je tentais donc de limiter les dégâts.

- Laisse moi Hermione, s'il te plait, lui dis-je d'un ton qui se voulait calme, mais la colère perçait toujours dans ma voix.

Mais elle ne voulut rien entendre. L'inquiétude toujours gravé sur son visage, elle se rapprocha encore de moi.

- Ecoutes, dit-elle d'un ton apaisant, si tu me disais ce qui te met dans cet état, peut-être que je pourrais t'aider à-

Mais je ne lui laissais pas l'occasion de finir sa phrase.

- Putain, Granger, ferme-la!!!!! criais-je férocement. Dégage !! Tu peux rien faire pour moi !!

Un air pleinement choqué et blessé apparu sur son visage. C'était sur que mes paroles avaient dépassé mes pensées, mais dans ce genre de moment, je redevenais une personne froide et méchante. Je n'avais aucunement l'intention de la blesser, mais je ne me contrôlais pas.

- Drago…tenta t-elle de dire, mes paroles l'ayant apparemment beaucoup touché, une expression de totale incrédulité douloureuse gravé sur son visage.

Je n'essayais même pas de l'écouter. Poussant un soupir exaspéré, j'empoignais mon balais et tournais les talons sans lui lancer un regards, la laissant totalement chamboulé dans le couloir sombre.

Une demi heure plus tard, assis en cours d'histoire de la magie, j'étais complètement calmé, et une immense culpabilité m'envahit, en repensant à l'expression abattue de la jeune fille. J'étais rongé par les remords. Elle n'avait cherché qu'à m'aider, me voyant en détresse, mais je l'avais impitoyablement envoyer promener. J'aurais voulu m'excuser, mais, je n'étais pas un Serpentard pour rien : il me manquais la qualité principale des Gryffondor : le courage. Alors, au lieu de mettre à genou, et de la supplier de me pardonner, je restais toute la journée à me miner. De son côté, elle semblait avoir pris la résolution de m'ignorer superbement, même dans les cours que nous avions en commun, comme potion l'après-midi. Mais elle s'était obstiné à ne pas tourner une seule fois le regard vers moi, sinon, elle aurait eu le droit à un remarquable regard de chien battu désolé d'avoir fait une bêtise de ma part.

Complètement démoralisé, je m'apprêtais à regagner ma salle commune après le dernier cours, quand je me souvenais soudainement qu'on étais lundi, ce qui signifiait : entraînement de quidditch. En tant que Capitaine de l'équipe, je ne pouvais malheureusement pas me permettre de sécher un séance. Avec autant de motivation que quand je me rend en cours d'histoire, je me traînais jusqu'au terrain de quidditch. Mettant de côté mes soucis, familiaux et de cœur, je profitais de l'agréable sensation de détente que je ressentais quand je montais sur un balais. De plus, le « Vitesse-Lumière » était tout simplement extra ! L'entraînement se passa sans dommage, les membres de l'équiper n'étant pas trop stresser (nous avions gagné le match contre Serdaigle, le prochain se jouerait contre Poussoufle).

Mais, à la fin de la séance, je ne souhaitais pas encore retourner au château. Je décidais donc d'aller faire une petite ballade aérienne autour de la forêt interdite, espérant ainsi peut-être trouvé dans le ciel qui s'obscurcissait avec l'arrivée de la nuit une excuse suffisante pour me faire pardonner auprès d'Hermione…

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

Fébrilement, Pansy Parkinson referma la porte des toilettes derrière elle. Elle avait découvert cet endroit il y avait un peu plus d'un mois. Ces toilettes étaient inutilisées, car un fantôme d'une sang-de-bourbe décédée y avait établit son « logement », et provoquait régulièrement des inondations au deuxième étage. Il s'était donc avéré pour Pansy que c'était le lieu idéal pour réaliser la partie la plus importante de son merveilleux plan, qui allait d'ailleurs se mettre en exécution ce soir.

Aucun doute n'envahissait l'esprit de la machiavélique jeune fille, seulement une impatience presque insupportable. Si elle ne doutait pas, c'était parce que depuis peu, des évènements lui avaient donnés une confiance en soi démesurable.

