Désolée du petit chapitre d'aujourd'hui, mais je viens de donner mon sang et j'ai pas le courage d'écrire plus surtout que je ne peux me servire que d'un bras (il m'a tué le bras!)
Merci pour toutes vos reviews
Je sais que vous attendez tous la suite, alors
BONNE LECTURE
Jamais deux sans toi
Chapitre5
Quand Harry poussa la porte, la vision qui s'offrit à lui le paralysa d'horreur. Draco était allongé sur le lit, nu, il avait les bras attachés aux montants du lit, et il pleurait. Il pleurait et son corps était secouait de sanglots. Il parlait aussi, en faite il suppliait plutôt son tortionnaire de le laisser.
Mais Harry ne vit pas tout ça. Il ne vouait que Dean sur lui. Et il lui faisait du mal, Il faisait du mal à celui qu'il aimait.
C'est à ce moment-là qu'il vit rouge. Il se jeta sur Dean et le frappa encore et encore. Dean prit par surpris, ne se défendit pas. Il tomba à terre mais Harry continua à le frapper avec ses poings comme avec ses pieds.
Harry se déchaînait sans pouvoir se contrôler. Tout ce qu'il voulait c'était sentir les chairs se déchirer sous ses poings.
Quand Blaise arriva, il vit tout de suite le problème. Draco s'était recroquevillé sur lui-même et Harry ne voyait rien : seule sa colère comptait.
Blaise se précipita vers Draco, lui détacha les mains et retira le bandeau qui couvrait ses yeux.
Aussitôt que Draco sentit qu'on le détachait, il alla se réfugier dans le coin le plus éloigné de son agresseur. Il garda obstinément les yeux fermés et s'enroula sur lui-même en position fœtal. Quand il sentit le lit s'affaisser, il recommença à pleurer et tenta de s'éloigner le plus possible de Blaise, même si le mur l'en empêchait.
Blaise, s'approcha de lui, l'enroula dans la couverture du lit et s'éloigna de lui sans lui avoir déposé un délicat baiser sur le front.
Ceci sembla calmer Draco, sans tout de fois le décontracter. Mais un autre problème se posait maintenant : Harry.
Celui-ci semblait fou de rage et frappait encore Dean qui semblait être tombé dans l'inconscience. Blaise s'approcha de Harry et lui attrapa la taille afin de la tirer et de l'éloigne de Dean.
- Harry ! Harry ! Va voir Draco. Il a besoin de toi.
Cette simple phrase sembla tirer Harry de sa colère. Il tourna son regard vers le lit et y vit Draco, recroquevillé sur lui même, et tremblant de peur. Il s'approcha de lui doucement et monta sur le lit.
Comme avec Blaise, ce mouvement effraya Draco qui se recroquevilla encore plus sur lui-même. Harry s'approcha et le prit dans ses bras. Bien sur Draco se débattit, voulant échapper à son tortionnaire. Mais Harry persista. Il serra sa prise sur Draco et lui parla lentement. Au bout d'un moment Draco se calma et sa respiration se fit régulière : signe qu'il dormait.
C'est à ce moment que Harry se rendit compte que Blaise avait disparut et avait emmené Dean avec lui.
Il reporta donc son attention vers Draco. Il voulut l'allonger, mais Draco ne voulait plus le lâcher. Il s'installa dont du mieux qu'il put et les recouvrit de la couette.
Blaise vit qu'il était temps pour lui de partir quand Harry monta sur le lit. Il souleva donc Dean, le posa sur son épaule, comme un sac à patate et partit vers l'infirmerie.
Il marchait dans le parc sans pouvoir s'empêcher de maugréer contre Dean.
- T'es vraiment lourd. Je te préviens sur tu me casses le dos je te…
- Tu parles à ton prisonnier ?
Blaise sursauta de peur et faillit faire tomber Dean au milieu du parc. Quand Blaise se retourna, il se trouva devant la plus belle créature qu'il lui eut été de voir. Il rougit immédiatement ce qui fit sourire la jeune femme. Baise se sentait mal à l'aise face à elle.
Il était là débraillait en portant le corps sanguinolent d'un de ses camarades. Et elle portait un nombre incalculable de livre, et malgré le fait qu'elle semblai trouver cela lourd, elle était sublime. Son pantalon taille basse et sin chemisier rose lui allait merveilleusement bien.
Comme quoi, les uniformes cachaient bien des choses.
- Tu… tu veux que… heu… je t'aide à porter tes livres ?
Elle rie de son magnifique cristallin.
