Titre : Les hommes sont tous mauvais.
Auteur :moi !panthere !
Disclaimer : tous les personnages appartiennent à J.K Rowling. On ne gagne pas d'argent.
Note de l'auteur : Je tiens à préciser que je n'ai rien contre les hommes et que ne pense pas le moins du monde qu'ils sont tous mauvais. Et désolé à tous les Arthur bonne lecture !c'est un UA, oui je sais encore !
Résumé : Louise Farde est enceinte de Hermione mais quand elle découvre que son petit ami, en l'occurrence le père d'Hermione, la trompait, elle part. Elle commence à haïr et à répugner tout contact sérieux avec un homme et elle transmet ce dégoût des hommes à sa fille. Quand elle arrive à Poudlard en 6ème année, elle est solitaire. Harry tente de devenir son ami…
Couple : HP/HG mais pas pour tout de suite.
Ps : si plus tard j'appelle Hermione Farde, Hermione Granger, dites le moi. Et c'est un UA !
HP 4 EST ENFIN SORTI !
Ce chapitre est fait parce que comme j'ai fini de faire sa fête à Arthur, je vais me faire pardonner et lui taper un chapitre entièrement pour lui !Le but étant que vous le considériez un peu moins comme un salaud.
Ça se passe à peu près un mois avant qu'il ne sache qu'il sera père.
Chapitre 5 : Arthur
Arthur vivait dans une maison en centre ville avec sa petite-amie Louise. Il était blond cendré aux yeux marrons chocolats. La vingtaine, il débordait de vitalité. Il appréciait sortir en boîte avec ses amis et rentrait tard le soir, ce qui énervait beaucoup Louise.
« Où est-ce que t'es passé cette nuit !cria Louise.
Mais je suis allé en boîte avec mes amis !
Pourquoi tu ne me dis rien !Je suis sûre que tu as rencontré quelqu'un d'autre.
Mais non !(nda : c'est vrai là) protesta-t-il vivement»
Louise le gifla et se réfugia dans les toilettes où elle vomit son déjeuner. Arthur était perdu. Sa petite amie était tantôt débordante de joie tantôt hargneuse comme une teigne. Ces changements d'humeur soudains embrouillaient le pauvre Arthur.
Un mois plus tard, Louise entra dans la maison, sautant de joie et lançant des petits cris hystériques.
« Arthur !Arthur ! »
Le blond s'approcha avec prudence de Louise et il demanda d'une voix timide :
« Oui Louise ?
T'es bien assis ? »
Cela ne rassura pas le jeune homme. Il prit une chaise et s'assit.
« Je suis enceinte ! »
La nouvelle ébranla Arthur. Soudain, lui petit oiseau libre et insouciant voletant là où il voulait quand il voulait, se retrouvait dans une cage fermé à clé, privé de toute liberté, apeuré par ses nouvelles responsabilités. Il était clair pour lui qu'il n'avait pas la fibre paternelle !
« Arthur ? T'es pas heureux ?
-Si, Si !répondit Arthur, mitigé, avec un sourire crispé.
Ah d'accord ! Je vais tout de suite acheter une poussette, un biberon, des couches, une tétine !Et où avais-je la tête ! Il nous faut aussi aménager une chambre !Tu peux commander plusieurs rouleaux de papier peint rose et bleu ? Merci !dit-elle sans lui laisser le temps de répondre.
Mais…
Je te prends ton porte-monnaie ! »
Et à la vitesse de l'éclair, Louise sortit faire des courses. Arthur resta ébahi sur la chaise pendant au moins 10 minutes. Que s'était-il passé ? Ils s'étaient pourtant protégés dans tous leur rapports !(1) Maudit soit ces bouts de plastiques trop fragiles !
Arthur se releva et ne sut que faire. Il se sentait déjà prisonnier de ce futur enfant. Il ne se voyait pas lui apprendre à lire, à manger…l'amener à l'école, l'aider dans ses devoirs….non vraiment il ne voyait pas son avenir ainsi !
L'oiseau qu'il était, voulait à tout prix s'envoler et s'échapper de la cage. Il fit la seule chose qu'il crut bon pour oublier. Il alla au bar du coin se saouler. (9) Jusqu'à en devenir ivre. Une jeune femme, Amandine, le remarque rapidement en état d'ébriété.
Etant ex-policière, elle le força à boire beaucoup d'eau et attendit pour qu'il se dessoûle.
« Merci Mme, prononça-t-il un peu dans les vapes.
