Disclaimer : y a seulement l'histoire qui est à moi
Note de l'auteur : plus qu'un chapitre, snifffeuuuu
-----------------------------------------------Titre : Décharge Electrique--------------------------------
--------------------------------------------Chapitre douze : Douloureuse réalité-----------------------
Harry était resté longtemps, recroquevillé, dans un état de choc total, il n'arrivait tout simplement pas à croire qu'il ne pourrait plus embrasser, tenir son amour dans ses bras ou le regarder.
Il savait que Severus ne l'aimait pas à présent, mais il avait pensé qu'importe la réponse à sa question, il pourrait continuer son initiation.
Mais les mots de l'adulte avaient été si froids, ils lui avaient fait tellement de mal.
A présent, il observait la salle de potions avec crainte, qui aurait cru qu'il avait un jour regardé cette même porte avec de l'excitation, de la joie et de l'impatience ?
Qu'il venait même en avance pour profiter de la présence de l'enseignant en attendant le soir ?
Aujourd'hui il traînait les pieds pour y entrer, la tête baissée et les épaules basses afin de se faire le plus petit possible.
Ron a ses cotés, s'interrogeait sur le comportement de son ami, celui-ci était revenu la veille, la mine défaite, les yeux rouges et s'était enfermé à double sort dans son lit, ignorant les appels de ses condisciples.
Ils ne s'étaient pas plus parlés le matin.
Mais le roux pensait que cela avait rapport avec l'initiateur et que quelque chose de mal s'était produit.
Pour l'instant, il avait décidé de le laisser tranquille, il lui parlerait sûrement quand il le voudrait ; il espérait juste que ça ne tarde pas, car il souffrait de voir son amour dans ce état de détresse.
Le brun pénétra dans le cachot avec une forte appréhension.
hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhssssssssssssssssssssssssssssshhhhhhhhhhhhhhhhhhhhssssssssssss
Harry essoufflé, se jeta sur son lit, ferma ses rideaux et laissa couler ses larmes pour de bon.
Tout ce temps, il s'était efforcé de ne pas pleurer mais pendant le cours le maître des potions l'avait tout simplement ignoré.
Il n'avait même pas eu droit aux remarques cinglants ni aux rictus ironiques.
Il n'avait pas essayé de rabaisser le Gryffondor plus bas que les abysses de l'océan.
Non ! Il m'avait tout bonnement ignoré !
Il avait comme à son habitude arpenté la salle pour contrôler les chaudrons et recueillit les fioles remplies d'échantillon.
Mais ne lui avait adressé aucun regard, aucun commentaire quant à sa potion qu'il s'était appliqué à bâcler pour le faire réagir.
Par conséquent Harry ne pouvait dire ce qui était pire entre l'ignorance, le silence flagrants et l'animosité clairement exprimée.
Et puis, ne dit-on pas, le silence est la meilleure expression du mépris ?
Pourquoi le Serpentard se comportait-il d'une manière aussi ignoble ?
Après tout, le brun n'avait commit aucun crime sauf de l'aimer et de nourrir l'espoir que cela soit réciproque.
Il ne méritait aussi blessant de la part de son professeur.
Il prit une décision, il irait le voir le soir même pour tout lui dire.
Toute cette histoire n'était certainement qu'un horrible malentendu.
Ils mettraient les choses au clair, il lui dirait qu'il l'aimait plus que tout, et advienne que pourra !
HPHPHPHPHPHPHPHPHP»«SRSRSRSRSRSRSRSRSRSRSRSR
Son entrain, pourtant s'était volatilisé dès qu'il s'arrêta devant le portrait de la faucheuse qui gardait les appartements de son aimé.
Celle-ci brandit sa faux.
-Le mot de passe ? Demanda-t-elle de sa voix menaçante d'outre tombe.
On aurait dit qu'il qu'elle s'apprêta à vous arracher le cœur ou un quelconque membre bien charnu qu'elle pourrait atteindre.
Il s'agissait sûrement pour cette raison là que nul à part une poignée de personne n'était jamais entré dans le mini appartement de Severus Rogue.
Les plus sensibles s'effrayaient seulement à la vue du tableau et les plus courageux prenaient leurs jambes à leur cou une fois que la peinture s'animait.
