Disclaimer : rien ne m'appartient sauf la mise en scène

Note : en bas, après la lecture si vous voulez bien…

« « « « « « « « « « « « « « « « « « « « Titre : Décharge Electrique » » » » » » » » » » » » » »

« « « « « « « « « « « « « « « Chapitre treize : Amour rime avec électricité » » » » » » » » » »

Long chapitre pour me faire pardonner l'attente…

Attention lemonnnn, bien que je pense que certain soient plutôt contents… pour le nombre de foi où me la demandé (hein Ishtar...)

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Après le départ précipité du Gryffondor, le petit jeune homme brun et le maître des potions pénétrèrent dans les appartements de celui-ci.

Severus se sentait mal, subitement il avait le sentiment qu'il lui manquait une part importante de lui, sans laquelle il lui serait impossible de vivre.

Mais il avait surtout la désagréable et nette impression que son bras ne lui appartenait plus.

En effet, le brun se collait tellement à lui qu'il ne restait plus aucun espace entre eux et serrait sans aucune douceur son bras contre lui.

Si bien qu'il sentait déjà des fourmilles remonter le long de son avant-bras.

Le prostitué émit un sifflement appréciateur, ses yeux tournant à une vitesse impressionnante autour de la pièce.

Puis il le lâcha et se pencha en se cambrant sensuellement pour attraper un morceau de raisin sur une grappe qui trônait au milieu de sa table basse.

Il se mit à pousser en dégustant des petits gémissements qui se voulaient excitants.

Mais à la place, le Serpentard était de plus en plus dégoûté.

Qu'est-ce qu'il lui avait pris d'aller le chercher à Pré-au-Lard ?

Un petit brun en plus ! Il ne faisait qu'entacher l'image du Gryffondor.

Pourtant, quand le prostitué voyant que son client ne se décidait pas, lui demanda de lui faire visiter sa chambre, il ne réagit pas.

Pire encore ! Ses jambes se mirent en marche automatiquement, ponctuées par les gloussements stupides de celui qui suivait ses pas.

Il fut renversé sans ménagement sur le couvre lit et vit avec une horreur grandissante son futur amant commencer à s'effeuiller lentement.

En tant normal ce spectacle aurait été l'expression de la tentation même, cependant Severus lui, se demandait de manière affolée ce qu'il faisait là.

Il s'assit à califourchon sur lui et entreprit de parsemer son cou de baisers.

Le Gryffondor était partit en pleurant…

Le prostitué s'attaqua à sa robe noire.

S'il avait pleuré, cela voulait dire qu'il lui avait fait du mal…

Son futur amant lui enleva sa robe pour laisser place à une chemise et un pantalon noirs.

Mais s'il lui avait fait du mal, alors le survivant l'aimait-il ?

Il se redressa brusquement, reversant le jeune homme sur le sol.

-Qu'est ce qui se passe ? Vous n'êtes pas content maître ? Demanda celui-ci d'une voix langoureuse.

-Vas-t'en ! Cracha Severus

-Non mais, ça ne va pas ?

Le petit brun semblait avoir perdu toute sa superbe, il affichait maintenant une image quelque peu désarçonnée

Le maître des potions courut vers la sortie, il devait en avoir le cœur net !

Le prostitué était hors de lui, le Serpentard avait ignoré ses appels et était partit.

Il l'avait laissé, lui ! Le numéro un de son patron !

Et puis quand il l'avait vu arriver devant le centre, il avait tout de suite cerner le type.

Franchement, qu'elle genre de personne portait un pantalon et une chemise noirs, sous une robe elle-même noire ?

Il ricana, le pauvre devrait être encore vierge, il s'agissait sûrement d'un de ces vieux coincés dont personne ne voulait.

Il observa avec intérêt les bibelots et artefacts autour de lui, les tapis richement décorés et l'argenterie dans les meubles la bas

Tout cela devait coûter une fortune…

Et s'il y avait des sorts qu'il maîtrisait, il s'agissait de ceux du rétrécissement et de l'agrandissement des objets.

Il s'approcha lentement de la montre posée sur la table basse à coté des raisins et qu'il avait remarquée plus tôt.

