Vacances à la plage
Série : Hunter X Hunter
Auteur : Takomaki
Genre : Shonen-ai (Yaoi), les couples pas la peine non ?
Disclamer : Les personnages de HXH ne sont pas à moi bien sûr, n'empêche j'aurais bien aimé les inventer ! Tans pis, je me contenterais d'écrire des fics sur mon personnage préféré ! J'ai nommé KURAPIKA !
Allez, la spécialiste des 10 000 fanfics en même temps va continuer sa série et entamer son chapitre 3, tiens il faut que termine mon chapitre de la fanfic d'Harry Potter... Je veux lire le 6 ! (mais je ne suis pas très forte en anglais...snif) Je veux avoir internet et que le tome 21 sorte ! (je passe du coq à l'ane là...) J'en ai marre d'écouter de la j-pop... je passe à ska-p, qui est mon coup d'coeur du moment (en plus je suis souvent d'accord avec eux ! XD).
Chapitre 3 : Cyclone très près
- Oh làlà... dit Kirua en posant sa main sur son front.
- Bon, dit Kurapika comme si rien de pire ne pouvait arriver. On va chercher nos affaires et j'espère qu'on va tous mourir...
- Hein ? fit Gon qui n'avait pas tout entendu à cause de l'hystérie de certaines personnes et leurs animaux (on ne vise personne hein ? seulement le pot de peinture et le cleps plus maigre qu'une paille).
- Non rien, dit Kurapika qui ne pensait pas réellement à mourir, mais à se reposer loin de tout.
Kurapika et Léolio montèrent dans leurs chambre chercher ce qui était necessaire, Gon et Kirua d'un autre côté, Shizuka attendait Léolio qui allait l'accompagner.
Un type cinglé courait le long du couloir et criait "NOOOOOOOOOOOOOOOOOON" ou un autre marmonnait des paroles incompréhensible, Kurapika trouva qu'il réussit à dépasser Léolio dans la catégorie des "Qui énerve le plus". Il sortit alors dans le couloir, assoma le type, et ensuite deux personnes l'embarquèrent dans le sous-sol.
- Kurapika ? fit Léolio en prenant un sac où il avait fourré des produits bizarres, un parfum, des revues douteuses et des caleçons Oo. Tu n'as pas peur ?
Kurapika s'arrêta de ranger et le regarda avec l'air de dire "Qu'est-ce que tu crois qui soit pire de se retrouver avec une bande d'imbéciles dans un sous-sol répugnant et sûrement infesté de rats." (ouah ! tout ça en un regard !)
- Tu sais, on ne va pas mourir, dit Kurapika d'une voix tout à fait normale.
- Non, mais il y a un risque pourtant, et Hunter ou pas c'est contre les forces de la nature qu'on devra se cacher. Et je te signale que nous ne pourrons rien ! ajouta-t-il après mure réfléxion.
- J'aime ton optimisme, dit Kurapika sombrement.
- J'aime ton ironie, fit Léolio en tournant les talons.
Shizuka attandais dehors de la chambre très calme, à vrai dire elle observait les gens comme s'il s'agissait de chose tout à fait normales.
Kurapika ne put se retenir.
- Tu n'éprouve pas de la peur ?
Shizuka regarda Kurapika très calmement.
- Oh non, mes parents m'ont toujours dit que si on paniquait c'était la fin, dit-elle en jetant un coup d'oeil à une iguane qui semblait asmatique qui courrait à toute vitesse, son maître courrait derrière en appellant "Pochi" alors que c'est un nom de chien ! (pourquoi pas Brutus ou Médor !)
Kurapika fronça les sourcils et partit voir les plus jeunes.
Kirua avait son sac remplis de biscuits, chocolats et bonbons en tout genre. Gon et lui discutaient sur les dégâts que pouvaient causer le cyclone, apparament Gon avait abandonné son air grave pour un air plus décontracté et plus curieux. Kirua touchait avec satisfaction son sac.
- Kirua, d'où tu as sortit tout ça ? demanda Kurapika qui remarqua le sac plein à craquer de Kirua.
- L'ai piqué à une femme qui voulais faire un régime, dit Kirua le plus normalement du monde.
- Tu l'as volé ! s'exclama Kurapika qui sentait sa colère remonter, il s'était défoulé sur le type cinglé mais ça l'avait juste un peu calmé.
- Mais non, puisque je te dis qu'elle voulait faire un régime !
Kurapika le regarda soupsonneusement.
- Bon on y va ? demanda Gon.
