- MON SORCIER BIEN-AIMÉ -

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Enquête à Poudlard (4) - Suite

Au milieu de la semaine suivante, je dormais profondément quand une main sur mon épaule me secoua sans ménagement pour me réveiller.

"Grahams a bougé !" m'indiqua Potter avec excitation.

Je me levai d'un bond et, saisissant au passage ma robe et ma baguette, le rejoignis dans le salon où il était retourné suivre la progression de Grahams sur sa carte magique.

"Dans quelle direction va-t-elle ? demandai-je, tout en enfilant ma robe sur mon pyjama.

- En sortant de chez elle, elle a tourné à droite puis à gauche, ce qui a dû la mener à l'escalier en colimaçon de l'aile sud, répondit mon partenaire qui tentait de faire le rapprochement entre nos plans du château et le point en mouvement représentant notre suspecte sur sa propre carte. Elle les descend.

- Allons-y ! m'écriai-je en bouclant mes chaussures.

- Attends. On ne va jamais réussir à la rattraper comme cela, on n'est pas dans la même aile qu'elle. Allons directement vers les cachots. Comme ça, on sera sur place quand elle y sera. Cela nous permettra de la voir ouvrir le passage que nous cherchons depuis des jours.

- Mais si elle va ailleurs ?

- Il sera toujours temps de changer de direction. J'emporte les cartes."

Il prit sa cape d'invisibilité qui était posée sur la table, et me tendit le plan de l'école. Il suivait toujours la progression de notre proie sur sa carte, alors que nous sortions de notre appartement et nous pressions dans les couloirs.

"Elle a fait quatre tours, ce qui correspond à deux niveaux continuait Potter. Elle est donc au premier étage, maintenant. Elle part tout droit à partir des dernières marches. Ça donne quoi ?

- Le corridor qui mène à la galerie rouge", répondis-je.

Mon coéquipier me saisit par le bras et m'entraîna derrière une armure. Nous dévalâmes un escalier dérobé, à la lueur de nos baguettes. Je faillis trébucher deux fois car, au lieu de regarder mes pieds, je continuais à imaginer l'avancée de Grahams sur mon plan, conformément aux observations que me faisait imperturbablement Potter.

Nous avons débouché dans le hall d'entrée, juste après avoir déterminé qu'elle empruntait le grand escalier entre le premier niveau et le rez-de-chaussée. Nous avons disparu dans l'escalier menant aux sous-sols au moment où elle débouchait à son tour dans le hall que nous venions de traverser le plus silencieusement possible.

Arrivés à proximité des appartements de Rogue, Potter me fourra sa carte dans les mains et me poussa dans un recoin sombre que nous avions déjà repéré. Il enfila sa cape, se tenant prêt à suivre discrètement Grahams.

Cette dernière passa devant moi sans me remarquer. J'entendis ses chaussures résonner doucement sur le sol pierreux. Quand elle s'arrêta, je jugeai qu'elle se trouvait à une trentaine de mètres de moi. Je n'osai sortir de ma cachette pour vérifier, de peur qu'elle ne me repère. De toute façon, Potter devait se trouver tout près d'elle, attentif à tout geste ou formule qu'elle prononcerait pour se rendre au centre du pentagramme.

J'entendis un déclic, puis le bruit d'une porte qui se referme. Quelques instants plus tard, une brève lueur orange, que mon partenaire avait fait jaillir de sa baguette, m'indiquait que la voie était libre et que je pouvais le rejoindre. Seule sa tête émergeait de sa cape. Il avait l'oreille collée contre le mur, semblant écouter quelque chose.

"Je ne l'entends plus, chuchota-t-il. On peut y aller !"

Il pointa sa baguette sur le mur et prononça un mot. Une porte apparut. Il récita ensuite une formule et l'huis s'entrouvrit avec le déclic que j'avais déjà entendu.

Nous nous glissâmes précautionneusement par l'ouverture. Elle donnait sur un sombre boyau qui descendait. Nous le suivîmes et débouchâmes sur un escalier qui s'enfonçait lui aussi dans les profondeurs de l'école. A la maigre lueur de nos baguettes, je vis Potter grimacer. Sans doute n'appréciait-il pas non plus la tournure que prenaient les événements.

