Titre : Les hommes sont tous mauvais.

Auteur :moi !panthere !

Disclaimer : tous les personnages appartiennent à J.K Rowling. On ne gagne pas d'argent.

Note de l'auteur : Je tiens à préciser que je n'ai rien contre les hommes et que ne pense pas le moins du monde qu'ils sont tous mauvais. Et désolé à tous les Arthur bonne lecture !c'est un UA, oui je sais encore !

Résumé : Louise Farde est enceinte de Hermione mais quand elle découvre que son petit ami, en l'occurrence le père d'Hermione, la trompait, elle part. Elle commence à haïr et à répugner tout contact sérieux avec un homme et elle transmet ce dégoût des hommes à sa fille. Quand Hermione arrive à Poudlard en 6ème année, elle est solitaire. Harry tente de devenir son ami…

Couple : HP/HG mais pas pour tout de suite.

RAR : méli : merci beaucoup, je pense que ça n'arrivera pas tout de suite. Il faut que vous compreniez comment Hermione a vécu et évolué et comment elle pense sinon vous allez la traiter de méchante. Alors je vais bientôt mettre dans mon profil, l'adresse Internet d'un site sur en français et qui explique tout mais tout !comment poster etc.

Dark-mione : salut ptite patate !T'as pas fini de le détester !Mouhahahahahahaha !

Zabou : merci beaucoup et bonne lecture !

Greg83 : merci beaucoup de m'avoir mise en favoris et alert !Bonne lecture !

Rebecca-black : merci beaucoup !Tu me laisses tout le temps des reviews supers adorables!Merci !

À présent, si vous reviewez en tant qu'anonyme, veuillez indiquer votre adresse email !Car il y a eu une rumeur comme quoi répondre aux reviews était interdit et comme je veux garder mon compte, vaux mieux être prudent !

Chapitre 1 : départ

Elle se releva avec douceur et essuya les dernières larmes de rage et de tristesse. Elle se jura de ne plus jamais pleurer à cause de Lui (Arthur). Son regard fut emplint de détermination mais la flamme de la rage brûlait encore dans ses yeux. Elle marcha lentement vers la ville, les yeux dans le vide. Elle opta pour sa sœur, confidente de toujours et qui habitait non loin d'où elle se trouvait. Elle traversa les routes et elle se retrouva devant la porte de la maison de sa sœur Anne. La maison de sa sœur aînée était une modeste petite maison (75 mètres carrés) La sœur en question habitait seule. Louise sonna et Anne vint ouvrir la porte en pestant contre les représentants. (1)

« Quoi encore !…Louise !Qu'est ce que tu fais là sœurette ? »

Elle l'étreignit mais Louise fondit en larmes. Elle qui s'était jurée de ne plus jamais pleurer à cause de cet homme, c'était mal parti.

« Viens entre ! »

Elle pénétra dans le foyer de sa sœur et elle s'assit sur le sofa. Anne la rejoignit et la prit dans ses bras en lui tendant un mouchoir.

« Il m'a trompé ce salop !Je le hais !Dieu comme je le hais !… »

Elle répéta ces mots en litanie. Anne attendit patiemment qu'elle se calme.

« Allez, maintenant, si tu me disais tout ? demanda Anne d'une voix douce."

Ce n'était pas la chose à dire puisqu'elle repartit pour une crise de larmes. Elle tenta de s'expliqué mais sa voix était coupée par des sanglots.

« Je venais…snif… de sortir de l'hôpital…snif… »

Elle se moucha bruyamment dans le mouchoir.

« Et…quand je suis rentrée…snif, snif,…je l'ai trouvé …(bruit de quelqu'un qui se mouche) dans la chambre… snif… avec une fille !"

Elle pleura de tout son soul. Anne prit un autre mouchoir et lui essuya les yeux avec tendresse.

« Ne t'inquiète pas ma loulou… tu peux rester ici si tu veux.

- Merci beaucoup !murmura Louise. »

Elles restèrent dans les bras de l'autre puis Anne prit la parole.

« Sois forte Louise. Sois forte…

-…

- Pleurer ne sert à rien. Oublie-le. Il ne vaut pas la peine de pleurer pour lui. C'est un idiot.

- Non, c'est moi l'idiote !chuchota Louise.

- Tu l'aimais et pas lui. Ton amour t'a aveuglée mais toi au moins tu as aimé. La peine est passagère. Ne meurs pas à cause de lui. Redeviens forte…dit Anne d'une voix apaisante. »

Un long silence pendant lequel Louise médita ses paroles.

« Tu as raison Anne, merci.

- Mais de rien. Que comptes-tu faire du bébé et de toi?

- Je ne sais pas. Je ne sais plus rien. Je suis perdue.

- Chut !Ça va passer, je te le promets. En attendant, tu vas rester ici. Viens, je vais t'amener à ta chambre. »

Anne la porta à bout de bras jusqu'à premier étage et l'installa dans son lit. Elle recouvrit sa sœur de la couverture et lui passa un chiffon imbibé d'eau sur le visage.(nda : si c'est pas beau la famille !)

« Dors… »

Elle resta jusqu'à qu'elle fut sûre que sa sœur dormait. Elle se prit un sac de couchage et se roula dedans. Elle s'endormit à son tour avec difficulté.