Le professeur avait été si grossier avec lui…

Tut ! Tut ! Tut, on ne devrait pas laisser traîner des objets de valeur comme cela…

« « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « HS » » » » » » » » » » » » » » » » » » »

Ron rangeait ses affaires qui gisaient un peu partout dans le dortoir quand la porte s'ouvrit à la volée.

Il vit avec stupeur Harry se précipiter sur lui pour l'embrasser avec fougue.

Le baiser fut rapide mais profond.

Ron avait été trop surpris pour le repousser.

-Mais que ?

-Fais moi l'amour gémit Harry

Il le renversa sur le lit et leurs vêtements s'élevèrent pour se poser au pied du lit.

Harry était brutal et leur étreinte sans douceur.

Le roux ne voulait pas le prendre de cette manière, il se redressa.

-Qu'est ce que tu fais ! S'écria Harry

Ron remarqua les larmes qui perlaient aux coins de ses yeux et les traces sur ses joues.

-Que s'est-il passé Harry ? Demanda-t-il

-Comment ça qu'est-ce qui c'est passé ?

-Tu connais beaucoup de gens qui pleurent en faisant l'amour ? Ironisa-t-il

Puis il reprit en soupirant

-Ecoute Harry, tu sais que je t'aime, non ne dis rien ! Tu sais que je suis fou amoureux de toi, depuis quand je ne sais pas, peut-être la première où je t'ai vu, mais je sais aussi que ton bonheur ne se fera pas à mes côtés pour la simple et bonne raison que l'homme de ta vie c'est Severus Rogue…

-Lui ne m'aime pas ! S'exclama le brun, il a changé son mot de passe, je l'ai vu, devant ses appartements, avec cette catin ! Je l'aime tellement Ron finit-il par gémir.

-Quoi ! Le roux soupira, pourquoi la vie est-elle si compliquée ?

Le brun rit tristement et se blottit contre son meilleur ami.

-Ca aurait été si facile si j'avais été amoureux de t-

-Chut !

Il les firent s'étendre tous les deux et Harry lui raconta toute l'histoire.

A la fin, le roux était choqué, il était clair pour lui aussi que le professeur n'y avait vu que du sexe et pas autre chose, il ne prendrait pas sa défense comme la fois dernière.

Il eu un pincement au cœur quand il se dit qu'il aurait pu éviter un tel chagrin s'il ne l'avait pas littéralement poussé dans les bras du directeur de Serpentard.

Quant à Malefoy, il s'occuperait de son cas plus tard ; il détestait ses cheveux trop blond, trop soyeux et il tirerait une profonde satisfaction à les voir au fond d'une poubelle tous ses exception, et surtout, à contempler les reflets du soleil sur le crâne de l'ex-blond.

-Je te garderais près de moi Harry, il le tint plus fort contre lui, je te chérirais,

-Oh tu es si bon Ron gémit fortement le brun

A cet instant un bruit sourd de claquement se fit entendre et tous deux sursautèrent.

Le plus grand se leva précipitamment.

-C'est la fenêtre, il soupira, elle s'est refermée toute seule, pourtant je ne me souviens pas l'avoir ouverte, j'ai quand même une peur bleue !

Il posa sa main sur sa poitrine, là où son cœur battait follement.

Il se rendit compte qu'il était nu comme un ver et que les autres n'allaient pas tarder à monter.

-Non ! Dit Harry comme il se penchait pour récupérer leurs vêtements.

Le roux releva la tête, interloqué

-Tu ne veux quand même pas que l'on reste dans cette tenue n'est ce pas ? Questionna-t-il

Il se sentait gêné d'être ainsi à découvert, surtout quand les yeux verts du survivant le détaillaient.

Il vit le brun aussi nu que lui se glisser sous les draps et tapoter la place près de lui.

Ron soudain timide, s'avança doucement et ne pu s'empêcher de frémir quand leurs peaux furent en contact.

Ils s'endormirent presque aussitôt, le bras de Ron autour d'Harry.

Ils n'avaient même pas récupéré leurs vêtements, ni tirer les rideaux du lit.

Tant pis, les autres les trouveraient comme cela, le roux espérait seulement que le cri que pousserait Neville en les voyant ne réveillerait pas toute la tour.

« « « « « « « « « « « « « « « « « « « « HS » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » »

Severus était recroquevillé sur sol froid de son salon.

