Auteur : Voilà le deuxième chapitre modifié ! Cette fic est trèèèès courte mais ce n'est qu'un petit divetissmementassez basique, je le reconnaiset il est vrai que c'était ma première histoire. Donc, je prie pour votre indulgence.

Disclaimer : Les personnages et le monde d'Harry Potter appartient à J.K. Rowling et pas à moi. Seule l'histoire m'appartient et peut-être qu'un jour, j'arriverai à capturer Severus ! Niark ! Niark ! Niark !

Avertissement : Slash Harry/Severus, ça n'a pas changé. Homophobes vous n'êtes donc pas invités. Rating M pour plus tard…Oh yeah.

Bonne lecture !

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1h de….

1h de sortie à Pré-au-Lard

Samedi après-midi, alors que le soleil illuminait le majestueux château magique, quelques groupes d'élèves marchaient en direction du petit village de Pré-au-Lard. Harry, après avoir fait « en quelque sorte »chanter son oncle, avait obtenu la signature tant attendue. Ce fut donc avec le sourire que le joyeux trio se dirigeait vers les rues bondées du village sorcier. C'était l'hystérie dans les boutiques, les caissiers ne savaient plus où donner de la tête pendant que certains élèves vicieux conspiraient plans et méthodes pour tromper le responsable.

Ron ne se découragea pas pour autant et entra, après s'être servi de sa carrure devenue imposante pendant les vacances, chez Zonko, laissant ses deux amis déambuler dans les rues, où des étudiants se pressaient de rentrer pour prendre des boissons rafraîchissantes. Harry et Hermione décidèrent d'aller prendre une glace pour ne pas mourir de chaleur. Ils s'installèrent ensuite sous un arbre où l'ombre serait largement suffisante pour les protéger et discutèrent quelques minutes avant qu'Hermione ne commence à s'inquiéter pour leur ami :

-Où est passé Ron ? Il devrait être là depuis bien longtemps. Décidément, il est incorrigible, il a du faire une bêtise. Bon, je devrais revenir dans 15 minutes si je ne me fais pas aspirer par la foule. N'hésite pas à rentrer s'il se passe quelque chose, on se retrouvera dans la Salle Commune. A tout à l'heure, Harry, dit-elle alors qu'Harry acquiesçait d'un signe de tête.

Elle se leva et laissa le Survivant, tout seul dans l'herbe grasse et à la fraîcheur de l'ombre. Il souriait encore au comportement de son amie. Elle aimait Ron, c'était évident et bien sûr c'était réciproque ! Seulement, ses deux amis étaient trop bêtes pour se rendre compte de leur amour mutuel qui dépassait de beaucoup les limites de l'amitié. Promenant ses yeux sur les collines aux reflets d'or, éclairées par le soleil, il ferma les yeux. Une seule image lui vint en tête ; celle de son professeur lui guidant ses mains. Contrairement à ce qu'il aurait pu penser, les mains de Snape n'avaient point été rugueuses ou irritantes, mais d'une douceur incomparable. Il en avait encore des frissons. Ces mains lui manquaient. Il avait de le toucher une fois de plus. Dieu, elles devaient savoir faire beaucoup de choses, ces mains…Rooooh…… Mouiiiii….

Il fut brutalement arracher de ses pensées lorsqu'un éclair déchira le ciel et provoqua instantanément une panique dans la foule, plus spécialement de la gente féminine. Le jeune homme put entendre les cris, au loin, de toutes les filles qui terrorisées par la foudre s'étaient rapidement réfugier dans les boutiques au grand désespoir des responsables. Harry décidait de se lever, lorsqu'une pluie fine se mit à tomber, mouillant son jean délavé et son T-shirt blanc. T-shirt blanc qui, vite devenu transparent, lui collait désormais à la peau pour dévoiler un ventre plat et un torse bombé qui se jouaient de leurs muscles obtenus grâce au Quidditch. Les gouttes d'eau lui glissaient sur le visage et certaines avaient l'audace de venir se glisser entre les lèvres entrouvertes. Il secoua ses cheveux, lui décuplant son charme. Si une fille l'avait croisé, Harry ne serait pas rentré entier.