- On pose ton fardeau à l'infirmerie et je serait ravie que tu m'aides.
- Ah oui, bien sur, je l'avait presque oublié celui-là.
La gène était évidente et cela fit sourire la jeune femme. Il étai adorable avec els joues légèrement rougies.
Le trajet jusqu'à l'infirmerie fut très étrange pour Blaise. Il n'aurait jamais penser la rencontrer ici, alors que 'école était fermée. Une fois arrivée devant l'infirmerie, elle ouvrit la porte du mieux qu'elle put étant donné le nombre de livre qu'elle portait, et dit doucement à Blaise :
- Laisse-moi faire, délicat comme tu es, tu nous ferait renvoyer.
Blaise n'eut pas le temps de protester que celle-ci se dirigeait vers le bureau de Pompom. Elle posa ses livres par terre, secoua ses cheveux et se tapota les joues afin que celles-ci rougissent. Elle se tourna ensuite vers Blaise et lui fit discrètement un clin d'œil. Celui-ci rougit ce qui l'a fit sourire.
Elle se tourna ensuite vers la porte du bureau et y tambourina. Blaise se figea sur place. Elle était folle ? Ils allaient se faire renvoyer, lui il voulait juste poser Dean sur un lit et partir.
- Madale Pomfresh ! Vite sortez il y a un accidenté.
- Mademoiselle Granger ? que… ?
C'est à ce moment que pompom vit Blaise qui portait Dean.
- Oh mon Dieu, que c'est-il passé ?
- Je rentrais chez moi, et j'ai entendu quelqu'un gémir derrière un buisson. Je me suis approchée discrètement, pensant que ça pouvait être un piège et c'est là que je l'ai vu. Comme je ne pouvais pas le porter, je suis allé chercher de l'aide, et c'est là que j'ai rencontré Blaise. Heureusement qu'il était là, sinon on n'aurait jamais pu s'en sortir.
Pompom les regarda étrangement puis leur demanda de sortir et de rentrer chez eux.
Hermione alla rapidement chercher ses livres et les tendit à Blaise qui était déjà sorti.
- On y va ? j'habite pas loin mais on met quand même 30 minutes à pieds.
- Hein ? chez toi ?
- Bien sur, tu as bien dit que tu m'aidais à porter mes livres non ?
Blaise resta muet de stupéfaction. Hier encore il n'osait pas aller lui parler, et aujourd'hui il allait chez elle. Cette fille était incroyable.
Blaise la suivit à travers les rues. Il était de plus en plus septique. Quand à Hermione, elle marchait tout en parlant. C'est comme ça qu'il apprit que ses parents étaient parti depuis deux jours et le seraient encore six.
Ils s'arrêtèrent devant une petite maison très différente des autres maisons du quartier. Hermione du sentir son regard dans les alentours quand elle dit :
- Papa ne voulait pas de « maisons photocopies ». Alors il l'a dessinée lui même. Comme ça il était sur qu'elle serait unique. Et ça a donné ça.
Blaise regarda la maison plus attentivement. Elle semblait petite au premier coup d'œil mais une fois qu'on y regardait de plus près, elle était moyenne. Les volets étaient verts clairs, les plantes cachaient le mur qui séparait leur jardin de celui des voisins, ce qui ne donnait pas du tout un jardin clos, emprisonnée, mais plutôt une petit coin de paradis au milieu de la forêt vierge.
Le jardin lui était recouvert d'herbe et de fleurs et des pierres posées sur le sol leur permettait de marcher dans le jardin.
Blaise trouva la maison très coquette. A l'image d'Hermione.
Hermione poussa le portail (vert !) et le fit entrer dans la maison. Blaise la trouva aussi belle de dedans que de dehors. Il fut tout de fois surpris de voir un gros chat roux foncer vers Hermione.
- Pattenrond !Tu as faim, n'est-ce pas ?
Hermione avança vers la cuisine-bar. Et servit à manger à son chat. Elle prit ensuite un petit seau, et sorti dehors par la grande baie vitrée.
Blaise s'avança et vit avec étonnement que le saut était divisé en trois compartiments.
Elle prit une poignée de petit flocon qu'elle jeta dans la marre qui était dans son jardin. Blaise fut étonné d'y voir des dizaines de poissons de toutes les couleurs monter à la surface afin d'y manger le plus possible.
Elle jeta ensuite d'un coté du jardin des graines pour oiseaux, ainsi que des morceaux de pains durs. Et dans l'autre parte des carottes, de la salade, des kiwi, et des fruits.
- C'est pour les lapins et les tortues !