Il ne voulait pas y croire mais le Gryffondor était un très bon acteur ; il avait simulé le bonheur parfait avec lui pendant tout ce temps.

Il avait même feint la tristesse la plus profonde à coups de pleurs déchirants.

S'il avait su, il aurait profité du beau jeune homme qu'il avait pris à Pré-au-Lard.

« « « « « « « « « « « « « « « « « « « « Flash Back » » » » » » » » » » » » » » » » »

Le maître des potions courait à en perdre haleine ; il était pressé d'aller retrouver son aimé mais il stoppa net, devant la flopée d'élèves qui avaient été retenus dans la grande salle à cause d'une troupe théâtrale en promotion.

Alors il décida de passer par le parc afin d'atteindre la fenêtre qui donnait directement sur la chambre des Gryffondor de septième année dans le dortoir des garçons.

Il brûlait d'excitation quand il souleva délicatement la vitre de ses mains moites.

Il fut d'abord passablement dégoûté par les vêtements éparpillés au pied du lit à sa droite puis il plissa les yeux apercevant un éclair jaune.

Il devint livide lorsqu'il reconnu l'écharpe que portait le brun ce soir là.

Il se força à sourire, il y avait eu trop de malentendus, et cette fois encore ce n'était pas ce qu'il croyait.

Ah ! Des chuchotements provenaient du lit.

Il pencha la tête et déglutit, il observait à présent deux corps nus étroitement enlacés, apparemment il était bien dans le dortoir des garçons…

-Oh Ron tu es si bon !

Le professeur laissa tomber la vitre sous le choc et se précipita vers ses appartements le cœur au bord des lèvres.

« « « « « « « « « « « « « « « Fin du Flash Back » » » » » » » » » » » » » » » » » »

Cette voix…Il l'aurait reconnu entre mille !

Le Gryffondor pleurait parce qu'il allait aux putes et prenait du bon temps avec un de ses condisciples l'heure qui suivait !

Il s'endormit bercé par le goût salé de ses larmes et la température glaciale des dalles.

« « « « « « « « « « « « « « « « « « « HS » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » »

Le lendemain matin, la grande salle était en ébullition.

Le survivant et l'avant dernier des enfants Weasley avaient été surpris au lit la veille, les vêtements éparpillés au sol et leur étreinte serrée ne laissaient aucun doute sur ce qui avait précédé.

Certains étaient curieux, d'autres ne voulaient rien entendre s'apparentant à cette histoire.

Les uns semblaient dégoûtés, les autres amusés.

Il y en avait qui affirmaient qu'ils s'en doutaient ou que ça ne durerait pas.

Mais tous, en faisaient des gorges chaudes.

Seulement les concernés se tenaient à l'écart.

Harry mâchouillait un morceau de toast et Ron repoussait tous ceux qui voulaient les approcher.

Hermione elle boudait un peu pour n'avoir été mise au courant de toute l'histoire que le matin même, mais elle avait été si occupée avec son initiateur à elle…

Le brun tendait la main pour attraper un autre pain grillé quand tout bruit cessa autour de lui.

Etonné, il regarda frénétiquement dans toutes les directions et fut aveuglé par une lumière blanche.

Lorsqu'il reprit connaissance, il se tenait devant le maître des potions

Il ne voyait que ses yeux noirs qui le scrutaient avec désir.

Alors il perdit control.

Une force magnétique l'attirait vers lui.

Severus eut juste le temps de contempler un instant ses yeux verts avant que le brun ne prenne possession de ses lèvres.

Il sentait déjà l'érection du plus jeune contre sa cuisse.

Alors il sut que cette fois-ci serait la bonne.

Il n'y aurait pas d'hésitation de la part d'Harry, lui-même ne souhait plus attendre et personne ne viendrait les surprendre

A condition qu'il barricade sa porte…

Il quitta avec regret la chaleur de sa bouche de sa langue sucrée.

-A-Attends haleta-t-il

Harry grogna et repris ses lèvres, il n'en pouvait plus d'attendre !

Le maître des potions suçait ces lèvres charnues avec délectation tandis que le Gryffondor gémissait de volupté.

Il entrouvrit la bouche et l'adulte s'empressa de répondre à sa demande.

-Non je veux balbutia Severus

-Toi ! Termina Harry, bien décidé à ne pas le laisser s'échapper.