Pendant la deuxième partie des vacances de Noël, pour la toute première fois de sa vie, elle avait rencontré celui qui serait son Maître pour le restant de ses jours (elle y comptait bien !). Pour elle, cela avait été tout bonnement extraordinaire. Il se dégageait de lui tellement de pouvoir, et inspirait un respect intarissable. De plus, elle avait eut la chance de s'entretenir avec lui en privée, et il lui avait expliqué pourquoi.

Il avait d'abord commencé en lui rappelant qu'en temps normal, il ne formait pas de sorcier aussi jeune, même s'il savait qu'elle aurait dix-huit ans le 13 janvier. Mais il s'avérait que le défunt père de la jeune fille avait été un remarquable serviteur (il était d'ailleurs persuadé que si celui-ci aurait encore vécu au moment de sa chute, il l'aurait immédiatement recherché, au lieu de le laisser seul pendant 13 ans, comme l'avait fait beaucoup d'autre…), et que pour cela, il pouvait faire une exception. Il lui avait également fait par de la raison pour laquelle il la voyait en privée : il soupçonnait un de ses Mangemort d'être un espion, même s'il n'avait pas encore découvert qui (ce n'était qu'une question de temps selon lui), et qu'il ne voulait pas courir le risque que l'identité de la jeune fille soit sut par ce traître. Car elle allait lui être d'une aide précieuse, étant une étudiante à Poudlard.

Car Dumbledore pouvait affirmer ce qu'il voulait, Voldemort avait eut vent de la prophétie (aller savoir comment !) et savait que ses nouveaux ennemis étaient des étudiants. Pansy allait donc être son espionne infiltrée dans le collège, et devrait découvrir qui était ces sales petits vermisseaux qu'il devait s'empresser de détruire !!!

Voilà donc pourquoi Pansy était si sur d'elle : elle avait enfin un but dans la vie.

Servir son Maître.

Mais cela ne l'empêchait pas de penser à son plan. Granger l'exaspérait plus que tout à présent, et la nuit, elle rêvait d'enserrer son coup de ses doigts, et de l'entendre suffoquer, jusqu'à ce qu'elle rende son dernier souffle libérateur.

La potion était prête. Elle l'avait préparé durant tout le mois de janvier, suivant méthodiquement les instructions de préparation. A présent, elle sortait d'un petit sachet un fin et long cheveu noir, qu'elle avait eut beaucoup de mal à se procurer. Elle le contempla quelques instants, sachant à quel point il était primordial pour la réussite de son affaire.

Elle prit alors une louche, et versa un peu de la potion dans un verre, puis, laissa tomber le cheveu dedans, retenant son souffle. Elle poussa un soupir de soulagement quand elle vit le liquide prendre la texture voulut. Elle lança un regard à sa montre.

C'était l'heure.

Elle avala d'un coup l'immonde texture, ne sachant pas quand faisant cela, elle celait pour toujours le destin de beaucoup de personnes…

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

Attablé à la table ronde, plusieurs beaucoup étalés à sa surface, j'essayais tant bien que mal de faire une dissertation de métamorphose. Mais malheureusement, je n'arrivais pas à me concentrer sur la matière, mes pensées revenant toujours à la même chose : ma dispute avec Drago.

Bon, ok, ce n'était pas vraiment une dispute, car je n'avais pas vraiment eut l'occasion de répliquer à ses charmantes remarques, mais à cet instant, nous étions en froid, et je me cela me rendais très mélancolique.

Le mois de janvier avait été magnifique. Je n'aurais jamais pu imaginer qu'après ce que j'avais vécu durant l'été, la joie de vivre pouvait me revenir aussi facilement, et aussi démesurément ! J'étais tout simplement heureuse. IL me rendait heureuse. A chaque fois qu'il me prenais dans ses bras, j'oubliais tous mes soucis, gros ou petits, m'abandonnant simplement au plaisir et au bien être que j'éprouvais quand j'étais avec lui. J'avais découvert un tout nouveau Drago Malefoy, totalement différent de celui que j'avais connu pendant six ans, et de celui qu'il demeurait encore souvent avec les autres. Il savait parfaitement être doux, gentil et aimant, et je m'en délectait !

Mais à cet instant, les mains posées sous mon menton, j'était pensive, et la mélancolique.

