Chapitre 12 : l'envolée d'un ange.

Hermione lui montra le plan et estima le nombre de personne car elle n'avait toujours pas de nouvelle de Dumbledore.

« D'accord, on déménage. Severus, prépare-nous toutes les potions que tu pourras. Je te laisse Blaise. Neville, Pansy et Ginny allez à la salle de demande et prenez toutes les armes possibles. »

« Et nous, on fait quoi ? »

« Vous venez avec moi dans le bureau de Dumbledore. »

« Moi, je reste ici pour aider Severus, il y en aura plus comme ça. Pas pour être méchante, mais je crois que j'ai autant d'expérience que Severus et donc lui serait d'une plus grande aide que ce jeune homme. »

« Ok, Blaise, tu restes quand même. Tu peux toujours être utile. »

Ils arrivèrent dans le bureau comme un cheveux dans la soupe. Il y avait dans le bureau, une conversation des plus houleuses entre Arthur Weasley et le directeur de Poudlard. Gabriel était allongé dans un coin, inconscient et ligoté. Fumseck vola sur l'épaule d'Harry, dévoilant leur présence aux deux adultes. Hermione alla libérer Gabriel sur l'ordre d'Harry.

« Alors, on essaye de me doubler ? Ce n'est pas bien, ça, grand-père, pas bien du tout ! Je reprends ma place normale ici. Arthur, je vous nomme chez de l'ordre du phénix et je veux le maximum d'homme que vous pourrez enrôler pour dans deux heures. »

Dumbledore le regarda stupéfait, alors qu'Arthur lui fit un grand sourire avant de repartir au square. Harry se tourna vers le directeur qui recula. Il y avait dans les yeux du brun, une lueur étrange. Une sorte de maturité ancestrale, encore plus grande que celle de Gabriel.

« Dumbledore, appelez tous les professeurs ici. Réunion obligatoire. Et pas d'entourloupe compris ! »

Albus frissonna. C'était le deuxième pion qui lui échappait. Le premier fut Tom Jedusor. Il doit se faire vieux. Une retraite dans les îles s'impose de plus en plus.

Severus les rejoignis au bout d'une heure et demi. Il n'avait plus rien à faire et voulait savoir où en étaient les préparatifs. Ils avaient réussis à faire trois chaudron de plus de mille litres, ainsi que deux plus petits chaudrons de poison. Pendant ce temps, Gabriel, Hermione et Harry avaient établis une stratégie pour aller vite et bien. On toqua à la porte.

« Entrez ! » dit Harry d'une voix assuré et sans âge.

Ce fut les professeur. Ils furent surpris de voir Harry à la place du directeur qui lui était assis dans un coin sous la garde de son phénix.

« Monsieur Potter, mais qu'est-ce que vous faites là ? » dit Mc gonagall.

« Je n'ai pas le temps de tout vous expliquer. Pour faire simple. J'ai besoin de vous pour venir avec moi au château de Voldemort. »

Tous les professeurs frémirent sauf trois personnes : Mc Gonagall, Remus et un professeur inconnu au bataillon. Cela mit la puce à l'oreille d'Harry qui sans dire un mot le stupéfia.

« Ne me regarder pas comme ça Professeur Lupin, je crois que c'est un espion. Hermione, tu t'en occupes ? Bien. »

« Revenons à nos problèmes. C'est de la folie, cette entreprise. Pourquoi voulez-vous y aller ? » demanda Le professeur trewalney.

« Il y a un élève qui a était enlevé par ma faute. Il est une sorte d'invitation pour moi. Je ne supporte pas de savoir qu'un adolescent est torturé pour me faire venir auprès du Lord. Donc j'y vais pour le sauver et par la même occasion tuer cette face de serpent. »

« Mais vous n'êtes pas assez fort pour ça. Votre entraînement n'a même pas encore commencé. » dit Mc Gonagall.

« Peut être pas par vous mais j'ai reçut un entraînement donc je suis prêt. Donc, j'y vais avec ou sans vous. Qui viens avec moi ? »

La moitié des professeurs s'avancèrent dont Mc Gonagall. Harry regarda les autres professeurs.