Nous sommes descendus prudemment et avons échoué dans une espèce de caverne, au plafond haut et jonchée de gros morceaux de rochers. Une lueur tremblotante jaillissait d'une ouverture se trouvant à l'opposé du point d'où nous arrivions. Nous avons éteint nos baguettes et avons doucement entrepris de rejoindre la lumière, tous nos sens aux aguets, nous dissimulant dans l'ombre des blocs de pierre disséminés dans l'espace que nous traversions.

Tout à coup, il y eut comme un crépitement et l'atmosphère devint dense autour de nous. Les gros rocs que nous contournions se mirent à trembler. Le pentacle avait été activé et la magie du château éveillée.

Soudain, je vis un mouvement du coin de l'œil. Mon entraînement joua et je me jetai brusquement à terre entraînant Potter avec moi. Un éclair blanc fendit le rocher qui se trouvait juste derrière nous. Nous avons roulé vers le plus proche abri.

"J'ai de la visite, il me semble, prononça Grahams sur un ton amusé qui ne me dit rien qui vaille. Eh bien, messieurs les Aurors, puisque vous êtes arrivés jusqu'ici, venez donc admirer mon travail !"

Potter et moi nous sommes entre-regardés en nous mettant prudemment à quatre pattes, derrière le gros roc qui nous servait de refuge. Mon partenaire ne semblait pas avoir une envie folle de se mettre à découvert. Soit mes conseils de prudence commençaient enfin à porter leurs fruits, soit la situation était vraiment périlleuse.

"Allons, ne me dites pas que vous avez peur de moi, susurra Grahams de sa voix doucereuse.

Je me saisis d'un gros caillou qui était près de ma main et le lançai pour qu'il rebondisse à quelques pas de notre précaire abri.

"Avada Kedavra" prononça la femme, alors qu'un éclair vert illuminait la scène.

Instinctivement, Potter et moi nous sommes aplatis contre le sol. Ce que je craignais était arrivé ! Notre coupable était saisie de cette folie meurtrière qui caractérise les possédés par la magie noire. Grahams serait insensible à la raison, tout juste obnubilée par la volonté de nous montrer l'étendue de sa puissance.

Je me tournai vers mon équipier pour vérifier qu'il ne paniquait pas trop. Mais au contraire, il était très calme, regardant autour de lui, comme pour chercher une solution de repli. Je me rappelai soudain à qui j'avais affaire. La situation n'était pas si délicate, après tout !

"Dis donc, Potter, murmurai-je, tu sais résister au Kedavra, non ?

- Non", me répondit-il à voix basse, d'un ton définitif.

Effondrement d'un mythe.

"Comment ça, 'non' ? Tu as bien survécu à celui de Tu-Sais-Qui ?

- On m'a protégé. Mais cela fait longtemps que cette protection ne marche plus.

- Mais pourquoi on t'appelle le Survivant, alors ? chuchotai-je férocement.

- Je ne suis pas responsable des surnoms débiles que l'on me donne."

Merde.

"Alors Harry Potter, dit Grahams d'une voix mielleuse. Tu n'oses pas m'affronter. Mais c'est vrai. Tu n'es pas si fort qu'on le croit. Ce n'est pas comme si tu avais réellement battu le Seigneur des Ténèbres, n'est ce pas ? J'ai fait ma petite enquête, tu sais. Je sais très bien que s'il n'avait pas voulu jouer au plus fin, il t'aurait écrasé comme un rien."

Potter ne répondit pas.

"C'est vrai, ce qu'elle dit ? soufflai-je.

- Oui, me répondit-il sur le même ton. C'est sa propre magie qui s'est retournée contre lui. Moi, je n'aurais jamais pu le tuer. Il était beaucoup plus puissant que moi."

C'est maintenant qu'il me le disait !

"Putain, Potter ! Mais tu sers à quoi alors ! ai-je explosé.

- Dis donc, c'est toi qui as de l'expérience et qui est censé m'apprendre le métier, s'est-il énervé à son tour. Qu'est ce qu'on doit faire dans ce genre de situation ?"

Je respirai un bon coup.

"Sortir de ce merdier, répondis-je. Qu'avons-nous comme avantage sur elle ? demandai-je ?