Il prit le bras de Kirua et le traîna le long du couloir pour arriver à l'escalier. Les joues de Kirua étaient en feux quand Gon le lâcha enfin. Ils étaient dans une salle sombre, les volets étaient fermés et le vent sifflait. Kirua avait le coeur qui battait très vite, il se demanda pourquoi. Il sentait un mélange d'exitation et de peur. La cause était Gon bien entendu pas le cyclone, d'ailleur il avait beaucoup plus peur du nouveau sentiment qui s'emparait de lui chaque minutes et chaque seconde qu'il se trouvait seul avec Gon. Malgrès le bruit du vent, il sentait la respiration de Gon. Il avait les mains qui le demangeaient, il avait envie d'entrer en contact avec Gon, mais se ravisa et demanda simplement :
- On est où là ?
Il dut attendre quelques secondes, lourde et longues secondes, avant une réponse.
- Il doit être ici, mumura Gon qui s'accroupit.
- Quoi ?
Gon ouvrit une espèce de trappe. Il alluma une lampe de poche et éclaira le tunnel, ensuite il se tourna vers Kirua en souriant.
- On a environ vingt minutes, c'est amplement suffisant ! dit Gon avec joie.
- Et... qu'est-ce qu'il y a là dedans ? demanda Kirua curieux.
- C'est tout là le mystère !
- Oh !
Gon et Kirua se faufilèrent dans la trappe et atterirent dans un long couloir. Le coeur de Kirua n'avait pas cessé de battre à toute vitesse, mais il avait un "but", ça l'occuperait l'esprit, et il oubliait la gêne. Gon était le premier. Depuis où il était Kirua pouvait aperçevoir son dos et puis ses jambes et...Oh non ! Il n'osera pas regarder ça ! Sûrement pas ! Non non ! Jamais ! Mais quand même il ne pouvait pas observer autre chose, il consentit alors de tourner la tête et de regarder le mur pourtant sans intérêt. Soudain Gon s'arrêta brusquement. Kirua le heurta de plein fouet et sentit la peau de Gon entrer en contact avec la sienne. Il fut soulagé qu'il n'y ait pas beaucoup de lumière, ainsi Gon ne pouvait pas le voir.
- Hé ! Qu'est-ce qui se passe ? demanda-t-il inquiet.
- Tu ne parle pas, alors... dit Gon la voix brisée comme s'il allait pleurer. Je... ça ne t'amuse pas ?
Kirua n'en revenait pas. Il sourit devant la naiveté de Gon.
- Non, ce n'est pas ça, dit précipitamment Kirua. C'est que...
Il s'arrêta. C'est que... quoi ? Il ne savait pas quoi dire, car ses pensées étaient occupées par des choses futiles, mais en même temps très importantes, cependant il ne voulait pas le reconnaître. Il découvrait un nouveau sentiment qui lui était désagréable et agréable en même temps, il se doutait de quoi il s'agissait, mais jamais il l'accepterait, ce serait une trahison à leur amitié !
- Ecoute, j'ai mal au ventre, c'est pour ça, mentit Kirua et comme c'était un bon menteur et que Gon était naif, ce dernier ne vit que du feu.
- Ah ! Je suis soulagé ! dit Gon avec un voix qui laissait entendre qu'il était joyeux. Je pensais que tu étais fâché !
- Tu es stupide ou quoi ? Jamais je me fâcherais avec toi, pas vraiment ! Pas pour ça ! On est pas comme Léolio et Kurapika !
- Oui...
Gon recommença à avancer et après quelques minutes de marches arrivèrent devant une porte. Ils se racontaient des blagues pour détendre l'atmosphère.
- On entre ? demanda Gon en dirigeant la lumière vers Kirua pour le regarder.
Kirua les joues roses détourna les yeux et poussa Gon à ouvrir la porte.
- Je n'arrive pas à y croire !
Kurapika était assit à côte de Léolio et de Shizuka qui se tenaient par la main. Il était en plus furieux contre Gon et Kirua car ils l'avaient laissé seul avec ce couple créatin et il détestait être au milieu d'un couple surtout s'il s'agissait de Léolio. Les voirs s'embrasser avec Shizuka le répugnait.
