Vacances à la plage

Série : Hunter X Hunter
Auteur : Takomaki
Genre : Shonen-ai (Yaoi)

Disclamer : Gon (naif mais touchant !), Kirua (trop kawaii !), Kurapika (je l'adore !), Léolio (trop class ! et marrant !) ne sont pas à moi mais à Togashi Yoshihiro (heureusement car j'en connais un paquet qui veulent s'emparer de Kurapika (Kurapika est a Léolio ! na !)). La blonde m'appartiens, Shizuka, j'ai pensé très fort à cette gourde de Shizuka Jônô-Uchi (dans Yû-Gi-Oh), mais elle ne lui ressemble absolument pas (non mais quelle gourde cette nana !).

Couples : Pas la peine ? Hein ?

Réponse a la Review de petite clad :

Et oui ! Les couples sont ceux que tu as désigné, trop facile à deviner... J'espère que ce chapitre sera aussi bien écrit que le précédent ' Je pense que je vais le traduire en espagnol, mais ce n'est pas pour tout de suite car c'est pas si facile. Merci pour la review

Edit du 06/05/07 (snif) : Correction de ce chapitre.


Chapitre 2 : Tempête à l'horizon

Le tonerre gronda. Des gens s'étaient levés de table et avaient commencé à paniquer. Un fou s'était écrié "C'est la fin du monde!", des religieux priaient et d'autres restaient indéférents au chaos qui avait commencé. Parmis les gens qui restaient indiférents il y avait ceux de la table de Gon.

- Ils sont riducules, dit Léolio en coupant sa viande. Il ne va pas y avoir de cyclone quand même...

Le type bronzé qui avait annoncé la nouvelle essayait tant bien que mal de calmer les plus hystériques, c'est à dire un homme barbu qui semblait avoir une faucheuse dans son sac, une grosse femme maquillée comme un pot de peinture avec son caniche anorexique, un couple avec des trop grosses lunettes de soleil (pourquoi à l'intérieur?) qui avaient apparemment fait de la survie et pour finir un crétin qui avait sortit ses palmes et son masque.

- Pourtant la tempête va être terrible, il va y avoir beaucoup de victimes, dit gravement Gon.

- Mes parents étaient dans les aides de "Sauvatage sans frontières", ils aidaient les gens démunis à se nourrir, dit Shizuka.

- C'est magnifique n'est-ce pas ? dit Léolio.

Kurapika se mordit les lèvres, la manière dont se comportait Léolio l'agaçait, d'ailleur rien qu'en regardant sa tête il avait envie de le cogner très fort.

Soudain, sans crier gare, la lumière se coupa et les gens, déjà hystériques, commencèrent à hurler. Kurapika se leva d'un bond, balança son assiette par-terre et disparu dans la foule. Les autres le regardèrent surpris.

- Qu'est-ce qu'il lui prend ? demanda Léolio sous les cris de la grosse femme au caniche anorexique.

- Quoi ! cria Kirua qui n'entendait rien à cause des hystériques.

- Qu'est-ce qu'il a Kurapika ! cria Léolio.

- Hein !

- QU'EST CE QUI ARRIVE A KURAPIKA !

Kurapika referma la porte de sa chambre avec violence. Il était environ une heure de l'après-midi, mais il semblait que c'était neuf heures du soir. Et tous ces gens qui criaient ! Il était énervé et avait une curieuse envie de tout casser sur son passage, cependant comme il venait de faire la leçon aux autres, ce n'était pas une bonne idée. Léolio qui le prend pour un imbécile, Léolio qui se trouve EN PLUS une gonzesse (et en plus canon, comme l'avait fait remarquer Kirua), les hystériques qui criaient et ENCORE Léolio qui avait un comportement stupide ! Oh bien sûr, Kurapika trouvait que Léolio était stupide par moments, mais là c'était comme si son cerveau s'était envolé ! Déjà que Léolio énervait Kurapika, là c'était dix fois pire ! Quel suplice de contenir sa rage !