« Désolé, monsieur Potter, pas qu'on ne crois pas en vous, mais nous pensons qu'il faut quelques professeurs pour surveiller le château en votre absence, comprenez-le. »

Harry hocha la tête.

« Vous n'avez pas besoin de vous justifier, je ne vous oblige à rien. »

Ils se remirent à la préparation des portoloins, artefact de protection, etc.… Mc Gonagall transforma la plupart des breloques qui surpeuplaient le bureau en armes que ses collègues prirent. Neville arriva cinq minutes après avec d'autres armes. Trois coffres pour être exact. Harry se prit deux katanas qu'il attacha dans le dos ainsi qu'une ceinture où il mit cinq poignards de lancée et cinq potions regénerante et soignante.

Quand tout le monde fut prêt, il leur expliqua le plan.

Il était prévu qu'ils débarquent en masse, juste devant la porte du château. Ensuite, ils se sépareraient en trois groupes. Un par étages et par ange. Harry prenait le rez-de-chaussée, Gabriel, les sous-sols et Raphaëlle, les premier étage.

« Je vous souhaite bonne chance et une dernière chose. Si vous voyez le seigneur des ténèbres ne chercher pas à l'atteindre. Je me charge de lui. »

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Ils avançaient dans le château depuis plus d'une heure. Gabriel était en tête et regardait par toutes les fenêtres des cachots, espérant apercevoir une tête blonde. Ils avaient déjà trouvé cinq personnes dont trois qui étaient mort depuis un bon moment. Les deux autres, accompagné d'un Auror chacun, étaient déjà retourné à St mangouste.

Bizarrement les lieux étaient très calme, trop au goût de Gabriel. Ca sentait l'embrouille.

Ils continuèrent à avancer, le plus silencieusement possible. Arrivé à un croissement, il fit stopper tout le monde. De l'autre côté, il y avait quatre mangemorts. Ils gardaient un cachot. Bizarre alors qu'il n'y avait personne d'autres dans les couloirs.

Doucement, il lança sur quelques personnes un sort de dissimulation. Elles passèrent de l'autre côté, pour prendre par surprise les hommes de Voldemort. Gabriel leva trois doigts. Il en abaissa un puis un deuxième. Tous ses hommes levèrent leurs baguettes. Doucement, il abaissa le troisième doigt. La suite fut un mélange de couleur.

Leurs ennemis n'eurent pas même le temps de riposter. Le résultat fut des plus étranges. La combinaison des différents sorts leur avait donné de drôle d'apparence. Par exemple, l'un des hommes avait des tentacules à la place des cheveux, des cornes et un nez de Dragon. Ils étaient dans les vapes. Gabriel se rapprocha du cachot qui était vide. Trop bizarre.

Il y avait un piège là-dessous, Gabriel en était convaincu. Il fit signe à ses hommes de se replier. Ils obéirent et tournèrent les talons. Cependant 100 mètres plus loin, ils stoppèrent. Ils étaient bloqués par un champ magnétique.

Gabriel qui était au fond, se rapprocha et toucha la paroi. Il utilisa son pouvoir. Le champ grésilla et propulsa Gabriel sur ses troupes, sonné.

« Merde, c'est un piège ! » dit une personne

« Non, c'est vrai ? T'as trouvé ça tout seul ou tu as eu besoin d'aide ? » lui répondit une autre personne

« Ca suffit, vous deux ! On a assez de problème comme ça ! »

« Tu te prends pour qui, toi ? Tu n'as pas à donner d'ordre ! »

« Silence ! » hurla Gabriel.

Il se leva et regarda avec mépris et incompréhension, ses hommes qui s'empoignaient. Il avait stoppé de justesse une bagarre. Heureusement car ce n'était vraiment pas le moment.

« Bon, prenez vos amulettes et activez le portoloin. Rentrez à Poudlard ! » dit-il d'une voix sans appel.