- Ecoutez... commença Kurapika, mais aucun des deux ne l'écoutaient et ils étaient concentrés l'un par l'autre. Il fronça les sourcil et les regarda avec un regard de profond dégoût. Il se leva et alla voir les autres personnes, même la vielle qui bavait ou la grosse avec un mini-haut qui crait sur tout le monde n'avaient pas l'air pire que Léolio et Shizuka. Il s'assit finalement à côté d'un gamin d'environ huit ans qui réclamait des biscuits et un jeu vidéo. Kurapika lui aurait volontier cloué le bec, mais il fallait prendre compte de son jeune âge et prit sur lui. D'ailleur s'il devait engeuler quelqu'un c'était Léolio, il l'avait carrément laissé tomber, bien sûr en faisant abstraction de Gon et Kirua qui avaient coûtume de s'absenter de temps en temps tout les deux, mais dans ces moments-là Léolio était toujours là, sauf que là il se coltinait une blonde qui... Kurapika ne trouva pas les mots et n'essaiya pas de chercher sinon il exploserait. Il ne se sentait pas jaloux ou du moins il ne voulais pas le reconnaître, mais il en avait marre et était très énervé.
Quinze minutes étaient écoulés et Gon et Kirua ne revenaient pas, Kurapika se commença à faire du souci, mais à peine eu-t-il cette pensée que la porte s'ouvrit et deux adolescents descendirent.
- Ah ! Enfin vous voilà ! fit Kurapika qui avait les tympans percés car le gamin criait très fort.
- Je commençais à m'inquieter ! dit Léolio en les rejoignant.
Kurapika se tourna vers Léolio comme s'il avait reçut une décharge électrique.
- Tu t'inquiète pour eux mais moi, tu n'en à rien à faire ! cria-t-il.
Tous les gens interrompirent ce qu'ils étaient en train de faire pour se tourner vers eux. Kurapika avait un visage furieux.
- Ouais ! continua-t-il en déversant sa rage. Tu n'hésite pas à me laisser tomber pour une fille ! Je pensais que l'amitié ça avait un sens mais apparament je ne sers qu'à écouter tes discours sur "Oh Shizuka par-ci, Shizuka par-là", c'est tout ce que tu sais dire ! Tu étais un peu bête, mais maintenant tu es pire, tu es complètement stupide, crétin et imbécile ! A cause de toi je n'ai pas pu dormir, ta voix me persécutait dans ma tête, je n'ai même pas un moment de répit ! On me mêle toujours à tout les problèmes, mais je ne suis pas Dieu, je ne peux pas tout résoudre. Tu crois quoi ? Que je vais supporter ça plus longtemps et rester les bras croisé à écouter tes stupidités ? Non ! Maintenant tu vas te taire ! Ne me parle plus de rien compris ?!!
Léolio stupéfait avait la bouche ouverte d'étonnement. Kurapika par contre avait les joues en feux, tout le monde les regardait en chuchotant. Il aurait tout donné pour disparaitre d'un coup, c'était très embarrassant, mais qu'est-ce que ça lui faisait du bien ! Quelques minutes auparavant il sentait une lourde sensation d'étouffement.
Léolio degulit.
- Si c'est ce que tu pense... fit-il vexé. Alors je crois que tout s'arrête ici.
Kurapika le regarda surpris, il n'avait pas bien compris. Arrêter quoi ?
- Qu'est-ce que tu raconte Léolio ? fit Kurapika avec un voix beaucoup moins agressive.
- Eh bien je crois que je suis suposé ne plus te parler non ? dit avec une voix qui fit tressaillir Kurapika.
- Attends, j'ai dit tout ça sous... commença Kurapika. De toutes façon c'est ta faute !
- Très bien !
- D'accord !
Léolio et Kurapika détournèrent leurs regards. Kirua les regardait en levant un sourcil. Gon s'avança vers eux.
- Vous n'allez pas vous fâcher, vous êtes des amis ! dit Gon avec un ton de reproche.
- T'a vu ce qu'il a dit ? fit remarquer Léolio.
- Tu as vu qu'il s'en fiche éperdument de moi ! dit Kurapika.
- Tu es donc jaloux ! fit Gon le plus simplement du monde. Comme Léolio accorde plus d'attention à Shizuka qu'à toi !
Kurapika ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais Léolio l'interrompit.
- Ah ! fit-il d'un air triomphant. C'est toi qui es en tort !
A ce moment les gens qui les regardaient aurait cru aperçevoir deux gamins qui boudaient chaqu'un de leurs côté et qui ne se "causaient-plus !".
- Non ! fit Kurapika qui cherchait desespérement des arguments pour contre-dire ce que venait d'affirmer Gon.
- Mais siiii ! dit Gon. Ça arrive des fois avec les chiens...