- On est deux et on a ma…". Il s'interrompit brusquement alors qu'une idée lui traversait l'esprit. "L'un de nous pourrait faire diversion pendant que l'autre l'immobilise."

Je m'étais trompé. Deux ans à mes côtés ne lui avaient rien appris. Les mots "prudence", "plan d'action" et "survie" n'avaient toujours aucune signification concrète pour lui.

"Et lequel de nous va aller se faire tuer ? demandai-je hargneusement.

- Je pensais que l'un de nous pourrait créer des illusions pour la distraire, répliqua-t-il, presque offensé, pendant que l'autre prendrait ma cape pour la prendre à revers."

Il était en progrès, finalement.

"Très bien. Tu te charges du spectacle, et moi je vais tenter de la stupéfixer pendant qu'elle admire ton œuvre."

Il hocha la tête pour montrer qu'il avait compris et se tortilla pour ôter sa cape avant de me la passer. Je le vis se concentrer et regarder fixement un gros rocher à quelque pas de nous. Sans doute, allait-il ancrer son illusion dessus ou le métamorphoser pour faire croire à notre adversaire que nous essayions de fuir.

De mon côté, je me recouvris du vêtement magique et me préparai à sortir de notre abri, dès que le spectacle commencerait. Alors que Potter se mit à chuchoter des formules magiques, je me penchai prudemment pour tenter de voir la silhouette de Grahams.

Quand je la vis lever sa baguette dans la direction des créations de Potter, je m'élançai le plus silencieusement possible dans sa direction. Par malheur, alors que j'avais presque atteint l'endroit d'où je comptais la mettre hors de combat en lui lançant un Stupéfix, mon pied heurta malencontreusement un caillou, qui roula bruyamment hors de mon chemin.

Elle se tourna dans ma direction et m'envoya un sort au jugé, qui heureusement me manqua. Mais le souffle créé par ce dernier fut tellement puissant que je fus déséquilibré et violemment projeté contre le sol. Je me reçus sur une jambe, qui craqua, m'infligeant une fulgurante douleur.

Je réalisai que la cape s'était retroussée et me laissait ainsi à découvert. Je tentai de me redresser pour m'abriter derrière un rocher, avant qu'elle ne me lance un autre maléfice. Mais ma jambe me refusa tout service, et je me retrouvai à plat ventre, grimaçant de douleur.

En serrant les dents, j'essayai alors de diriger ma baguette vers Grahams, du moins pour me défendre. Mais elle ne me laissa pas le temps de la mettre en joue. Elle pointa sa baguette sur moi et une lueur rouge fusa dans ma direction.

Je reçus son Doloris de plein fouet. Je hurlai sous le coup de la souffrance démente qui s'empara de tout mon corps. Après un temps infini, la douleur s'atténua quelque peu. Elle avait mit fin au sort, mais chacun de mes nerfs restait marqué par ce qu'il venait de subir.

"Allez, Potter, tu sors de ton trou ou bien je recommence jusqu'à ce qu'il meure de douleur, lança-t-elle, la voix dégoulinant de joie mauvaise. A moins qu'il ne devienne fou avant. C'est déjà arrivé, tu sais.

- Laissez-le tranquille, hurla Potter. Je vais sortir !"

Il n'allait quand même pas faire une chose aussi bête ! Mais je vis sa baguette rouler à terre et il commença à émerger de derrière son abri de fortune. Mais oui, c'était un pur Gryffondor sans peur et sans cervelle. Comment avais-je pu imaginer avoir eu la moindre influence sur lui ?

"Vraiment Potter, t'es vraiment aussi bête qu'on le dit, s'esclaffa Grahams. Il faut vraiment être un crétin fini pour croire que je vais l'épargner.

- Laissez-le partir, suppliait Potter. Nous ne vous arrêterons pas !"

Je remarquai alors qu'il s'approchait subrepticement de ma propre baguette que j'avais laissé échapper sous le coup de la douleur. Il plongea dessus, mais il n'eut pas le temps de se retourner avant que Grahams ne hurle "Imperium !"

Il se figea, baguette en main.