Kurapika soupira, c'était la seule chose qu'il pouvait faire. Il essaya de se calmer quand il entendit frapper à sa porte. Il essaya d'ignorer les coups qui se faisaient très insistant et qui faillit être défoncée par un Gon souriant. Comment résister à cet innocent sourire? Sauf que là pour Kurapika des claques se perdaient.

- Que veux-tu Gon ? demanda calmement, trop calmement Kurapika.

- Qu'est-ce qui t'a pris ? demanda Kirua. Enfin, c'est Léolio qui le demande, ajouta-t-il après un bref moment.

- PARCE QU'IL NE PEUX PAS ME LE DEMANDER LUI MEME ! tempêta Kurapika.

Kirua lui mit une poignée de marchmallows dans la bouche, Kurapika faillit l'étrangler.

- C'est pour éviter que tu crie ! dit Kirua comme pour justifier son geste. J'arrive pas à croire que tu sois furax à ce point !

- Masham mouchu mu ! essaya d'articuler Kurapika.

Des rires s'élevèrent de l'escalier, et Léolio et Shizuka apparurent au bord du couloir. Kurapika serra ses poings si fort qu'il avait sûrement dû entailler sa peau avec ses ongles. Il essaya de se calmer. Ce n'était rien. Léolio devait sûrement être très heureux et c'est pour ça qu'il se comportait d'une façon aussi stupide. Il ne devait pas se comporter d'une façon aussi vache avec son ami ! Oui, et puis pour le mensonge de tout à l'heure cela devait être, le coup de l'émotion de Léolio. Kurapika respira un grand coup et essaya de sourire sans succès, il opta donc pour un air sérieux.

- Ah ! Kurapika qu'est-ce qui t'a pris tout à l'heure ? demanda Léolio en souriant aussi bêtement que Gon.

Kurapika se concentra pour calmer sa colère "Tu n'as aucune raison d'être énervé".

- C'est ces gens qui m'ont... assez énervé, réussit à dire Kurapika sans faire de rictus.

- Ils sont complétements hystériques ! ajouta Kirua.

Kurapika espéra pouvoir s'éclipser mais c'était sans compter la naiveté de Gon.

- Comment vous vous êtes rencontrés Léolio ? questionna le plus naif des garçons.

Léolio fit un sourire.

- Oh c'est simple je la connaissait déjà, de vue, c'est l'amie d'un ami, à l'université de médecine, dit Léolio fier de répondre à la question. Ensuite je l'ai vue ici et tout c'est passé très vite, elle est dans le même hôtel que nous vous l'auriez deviné.

Kurapika mourrait envie de demander à cette fille à côté de Léolio qu'est-ce qu'elle pouvait lui trouver, mais n'eut pas l'inconscience de la poser.

- Ah booon ! fit Gon. Et tu es toute seule ici ? demanda le jeune garçon à l'adresse de la blonde aux cheveux longs.

- Non, dit-elle simplement. Je suis ici avec mon frère, qui est là pour un travail, dans le cinéma.

En voyant le regard interrogateur et curieux de Gon elle ajouta :

- Il s'occupe des décors, mais je crois que c'est raté avec ce temps...

Kurapika commençait à s'impatienter et projeta de lire un livre à la bibliothèque, avant de se rapeller qu'il aurait besoin de bougies pour pouvoir lire.

- Il n'y a pas d'électricité de secours ici ?

Gon et Kirua entreprirent d'aller jouer à la salle de jeux, Léolio et Shizuka partirent ailleurs sûrement pour se retrouver seuls. Quand ils furent partit, Kurapika s'appuya sur un mur du couloir et se laissa tomber par terre. Il respira profondémment. S'il s'énervait à chaque fois qu'il voyait Léolio, rester dans la même chambre s'avérait dangeureux. Sur cette note, pas très heureuse, il partit vers l'acceuil demander une bougie.

Gon et Kirua se retrouvèrent dans la salle de jeux étrangement vide. Kirua prit une chaise, un jeu de carte et s'assit. Gon quand à lui observa la pluie qui tombait par la fenêtre, il avait l'air triste. Kirua lui balança son jeu de carte à la figure.