De ce fait, il emprunta alors une rue vide, peu fréquentée qu'il savait plus sûre que les autres rues, débordant de filles. Néanmoins, c'était une rue assez étrange. Il ne s'attarda donc pas sur la décoration, alerté par les dangereux frissons qui le secouaient, son corps étant attaqué par la température désormais assez fraîche. Tandis qu'il pressait le pas, il ne regarda pas devant lui, préférant la vision de ses pieds et il ne prit pas gare la silhouette noire et élancée sur laquelle il vint violemment se cogner. Il s'apprêtait à se confondre en excuses et reprendre son chemin quand entendit une voix rauque, sensuelle et si bien connue :

-Alors Potter ? Qu'est-ce que vous faites à presser le pas dans une tenue…mmh…peu appropriée dans une des rues les plus infréquentables aux alentours de Poudlard ? C'est vraiment douteux….

Harry ne réussit qu'à articuler quelques mots, trouvant sa bouche trop sèche pendant qu'il détaillait pour la énième fois le corps divin de son enseignant.

-Euh…à vrai dire…je…je…voulais rentrer pour me…sécher, bafouilla-t-il, les yeux s'assombrissant.

-Et je dois vous dire que ce n'est pas à exclure.

Puis Harry se mit une gifle mentale et se reprit rapidement :

-Et vous ?

-Voyez-vous, je ne sais pas si vous l'avez remarqué mais je suis professeur. Il m'a été confié, pour aujourd'hui, la pénible tâche qu'est la surveillance des…gamins déchaînés en crise de la fièvre acheteuse.

-Je ne suis pas con, merci ! Mais vous n'avez pas répondu à ma question ? Que faîtes-vous dans, je cite, « une des rues les plus infréquentables aux alentours de Poudlard »?

-Premièrement, langage Potter. Les bonnes manières, vous connaissez ? Bien sûr que non, j'ai placé mon espoir trop haut pour vous. Et ce que je fais ici ne vous regarde absolument pas.

Le jeune homme se sentait bouillir de rage sous les répliques cinglantes et il vit son professeur afficher un sourire satisfait.

-Pourquoi souriez-vous comme ça ? C'est peut-être la première fois de votre vie que vous avez le dessus ? Peut-être est-ce la première fois que vous prenez votre pied ?

Malgré le fait que l'enseignant resta de marbre face aux interrogations insolentes de l'élève, Harry savait que sa fureur grondait intérieurement. Il n'en était que plus séduisant, pensa-t-il vaguement.

-Je ne vous permets, sale morveux, siffla Snape entre ses dents serrées. Mercredi à 20h pour récurer les cachots. Soyez à l'heure et vous verrez de quoi je suis capable.

Le Survivant, encore surpris par le brusque départ qui avait suivi la sentence de son professeur, resta planté là, pantelant et trempé, dans la rue. Mais bientôt, les effets de cette altercation se firent sentir et Harry se sentit son excitation monté en flèche, sans prévenir. Il coura presque au château, prenait bien soin à ne croiser personne et arriver dans le dortoir, fila prendre une douche chaude, cette fois-ci accompagné d'une gentille caresse sur son membre dressé qui le fit se rependre dans sa main, le prénom Severus flottant dans sa tête. De même pour le dénommé Snape qui lui aussi, voyant la tenue de son élève préféré et provoquant une autre de leur joute verbale, c'était sentit « toute chose ».

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Ok, la fin est un peu précipitée ! Je ne sais pas à quoi je pensais ! Bref, je corrige le troisième chapitre et j'essayerai de faire suivre les autres fics ! Je vous fais de gros poutoux ! Et un grand merci à toutes les reviews ! Je vous adore !