"Tu l'auras voulu. Tu vas commencer par le tuer, cela t'apprendra à être si noble. N'est-ce pas drôle ? Le merveilleux Harry Potter abat son partenaire avant de se suicider. Quelle aubaine pour les journaux ! A-t-il eu un coup de folie ? Y a-t-il eu une histoire de femme entre eux ? Je vais peut-être envoyer un hibou anonyme dans ce sens à cette chère Rita Skeeter. Elle saura si bien l'exploiter. Vos veuves apprécieront. Bon assez ri. Potter, tue-le !"

Avec horreur, je vis Potter se tourner vers moi et brandir sa baguette dans ma direction. C'est trop con, me dis-je.

Je ne vais pas crever comme cela.

Je tentai de rouler sur moi-même, mais mes muscles courbatus ne répondaient pas très bien. Sans compter la douleur de ma jambe cassée qui se rappelait à mon bon souvenir maintenant que celle du Doloris s'estompait.

Mes tentatives maladroites pour échapper à mon sort semblaient beaucoup amuser Grahams si j'en jugeais par ses gloussements hystériques qu'elle laissait échapper. Mais soudain la main de mon partenaire se mit à trembler, comme s'il luttait contre la volonté de son adversaire.

Cette dernière s'en aperçut et ses "Tue-le ! Tue-le !" reprirent avec intensité. Soudain, Potter se retourna avec vivacité et lui lança un sort offensif. Elle s'était en effet avancée pour se rapprocher de lui et donner plus de force à son impardonnable, se mettant ainsi à découvert. Elle n'eut que le temps de sauter en arrière pour éviter le maléfice. Elle attaqua à son tour et les sorts se mirent à fuser. Ils ne se donnèrent, ni l'un ni l'autre, la peine de se retrancher derrière un amas de pierres. Non, c'était un duel direct, particulièrement violent.

Je n'avais jamais vu mon partenaire à fond. Nous nous étions affrontés plusieurs fois dans le cadre de nos entraînements de routine, mais il retenait toujours ses coups pour ne pas me faire de mal. Malgré l'horreur de la situation, je fus impressionné par la fluidité de ses mouvements et l'incroyable puissance de ses sortilèges.

L'autre se défendait plutôt bien et avait l'avantage de se battre avec sa propre baguette. Je notai cependant qu'elle s'arrangeait pour éviter physiquement les sorts que lui lançait Potter en sautant d'un côté puis de l'autre. Derrière elle, les rochers étaient criblés d'impacts, dont la largeur et la profondeur témoignaient de l'intensité contenue dans les tirs de mon partenaire. Par contre, ce dernier bloquait les maléfices qui fondaient sur lui par des sorts de protection. Je réalisai que, malgré l'apprêté du combat, il n'oubliait pas de me couvrir.

Les éclairs générés par les sorts éclairaient la scène de façon surnaturelle, et les combattants semblaient se déplacer par saccades. Potter me tournait le dos et constituait le seul écran entre moi et notre adversaire. Mais son corps irradiait d'énergie et il semblait parfaitement dominer le combat, de sorte que je me sentais davantage en sécurité à cet instant que précédemment, derrière notre rocher.

Finalement, Potter arrêta de justesse un éclair bleuâtre et lança coup sur coup deux sorts d'expulsion. Grahams parvint à éviter le premier mais fut fauchée par le second qui l'envoya avec une brutalité inouïe s'écraser sur le mur en piteux état qui se dressait derrière elle.

Je crus entendre ses os craquer lors de l'impact et bientôt, elle retomba comme une masse sur le sol. Potter dans un dernier effort lui balança un sort de garrottage avant de s'écrouler à son tour. J'attendis qu'il se relève mais il ne bougea pas. Je paniquai un instant, mais constatai que sa poitrine se soulevait de temps en temps. Il devait être à bout de force.

J'avais du mal à respirer dans cet air saturé de Magie et de poussière. Au bout d'un moment, il me traversa l'esprit que si l'un de nous ne sortait pas d'ici pour chercher du secours, personne ne pourrait jamais savoir où nous étions.

Potter était toujours inconscient. Serrant les dents, je tentai de me relever, mais ce fut peine perdue. Je dus y renoncer, et c'est en me traînant sur mes avant-bras que je commençai à cheminer vers la sortie. Je n'allai pas loin avant de perdre à mon tour connaissance.

oooO§0§Oooo

07/05/05 : Bonjour à vous !