Les hommes, honteux de leurs réactions, activèrent leurs amulettes. Cependant, rien ne se passa. Ils étaient coincés dans les cachots.

« Merde ! Bon venez, on va chercher une autre sortit. »

« Qu'est-ce que l'on fait de ceux-là ? »

« Attachez-les et prenez-en un. On le questionnera, quand il se réveillera. »

Ils obéirent et se remirent en route.

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Tôt, ce matin, Draco avait été plongé dans un sommeil artificielle. Il avait été conduit dans une vaste salle et vide. Il fut attaché au mur du fond, juste derrière le trône du Lord. Celui-ci rassembla ses hommes, en plaça plusieurs à des points stratégiques mais garda les meilleurs à) ses côtés. Il garda aussi l'espion, bien que celui-là soit faible. Il serait un coup de plus dans le moral du survivant. Dés l'arrivé de celui-ci devant le château, il réveille Draco, qui se débattit.

« Reste tranquille, petit dragon. Tu es aux premières loges pour le grand final. »

Draco cracha aux pieds du mage noir qui fut cléments. Il ne gaspilla pas son énergie à le punir.

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Raphaëlle montait les marches de plus en plus péniblement. Elle avait l'impression de ne jamais pouvoir atteindre le sommet. Ses hommes avaient déjà abandonné et se reposaient un peu avant de repartir. Il y avait de ça maintenant 100 à 200 marches.

Elle avait du mal à respirer mais ne voulait pas se reposer trop fréquemment. Elle le devait à son fils.

Elle fit une pause et reprit sa marche. Elle vacillait et n'avait presque plus de force pourtant elle continuait. Soudain, elle rata une marche et dégringola. Elle ferma les yeux, serra les dents et se laissa aller. Elle était beaucoup trop fatiguée pour pouvoir lutter.

Soudain, elle fut retenu par quelque chose ou quelqu'un. Douloureusement, elle ouvrir les yeux. Sa vision était rouge et visqueuse. Elle leva la main et toucha son front. Elle sentit un liquide froid et pâteux. Elle s'était ouvert le front et avait mal à la jambe droite.

« Raphaëlle, tout va bien ? »

Il n'avait pas eu le courage de Raphaëlle. Il était resté avec les autres

C'est à ce moment-là qu'ils ont entendu un cri. Aussitôt, ils se sont levé et ont brandis leur baguette, s'attendant à combattre un terrible ennemi. Quel ne fut pas leur surprise quand ils virent Raphaëlle qui dégringolait à toute vitesse les marches. Severus créa, par réflexe, un bouclier. Raphaëlle alla s'écraser dessus. Immédiatement, Severus se porta à son secour. Elle avait l'air mal en point. Elle s'était ouverte le front et sa jambe droite formait un drôle d'angle. Il la secoua gentiment. Il fut soulagé quand elle ouvrit les yeux.

« Raphaëlle, tout va bien ? »

« Oui, mais je crois que ma jambe en a pris un coup. » répondit-elle d'une voix morne et fatiguée.

Severus la souleva et la mena vers un coin où ils avaient créer une plateforme. Il l'allongea sur une paillasse et prit une potion. Cependant le temps qu'il revienne avait suffit à Raphaëlle pour s'endormir. Il la recouvrit et retourna auprès des hommes, qui se regardaient en chien de faïence. Cette impasse les rendait irritable.

« J'aurez besoin de deux hommes avec moi. »

Deux personnes se levèrent, une jeune femme d'une vingtaine d'année et un homme du même âge que Severus.

« Je vous explique. Quelque chose a du attaquer Raphaëlle et je compte bien savoir qui. Pendant ce temps, je charge les autres de créer des barrières efficaces autour du campement. Il me faudrait aussi quelqu'un pour veiller sur l'ange. »

Hermione qui, malgré la défense d'Harry, avait suivit le groupe, se proposa aussitôt.

Tous s'attaquèrent à leur tâche sans discuter. Severus avait une sorte d'aura qui, en dépit de son passé plutôt sombre, inspirait le respect.