- Aie ! Pourquoi tu as fait ça ? lui demanda Gon visiblement choqué.

- Sais pas... T'a qu'a pas faire cette tête de chien battut ! dit Kirua regardant ailleurs.

- Je préfère quand il fait beau ! dit Gon en continuant de regarder par la fenêtre. Quand il pleut, c'est que beaucoup de gens sont triste, là ça doit être...

- Hé ! l'interrompit Kirua. Qui te raconte ces bobards ?

- C'est ma, ma...

- Laisse tomber ! On joue ?

Kirua distribua les cartes et ils essayèrent de jouer au poker, ils esseyèrent car il faisait tellement sombre qu'on s'aurait cru à la tombée de la nuit. Finalement Kirua opta pour une bataille de carte qui risquait de couper leurs jolis nez, et arrêtèrent après un moment.

- On s'ennui ! dit Kirua paresseusement.

- Désolé, dit Gon.

- Pourquoi tu t'excuse, fit Kirua surpis.

- Ben si tu t'ennui ça veut dire que c'est à cause de moi, dit Gon.

- CRETIN ! Tu sais bien que non ! s'écria Kirua furieux. C'est pas ta faute, c'est ici, on peut pas sortir, on peut rien faire !

- On a qu'à... commença Gon.

- Chercher des bonbons ! dit Kirua d'une voix enjouée. Et des chocolats !

Gon aquiesca et ils partirent vers les cuisines en quête de nourriture. Kirua se glissa derrière un chariot et Gon derrière un meuble. Kirua lui fit signe et ils partirent chaqu'un de leurs côté en fouillant les placard et les chariots. Il aperçut au loin un bocal où il y avait marqué chocolat et s'y précipita avec discrétion. Il le prit tel un voleur (c'est ce qu'il est !), et l'ourvit, mais à son grand désespoir il était vide. Gon apparut et n'avait aucune trace de chocolat ni de délicieux bonbons. Kirua fit une grimace et entreprit de partir quand sa main heurta par accident celle de Gon, il sentit son coeur s'accèlerve à vitesse grand V, mais esseya de n'y prêter aucune attention. Il se leva d'un bond pour se changer les idées et se fit prendre en flagrant-délit de vol de bocal vide. Ils reçurent seulement un avertissement, comme quoi s'ils les revoyaient dans la cuisine, ils les jetteraient dehors sous la pluie sans scrupule, mais ils reçurent aussi des dommages au deuxième degré aux oreilles.

- Vielle bique ! s'écria Kirua en se massant les oreilles dans un couloir.

Un éclair illumina le couloir.

- Si on allait voir Kurapika pour se raconter des histoires à faire peur ! dit joyeusement Gon.

Kirua lui n'étais pas joyeux du tout. Normalement il n'aurait jamais comis une imprudence pareille ! C'était seulement à cause de ce qu'il avait ressentit, cela l'avait tellement boulversé d'avoir honte ou peur du contact avec Gon, alors qu'avant cela ne l'avait jamais gêné. Il suivit Gon sans savoir où il allait et se retrouva dans le salon devant Kurapika qui essayait tant bien que mal de lire avec un bougie à la main et le bouquin de l'autre.

- Tiens qu'est-ce que vous faites ici ? demanda Kurapika alors que l'orage battait toujours de son plein.

- On voulait se raconter des histoires qui font peur ! dit Gon avec entousihasme. Tu ne saurait pas où est Léolio ?

Kurapika qui avait l'air plus calmé fit une grimace pendant une fraction de seconde et revint à son visage normal.

- Il doit être avec Shizuka, dit Kurapika sombrement. Bon alors on se raconte des histoires ? ajouta Kurapika avec un peu plus d'entousihasme.

