Disclaimer : tout appartient a JKR, (se rend elle compte des monstres sexy qu'elle a laché chez les moldus ? )
Les dulac, Viveau sont à moi, merci .
Notes de l'autrice (pourquoi pas? auteuse se dit pas non plus d'abord, na ! ) : bon , j'ai placé cette histoire durant la cinquième année je n'y fais pas référence merci de me comprendre c juste une parenthèse !
Agréable lecture
Remarque, criages et louanges dans les reviews, merci d'être sincères.
PREMIERS TROUBLES
Depuis
quelques temps, il se sentait différent…ça avait commencé un matin pas longtemps après
la rentrée, il s'était réveillé avec le
sexe droit et dur. Il savait ce qu'était une érection,
cependant il ignorait comment s'en débarrasser. Il arriva un
peu après les autres au petit déjeuner, après
avoir trouvé la solution dans la douche : glacée !
Et en peu
de temps, il s'aperçut qu'il n'était pas le seul
à être atteint de cette étrangeté de
l'adolescence masculine.
Ce matin
là, celui d'Halloween, Ron et lui s'étaient levés
en même temps, atteints du même trouble flagrant, leurs
pénis se saluaient mutuellement. Ils se regardèrent un
moment dans les yeux, les baissèrent et partirent d'un grand
éclat de rire.
- ça
fait combien de temps ? demanda Ron en souriant
- Un
peu plus d'un mois et toi ? redemanda Harry en retour un peu
gêné
- La
mi- juillet, lorsque Percy est venu avec sa copine à la
maison, ce n'est pas que j'ai eut envie de… tu vois, mais à
force de les regarder se bécoter, je crois que ça a
finit par me trotter dans la tête et dans le caleçon !
expliqua Ron parfaitement à l'aise et un peu fier ?
Comment
est ce qu'il peut être fier de ça ? pensa un Harry
vraiment perturbé.
- Tu
crois que ça va durer longtemps ? Parce que j'en ai
marre des douches froides à vrai dire, avoua celui-
qui-à-survécu
- Quoi ?
Des douches froides ? Mais ça va pas la tête !
s'écria Ron se tapant le front de la main. Il ya des façons
bien plus agréables et moins dangereuses pour la santé
de se calmer !
- Excuse
moi si je ne sais rien, mon vieux, je n'ai pas la chance d'avoir
quatre frères aînés moi ! Harry commençait
à s'énerver, incompris.
- Désolé,
j'oubliais, s'excusa le rouquin. On pourrait continuer cette
discussion ce soir, on va être vraiment à la bourre.
- Ok
mais t'oublie pas ! lui rappela t il
- T'inquiète
pas, mon « vieux », ajouta t il en riant
Les deux Gryffondors s'étaient prestement habillés et
précipités dans la salle à manger où
Hermione les avait interrogés sur la cause de ce retard.
- Une
discussion de mecs, c'est tout ! lança Ron sous le
regard un peu boudeur de leur amie.
Le brun
avait un peu rosi, ce qui l'inquiéta un peu mais elle se
tut. Après tout s'ils avaient des secrets, tant pis pour
eux, elle ne leur parlerait pas tout de suite de ce qu'elle avait
vu, en venant déjeuner.
Draco
Malfoy était dans les couloirs, appuyé contre un mur,
se laissant faire par la Dulac qui le pelotait tout en lui avalant la
moitié du visage, les mains glissant dans son pantalon en une
sorte de ballet frénétique. Le plus drôle avait
été de les saluer et de voir ce Serpentard s'étrangler
à moitié rouge de honte du flagrant délit.Après
le déjeuner, en bonne ragoteuse, ce qui est pourtant rare chez
elle. Hermione leur raconta sans trop rentrer dans les détails,
Ron s'exclama : « c'est la journée ma
parole ! » Tout en pouffant de rire et Harry lui
raconta que c'était un thème déjà
abordé ce matin au dortoir.
Le soir même, Ron avait attendu que Neville et les autres soient endormis et
rejoignit son ami dans son lit. Celui-ci était un peu
tremblant, l'amitié c'est une chose, la promiscuité
masculine une autre.
- T'en
fais pas je vais pas te montrer ! Je suis pas une machine à
érection !
- J'ai
pas dit ça se défendit le nerveux
- Je
pense bien, t'arrive déjà pas regarder une fille qui
te plaît sans baver ! se moqua t-il
- Bon,
vas-y prof ! demanda le futur élève, exaspéré
et inquiet des tortures à venir.
Ron
Weasley massa le dos de son ami pour le détendre, et pendant
que ses mains passaient sur son corps tendu, il lui parla à
voix basse et lui enseigna l'art de la masturbation solitaire.
Harry les oreilles à l'écoute et le corps en alerte
regretta un court moment que son prof ne mette pas la théorie
en pratique, mais se ravisa bien vite.
- Pour
l'exercice je te fais confiance, tu sauras quand le moment est
venu. Puis, tu verras ça vient tout seul en général,
lui affirma t il en grand connaisseur.