- Ne me compare pas à un chien !
Kurapika ne put rien dire car Gon avait raison et il n'étais pas un bon menteur, Léolio était satisfait de voir Kurapika en position inférieure et Kirua attendait la suite impatiemment en mangeant une tablette de chocolat.
Soudain le bruit du vent s'intensifia et quelque chose grinça qui ne préservait rien de bon. Tout le monde regarda en l'air. Il eu un craquement, quelque chose se décrocha au dehors. Tout le monde se plaqua au sol ou contre les murs. Le vent soufflait encore plus fort à chaque seconde, les bougies et les lampes à piles s'éteignèrent d'un coup comme si une force supérieure les avait effrayés. Tout le monde était plongé dans le noir. Des enfants commencèrent à pleurer, les hystériques à hystériquer (ça existe ? Oo), des gens plaquèrent leur mains sur leurs oreilles, d'autres enfin se barricadaient sous des sacs ce qui s'avérait inutile puisque ça ne protègait pratiquemment rien.
Kirua prit Gon et le plaqua par terre. Le toit craqua une nouvelle fois, les murs du rez de chaussé semblaient s'être écroulés.
- Gon, dit Kirua. Reste couché.
Gon voulut dire quelque chose mais le toit du sous-sol partit dans les airs, le vent s'engoufra, des choses s'envolèrent, le chien aboyait très fort, Kirua serra le bras de Gon pour ne pas le perdre, Gon en fit de même, le chien anorexique sembla s'envoler (pardon M. le chien anorexique ! - -'). Quelque chose tomba avec un bruit sourd juste devant la tête de Kirua, il ferma les yeux sous le vent violent mais ne lâcha Gon sous aucun pretexte ! Il était hors de question, il fallait survivre à ce cyclone tout les deux !
Kurapika se jeta par terre et se mit contre le mur, il sentit une explosion et essaiya de voir où étaient ses amis, mais les fesses de la grosse femme lui gâchaient la vue. Il se déplaça tant bien que mal vers le côté et put aperçevoir Gon et Kirua qui se tenaient, il essaoya de voir Léolio, mais ne put le voir. Le vent lui fouettait le visage, il sentit comme une brûlure sur sa joue et dans sa main droite. Les choses légères comme les sacs ou les couvertures s'envolaient, mais voir excatement quelque chose était très difficile, cependant Kurapika continua de chercher son ami. Des branches tombaient plus ou moins grandes. Le vent, l'inquietude, les objets, les cris, le bruit, la force, les blessures, le noir, les couleurs, le tourbillon
A suivre...
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Et voilà ! Ils doivent faire face à des problèmes plus grand qu'eux ! Ça craint ! Vont-ils mourrir ? Vont-ils se réconcierlier ? Quand vais-je finir d'écouter la J-pop ? Quand est-ce que je me coucherais ? Est-ce que le scorpion va me piquer ? (sisi je vous jure il y a un scorpion chez moi qu'on a pas réussit à tuer -il est petit-) Quand est-ce que l'odeur de terre va se dissper (il y a des travaux)... ce sont des question auquels on aimerait avoir des réponses... hahaha ! il faut attendre le prochain chapitre sourire malicieux (question qui tue ! quand vais-je avoir internet ?)
Merci de me lire, merci de supporter mon humour ou plutôt mes essais d'humour !
Merci de supporter Shizuka ! (celle de Yu-Gi-Oh aussi ') Elle fait rien pour, j'essaie d'être neutre, trop peut-être, mais je suis lente très lente... Gon et Kirua seront ensembles dans 20 chapitres encore ou peut-être jamais XD Non c'est une blague, quoique... Merci pour vos reviews, je vais répondre d'ailleurs (ça donne l'illusion qu'on est quelqu'un d'important alors que l'on est absolument pas !)
Kirua : Moi aussi je suis torturé !
Kurapika : Moi encore plus !
Léolio : On va faire le concours de celui qui est plus torturé!
Non, non Léolio tu ne fera rien du tout...
Réponse aux Reviews :
Ptite clad : c super gentil ce que tu dis...bon j'espère que tu sera pas déçue par la suite !
Jilian : Kirua percutera un jour ne desespère pas, c'est que je suis un peu lente...mais d'un coup ça s'accèlère...enfin pas encore !
Lord Ma-koto Chaoying : C'est super que ça te plaise ! Kurapika est nerveux, c'est pour ça qu'il est de la matérialisation ! (comme le dirait Hisoka)