-Ah, ok.
Hermione rentra à nouveau et s'assit sur les fauteuils. Blaise la suivit, gêné mais elle le détendit rapidement et ils parlèrent pendant les heures. Blaise ne pensait pas qu'elle puisse être aussi décontractée. La miss-je-sais-tout de l'école était en faite très « cool » et agréable.
Au bout de trois heures de discussion et de rigolade, Hermione commença à avoir faim. Cependant Harry, lui avait parlé de l'appétit d'ogre de son ami et elle doutait d'avoir suffisamment à manger pour le nourrir.
-Tu veux manger quoi ?
- Oh…heu.. ce que tu veux.
- Une salade ça te va ? Sinon je peux commander une pizza.
- Non, non, une salade c'est parfait. Je peux t'aider .
Hermione acquiesça fut surprise de l'enthousiasme de Blaise à l'idée de faire à manger. Blaise quand à lui était contente de pouvoir l'aider. Il avait toujours aimé cuisiner mais depuis qu'il était à l'internat, il n'en avait plus l'occasion.
Ils cuisinèrent tout en s'amusant et quand Hermione lui demanda d'aller dans le jardin chercher un oignon, celui-ci fut surpris d'y voir un nombre incalculable d'oiseaux ainsi que deux lapins et trois tortues.
Il ouvrit la porte vitrée mais loin d'être surpris, les animaux présents s'avancèrent vers lui dans l'espoir d'avoir plus à manger.
Quand il revint Hermione avait mis la table et ils mangèrent tout en parlant de leur passe-temps, leur hobbies et leur points faibles. Cependant quand Hermione lui demanda la raison pour laquelle il était à l'internat et non chez lui, celui-ci éluda la question et ceci éveilla la curiosité d'Hermione. Cependant elle n'insista pas.
Blaise apprit ainsi que le point faible d'Hermione était qu'elle craignait les chatouilles alors que Blaise lui, avait une peur bleue des fourmis.
Vers 22 heures, Hermione ouvrit la fenêtre et Blaise fut surprit (il l'est tout le temps !) de voir les deux lapins (cibouellete et persil) ainsi que les trois tortues qui attendaient devant la fenêtre. Il l'aida à les rentrer et les ranger dans leurs boites pour la nuit.
Ils montèrent ensuite dans la chambre d'Hermione et installèrent un second lit. La chambre d'Hermione était à son image. Le mur qui séparait la chambre de la salle de bain était faite de brique en verre et un immense aquarium remplit de poissons multicolores.
Quand Hermione alla prendre sa douche, Blaise ne put s'empêcher de l'observer. Il ne voyait pas exactement ses formes puisque les briques étaient opaques mais plutôt sa silhouette. Mais quand celle-ci sortit de la salle de bain, il rougit de gène mais également parce que celle-ci était juste vêtue d'une serviette roulée autour d'elle.
- Tu peux y aller si tu veux. Il y a des serviettes propres dans l'armoire bleues et je vais te chercher un tee-shirt pour dormir.
- Ah… hum.. ok. Merci
Blaise rentra intimidé dans la salle de bain. Il savait parfaitement qu'elle allait le voir et à sa plus grande honte, cela l'intimidait. Il prit pourtant son courage à deux mains et se déshabilla avant de rentrer sous la douche.
La salle de bain contrairement à sa chambre, qui était blanche, de toutes les couleurs imaginables. Elle avait un fond blanc, mais un milliers de petit dessins de poissons recouvraient le mur.
Seule l'armoire semblait épargnée, et était d'un beau bleu mer uni, mais avait comme poignet un poisson rouge en plastique.
Quand il sortit de la salle de bain il vit Hermione, toujours enroulée dans sa serviette de douche endormit sur le lit, Pattenrond allongé sur son ventre. Blaise s'approcha d'elle, la souleva doucement puis la reposa sur le lit après avoir soulevé les couvertures.
Il se releva ensuite mais Hermione avait passé ses bras autour de son cou et ne semblait pas vouloir le lâcher.
Blaise, toujours en serviette, s'allongea donc à côté d'elle, brancha son réveil et se laissa bercer par la respiration régulière d'Hermione.
Un peu plus loin dans la rue d'Hermione, Mélanie, une jeune femme sortait de chez elle par la fenêtre afin de se promener comme tous les soirs.
Ce soir, peut-être rencontrerait-elle le prince charmant…
Voilà je suis sympa ajd je me suis coupée à un moment pas trop horrible !
Dites-moi ce que vous en pensez : bien ou mal
à jeudi, lun'