Mlle, mais appelez moi Amandine ! »
Arthur leva son regard sur elle et la détailla. Elle était aussi jolie que Louise. Si Louise avait les cheveux longs, emmêlés et bruns, Amandine les avait roux, assez court et raides. Ses yeux étaient aussi gris que ceux de Louise étaient bleus. Leurs traits étaient complètement différents. Amandine avait un menton plus carré que celui de Louise… Bref tout opposait ces deux jeunes femmes.
« Bon je dois vous laissez…. »
Arthur vit là une occasion de battre des ailes. La clef de sa liberté était juste devant lui. Mais il fallait être très prudent.
« Attendez !
Oui ?demanda la rousse, en faisait demi-tour.
Est ce que je peux avoir vos coordonnées ? »
Amandine sourit bizarrement. Dès qu'elle avait vu le blond, elle avait été attirée par lui et apparemment le destin était avec elle.
« Bien sûr. »
Elle prit une serviette et un stylo et y inscrivit son numéro, adresse… Ceci fait, elle lui tendit le papier et sortit du bar.
Arthur rentra chez lui. L'alcool gardait une légère emprise sur son esprit mais il parvint à rentrait chez lui sans problème. Il s'endormit rapidement, la serviette dans sa main.
« Arthur !Arthur !Réveille toi mon chéri! »
Louise le secouait avec douceur.
« mmmhh….
Il faut te réveiller !
Mmmhh…. »
Louise abandonna sa lutte et sortit de la chambre, sans remarquer la serviette. Quand Arthur se réveilla, il fut pris d'un petit mal de tête. (2) Le sol tanguait légèrement. Il se leva, laissant le bout de papier sur le lit, et s'aspergea la figure d'eau. Il retourna à la chambre, prit des habits, alla se doucher. Quand il fut à nouveau dispo, le mal de tête s'était envolé. (3) Il reprit la serviette sur le lit et téléphona à Amandine.
« Allô ?
Oui, bonjour Amandine !
Qui est à l'appareil ?
C'est Arthur ?
Qui Arthur ?
Le gars complètement saoul du bar !
Ah oui !Toi !
Euh…donc je t'appelle pour te demander si tu voulais bien sortir avec moi après-demain à 17h.
Eh bien ! Je sais pas…comment dire…euh…. »
Arthur crût que sa seule possibilité de se libérer s'envolait.
« Pourquoi pas !entendit-il à l'autre bout de la ligne. »
Il poussa un long soupir de soulagement. La porte de la servitude s'ouvrait !
« À Samedi alors ! »
Et elle raccrocha.
Le rendez-vous se passa à merveille. Arthur se rendit chez elle mais ils y restèrent.(4) Alors tout alla de fil en aiguille et ce soir là, Arthur ne rentra pas chez lui. Il était libre enfin !
Les mois passèrent à la vitesse de la lumière. Arthur alternait entre Amandine et Louise sans qu'elles ne le sachent. Arthur n'aimait pas vraiment Amandine. Elle était juste un moyen de décompresser. Mais il l'appréciait malgré tout.
Louise, c'était une autre affaire. Il l'aimait certes !Mais quand elle lui avait annoncé qu'il serait bientôt père, il avait voulu partir. Il aimait l'enfant aussi bien sûr !C'était tout de même la chair de sa chair !Son sang allait couler dans ses veines !Et même s'il n'avait pas voulu du bébé, il n'aurait pas pu. Seule Louise pouvait décidé !C'était son corps !
Il tenait à son indépendance, et il ne l'avouerait jamais même sous la torture, il était littéralement effrayé par la perspective d'être papa.
Pendant le prologue :
Louise était partie et ne devait pas revenir avant plusieurs heures. Il en avait profité et avait invité Amandine. Ils s'apprêtaient à passer à l'acte quand la porte de la chambre s'ouvrit.
« Amour !Ça va être une … »
Arthur s'arrêta aussitôt, comme brûlé par le contact avec Amandine. Il vit que Louise allait pleurer.
« Louise !Qu'est ce que tu fais ici !demanda-t-il. »
Il ne vit rien venir. Amandine lui donna une grosse gifle, tellement forte qu'il en souffrit de longues minutes après. Elle cria :
« Comment as-tu pu me tromper !Tout est fini !cria-t-elle avant de partir en pleurant de tout son corps.
Amandine !Ne pars pas !Je te jure que je ne la connais pas cette fille !dit l'homme, sans succès. »
Il ne savait vraiment pas pourquoi il avait dit ça. Il se réveilla quand Louise posa sa main si doucement (5) sur sa joue déjà enflammée.
« « Je te hais !Comment ais-je pu t'aimer! Je te hais !Je te hais !
Louise, implora Arthur en l'attrapant alors qu'elle tentait de partir.