Ils avaient maintenant monté plus de cent marches et déjà, ils n'entendaient plus le bruit venant du camp. Ils s'étaient déjà arrêter trois fois mais toujours rien en vu. Severus ne désespérait pas. Régulièrement, comme promis à Hermione, ils envoyaient un sort lumineux vert au camp pour dire que tout allait bien. Si c'était rouge, s'est qu'ils avaient besoin d'aide à plus vite et si rien n'arrivait, c'est qu'ils étaient mort et alors personne ne devait plus monter.

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Harry, dés son entré dans le château, avait ressentit l'aura de son âme sœur, encore plus fort d'avant. Il ne regarda même pas son parrain et sa mère se répartir les hommes et disparaître dans les couloirs du château. Il ne fit même pas attention aux hommes qui l'accompagnaient. Il ferma les yeux et se concentra sur ce lien. Aussitôt qu'il sut où il allait, il se mit à courir. Il savait pourtant que ce château n'était qu'un vaste piège mais cela ne l'empêchait pas de foncer dedans, tête baissée.

Il s'arrêta brusquement, créant une bousculade derrière lui. Il sortit sa baguette et se concentra à nouveau.

Une douleur dans son dos lui brouilla la vue. Il tomba à genoux et se recroquevilla. Son t-shirt craqua et deux ailes, humides de sang apparurent Elles séchèrent rapidement et tous purent voir qu'elles avaient une teinte particulière. On aurait dit du métal : une couleur grise avec des reflets bleuâtre.

Harry se releva comme si rien ne s'était passé ou alors il n'avait pas conscience des deux ailes dans son dos. Il se tourna alors vers une immense porte et tendit la main vers elle. Un grincement sinistre éclata dans le silence du couloir. Peu de temps après la porte vola en éclat, écrasant au passage quelques mangemorts. Ceux-ci restèrent stupéfaits pendant un instant. Instant dont les hommes d'Harry profitèrent pour neutraliser le plus de mangemorts possible avant que ceux-ci ne reviennent à eux.

Harry, inconscient de l'agitation qui l'entourait et des sorts qui essayait de l'atteindre mais sans y parvenir, avança dans la salle d'un pas conquérant. Il cherchait quelqu'un du regard et la trouva très rapidement. Draco était attaché à un mur, la tête vers le bas comme si il était inconscient. Harry cria son nom de tout son être, oubliant où il était. Draco l'entendit car il releva la tête et plongea ses yeux dans ceux de l'ange. Celui-ci pu voir un mélange d'émotion qui le surprit. Il y avait de la surprise, de l'espoir, de la tristesse, de l'amour puis brusquement toutes ses émotions disparurent pour n'en laisser qu'une, de l'horreur. Harry ne comprit pas pourquoi. Soudain, deux éclairs gris cachèrent le blond de sa vue. Il regarda attentivement et s'aperçu qu'en fait, c'était des ailes. Voilà donc la raison de sa douleur dans le dos. Il sourit, par nostalgie,. Cette couleur était la même que celle des yeux de son aimé. Il tendit la main vers elles et toucha une des plumes. Il sursauta quand il vit qu'elle était chaude et qu'elle vibrait à son contact.

Doucement, ses ailes s'écartèrent et il vit qu'il avait devant lui, son pire ennemi. Voldemort en personne.

« Tiens, mais ne serait-ce pas ce cher Harry ? » dit-il avec un air des plus narquois.

« Tiens, une ordure ? Draco, pas bien, tu n'as pas vidé les déchets comme je te l'avais demander. Tant pis je m'enchargerais, seul. » répondit Harry sur le même ton.

Le lord parut très en colère. Il serrait tellement les lèvres qu'il n'y avait pu qu'une fine ligne rosâtre et ses yeux semblait lancer des sort de mort. Harry avait tout sa tête et cela n'était absolument pas au programme. Maudite potion qui n'avait pas fait l'effet désirer. Ce fut le Lord qui débuta le duel.