Huit heures du soir. La cafétéria était ouverte jusqu'à dix heures, mais les gens pouvaient aussi prendre le repas dans leurs chambre. C'est ainsi que Gon, Kirua, Kurapika, Léolio et Shizuka se retrouvèrent pour manger quand même dans le même endroit. La patience de Kurapika était mise à l'épreuve, il avait tellement peu de patience que même si un croyant priait pour lui toute une vie, sa patience ne s'ameillorerais pas. Ils étaient assis dans une table rectangulaire et malheuresement Kurapika était pile en face de Léolio, le hasard, car Gon et Kirua étaient à côté. Avoir la tronche de Léolio comme paysage pendant tout le repas n'était pas du goût de Kurapika.

La conversation était normale, Gon racontait des choses sans importances et Kurapika faisait en sorte d'avoir toujours quelque chose dans la bouche pour éviter de parler. Puis ensuite le plus jeune commença à parler de ce qu'ils avaient fait durant l'après-midi, il ne restait que le dessert. Kurapika feignit un mal à la tête pour éviter tout récit désagréable de Léolio.

Il monta dans sa chambre et se coucha en priant pour que le lendemain en se reveillant il constaterait qu'en vérité ils étaient toujours dans le continent pollué, sans plage, sans palmier, sans tempête, sans Shizuka et sans Léolio doublement stupide.

Mais les "prières" de Kurapika s'avérèrent utiles car une demi-heure plus tard, Léolio apparut dans la chambre avec un sourire immense, il posa la bougie sur la table de chevet qui séparait les deux lits et jeta un oeil à Kurapika, ce dernier trop occupé à voir ce qu'il faisait n'eut pas le temps de faire semblant de dormir.

- Kurapika, tu ne ronfle pas non ?

Kurapika se redressa et jeta un regard noir à Léolio.

- C'est vraiment les meilleurs vacances que j'ai passé ! dit Léolio.

Kurapika pensait exactement le contraire de lui. Sa colère s'était dissipée, mais il ne su s'expliquer pourquoi.

- Elle est incroyable Shizuka !

Et voilà, Kurapika était sûr que son bon et fidèle ami allait lui parler de sa copine pendant des heures.

- Tu sais qu'elle sait parler trois langues ! Elle est trilingue !

"Bien sûr que ça t'étonne, tu ne sais que parler la langue des singe, se dit Kurapika en son fort intérieur"

- Ah bon ? dit Kurapika en esseyant d'avoir l'air surpris.

- Oui ! Elle a déjà tourné des court métrages !

"Pas étonnant avec le corps qu'elle a les types l'ont sûrement engagé pour son physique plus que son intelligence"

- Elle est très gentille et...

Kurapika dû supporter toutes les éloges de Shizuka jusqu'à que Léolio s'endorme, mais lui (Kurapika) n'arrivait pas à s'endormir, à cause des ronflement de son ami se disait-il, car l'orage avait cessé, et un vent violent soufflait. Mais en vérité la voix de Léolio lui revenait sans cesse. Il n'en pouvait plus et projetait d'étouffer le ronfleur à coup de macaronis qu'il lui mettrait dans le nez. Vers six heures du matin, il pu enfin s'endormir avec la pensée que au moins, il n'entendait pas le vrai Léolio parler.

- Petit déjeuner ! Le vent souffle toujours autant mais il pleut moins quand même...

Kirua et Gon discutaient dans la chambre de Kurapika, il devait être une heure avancée. Kurapika se leva et vira les gosses dehors, il prit sa douche et s'habilla (l'eau n'étais pas coupée ?), il descendit au salon et des gens discutaient activement. Il s'assit en compagnie de ses plus jeunes amis, le plus grand semblait l'avoir viré de sa liste.

- Qu'est-ce qu'ils ont ? demanda Kurapika en regardant le groupe, et aperçut quelque uns des hystériques.

- On sait pas, apramment les enfants n'ont pas droit d'y assister, dit Kirua en observant le chien anorexique avec dégoût.

- Bon je vais laver mon linge sale, dit Gon avec un ton indifférent.

Kirua et Kurapika le fixèrent avec les yeux grand ouverts.

- Gon, il pleut, tu ne peux pas étendre ton linge ! dit Kirua.