Ne me touche pas !Je ne veux plus jamais te revoir !Tu m'as compris !Dégage de ma vie !Dégage ! Je te déteste ! »
Elle lui donna une dernière baffe et un coup dans les parties en supplément. Il se tordit en 2 sous la douleur. (6) Il agonisa à terre avant de se relever mais Louise avait déjà fuit.
Il soupira. La douleur était autant physique que morale. Louise était partie. Il était seul à présent. Il ne voulut pas se saouler, puisque pour lui, c'était ce qui l'avait amené là. Il se coucha et s'endormit. Mais ses rêves étaient envahis par sa souffrance.
Les jours passaient monotones. Arthur traînait sur son sofa, se nourrissait peu, dormait peu. Il dépérissait. Un jour, alors qu'il regardait par la fenêtre, il vit Louise. En deux temps, trois mouvements il fût dehors mais Louise commençait déjà à rebrousser chemin.
« Louise !cria-t-il.
Ne me parles pas !
Mais…
Je t'interdis de me toucher, de me parler et même de penser à moi !Je te hais !
Mais…
Tais-toi !Je ne veux plus jamais entendre le son de ta voix ! »
Il en pleura presque. Les passants s'attroupaient et Louise s'énervait.
« Et le bébé ?questionna-t-il. »
Mine de rien, il s'était attaché à ce semblant de vie.
« Tu t'en soucie maintenant ?ironisa-t-elle. Il ne te concerne plus ! Si tu en veux un, va le faire avec une p de service !Maintenant laisses-moi ! »
C'est comme si une voiture l'écrasait, que quelqu'un le ressuscité pour le re-écraser à nouveau. Il cria d'un ton hargneux :
« Y'a rien à voir !Dégagez ! »
Il rentra chez lui. Heureusement il n'intercepta pas ce que dit un des passants. Il prit une bouteille de vodka (7) puis il s'écroula sur le canapé. Il bût et ensuite il dit :
« Raah !Ces femmes !De toute façon, elle va revenir, dit-il avec assurance. »
L'alcool avait déjà fait son effet et Arthur délirait. Il s'endormit au bout d'un moment. Quand il se réveilla, il avait prit une résolution. Cet enfant ne vivrait pas sans son père !Il le reprendrait coûte que coûte.
Puis il se mit à haïr celle qui le privait de son enfant, Louise. Une sonnerie se déclencha, le sortant de sa léthargie.
« Allô ?demanda-t-il. »
Une voix grave et mystérieuse, qu'il savait truquée, lui répondit.
« Mr Granger. J'ai du nouveau.
Oui ?
Elle vient d'accoucher. Elle et sa sœur sont sorties précipitamment de sa maison. Je les ai surprises dans l'hôpital.
Quel hôpital ?
Cherchez vous même ! »
Et l'inconnu raccrocha. Arthur ragea. Il réfléchit quelques instants et il décida de se rendre chez Anne.
« Arthur !Tu en as du culot de venir ici !s'écria Anne.
Où est Louise et l'enfant?demanda-t-il froidement.
Qu'est ce que ça peut te faire de toute façon ?répliqua Anne. Et comment as-tu su qu'elle vient d'accoucher ?»
Il retint un sourire victorieux.
« J'ai mes sources, répondit Arthur.
Qu'est ce que tu vas faire ?
Reprendre Mon enfant.
Ton enfant ?Comment oses tu dire qu'elle est ton enfant !
Elle ?C'est une fille ? »
Il s'était plutôt attendu à un garçon.
« Oui c'est une fille !Je t'interdis de la prendre !
Tu n'y pourras rien… »
Et il courut jusqu'à chez lui. « Quel con ! » pensa-t-il en lui même car il n'avait pas pris sa voiture. Quand il rentra, il prit l'annuaire et appela l'hôpital Christine et l'hôpital du ciel. Quand enfin il téléphona à l'hôpital des Lys, il se heurta à un mur.
« Oui ? Allô !Bienvenue à l'hôpital des Lys. Que puis-je faire pour vous ?
Est ce que Louise Farde se trouve dans cet hôpital ?
À qui ai-je affaire ?
Je suis son cousin, mentit Arthur.
Oui, Louise Farde est bien dans notre établissement, chambre 488.
Puis-je la voir dans quelques minutes ?
Non Mr. Ecoutez !Je suis fatiguée, je veux rentrer chez moi. Alors me faites pas chier ! »
« CLAC »
Bon tant pis, il attendrait le lendemain. Il ne put dormir avant 1h du matin à cause de l'impatience. Il ne se réveilla qu'à 11h, étant très fatigué. Il se releva en catastrophe et fonça à l'hôpital des Lys. Il courut dans les couloirs, se dirigeant au pas militaire vers la salle 488.