Draco regarda d'en haut et avait de plus en plus peur pour Harry, une ombre se plaça à ses côté et soupira.

« Ils sont magnifique, n'est-ce pas ? »

Draco se tourna vers elle. Mais où voulait-il en venir ?

« On dirait deux dieux de la guerre. Quoique qu'Harry est plutôt un ange. On dirait qu'ils ont le même niveau de magie, mais un ange ne peut battre un dieu. »

« Détrompe-toi ! Ce sont les anges qui font dieu et pas le contraire. » répliqua Draco à voix basse.

L'ombre ne l'entendit pas car, il s'était élancé à l'aide de son maître.

Harry Lançait sort sur sort, attendant le bon moment. Quand il fut arrivé, il lança trois sorts à la suite et un poignard. Cependant, deux de ses sorts furent détruits par Voldemort et le troisième ainsi que son poignard furent dévié par une tierce personne. Malheureusement, le poignard alla se planter dans l'épaule de Draco qui serra les dents pour ne pas crier.

« Qui es-tu pour venir perturber notre duel ? »

« Holà, ne te donne pas des grands airs Potter. Toi et moi savons bien que tu n'es rien ! » répondit l'ombre.

« Qui es-tu, réponds avant que je te détruise. » Hurla Harry en colère. Il pouvait ressentir la douleur de Draco et cela le mettait dans une rage noire.

Les deux hommes, côte à côte, éclatèrent de rire. Puis doucement, l'ombre enleva sa cape, relevant ainsi son identité. Alors que Draco était abasourdis, Harry n'eut un rictus narquois. Son héritage l'avait déjà prévenu pour le traître.

« Ron, Ron, qu'es-tu devenu ? Une larve. Tss, pas bien ça. » Harry donnait l'effet de réprimander un enfant qui avait manger entre les heures de repas.

Le garçon roux le regarda comme s'il était devenu fou. Il se tourna ensuite vers son maître qui le regardait comme s'il était coupable.

« Je ne comprends pas maître, je lui ait donné cette potion comme convenu. »

« Allons, Ron dis la vérité. Tu as toujours été de mon côté. Ne nie pas. »

Ron regarda Harry, totalement paniqué, il se tourna ensuite vers le Lord et se qu'il vit ne fit que confirmer son hypothèse. Harry cherchait à le tuer sans se salir les mains et réussissait.

« Oui, je m'en souviens maintenant… Tu étais dans le bureau de Dumbledore quand je suis venu lui parler d'Harry. Tu es partit mais le directeur m'a dit qu'il avait une aide dans le camp adverse. Ce ne peut être que toi. » dit Draco, rentrant dans le jeu d'Harry.

Ron tremblait de tous ses membres. Autour de Tom, il pouvait voir une aura de plus en plus rouge de colère se former. Il ferma les yeux et commença à prier pour une mort rapide et si possible sans douleur.

« Tu te souviens, Dray quand je me suis écroulé dans la grande salle. C'est Ron qui est venu m'aider non ? »

« Si, la belette a accourut comme si sa vie en dépendait. Il m'a même coupé dans mon élan le con. »

« Calme-toi, il ne pouvais pas savoir pour toi et moi. N'empêche qu'il m'a bien aidé ce jour-l… »

« Aaaaaaaaahhh ! »

Ainsi disparut Ron weasley dans une énorme boule de feu. Voldemort se tourna vers Harry.

« Attends-toi, j'en ai pas fini avec toi. »

Harry ne l'attendit pas pour relancer deux sorts et un poignard. Le lord évita les sorts mais le poignard l'atteignit au niveau du poignet. Il ne pouvait plus se servir de sa baguette, mais peu importe. De sa main, gauche, il appela son épée. Celle-ci qui se trouvait dans sa chambre, décolla et rejoignit son maître, décapitant quelques hommes au passage, qu'ils soient ou non mangemort. Elle faillit aussi avoir Harry mais il s'était abaissé au bon moment. Il préparait à présent dans sa main gauche une boule d'énergie. De sa main droite, il prit son épée et la fit tournailler. Elle fendit l'air dans un chant agréable. L'épée de Voldemort était noire et des inscriptions argentées s'étalaient le long de la lame. Celle d'Harry était blanche, fait dans un métal elfique le plus fin et le plus résistant. Elle avait été bénite par la reine des elfe d'où les inscriptions bleu qui semblaient brillé comme jamais. Alors qu'Harry préparait toujours sa boule d'énergie, le lord lui fonça dessus. Harry ne pu et ne voulait que se défendre.