J'étais surtout envahit par l'incompréhension. Pourquoi avait-il réagi aussi violemment ce matin, quand j'avais cherché à savoir ce qui n'allait pas ? Il était même devenu grossier, et m'avait appelé Granger, chose qu'il n'avait pas fait depuis le jour où je m'étais confié à lui dans cette salle commune. Et ça m'avait blessé. Vraiment beaucoup blessé.

Il avait bien mérité que je l'ignore ! Bien entendu, j'avais senti son regard sur moi plusieurs fois dans la journée, surtout durant le cours de potion, où nous travaillions en binôme. Mais je n'avais pas l'intention de me laisser faire comme ça ! Mais…malgré mon attitude froide durant la journée, cela ne m'empêchait pas à cet instant de n'avoir qu'une envie : le retrouver, et qu'il me sert dans ses bras.

Mais j'avais ma dignité. Jamais ça ne se passerait comme ça. Bien sûr, j'allais lui pardonner, car j'étais persuadé qu'il y avait une raison à son humeur massacrante (même si ce n'étais pas une raison pour se défouler sur moi !), mais j'allais attendre qu'il me fasse des excuses.

C'était donc avec un morale toujours un peu noir que je sortais de la salle, abandonnant mon devoir, et me dirigeais d'un pas traînant vers la Grande Salle.

Mais alors que j'étais arrivé au premier étage, j'entendis une voix glacial que je connaissais bien m'appeler.

- Miss Granger !

Je me retournais pour faire face à Rogue, sentais la colère et l'appréhension m'envahir. Qu'est ce qu'il me voulait encore ?

Il s'avança vers moi d'un pas rapide, le visage toujours autant inexpressif. Mais, pour un raison que j'ignorais totalement , je sentais qu'il y avait quelque chose…d'inhabituel dans son comportement.

- Oui, professeur ? demandais-je d'une voix polie.

- Vous allez pouvoir prouver une nouvelle fois votre statue de Miss Je Sais Tout, répondit-il d'un ton cinglant. J'ai besoin d'un ingrédient très important pour terminer la fabrication d'une potion, et je ne peux malheureusement pas me permettre d'aller le chercher moi même. Vous allez aller me le chercher dans la forêt interdite.

J'ouvrais des yeux écarquillé de surprise.

- Pardon ??! m'exclamais-je. Mais… c'est interdit de pénétré dans la forêt monsieur !

Il poussa un soupir exaspéré, pinçant les lèvres, en signe d'énervent, et une nouvelle fois, l'impression d'étrangeté refis surface, vite effacé par les paroles du professeur :

- Miss Granger, arrêter donc de faire votre mijaurée!!Je ne vais pas vous envoyer en mission en plein cœur de la forêt (quoi que, avec un peu de chance, vous vous feriez dévoré…), simplement un peu après la lisière !

Avant qu'elle n'ait eut le temps de répondre, il lui tendit un morceau de parchemin, qu'elle se sentit obligé de prendre, devant le regard du maître de potion. Il semblait de plus en plus pressé.

- Vous trouverez la description de la plante et l'endroit où la trouver, reprit-il d'un ton rapide.

Malgré le fait que je savais qu'il n'y avait aucun échappatoire pour moi, je tentais :

- Mais Monsieur, c'est leur du dîner, je ne pourrais faire ça dem-

- Miss Granger !! cracha t-il, me coupant, j'en ai besoin TOUT DE SUITE, ALORS SI VOUS NE VOULEZ PAS FAIRE PERDRE 150 POINT A GRYFFONDOR, VOUS FERRIEZ MIEUX DE VOUS GROUILLER !!!!!

Puis, il s'éloigna très très vite, me laissant complètement incrédule. Vraiment, l'attitude du professeur était des plus étonnante ce soir ! Il avait employer un langage très familier, ce qui n'était pas dans ses habitudes, et semblait être beaucoup plus irritable qu'habituellement (quoique…).

Mais je n'avais pas le choix, il fallait que j'aille le chercher, sinon, Gryffondor aurait des ennuis. Plus vite je m'y mettait, et plus vite je serais rentré, surtout que la nuit était entrain de tomber, et je n'avais aucunement l'envie de me promener dans la forêt (même si ce n'était que la lisière) en pleine nuit.