Comme vous le constatez, l'enquête à Poudlard n'est pas tout à fait terminée. Eh oui, une fois de plus, cela a été plus long que je ne l'escomptais et j'ai été obligée de couper à cet endroit et de rajouter un chapitre.

Voyez le bon côté des choses : nous allons rester ensemble une semaine de plus ! Donc, pour récapituler, je précise que 37 chapitres sont prévus (pour l'instant) dans cette fic.

Pour ce qui est de l'enquête, j'espère que vous n'êtes pas trop déçus par le dénouement. Je sais que certains pensaient que Grahams était trop suspecte pour être coupable mais, outre que je ne suis pas très douée pour inventer des intrigues complexes, dans les vraies enquêtes policières, cela se passe plutôt comme cela. On suit une piste, on rassemble des preuves, jusqu'à en avoir suffisamment pour effectuer à une arrestation. Je vous ai quand même prévu un petit duel à la fin pour que vous voyiez le Survivant à fond (depuis le temps que vous me le demandez).

Donc pas de retournements spectaculaire dans le prochain chapitre. Ce sera juste un épilogue, vous savez, la dernière scène qui fait rire dans les séries américaines (un épilogue de 7 000 mots quand même, je vous rassure).

Pour ceux qui m'ont demandé comment j'ai mis sur pied cette histoire, et bien j'avais de vagues idées : je voulais que nos Aurors de choc soient obligés de parcourir tout le château pour permettre à Harry de raconter ses mémoires, et que cela finisse par un duel assez violent. Très vite, j'ai déterminé que je voulais rester dans le modèle Rowlinien du méchant prof de DCFM. Pour le reste je séchais complètement. J'ai donc échangé quelque mails avec Fenice, offert un café à Calimera pour qu'elle m'écoute penser tout haut (la pauvre, je lui ai passé mon rhume et après elle est resté une semaine au lit), et on a élaboré un canevas. Dans le feu de l'action, Caliméra m'a même piqué Oscar pour écrire le passage dans le bureau de McGonagall avec Trelawnay. (On s'est bien marrées ce jour là, hein Calimera ? Avec Felix qui nous regardait faire en rigolant !).

Ensuite, j'ai écrit les trois premiers chapitres qui, suite aux corrections de Fenice et enrichis de mes nouvelles idées, se sont étoffés pour devenir 4 puis 5 chapitres. Donc une fois de plus, merci à mes correctrices qui, non seulement sont intervenues dans la conception de cette intrigue, mais ont eu plusieurs version de cette histoire, au gré de mes changements de dernière minute.

Voilà vous savez tout.

Par ailleurs, ceux qui sont inscrits ont peut-être remarqué que les pages perso de fanfiction ont pas mal changé. N'hésitez pas à passer sur mon site si vous avez un problème. J'ai pas eu le temps de reprendre toutes les rubriques, mais j'ai mis une note sur la page d'accueil qui devrait vous aider à vous y retrouver.

Si cela ne suffit pas, vous pouvez mécrire. En réfléchissant ensemble, on devrait bien trouver une solution à votre problème.

On se retrouve, si vous voulez bien, mardi prochain dans la soirée.

Et les réponses à mes chers lecteurs :

Dreyd : Une prochaie aventure . Quelle prochaine aventure ?

Sassy : trois chapitres d'un coup, c'est de la triche. Mais c'est as grave puisqu'il manquait le fin mot de l'histoire. Eh oui, c'était facile !

Kazy : Je te comprends pour les reviews. Mais tu sais, les réponses au reviews… c'est pareil ! Et pourtant, on a plaisir à les lire, mais parfois, c'est difficile de trouver quoi répondre. Pour la prof de DCFM, on va dire que l'astuce c'est justement que c'était simple (oui, je sais, j'ai l'air de me raccrocher aux branches). Une scène avec Harry reconnu par ses fans ? # Alixe s'absente 30 minutes # Bon ça y est, tu auras ta scène la semaine prochaine. Que ne ferait-on pas pour ses fidèles lecteurs !