- C'est ridicule de laver son linge alors qu'il n'y a pas d'électricité, dit Kurapika.

Gon ne prêta aucune attention aux derniers. Kirua le suivit et Kurapika soupira avec exaspération.

Gon se dirigea vers la laverie automatique et s'apprêta à ouvrir une machine à laver quand sur un tas de drap surgirent deux personnes.

- Zepairu ! Gin !

- Qu'est-ce que... commença Gon.

- Bonjour Gon et Kirua, on esperait vous trouver !

Le tonerre rententit, l'orage recommençait.

Zepairu et Gin expliquèrent la raison de leur venue et la circonstance dans laquelle ils s'étaient trouvé sous un tas de drap, cela se résumait à quelque chose qui semblait être des bobard, mais ils ne cherchèrent pas à en savoir plus.

- Vous nous espionniez peut-être, dit Kirua. Enfin, on va prévenir Kurapika et Léolio.

Ils décendirent dans le salon et trouvèrent le groupes de types louches, Kurapika en train de lire, des gamins de cinq ans en train de dessiner sur des fauteuils, une mère de famille dormant et bavant, et enfin Léolio et Shizuka qui semblaient occupés. Apparemment Kurapika ne les avait pas vu.

- KURAPIKA ! LEOLIO ! hurla Gon.

Kirua le frappa. Toutes les têtes étaient tournés vers eux.

- Evite de HURLER ! cria Kirua dans les oreilles de Gon.

Soudain une cloche sonna et tout le monde se tourna vers l'homme bronzé qui tenait le mégaphone habituel, il semblait terrorisé. Kurapika sentait qu'il allait annoncer une de ces horribles nouvelles.

- LA METEO NOUS A ANNONCE QU'UN ENORME CYCLONE QUI AVAIT FAIT BEAUCOUP DE VICTIMES, SE DIRIGAIT VERS NOUS EN CE MOMENT MEME !! ET QU'IL SERAIT ICI DANS UNE HEURES !! VEUILLEZ PRENDRE LE STRICTE NECESSAIRE ET DIRIGEZ-VOUS VERS LES SOUS-SOLS !! SURTOUT NE PANIQUEZ PAS !! IL Y A TOUJOURS DES SURVIVANTS APREZ UN CYLONE !!

Les hytériques recommencèrent leurs cinéma encore plus hystérique, le vieux barbu annonçait la fin du monde en brandissant un bâton rouge qui semblait appartenir à des majorettes, la grosse et son chien hurlaient, les gosses braillaient de toutes leurs forces et la mère de famille continuait par miracle à dormir en bavant plus qu'avant.

Jolies vacances et inoubliables c'est sûr ! Entre la mort, la colère et l'angoisse... des problèmes à l'horizon !

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Takomaki : Clap clap ! Oui j'ai fini le chapitre 2, j'espère qu'il y a des passages drôles quand même

Kirua : Non pas du tout !

Takomaki : héhé ' je t'attache et je te jete dans la foule de fans la prochaine fois que tu fais ça

Kirua : Non, merci... je préfère manger des chocolats...

Gon : Né Kirua, on s'amuse bien dans la fic, hein !

Takomaki : Comme il est si mignon et naïf ' J'espère vous torturer dans les prochains chapitre, déjà que je torture notre charmant Kurapika XD

Kurapika : Merci je pensais que tu m'aimait bien... Kurapika qui comprend pas trop

Takomaki : Justement ! Qui aime bien châti bien !

Kurapika : Ok, mais là tu me torture... ¬ ¬

Takomaki : Bon je m'en vais écrire des autres choses en continuant d'écouter la musique chilienne de mon frère (qui est vieille en plus !) ! Ah pourquoi ils diffusent plus Malcolm ? Snif, snif, je me marrais bien... (c fini) J'écoute toujours de la musique quand j'écris, sauf quand quelqu'un regarde FullMétal Alchemist ou le Seigneur des Anneaux j'écoute le film ou je regarde ' (assez parlé de ma vie ennuyeuse !)