Draco ne comprenait plus. Plus le temps passait, plus il avait l'impression qu'Harry ne faisait que se défendre. Certes, c'est intelligent, ce qu'il l'ai moins c'est ne faire que ça. Voilà plus de dix minutes qu'Harry était dans une mauvaise position. Draco avait aussi la sensation qu'il perdait de l'énergie mais comment ça, il ne saurait le dire. Soudain, il vit un éclat doré et rouge qu'essayait de cacher les ailes d'Harry. Apparemment, elles réussissaient bien puisque seul Draco avait vu cette boule. Il ne comprenait pas l'importance de cela mais savait au fond de lui qu'elle permettrait d'anéantir le Lord.

Harry était, maintenant, sûr que toutes ses forces ou presque se trouvait dans sa main gauche. Il repoussa le Lord qui surpris se retrouva devant Draco. Le Lord reprit sa respiration. Le coup que Potter lui avait donné dans l'estomac lui avait coupé le souffle.

« Alors, Voldy, déjà fatigué ? »

« Tu peux parler, tu ressemble à un vieillard proche de la crise cardiaque. »

« Peut-être, mais c'est pour une bonne cause. Tient cadeau ! »

Harry envoya la boule sur le Lord qui ne pu l'évite. Il fut complétement englober par elle. Mais ce qu'Harry n'avait pas prévu c'est que sa magie fusionne avec la sienne. La sphère prit alors plus d'ampleur et se dirigea vers Draco. Harry, employant son don de téléportation, se retrouva coller à Draco. Tous les deux fermèrent les yeux attendant le pire. Puis ce fut un silence assourdissant. Draco fut le premier à ouvrir les yeux Il avait devant lui un Harry qui serrait les dents et qui semblait souffrir le martyre. Comme ils étaient assez proches, Draco embrassa son front où une fine couche de sueur commençait à perler.

Harry ouvrit les yeux et lui sourit.

« Hey ! Désolé de n'être pas venu plutôt. »

« Hey ! Ce n'est pas grave. Harry… »

« Chut, mon ange, chut. Je sais ce que tu vas me dire. Je le sais. »

« Mais… »

Devant Draco, Harry, qui s'était reculé, commençait à devenir translucide. Le château vibra et les menottes qui retenaient Draco disparurent.

« Je vais partir Draco, je ne t'embêterais plus. C'est une promesse. Je serais partit avant mais j'avais une tâche à remplir avant. Je sais que tu ne peux m'aimer alors je te laisse en paix. Sois heureux avec la personne de ton cœur. »

Avant que Draco ait pu dire quoique ce soit, Harry disparut dans un courant d'air. Draco, à genoux, laissa éclater son désespoir. Il tapait sur le sol, s'ouvrant les poings. Mais, il n'avait que faire de la douleur, il voulait Harry. Il voulait lui dire combien il avait tord, combien il l'aimait malgré tout ce qu'il est pu dire.

Une personne le releva mais il ne su pas qui. Il sombra dans une torpeur malsaine. Il avait le regard vide et sans vie. Seules ses larmes et sa respiration faible permettait de dire qu »il était en vie. Il ne su jamais comme il rentra à Poudlard. Sa seule idée, fut qu'il était un pauvre crétin de l'avoir repousser comme ça. Il s'en voulait à mort.


Je tiens à m'excuser du retard pour cette fic. Samedi et dimanche, le site a foiré donc je n'ai pas plus le mettre. De plus, je suis interne donc je ne rentre que le mercredi. J'excuse encore. Lynara