Kisa-kun : ATTENTION ! Ce chapitre contient un peu de lime (rien de bien choquant) c'est-à-dire des scène un (tout petit) peu chaude (comme le dit le titre du chapitre).
Le Doux Parfum de la Vengeance…
Chapitre 4 : Simulation… très chaude
Il était deux heures de l'après midi quand la sonnerie se fit entendre, et je me précipitai pour aller répondre avant un domestique.
« Tu es en retard, Gohan. » dis-je, les bras croisés.
« Désolé… » dit-il, se frottant l'arrière de la tête.
Je roulais des yeux, puis lui pris la main, l'entraînant à l'intérieur. Quand mon père nous vit, il se leva d'un bon du canapé.
« Videl ! Je t'ai déjà dis que je ne veux pas que tu revois ce garçon ! » s'exclama-t-il. « Tu sais très bien que tu n'es pas autorisée à sortir avec un garçon s'il n'est pas plus fort que moi ! »
J'allais répondre mais Gohan me devança. « Qu'est-ce qui vous fait croire que je ne le suis pas ? »
Mon père pouffa de rire. « Je t'en pris ! Un gringalet comme toi ? Plus fort que MOI ? As-tu une idée de qui je suis ? Je suis Satan Hercule, champion du monde, invaincu jusqu'à ce jour, ainsi que le sau… veur… d… »
Enervé par le bla bla incessant de mon père, Gohan s'était transformé, changeant ses cheveux en couleur doré et ses yeux en turquoise, après m'avoir dit de m'éloigné un peu, laissant mon père, et c'est pas peu dire, sans voix, et les yeux ronds.
« Ben alors, Monsieur le soi-disant sauveur du monde, vous ne me reconnaissez pas ? » dit Gohan, une aura doré lui donnant l'impression d'être entouré de flammes.
« T-Tu… Tu… Tu es… » bégaya mon père, pointant Gohan du doigt. « Le… Le garçon… d-du Cell g-game… »
« Oh, je suis flatté ! Le champion du monde en personne se souvient de moi après sept ans ! » dit Gohan sarcastiquement, puis il fronça les sourcils. « Alors, vous croyez toujours qu'un… gringalet comme moi ne puisse pas vous battre, ou dois-je vous le prouver ? »
Mon père secoua la tête frénétiquement. Je toussotai, attirant leur attention, et Gohan redevint normal.
« Bon… Gohan, si on allait dans ma chambre ? » proposai-je.
Il leva un sourcil, puis haussa les épaules et acquiesça. Mon père était encore trop choqué pour protester.
La porte de ma chambre fermée derrière nous, je ne pus me retenir plus longtemps et éclatai de rire, roulant parterre en me tenant le ventre. Gohan rit un peu lui aussi, et quand je réussi à me calmer, m'aida à me relever.
« Merci. » dis-je, puis gloussai encore un peu.
Je me laissai tomber sur le lit. « C'était vraiment trop drôle ! En fait, je crois que c'est la première fois de ma vie que mon père était sans voix ! » m'exclamai-je avec un petit rire.
Gohan vint s'asseoir sur le lit, un rire échappant de ses lèvres. « Ça valait vraiment la peine de me transformer en Super Saïya-jin. » dit-il doucement.
Je me soutenus avec mes coudes, le regardant avec confusion. « Super… Saïya-jin ? »
« C'est le nom de la transformation. » expliqua-t-il.
Il tourna la tête vers la porte, les sourcils froncés. « Ton père est derrière la porte. » déclara-t-il.
Je me redressai, haussant les sourcils. « Comment tu peux le savoir ? »
Il se tourna vers moi. « De la même façon que je savais que tu étais derrière ma porte, la nuit dernière. »
Je le regardai un moment, la tête inclinée sur le côté, puis une idée me traversa l'esprit. Alors comme ça, il est derrière la porte, hein ? Un sourire espiègle étira mes lèvres.
« Hum… Gohan… » je gémis, causant les yeux de Gohan d'écarquiller. Je continuai : « Gohan… C'est bon… Hum… Continus… »
« Videl, qu'est-ce que tu fabriques ! » chuchota-t-il.
Mon sourire ne quitta pas mes lèvres, et s'élargit. Je continues à faire des bruits… comment dire… érotique, bougeant le lit. Je regardai Gohan, qui ne faisait rien, lui disant du regard de faire pareil. Il secoua la tête violemment. Alors comme ça, tu ne veux pas, hein ? Eh bien alors, je vais devoir t'y obliger…
Je m'assis sur ses genoux à califourchon, puis enroulai mes bras autour de son cou.
« Videl qu'est-ce que tu fmmhhm » Je l'interrompu en l'embrassant.
Je me mis ensuite à balancer mes hanches pour faire bouger le lit. Il répondit au baiser après un moment, puis me repoussa, le souffle court, les joues en feu.
Je souris, puis le plaquai contre le lit, m'emparant de sa bouche avec fougue, continuant à balancer mes hanches. Après un moment, je sentis son… excitation… puis me mis à déposer des baiser le long de sa mâchoire, descendant jusque son cou. Il émit un étrange grognement, presque… animal. Il me prit ensuite par les hanches et me fit rouler sur le dos, m'embrassant sauvagement, et balada ses mains sur mon corps. Puis il se retira brusquement, haletant, ses joues plus rouge qu'une tomate, et me regarda dans les yeux intensément. J'avançai ma tête pour l'embrasser encore, mais il se dégagea, s'asseyant sur le lit à une distance raisonnable de moi.
« Il est parti. » déclara-t-il.
Je fronçai les sourcils, frustrée, et un peu déçue, puis pouffai de rire, voyant quelque chose qui étirait le pantalon de Gohan. Les joues en feu, il prit un coussin pour le cacher.
« Tu es complètement inconsciente. » dit-il.
« Tu ne vas pas me dire que tu n'as pas aimé. »
« Ce n'est pas la question. Tu te rends compte jusqu'où on aurait pu aller si je ne nous avais pas arrêté à temps ? »
J'haussai les épaules. « Je préfère que ce soit avec toi plutôt qu'avec un autre. Et puis, tu es plutôt doué. »
Il rougit, détournant le regard. Je m'approchai de lui, ayant un petit rire. Il me regarda, l'air confus.
« Tu sais… » lui dis-je, tapotant mes doigts sur son torse de bas en haut. « Tu es très mignon quand tu rougis. »
Il devint encore plus rouge, et je ris encore. Puis il sourit, s'approchant de mon visage pour me murmurer à l'oreille : « Tu sais, tu es très jolie quand tu ris. »
Ce fut à mon tour de rougir, et au sien de rire. « Et tu es aussi très mignonne quand tu rougis. » ajouta-t-il, souriant jusqu'aux oreilles.
Je lui lançai un regard noir, puis lui tirai la langue comme une enfant. Il rit encore, tendis que je croisais les bras. Il secoua la tête, puis reprit son sérieux.
« Je crois… » commença-t-il. « Je crois qu'on a assez fait souffrir ton père, et qu'il est tant de lui dire la vérité. »
J'ouvris la bouche pour protester, puis soupirai. « Tu as sans doute raison. » me résignais-je à dire.
« Bien. Allons-y. »
Il se leva et sortit de la chambre, je le suivis presque à contrecœur, et refermai la porte derrière moi.
A suivre…
