Reviews
Latitemery c'est prévu, on en parle un peu ici
Boo Sullyvan la vie quoi
Rebecca-Black mais soit un peu plus patiente quand même lol
Eileenlep Yep, je fais durer le plaisir, se reveillera, se reveillera pas, mystèrer et boulle de gomme. Tant mieux! enfin crève la pas trop non plus sinon elle va m'en vouloir
Héloise Merci
Vinvin Bah pourquoi pas? PTDR Mais arrete de faire la peste sinon j'arrete de te les envoyer, je sais que ça sera bourré de faute après mais ça sera bien fait pour toi.
Twinzie On m'a déjà repproché la brieveté de mes chapitres mais je n'y peux rien, enfin si lol, mais je préfère des chapitres courts pour ce genre de fics. bien entendu, je vais pas le laisser dans cet état :)
Chapitre III
Point de vue de Ginny
C'était donc pour ça qu'Harry soit compatissante avec Hermione. C'était elle qui était responsable de l'état de son frère et elle ne pouvait lui pardonner pour l'instant. Elle était revenue comme un cheveu sur la soupe pour admirer son œuvre et la brave Ginny qu'elle était aurai du l'accueillir les bras ouverts comme l'avait fait sa famille parce qu'elle était enceinte de Ron. Elle ne marcherait pas ! S'ils s'étaient montrés moins butés et qu'ils avaient parlé à cœur ouvert, ils ne seraient pas dans cette situation.
Enfin elle pouvait parler, alors qu'elle refusait de parler avec Harry depuis une semaine. Elle avait peur que si elle retombait amoureuse de lui, elle aurait à revivre les épreuves de son adolescence. Depuis que Ron avait commencé à dépérir à cause de cette veuve noire d'Hermione, c'est vers Harry qu'elle s'était tournée. Ils s'étaient soutenus mutuellement et avaient commencé à se raconter leur vie depuis leurs départs de Poudlard. Sa petite amie de l'époque, Helga ou Olga, elle ne souvenait plus, n'avait guère supporté qu'Harry passe plus de temps avec la sœur de son meilleur ami qu'avec elle malgré les événements et il l'avait largué. De toute manière, Elle ne l'avait jamais aimé et trouvait qu'elle s'habillait comme une allumeuse et qu'elle abusait franchement sur le maquillage.
De son coté, elle était célibataire depuis six mois. Elle avait décidé après sa rupture avec Erik, un chef de service à Ste Mangouste, de faire une pause dans ses relations sentimentales avec les hommes. Pour l'instant, elle n'en avait rencontré aucun qui acceptait sa volonté de rester vierge jusqu'au mariage et tous avaient essayé de la faire changer d'avis, certains l'avaient menacé de la quitter si elle ne cédait pas, d'autres l'avaient trompé tout en lui assurant de leurs sentiments –ceux là avaient du subir la vindicte de l'un ou l'autre de ses frères- et enfin il y avait le cas d'Octavius. Il avait tenté de la violer, celui là, Ginny s'en était chargé elle-même et depuis dès qu'elle le croisait dans la rue, il transplanait en hurlant.
Elle avait cru qu'en Harry, elle avait trouvé un ami sincère qui pourrait l'aider et la comprendre mais ce baiser avait tout changé, non pas qu'elle ne l'ait pas apprécié. Elle devait en parler à quelqu'un, si cela avait été avant la tentative de Ron, elle aurait écrit une longue lettre à Hermione ou mieux elle serait aller la voir et elles auraient longuement discuté mais aujourd'hui … Elle s'était alors tournée vers la seule personne qui l'écouterai sans la juger et qui les connaissait Harry et elle mieux que quiconque et elle était venu voir Ron sur son lit d'hôpital.
« -Je le comprends, Miss Granger mais nous n'avons actuellement aucun poste en recherche de vacant. » fit une voix grave que Ginny reconnut comme étant celle du guérisseur Grahams.
La jeune rousse tournât la tête pour voir s'approcher le guérisseur Grahams, Hermione et à sa grande surprise Harry mais ils ne semblaient pas s'être aperçus de sa présence.
« -Est-ce qu'une donation importante pourrait faciliter la création d'un poste ? » demanda Harry.
« -M. Potter, vous n'avez pas idées des sommes à engager.
-Dix milles, cent milles, un million de Galions ? Alors combien ?
-Il n'y a pas que ça, M. Potter.