Resserrant ma cape autour de moi, je sortais dans l'air humide et froid du parc, un petit nuage de vapeur se formant à chacune de mes respirations.

Suivant les instructions du parchemin, je me dirigeais d'un pas rapide vers la forêt, hésitant un instant avant d'y pénétrer.

Rogue avait beau appelé ça la lisière, l'endroit où ses instructions m'entraînèrent était quand même bien éloigné de l'entrée de la forêt. Arrivée à l'endroit voulu, je cherchais avidement autour de moi, à la recherche de la petite fleur jaune fluo. Je sursautais en entendant quelque chose craquer derrière moi, mais quand je me retournais, il n'y avait personne.

- Tu deviens parano ma pauvre Hermione…me murmurais-je à moi même, tandis que je reprenais mon inspection, avant lentement.

Sans m'en rendre compte, j'avais pénétré dans une petite clairière. Je ne le réalisais que quand je relevais la tête, réprimant un nouveau sursaut de surprise, car je reconnaissait l'endroit.

C'était la que nous nous étions rendu avec Hagrid, quand il nous avait montré le Xonarion. Et logiquement, l'animal aurait encore du se trouver ici. Je savais qu'Hagrid avait eut la permission de le garder jusqu'à la fin de l'année scolaire, et que le Xonarion était toujours la trois jours auparavant, car Hagrid lui en avait parler durant le cours de vendredi.

La terreur m'envahit. Car sa cage était belle et bien présente.

Mais elle était vide, et la porte était grande ouverte.

J'entendis de nouveau un craquement, à ma droite cette fois, et je faisais lentement demi-tour sur moi même, m'interdisant mentalement de ne pas regarder entre les arbres. Doucement, je sortais de la clairière, sans faire de geste brusque, retenant mon souffle. De nouveau entouré d'arbres, je me mettais à marcher d'un pas rapide, presque courant, ne souhaitant qu'une chose : rentrer au château.

Une nouvelle bouffée de terreur m'envahit, quand je sentis que quelque chose me suivait. Quelque chose de grand, et de lourd. Instinctivement, je jetais un regard derrière moi, et je crus défaillir.

Le Xonarion était effectivement en liberté.

Heureusement pour moi, il ne semblait pas plus énerver que ça, mais il continuait de me suivre, avec l'air d'un chasseur qui attend pour se jeter sur sa proie.

Calme toi, Hermione, calme toi ! Tu n'es plus très loin de la lisière maintenant.

Marchant à reculons pour ne pas quitter la bête des yeux, j'essayais dans le même temps de voir où je me rendais. Et alors…

Un éclair rouge fusa soudain d'entre les arbres, et alla toucher une des pattes de l'animal, qui s'affaissa à moitié, prit par surprise, tandis qu'il poussait un grognement de colère. Mais il se redressa tout de suite, les yeux braqué sur moi, et je sus que s'en était fini de moi.

Il ouvrit grand la gueule, et un jet de flamme en sortit. Merlin soit loué, il ne faisait qu'un mètre de long, et je me trouvais à au moins cinq mètres de lui.

Mais ça n'empêcha pas les signaux d'alarmes « opération survie » de se déclencher volume à fond dans mon crâne. Je me mis à courir, comme je n'avais jamais couru, comme si ma vie en dépendait (mais elle en dépendait !!).

Je l'entendit pousser un rugissement de colère, avant qu'il ne se précipite à ma suite. J'essayais d'accélérer l'allure, tout en tentant de le regarder par dessus mon épaule pour surveiller sa progression.

Grave erreur.

Je me prenais soudain les pieds dans une racine, et m'étalais de tout mon long sur le sol, poussant un cris de surprise, de peur et de douleur mélangées. Je me redressais le plus rapidement que je pus, et fis volte face, pour constater avec horreur qu'il avait profité de ma chute pour me rejoindre.

Il se tenait juste devant moi, grand et imposant, sa queue de scorpion levée comme s'il s'apprêtait à attaquer. Car il s'apprêtait à attaquer.