Harry avait éclaté de rire la première fois qu'il eut vraiment fait attention à l'œuvre.
Severus en avait été amusé et avait changé de mot de passe, mais Harry doutait qu'il aie gardé celui qu'il avait choisi ce jour-là.
-J'adore le rire d'Harry dit-il, le cœur battant.
Cependant à la place de l'habitude apparition d'une porte en chène, un gloussement lugubre se fit entendre.
-Il semblerait que ce ne soit plus le cas mon garçon se moqua le sombre personnage.
Le brun sentit ses yeux s'humidifiés mais il tint bon, apparemment le mot de passe avait changé ( nda: noonn tu crois ?)
-Et heu…S'il vous plaît, monsieur, hum, madame…Puis-je entré ?
La faucheuse éclata à nouveau de rire.
-Pourquoi vous laisserai-je pénétré dans l'antre de mon maître alors que vous n'avez pas le mot de passe ? Questionna-t-elle.
-Mais vous vous souvenez de moi n'est-ce pas ? Je suis venu tellement de fois ici gémit-il.
-oh, je vois de nombreux visages mon garçon fit-elle en caressant amoureusement sa faux.
Le survivant était certain d'avoir entraperçu l'instant d'avant une tache rouge à l'endroit qu'elle venait de frotter avec ses doigts décharnés.
-Cependant jeune homme, je me souviens de vous, car je n'avais jamais vu une personne avec laquelle le maître paraisse heureux ou riait sincèrement ; si j'avais un jour posséder un cœur je vous avoue que cela m'aurait fait de la peine de vous faire remarquer que si vous n'avez plus le mot de passe c'est que vous n'êtes plus désiré en ces lieux poursuit-elle.
Mais j'ai tout de même le droit de vous dire que mon maître ne se trouve pas ici, il s'est absenté voilà déjà…
-Hum
Harry se retourna et son cœur manqua un battement.
Severus Rogue, l'homme pour lequel il avait bravé le couvre feu, Drago Malefoy et par-dessus tout, celui qu'il aimait se tenait là, avec un petit brun aguicheur accroché à son bras.
-Monsieur Potter, puis-je savoir ce que vous faites en dehors de votre salle commune à une heure si tardive et qui plus est devant mais appartements ? Demanda-t-il
-Je voulais te parler, Harry releva fièrement la tête, il ne flancherait pas devant un tel salaud, il ne voulait surtout pas voir les bras liés, ni la tenue obcène que portait, il en était certain, la pute qu'il s'était payée à Pré-au-Lard.
-Potter ? Potter ? Harry Potter ? S'excita celui-ci.
-J'ignorais que les…Personnes…De votre genre étaient douées de paroles ironisa Harry.
-Oh mais si, si , vous m'entendez n'est-ce pas ? Je parle.
Le brun roula les yeux, en plus il s'agissait d'une prostituée stupide, franchement, l'homme aurait pu mieux choisir.
-Non monsieur Potter, ce que vous ignorez, c'est que mon désir le plus chère est que vous vous éloignez de ma personne, ôtez vous de mon chemin déclara le professeur d'une voix glaciale en s'avançant.
Il se dirigea vers le portrait avec le jeune homme gloussant à son bras.
Harry partit en courant, les joues trempées et la vue brouillées par de larmes.
« Cent points en moins pour Gryffondor » et « Potter ? C'était Harry Potter n'est-ce pas ? » Furent les seules choses qu'il entendit.
Voilà, 3 petites pages web, oui je sais j'ai déjà fait mieux mais c'était un dernier chapitre de cette longueur là ou l'avant chap, alors j'ai fait mon choix, donc le prochain sera plus long. Mais pour compenser j'ai mis le la 1ère partie de mon two shot, harry/neville, si ça vous dit !
Je vous souhaite un très bon week- end et semaine.
Je sais pas pour vous, mais moi je l'adore ma faucheuse !
J'ai eu un mal fou à l'écrire ce chp là, mais j'espère qu'il va vous plaire.
au fait j'ai mis un os en ligne, j'aimerais biens voir ça slash Dray/ryry comme ça vous allez trè vite me pardonner la courtesse ( ça se di?) de ce chapitre là
Alors, revieweurs, reviewer ! lol
Kiss