-Dites-moi alors !
-Ecoutez, guérisseur Grahams, je connais Harry depuis plus de dix ans et quand il a décidé quelque chose, il est très difficile de le faire changer d'avis. Lança Hermione sur le ton de la plaisanterie.
Le guérisseur Grahams leva les bras au ciel avant de soupirer, apparemment résigné.
« -Je vais en parler avec mes supérieurs et les administrateurs mais je trouve dommage que vous gâchiez votre talent, Miss Granger, et que vous, M. Potter, votre argent pour, et excusez-moi ce mot, ce légume qu'est devenu M. Weasley.
-Je vous interdis de parler ainsi de Ron. S'exclamèrent en chœur Harry, Hermione et Ginny qui se fit alors remarquer.
Devant tant de véhémence, Grahams préféra battre en retraite.
« -Ginny ! Qu'est ce que tu fais là ? » Lui demanda Harry en s'approchant d'elle, l'air inquiet.
-Je suis venue voir mon frère ! Je n'en ai pas le droit ?
-Bien sûr que si mais c'est juste que d'habitude, nous venions ensembles … enfin tu me demandais de t'accompagner.
-Et bien pour une fois, j'avais envie d'être seule avec lui !
-Gin, je pourrais te parler une minute ? Lui demanda le brun avec hésitation.
-Je ne peux pas, mon service commence dans cinq minutes. »
Elle s'éloigna à grands pas en essayant de ne pas paraître affectée par l'expression peinée qui s'était dessiné sur le visage de son ami.
« -Ginny, attend ! » fit Hermione en courant après elle.
Elle l'arrêta alors qu'elle était dans le couloir et la retint par le bras.
« -Qu'est ce que tu me veux ?
-Parle avec Harry.
-C'est toi qui me dit ça ! Alors que tu t'es enfuie lâchement pour ne pas avoir à discuter avec Ron et tu as vu où ça l'a mené. Lança Ginny avec aigreur.
-Justement, c'est parce que je n'ai pas envie de vous voir faire les mêmes erreurs que je te conseille de lui parler. Il tient énormément à toi et il peur d'avoir gâché votre amitié. »
Ginny fut secoué par la confidence de son amie.
« -Je vais y réfléchir.
-Vas-y maintenant ou tu le regretteras toute ta vie. » Fit Hermione en la repoussant à l'intérieur de la pièce qu'elle venait de quitter.
Elle se retrouva devant l'homme qu'elle idolâtrait dix ans plutôt et qui était devenu depuis son meilleur ami et elle se surpris à imaginer un avenir commun avec lui.
« -Gin, je m'excuse. J'ai tout faussé entre nous.
-Non, Harry, c'est à moi de m'excuser. J'aurai dut t'écouter mais j'ai eu peur …
-Peur de quoi ? Peur de moi ?
-Peur que tu me fasses du mal. La plupart des hommes avec qui je suis sortie ses dernières années ne m'ont guère laissé d'agréables souvenirs sur la gente masculine et je pensais avoir trouvé en toi un ami.
-Je suis ton ami, Gin.
-Non, Harry. Nous avons cessé de l'être quand tu m'as embrassée.
-Alors que sommes-nous ?
-Je ne sais pas. Ça va être à nous de le découvrir, notre relation doit évoluer vers autre chose mais avant tout, tu dois comprendre que je ne suis pas comme toutes les filles avec lesquelles tu es sorti, j'ai des principes quelque peu vieillot… »
Harry rougit alors violemment.
« -Je n'ai jamais couché avec elle si c'est ce que tu veux dire… En faite, je suis encore puceau. »
Ce fut à son tour de laisser s'échapper une expression de surprise avant de pouffer de rire.
« -Laisse moi comprendre, le grand Harry Potter, l'homme aux centaines de femmes est toujours vierge ?
-Oui. Murmura-t-il.
-Pourquoi ? Tu as toutes les plus belles femmes à tes pieds, tu pourrais quasiment en avoir une différente chaque nuit.
-Je suis peut-être vieux jeu mais je veux que la première personne avec laquelle je coucherais soit la bonne et j'ai envie de croire que c'est toi.
-Harry, je … moi aussi …
-Il vient de bouger ! S'exclama Harry.
-Qui ? Ron ? Tu sais très bien que c'est impossible, pas dans son état.
-Je te dis que j'ai vu bouger Ron. »