Pour cela, il se mit à reculer vers la chambre en faisant glisser lentement ses vêtements.

Le professeur déglutit, lança seulement un sort d'insonorisation et empoigna son initié.

Ils entrèrent avec empressement dans la pièce, au contact de leur peau respective et des draps du lit, une forte onde électrique les traversa, les laissant pantois.

Ils n'avaient échangé que des baisers fiévreux mais le plaisir qui en ressortait semblait infini.

Il ne restait à Harry qu'un boxer bleu avec des petits balais qui voletaient alors que son amant demeurait vêtu.

Il le renversa et s'assit à califourchon sur lui, il commença à se frotter contre lui.

-Alors professeur gémit-il, vous savez que si nous sommes surpris vous allez vous faire renvoyer ? Et puis j'ai cours là, je devrais y aller.

-Ne dis pas de bêtise geint Severus en agita les hanches.

Ils se retrouvèrent nus sous un coup de poignet.

Le maître des potions plaque le Gryffondor sur le lit et parsema son cou de baisers brûlant.

-J'ignorais que tu maîtrisait la magie sans baguette haleta celui-ci alors que l'adulte descendait un peu plus vers le bas.

Il ahana franchement quand il sentit son mamelon droit être aspiré tandis qu'il titillait l'autre.

Severus passa sa main d'un toucher aérien qui fit frémir Harry, le long du creux des reins.

Il le fixa des yeux, émut du cadeau que Merlin lui offrait.

Il fit glisser ses doigts sur le membre tendu.

Harry émit un petit cri et se cambra.

-Il n'y a beaucoup de choses que tu ignores chéri susurra le Serpentard.

Il prit soudain la hampe en bouche et amorça de lents mouvements.

Le survivant essayait désespérément d'accélérer le rythme mais dû se résoudre à subir l'affolante cadence imposée.

Il tenait les draps dans ses poings et les déchira quand la langue joueuse s'enroula autour de son gland.

Lorsque Severus délaissa son érection il ne put retenir un grognement de protestation vite remplacé par un cri de plaisir.

La langue mutine caressait son intimité lui faisant goûter la sensation chaude et humide.

-Oh Sev' gémit-il, prends moi, je n'en peux plus

Celui-ci introduit un doigt puis deux pour le préparer pendant que Harry écartait les cuisses afin de faire de la place en se tortillant délicieusement.

-Vient maintenant réussit-il à dire

Le maître des potions le tint fermement contre le lit mais quand il fut entièrement Harry repoussa sa poigne pour s'accrocher à son cou et oublier la distension toute de même douloureuse de son intimité.

Il avait la chair de poule et son corps commença à être agité de spasmes de plaisir.

Le Serpentard tremblait, se retenait de le prendre fortement.

Ils commencèrent une série de vas et viens ponctuée par leurs gémissements et leurs cris.

Severus leva la tête et tenta de graver la merveilleuse image.

Harry les yeux assombris par le désir, ses lèvres entrouvertes d'où s'échappaient des mots incohérents et des douces plaintes…

Harry tellement beau…

Harry qui lui faisait voir des étoiles

Harry qu'il aimait tant

Il accéléra la cadence, butant sur la prostate de son amant à chaque coup.

Enfin, il eut une explosion de sensations et deux hurlements mêlés.

Aucun ne remarqua qu'au dessus du lit du métal en fusion parsemé d'éclair plana quelque secondes avant de s'évanouir.

Un sentiment de plénitude les habitait.

Pourtant quand Severus de fut retiré, il réalisa ce qu'il venait de se passer

Le charme profitait une fois de plus d'eux.

Il observa, la mort dans l'âme, Harry qui dérivait vers le sommeil.

Cette fois-ci c'était finit, l'initiation terminée, il se retrouverait seul.

Mais il devait demeurer l'inflexible professeur de potions.

Il jetterait le Gryffondor avant de se faire jeter ! ( ndt : comme une ordure oui,non mais vraiment !..)

-Hum hum

Les yeux verts brouillés par la fatigue se posèrent avec confusion sur lui avant de s'éclairer.

-Vous ne comptez quand même pas passer la journée ici, monsieur Potter ? Demanda-t-il d'une voix glaciale.

Harry se redressa complètement réveillé, les larmes avaient remplacé l'éclat de joie.