Mary Potter : je t'ai mis du Ginny, cela te va ? Je ne poste pas sur TWWO tant que le site n'est pas redevenu stable. Quand il est redevenu accessible, il y a quelques jours, il me manquait 10 chapitres…

dadmax : plat mon chapitre ! Snif, avec 3 scènes de drague lol ! Bon c'est pas grave, on va dire que je me réservais pour cette fois ci.

Crookshank : ahhh ! tu as cité ma phrase culte, celle pour laquelle j'ai écrit toute l'histoire (bon, j'exagère un peu, mais pas tant que cela). Contente que cela recoupe ta fic. Lol, oui, il fallait quand même un mini polard, même un peu simpliste dans une histoire d'Aurors !

Angie Black : Merci d'avoir bravé les empêchements techniques pour passer me voir. Ecrire du point de vu de Willy est jubilatoire, car je peux me permettre d'être un peu cynique. Bon, la partie à poudlard n'est pas terminée, mais au moins, tu connais le fin mot de l'histoire !

Ayuluna : Sur le caractère de Draco, je ne suis pas du tout d'accord avec toi. Non, le Drago de JKR n'a pas un bon fond du tout. Il est même bien plus manichéen que le mien. Le Drago à bon fond est purement fanfitionnien. Le vrai Drago pourrait difficilement devenir ami avec Harry. Au mieux, in pourrait imaginer une relation comme celle que j'ai développé entre Rogue et Harry : ils ne s'aiment pas, ont de la rancœur l'un envers l'autre, mais tentent de l'oublier quand ils doivent travailler ensemble. Mais dans mon histoire, rien ne justifie ce genre d'apaisement entre Drago et Harry. Mais je t'accorde que les Drago développés sur ce site sont plus intéressant que celui que l'on trouve dans les 5 tomes officiels.

Antadelie : C'est la récompense quand on rentre de vacances : toutes nos fics préférées à rattraper !

Rayuroplanis : Allons, allons, elle est très bien déjà cette carte des Maraudeurs. Si on la remplaçait, ce serait la fin d'un mythe # Alixe qui ne veut pas que l'on remise cette carte qui l'a fait rêver#

elora : J'espère que c'est maintenant plus clair. Dernières explications dans le chapitre suivant.

chrys63 : Voilà, tu sais ce qu'il faut penser de la sulfureuse prof de défense. Pour différentes raisons, j'ai choisi de ne pas lier cette histoire à Voldemort. J'espère que tu n'es pas trop déçu.

sofia evans : Mais oui, ils vont partir en vacances… dans 2 chapitres.

Eiream : Hé hé, tu vas devoir apprendre les vertus de la patience lol ! Merci de nous voir rejoint. Bienvenue dans ma fic et merci pour le résumé (je l'ai retouché, tu ne m'en veux pas ?).

Csame : Dès que j'ai le temps, j'intègre tes précisions sur mon site. Merci de prendre le temps de passer malgré tes examens. Je suis de tout cœur avec toi, je détestais cette période.

Calimera : Lol, je pense que si Mimi était allée voir Willy, il nous aurait sorti un "J'avais l'habitude de susciter l'admiration des dames", ce tombeur sur le retour ! Pour Christina, c'est précisément les critiques que l'on m'a fait à propos de Ginny qui m'ont poussé à faire pour elle une "fiche personnage" avec des défauts, pour ne pas recommencer les mêmes erreurs. Bien sûr, Willy n'allait pas rater une occasion de brocarder ce qui le différencie du Survivant ! T'as pas honte de me dire que t'es en pyjama, alors que je suis au boulot depuis 2 heures !

Elmire : Ce que j'adore avec tes reviews, c'est que j'en apprends toujours un peu sur la culture québécoise. Heureuse de t'avoir fait rire !

Amy Keira : Merci. J'espère que tu n'es pas déçu.

Milenaz : Mon secret pour que ma fanfic tienne la route ? Mes relecteurs ;-) pour la suite, mes chapitres ne sont qu'en partie écrits (j'espère que je vais me calmer et arrêter de les chambouler tout le temps).

Allima : Pour Christina, c'est pas seulement une question d'âge. Quand on veut tomber enceinte, chaque échec est dur à avaler. On a peur de ne pas y arriver ou de devoir attendre pendant des mois, voir des années.

Angel's Eyes : C'est l'exercice de ce genre de fic : faire évoluer notre héros sans trahir le caractère que le vrai auteur lui a donné !