- Pourquoi
tu ne me montres pas ? demanda t il pour être fixer sur
la raison véritable de Ron
- Parce
que je suis amoureux, Harry ! Et que je t'aime bien mais t'es
pas mon genre !
Sur ce il
planta un baiser sur ses joues, et dans un petit rire se coucha.
C'est ainsi qu'Harry Potter avait commencé à découvrir son corps et les émotions que ses mains pouvaient provoquer, en caressant un si beau bout de chair. Il prit son plaisir comme ça plusieurs fois, dans son lit, dans sa douche et même dans les vestiaires lorsqu'il restait dernier après l'entraînement. Mais les plaisirs solitaires ne suffirent bientôt plus…
La nuit était tombée depuis un bon moment, Ron et Neville dormaient comme des masses, le cours de potion avait été plutôt coriace. Rogue n'avait pas lésiné sur les devoirs à rendre dès le lundi suivant. Cela ne pouvait signifier qu'un week-end de plus à la bibliothèque, enfermés et studieux. Harry soupira et se retourna pour la énième fois, ne trouvant pas le sommeil. Il avait chaud, était nerveux sans savoir pourquoi et avait envie de courir pour être épuisé, enfin sombrer dans le sommeil. Il se rhabilla dans le noir, traversa la maison des Gryffondors et quitta les lieux aussi discrètement que possible. Il n'avait surtout pas envie de réveiller Peeves. Malgré sa cape d'invisibilité il ne se sentait pas tranquille.Il passa par le parc et trouva un banc sur lequel s'asseoir. Il se débarrassa de la cape et se reposa un peu. Il avait courut un peu pour relâcher ses nerfs.
Se caresser, c'est bien. Embrasser quelqu'un d'autre, embraser un autre corps, et peut être connaître le plaisir à deux, voilà ce qu'il voulait essayer maintenant.
Un bruit
de pas, des frôlements de tissu, des murmures. Il tourna la
tête, et décida de se lever. Il était si nerveux,
que le vent qui s'engouffrait sur sa peau nue le faisait frissonner
de plaisir, le détournant un instant de la raison. Il se cacha
à nouveau sous sa cape et se dirigea vers l'origine des
bruits. Il s'approcha d'un arbre, sous lequel deux silhouettes
s'entremêlaient dans une seule ombre. La lune éclaira
la scène de ses pâles rayons. Harry vit alors la
crinière si caractéristique de son ennemi, Draco
Malfoy. Celui-ci était la victime de ce que la voix de sa
compagne nomma dans un gémissement « une séance
de torture ».Moïra
Dulac était mi nue sur l'ange des serpentards, ses mains le
caressaient, indécentes et téméraires. Ses
baisers sur sa poitrine, son cou, ses épaules… Harry
observait tout cela, hypnotisé, incapable de diriger son
regard ailleurs. Il y avait sûrement un maléfice
là-dessous. Comment pouvait il rester là, immobile et
se rincer l'œil ? Il bougea un peu, à peine. Partager
entre l'envie de fuir et de se rapprocher pour mieux voir Draco se
déhancher sous le corps de son amante.
Celle-ci
se glissa bien plus bas, sa langue traçant des lignes sur son
corps, elle atteignit son bas ventre. Sa bouche prit son sexe entre
ses lèvres entrouvertes, et dans un va et vient diabolique,
elle le léchait.
Draco
avait du mal à respirer, son souffle devenait rauque et court,
il gémissait de plus en plus sous l'effet brûlant de
ce qu'il appelait une langue de vipère. Sa main pressait la
tête de Moïra, lui indiquant le rythme de son plaisir
montant.
Harry
était atteint par le plaisir provenant de ce couple d'égarés,
au rythme des gémissements de Draco, il sentait un brasier
naissant le consumer corps et âme. Il songea à se
damner et les rejoindre, jeter aux orties les règles et la
rationalité.
Cependant,
un reste de raison l'enchaînait, il resta donc dans les
ténèbres et s'adonna à ce jeu, auquel il
excellait ces derniers temps. Les yeux clos, il imaginait Dulac lui
montrant ce que des mains de filles pouvaient faire à son
corps de « débutant », comme elle venait
d'appeler son compagnon. Mais l'esprit de celui-qui-à-survécu
errait dans les brumes, il voyait Moïra et l'image de Draco
s'y superposait. Il avait envie de sentir son souffle sur son
visage, ses lèvres…
Le plaisir
vint rapide, bref … insatisfaisant. Il n'était plus tendu,
il était même épuisé. Il se laissa tomber
sur l'herbe humide, retrouvant un calme étrange. Son corps
était repu, son sang aussi, mais il lui faudrait peu pour que
cela le reprenne.
Il découvrit une nouvelle chose sur lui-même : son esprit était un affamé de chair…Et sa proie était toute désignée, Draco Malfoy, celui qui avait déclenché sa folie.
Voilà pour cette fois, merci de me donner un avis sur ce premier chapitre et éventuellement ce que vous préféreriez voir ou changer. La suite ne saurait tarder... Moi, ça me donne faim tout ça, hum hum! Bon je me calme !
A bientôt Morgane