J'eu le réflexe de lever les mains au dessus de mon visage, pour me protéger, tandis que le queue s'abattait. Ce geste me sauva ; du moins, dans l'immédiat.

Mais la pointe empoisonnée pénétra dans la paume main droite, et je poussais un hurlement de douleur. D'un geste vif, il dégagea la pointe, redressa la queue, s'apprêtant à frapper à nouveau. Mais je n'entendais plus rien, et ma vision se voilait, tandis que je sentais le venin circuler dans l'ensemble de mon corps.

Tandis que je sombrais dans les ténèbres, j'eut la drôle impression que je m'envolais…

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

Quand mon regard se posa sur la forêt interdite, je remerciais Merlin pour avoir préféré faire une ballade aérienne plutôt que de rentrer directement.

Ce que je vis empli tout mon être d'un effrois indescriptible, et j'eut l'impression d'être figé sur place, pendant une seconde.

En contre-bas, entre les arbres, une jeune fille courrait à toute allure, poursuivi par le Xonarion.

Et cette jeune fille, c'était Hermione.

L'impression d'être figé s'estompa presque immédiatement, et sans hésiter une seule seconde, je plongeais en piqué, en direction d'Hermione. Mais j'étais trop loin.

Je la vis trébuché et tombé. Elle se releva, mais le Xonarion s'apprêtait à attaquer !

J'y étais presque !!

Je l'entendis alors pousser un hurlement de douleur qui envahit mon corps et mon cœur d'une colère monumentale.

Poussant un hurlement de rage, je fonçais, donnant un nouveau coup d'accélération.

J'eut alors l'impression de voir tout au ralentit, malgré ma vitesse . Je vis la queue du Xonarion se tendre, et Hermione commencer à s'affaisser. Resserrant le manche à balais entre mes cuisses, je tendis les bras vers le bas… et l'attrapais !!

Tandis que je la serrais tant bien que mal contre moi pour l'empêcher de tomber, j'essayais en même temps de redresser ma trajectoire, chose qui d'avéra délicate. Alors que je sentais que je reprenais de l'altitude, je sentis comme une piqûre au niveau de mon mollet gauche, et poussais une exclamation de douleur : Le Xonarion m'avait touché.

Et tout cela (ce passage ralenti), n'avait durer que deux secondes et demi en réalité.

La tête commença à me tourner, mais je luttais pour rester conscient. Un bras autour d'Hermione, l'autre main de nouveau sur le manche pour maintenir ma trajectoire, je me dirigeais, toujours à grande vitesse, vers le château.

Chaque secondes qui passaient embrumaient un peu plus mon cerveau, et ma vision devient flou.

Je réalisais alors que nous foncions droit sur des vitraux, mais j'allais trop vite pour pouvoir me stopper, ou même me dévier. Ne posant qu'à sa propre sécurité, je réussi à me saisir de ma baguette, et à prononcer un faible « protego », alors que nous percutions à toute vitesse les vitraux.

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

Albus Dumbledore discutait d'un ton joyeux avec Minerva McGonagall, assise à sa gauche. Le siège de droite, habituellement occupé par le maître de potion, était vide, car celui-ci, sous la demande du Directeur, s'était rendu à Londres dès que son dernier cours s'était terminé, et ne reviendrait que le lendemain matin, pour sa première leçon.

C'était un repas comme les autres, les élèves parlaient, rigolaient, tout en dévorant leur tarte aux citrouilles. Rien de plus banal.

Et rien qui n'aurait pu prévoir ce qui se produisit alors.

SSSSSSSSSSHHHHHPPPPPPPPPPPLLLLLLLLLLAAAAAAAAMMMMMMMMFFFFFFFFFFFFFRRRRRRRRRRRRRRRSSSSSSSSSSSS !!!!!!!!!!!!

Les grands vitraux qui couvraient le mur droit de la Grande Salle explosèrent soudain, provoquant une pluie de morceaux de verre sur les élèves de Serpentards, provoquant des cris de panique partout dans la salle.

Mais le plus étonnant, ce fut de voir que cette destruction avait été causé par quelque chose qui avait percuté violemment les vitraux.

Dumbledore réagit en un quart de seconde. Il se redressa de toute sa taille, et, baguette tendu vers les « percuteurs », cria une formule, qui ralenti la chute des élèves (car c'étaient apparemment des élèves).

