Le lendemain matin, Elizabeth se réveilla doucement et sentit la présence d'un corps chaud contre le sien. Se rappelant les évènements de la veille, la jeune femme frotta gentiment sa joue contre le torse de Rodney.
Elizabeth (heureuse et satisfaite) / Ce n'était donc pas un rêve… /
Rodney (réveillé lui aussi, lui souriant tendrement) Et non !
Le Canadien se mit à lui caresser délicatement la joue et les cheveux puis il lui fit lever son visage pour l'embrasser amoureusement.
Rodney (taquin) Convaincue ?
Elizabeth (se serrant contre lui) Oui ! Au fait, bonjour.
Rodney (souriant) Bonjour…
Soudain, il se mit sur elle, un sourire carnassier sur le visage. Elizabeth sut immédiatement quelles étaient ses intentions.
Elizabeth (malicieuse) Tu es insatiable… / Et c'est tant mieux… /
Rodney : Parfait !
Il l'embrassa alors passionnément, mêlant sa langue à la sienne et ressentant, comme la veille, le désir et le plaisir évident de la jeune femme. Elizabeth se mit à lui caresser le torse avec légèreté puis ses mains s'attardèrent sur son dos puis sur ses fesses. Une de ses mains les quitta pour saisir délicatement le sexe de son amant et le caressa tendrement. Rodney gémit et se cambra légèrement à ce contact.
Rodney (gémissant un peu plus fort à chaque caresse) E…Elizabeth…Oooh, c'est bon…Continue… / Sa main est si douce et chaude…Elizabeth, ne t'arrêtes pas… /
John se réveilla alors, contrarié.
John : Oh non ! Encore ! Mais c'est pas vrai !
Le militaire s'habilla rapidement et partit en direction des quartiers de l'astrophysicien.
Elizabeth finit par lâcher la partie sensible de l'anatomie de son compagnon, ne voulant pas le pousser trop loin trop vite. Reprenant peu à peu son souffle, Rodney décida de rendre la monnaie de sa pièce à la diplomate. Il l'embrassa passionnément, presque pour la distraire, tandis que sa main se frayait un chemin vers l'intimité de la jeune femme. Quand il l'atteignit, il la caressa d'abord gentiment, la faisant gémir et la sentant trembler sous lui. Puis, il finit par y glisser un doigt puis un deuxième et commença à les faire bouger en elle tout doucement, la faisant se cambrer.
Elizabeth (criant presque et s'accrochant à ses épaules) Rod…Rodney / Il faudrait qu'il s'enfonce un peu plus et légèrement plus haut. Mais c'est tout de même bon… /
Entendant les souhaits de la jeune femme, Rodney les exécuta tendrement et cela la fit alors crier.
Elizabeth (criant de plaisir) Oh ouiiii ! Rodneyy / Mon Dieu, il y est /
Rodney (l'embrassant affectueusement) / Elle est douce et si chaude. Et elle est sincère dans son plaisir…Elizabeth. /
ooOOoo
John était arrivé devant les quartiers du Canadien et vit que Ronon et Teyla s'y trouvaient déjà. Le militaire avait retiré sa veste, consumé par la chaleur, et salua ses deux amis
John : Vous cherchez McKay, vous aussi ?
Ronon (contrarié) Oui. Il remet ça et ça a l'air plus…intense.
John : En effet…Il est là ?
Teyla : Je ne crois pas. Mais vous pouvez ouvrir la porte avec votre gène, non ?
John (hésitant) Heu…Oui, mais…
Ronon (le regardant un peu de haut) Je vois… (soufflant) Ouvrez la porte, je vais rentrer.
Le colonel s'exécuta alors et Ronon entra dans les appartements de l'astrophysicien puis en ressortit rapidement.
Ronon : Il n'est pas là.
Teyla : Bon…Il doit être dans la chambre du Dr Weir.
John : Allons-y.
Ils partirent donc en direction des quartiers d'Elizabeth.
ooOOoo