« Excusez moi Mr. »
Arthur, complètement déchaîné et pas d'humeur à répondre à un connard d'infirmier, fixa l'homme d'un mauvais œil.
« Je vous prierai de ne pas courir dans les couloirs, c'est interdit.
Je m'en fous !
Mr. Veuillez vous calmer sinon je vous fait interner !D'ailleurs le service psychiatrique est juste à côté. »
Le blond se retourna, ignorant l'infirmier et reprit sa marche vers la 488. Le brave employé tenta de l'arrêter, mais il se fit traîner sur 25m.
Quand il entra dans la salle, il aperçut Anne et Louise. Celle-ci siffla son nom froidement (ou glacialement au choix).
« Où est-elle ?
Pas ici, répondit Anne. »
Il eut soudainement une folle envie de tous les étriper à commencer par l'infirmier.
« Monsieur veuillez sortir !ordonna l'infirmier.
Votre gue vous !lança Arthur à l'attention de l'employé.
Monsieur ! »
Arthur se retint de lui balancer un coup de poing.
« Comment peux-tu encore te regarder dans une glace après ce que tu m'as fait Arthur ? »
Il ignora la question de la femme qu'il avait jadis aimé, et qu'il haïssait à présent.
« Donne la moi ! »
L'employé de l'hôpital le retardait peu.
« Jamais !
Donne la moi !
Pourquoi la veux-tu ?
Donne !
Tu ne la mérites pas !Tu m'as trompée et tu voudrais que je te donne Ma fille ?
Donne ! »
Même s'il ne montra rien, Arthur était blessé. Louise ne pourrait jamais comprendre ses raisons. Il secoua Louise comme un prunier, pour évacuer ses pulsions meurtrières. Il n'entendit pas l'infirmier appelait des renforts.
« Voilà Mlle Farde, votre fille est ici. »
Il arrêta de martyriser Louise et il fixa ce que tenait l'infirmière avec une lueur de démence dans les yeux. Il allait s'avancer vers elle quand Anne fit bouclier vite rejointe par d'autres.
Il abandonna et partit. Sur le seuil de la porte, il lança :
« On se verra au procès ! »
Il entendit vaguement les cris de Sa fille quand il marcha dans les couloirs de l'hôpital. Louise faisait pleurer Sa fille. Elle allait le payer !
Il alla voir son avocat et réclama un procès. Il reçut ensuite la lettre l'invitant à venir au tribunal.
Il écouta sans sourciller le témoignage d'Amandine. Quand il passa à la barre, il fut réellement sincère.
« Je veux vraiment cet enfant, dit Arthur. C'est ma fille et je veux vraiment qu'elle me considère comme son père.
Vous pouvez vous rasseoir Mr. »
« Mlle Louise Farde, veuillez venir à la barre.
Est-ce vous savez ce que c'est que de porter un enfant en son sein et de savoir que cet enfant ne connaîtra jamais son père parce qu'il a lâchement trompé celle qui l'aimait ?Et bien non. Sachez que c'est très éprouvant. Et comment un homme peut cacher à celle à qui il a fait un enfant qu'il avait le sida ?Comment peux-tu encore te regarder dans une glace en sachant que tu as infecté ta fille et sa mère !cria Louise à Arthur. »
Arthur fut grandement étonné. Il avait passé le sida à Louise et à Sa fille ?Il avait le sida ?(8)
« Cela suffira Mlle Farde. Les jurés et moi-même allons délibérer. »
Cinq minutes plus tard, le juge annonça la décision.
« Nous avons décider que l'enfant reviendrait à sa mère. »
Les trois coups de marteau retentirent. Et voilà !Il avait perdu sa fille. Il avait tout perdu. Rien ne serait plus jamais comme avant.
« Vous pouvez partir. »
Il était à la fois triste et enragé. Ce sentiment s'accrût quand il vit la mère. Il fit la seule chose qui lui vint à l'esprit. Il lui cracha à la figure sans réaliser les terribles conséquences que cela entraînait…
TO BE CONTINUED(1)oubliez jamais le préservatif !
(2)bah oui il s'est un peu dessoûlé avant !
(3)j'en sais rien, j'ai jamais eu de gueule de bois !d'ailleurs je hais l'alcool !
(4)quoi déjà !
(5)rappel : elle le gifle aussi.
(6)Ça fait mal ?(je suis une fille !connais pas cette douleur)
(7)Rappel : à consommer avec modération
(8)en fait c'est l'ex de Arthur qui l'a filé à Arthur sans le savoir qui lui l'a filé à Louise et par extension à Hermione.
(9) pas la meilleure méthode si vous voulez mon avis !
WAOUH !8 pages !trois de plus que d'habitude !j'espère que vous avez un peu pardonné à Arthur !
Panthere