Lyane : Avec moi, ce qui est bien, c'est qu'on sait très vite qui est le coupable lol !

marion-moune : Merci ma belle !

yuna : C'était bien Grahams. Ils sont fort, nos Aurors, hein !

Minuial : Pas trop déçu par la résolution de l'enquête ? Merci de m'indiquer ce que tu as aimé dans mon chapitre. Quand je poste, je n'ai aucun moyen de savoir ce qui a fait mouche si mes lecteurs ne me l'écrivent pas !

Zabou : Merci d'être passée.

La p'tite Lili : Potter a l'ahbitude d'être dragué, oui, mais pas d'être tenté.

Dawn456 : Pas de regrets, tu sais qui est la coupable, maintenant !

nicolas : Non, ainsi que je l'explique dans mes notes d'auteur précédentes, j'ai repris le travail et je n'ai donc plus le temps d'écrire. Je ferais sans doute des petites chroniques en parallèle avec mes histoires, mais rien d'aussi régulier ni prolifique. Désolée, mais on ne reverra Dumbledore, qu'en passant.

babychang : Lol, le coup de la secte. Non, pas trop de pistes, effectivement.

mushu : Contente de t'avoir amusée

alana chantelune : Voilà tu sais tout. Pas trop déçue ?

patacitrouille : Merci. A la semaine prochaine.

Lily Petite Etoile : Ton instinct à propos de la prof de DCFM ne t'a pas trompé. POUr Cristina, il va falloir encore patienter un peu.

Shima-chan : Lol, tu a bien pointé ma façon d'écrire. Tout l'histoire a été conçue ainsi : des chapitres imaginés juste pour placer des répliques ou des scènes écrites dans le désordre. Tu as fait une chronologie ? Faudra qu'on la compare à la mienne alors ….

Kathy Magda : pardon, pardon, mon histoire était toute bête en somme. Mais je ne suis pas douée pour les intrigues compliquées. Merci d m'avoir fait remarqué qu'ils n'avaient pas fouillé les appartements de Ascii. C'est chose faite, maintenant (emportée par mon élan, tout le monde y a eu droit, du coup).

Aibe974 : Tu es sûr que tu aurai voulu avoir un prof de ce genre ?

beru ou bloub : si je ne dois pas réponre….(mais de toute façon, tu as la réponse dans le chapitre)

Fee Fleau : Je n'avais pas pensé à cet aspect de la question, mais effectivement, cela doit être plus émoustillant d'avoir Grahams que Ombrage comme prof (cela me fait penser à un fic où Ombrage fait de l'œil à Hermione et se croit super sexy, lol)! Christina déprime pas seulement à cause de l'absence de William mais aussi parce qu'elle n'arrive pas à tomber enceinte (bien sûr, l'un n'aide pas l'autre). Si si, les lettres ont été copiées et transmises à Shacklebolt je ne l'avais pas mis pour ne pas alourdir la narration.

Steamboat Willie : Eh oui, Grahams, pas de retournement, je ne suis pas assez souple pour cela lol !

Aresse : Pour faire lire mon histoire à mes filles, on en parlera dans 10 ans ! Je suis ravie que tu aies aimé les fics de Fenice. Celles de Calimera valent le détour aussi !

Frudule : C'est vrai que Willy fait beaucoup d'effort pour Christina. Le pauvre, il ne faut pas le lui faire remarquer, il risque de déprimer lol !

Fenice : Je n'avais pas réalisé, mais c'est vrai qu'il y a beaucoup de drague dans le chapitre précédent !Merci pour tes 4 corrections de ce chapitre….

Ryan : Effectivement, j'ai beaucoup de chance d'avoir autant de lecteurs et surtout qu'ils prennent la peine de laisser régulièrement des mots. Non, je n'ai pas rechangé ma date de parution, c'est toujours le mardi soir, mais la semaine dernière Fanfiction n'autorisait pas l'identification, je n'ai donc pas pu poster à la date prévue.

Lunenoire : Que veux-tu : ancien Mangemort et mal embouché, il y a de quoi se poser des questions ! Non, c'est parce que Christine n'arrive pas à devenir enceinte, qu'elle déprime.