-Pourquoi fais-tu ça ? Tu ne m'aimes donc vraiment pas ? Sanglota-t-il

Severus était dégoûté

-Ne me refais pas le coup des larmes ! Tu dois être content, ton initiation est finie, tu pourras te montrer dans les bras de ton Weasley, même si jusque là tu ne t'es pas gêné pour le faire cracha-t-il

Harry baissa les yeux.

-C'est toi que j'aime, je t'aime ! S'exclama-t-il

Le maître des potions renifla

-A d'autres ! Je suppose que tu me l'aurais dit la nuit dernière si je t'en avais laisser le temps…Avant d'aller coucher avec Ronald Weasley

-Quoi ? Cette fois-ci Harry était désorienté.

-Ne joue pas à l'innocent ! Je vous ai vu ! Je vous ai entendu ! Tu gémissais dit Severus accusateur en l'indexant.

-Mais non, qu'est ce que tu racontes ? Je suis partis d'ici anéantit, tu étais avec ce prostitué je pleurais et il m'a consolé expliqua le Gryffondor.

-Tu avais une drôle de façon de pleurer dis moi…Et j'ignorais que l'on avait besoin d'être nu pour…

-On n'a rien fait ! Nous…Je…Oh pardonne moi Severus, j'étais si triste, je l'ai allumé, mais rien ne s'est passé, je pensais à toi, je t'aime ! Implora le brun.

Le Serpentard sentit le doute s'insinuer en lui, il y avait eu tellement de malentendu…

-Je t'aime répéta Harry, et toi tu t'apprêtais a t'envoyer en l'air avec lui, depuis tout ce temps tu jouais avec moi alors que je ne t'ai pas mentit une seule fois murmura-t-il

-Non ! Non S'écria le professeur, je pensais à toi moi aussi, je l'ai laissé ici j'ai couru à ta tour pour aller te retrouver et je vous ai vu tous les deux, j'observais la scène par la fenêtre ( ndt : 'srait pas un brin voyeur notre sevy ?)

-La fenêtre, Harry comprenait à présent, tu ne peux pas dire que tu ne m'aimes pas lorsque tes yeux hurlent le contraire termina-t-il.

-Il ne s'est vraiment rien passé avec lui ? Demanda timidement le Serpentard.

-Rien, tu as été mon premier Severus, avec Ron nous n'avons rien fait de pousser.

-Mais il t'a touché grogna le professeur

-Je t'aime déclara Harry ( ndt : heu… ça fait pas tout…)

Ils se fixèrent un moment, un poids enlevé de leurs épaules avant que Severus, fou de joie ne le prenne dans ses bras

-A partir d'aujourd'hui je ne te laisserais plus filer, je ne suis rien sans toi, je me demande encore comment ai-je fait pour vivre ces semaines sans toi ?

Harry coupa ses paroles d'un baiser

-Et moi je ne laisserais plus jamais rien nous séparer.(ndt :'manquerè plu que ça !)

Ils se plongèrent dans un moment complice, ne faisant que s'embrasser et se murmurer des je t'aime

-Heu Sev ? Demanda Harry après un certain temps

-Hum ?

-Où sont passés tous tes objets ?

(ndt ; verifie le marché au puce demain mdr)

« « « « « « « « « « « « « « « « FIN » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » »

Nooooonnnn ! Pourquoi ?

Ce n'est pas juste ! Je vous le dis moi !

Mon bébé il a grandit si vite, le voilà qui quitte déjà la maison !

En tout cas, voici ma plus longue fic, celle que vous avez le plus aimée ; et qui devait au début ne contenir que dix chapitres.

Merci à tous ceux qui m'ont suivi jusque là.

A ma maman qui heureusement n'a pas fouiner dans mes affaires, à ma connaissance en tout cas…

Et puis heu, vous trouvez pas qu'Harry est une vraie madeleine dans cette fic ?

Je sais pas pour vous mais, on dirait une vraie fille, lol

Laissez moi plein de review ok ! c'est un ordre pas une demande !lol

Vous me retrouverez normalement la semaine prochaine pour une nouvelle fic, UA drarry, et deux semaines après une autre Harry /Fred/Georges

Donc je les ferais en alternance, comme les grands quoi, lol, maintenant j'espère que je pourais géré !

Gros bisous a tous

Je vous aime