98. Saint-Valentin

Un après-midi de février. La neige tombe à gros flocons, enveloppant Durmstrang sous son manteau blanc. Des points gris se détachent sur le paysage, des élèves plus âgés.

Une silhouette solitaire se précipite vers la porte d'entrée, furieuse, sans se préoccuper du mauvais temps – c'est un sixième année aux cheveux noirs. Avec une rage visible, il serre dans la main une rose, malgré les épines. Il a les yeux brillants.

Il a une marque sur la joue, on distingue nettement cinq doigts.

Le garçon laisse échapper un juron en russe, jette la rose, et continue à courir vers la grille.