Dans leur chute, ils faillirent atterrirent sur le table des Poussoufle, mais ils percutèrent « seulement » la table, faisant tomber plats et assiettes, avant de percuter pour le moins durement le sol.

Tout les regards était fixés sur les arrivants surprises, et tous les observaient, bouches bées. Ce qui ne les voyaient pas se levaient sur leur chaise en se tordants le coup pour tenter de les reconnaître Ils avaient « atterris » entre la table de Poussoufle et Serdaigle, et les élèves de ces maisons avaient déjà reconnu les deux blessé, et portaient leurs mains à leur bouche en signe d'effroi, tandis que d'autres parlaient avec avidité.

Les professeurs, Dumbledore en tête, s'était immédiatement précipité vers les deux élèves, et même Dumbledore ne put retenir une petite exclamation de surprise en reconnaissant Hermione Granger et Drago Malefoy. Ils étaient tout les deux très pâles, mais contrairement à ceux qu'il craignait, ils ne semblaient pas avoir été coupé par le verre, comme s'ils s'étaient protégés. Dumbledore s'agenouilla rapidement devant. Drago serrait fermement Hermione contre lui, et Dumbledore se rendit alors compte que le jeune homme était encore conscient, et murmurais quelque chose.

Le puissant sorcier se pencha et demanda doucement mais audiblement.

- Que c'est-il passé, Monsieur Malefoy ??

Il reprocha son oreille de la bouche du jeune homme

- Attaqué…Hermione…Xonarion…sommes touchés…en liberté…

Puis, il sombra dans l'inconscience. Mais Dumbledore avait compris le principal, et se redressa.

- Que les préfets ramènent immédiatement les élèves dans leur maison respective ! dit-il d'une voix clair. Les élèves blessés doivent êtres accompagnés à l'infirmerie.

Puis, il se tourna vers les professeurs :

- Hagrid, le Xonarion est en liberté, il faut le récupérer. Faites vous aider des autres professeurs. Minerva, venez avec moi, nous devon amener ses deux élèves d'urgence à l'infirmerie, ils ont été infectés.

Deux heures plus tard, le calme était à peu près revenu dans le grand château, et tout les élèves avaient regagné leur dortoir. Tous, sauf Hermione et Drago.

Les professeurs Dumbledore et McGonagall étaient près d'eux dans l'infirmerie, parlant à voix basse.

- Ils ont eut énormément de chance, Albus, dit McGonagall. Ils ont été touché à des parties du corps où le venin n'est pas mortelle, mais il s'en est fallu de peu…

Le vieux Directeur hocha sagement la tête, contemplant d'un regard perçant les deux élèves.

- Ils ne mourront pas de leur blessures, mais Merlin seul sait ce que le venin va provoquer. Car il ne faut pas se faire d'illusion, Minerva. Jamais personne n'est ressorti inchangé après une piqûre de Xonarion…

Le professeur de métamorphose ne répondit pas. Tout deux, ils contemplaient les deux élèves déjà différents des autres auparavant, et qui à présent le serait encore plus.

Merlin seul savait à quel point… (N/A : peut-ête moi aussi, quand j'y réfléchi

bien…hihi)

OoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoO

N/A : Et voilouuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !! Et de onze !!

J'espère que ce chapitre vous aura plus ! Perso, j'aime bien la fin (depuis le temps que j'avais cette scène dans la tête) je suis contente de l'avoir enfin écrit ! Je sais pas, mais je trouve ça…grisant !! lool.

A part ça, le reste du chapitre, je trouve ça bof bof, mais il était important pour l'histoire…

N'hésitez surtout pas à me faire vos commentaire (positifs comme négatifs, je suis ouverte à tout, surtout si ça peut m'aider à m'améliorer !!) dans une petite (ou même grande ) review !!

Plein de kissous à mes lecteurs chéris, sans qui ça feraient longtemps que j'écrirais plus…

Elialys

P.S. : J'ai promis un coup de pub à ma grande sœur !!! Allez lire s fic (sur ff net), c'est « hermione dans tout ses états » de Pearlounette. Voilou !!