Le soleil se coucha sur la maison de Anne. Elle fut réveillée par des sanglots incontrôlables. C'était Louise. Anne repoussa les couvertures et s'assit sur le lit.

« Qu'est qui va pas Lou ? »

Louise se moucha dans un mouchoir puis elle releva la tête.

«J'ai cru que tout était un cauchemar. Que j'allais me réveiller dans ses bras ! Qu'il me murmurerait encore et encore à quel point il pouvait m'aimer. Qu'est ce que j'ai été stupide !Comme je m'en veux !Si seulement tu savais comme je m'en veux de n'avoir rien vu !

- Tu n'es pas stupide, tu étais amoureuse. Tu es une femme forte et intelligente, tu t'en remettras mais lui il ne s'en remettra jamais d'avoir laissé tomber une fille aussi formidable que toi.

- Merci Anne.

- Mais de rien, ça sert à la famille. Rendors-toi ! »

Louise ferma les paupières et essaya en vain de s'endormir. Dès que ses yeux étaient clos, elle revoyait en boucle la journée désastreuse qu'elle avait eu. L'hôpital, la course, la chambre, la fille, Lui, les larmes, la fuite… Absolument tout dans les moindres détails !

Elle entendit la porte s'ouvrir, signe qu'Anne était sortit de la chambre puis se refermer avec le plus de douceur possible. Elle ouvrit les yeux incapables de revoir cette scène qu'elle souhaitait effacer de sa vie. Elle se leva puis s'habilla d'amples habits. Elle en était à 5 mois de grossesse donc la possibilité d'avorter était impossible quant à l'abandonner, elle ne pouvait s'y résoudre. Elle s'était déjà attachée au petit bout de vie qui grandissait dans son ventre. De plus, elle ne serait pas lâche !

Elle descendit les escaliers avec précaution. L'odeur des œufs et du toast grillé lui chatouilla les narines. Sa sœur était aux fourneaux. Elle remua les œufs puis prit une assiette où elle les mit pour ensuite poser l'assiette sur un grand plateau. Elle chantonna et empoigna le plateau. Elle se retourna et vit Louise qui n'avait pas bougé. L'aînée prit la parole.

« Je croyais t'avoir dit de t'endormir !gronda Anne sur un faux ton coléreux.

- J'y arrivais pas… C'est pour qui ?demanda-t-elle en désignant le plateau.

- Pour toi, bien sûr !Assis-toi ! »

Face à son ton autoritaire, elle se plia à ses exigences. Elle avait vraiment l'appétit noué. En un très solide nœud.

« Mange. »

Elle prit les couverts et coupa un petit bout d'omelettes et le porta à ses lèvres sous le regard maternel de sa sœur. Elle mâcha lentement la nourriture qui n'avait pas de goût du moins pour elle. Elle reposa les couverts. Anne lui lança un regard réprobateur.

« Tu n'as pas faim ? »

Louise hocha la tête.

« Tu es sûre ? »

Elle hocha à nouveau la tête en signe affirmatif.

« Bien mais si tu as faim dis-le-moi, d'accord ?

- Oui.

- …

- Je vais me promener, annonça Louise.

- Tu veux que je vienne ? proposa Anne.

- Non merci. Je me débrouillerai. »

Elle sortit dans la douce chaleur de Mai. Elle marcha au gré de son instinct et ses pas la menèrent directement devant la maison de son ex-petit copain. Dès qu'elle s'en aperçut, elle déguerpit vite fait mais trop tard, il l'avait vu depuis la fenêtre. Il se précipita dehors et lui courra après.

« Louise !cria-t-il.

- Ne me parles pas !

- Mais…

- Je t'interdis de me toucher, de me parler et même de penser à moi !Je te hais !

- Mais…

- Tais-toi !Je ne veux plus jamais entendre le son de ta voix ! »

Ses cris attiraient les passants qui les regardaient bizarrement. Quand ils comprirent le fin mot de l'histoire, ils commencèrent à chuchoter entre eux.

« Et le bébé ?questionna-t-il.

- Tu t'en soucie maintenant ?ironisa-t-elle. Il ne te concerne plus ! Si tu en veux un, va le faire avec une p de service !Maintenant laisses-moi ! »

Elle se fraya un chemin dans la foule compacte qui les entourait.

« Y'a rien à voir !Dégagez ! »

Il retourna chez lui en rogne. Un des passants murmura quelque chose à propos des sales petits c qui gâchait l'existence du monde. Arthur s'affala sur le canapé après avoir prit une bouteille de vodka (2). Il prit une grande gorgée et il pesta.

« Raah !Ces femmes !De toute façon, elle va revenir, dit-il avec assurance. »

Louise retraversa la ville ayant abandonnée toute tentative de se promener. Elle se retrouva dans un parc très peu fréquenté. À vrai dire, ce parc était désert. Elle s'assit sur un banc en pierre puis elle leva les yeux. Les larmes coulèrent les unes après les autres. L'étendue d'eau devant elle lui semblait si tentante. Elle se leva et avança pas à pas dans l'eau. L'eau lui arrivait jusqu'aux épaules quand soudain….

À suivre…

(1) pour ceux qui savent pas, ce sont des personnes qui font du porte à porte et qui te montrent leur marchandise. Ça se dit aussi démarcheurs.

(2) A consommer avec modération !

Nda : j'essaye de limiter les mots vulgaires mais si j'en oublie je vous prie de m'excuser.