Narrateur extérieur à l'histoire :
A Poudlard :
Après avoir fini son discourt, Hermione était vite partie. Faire face au regard des autres ne l'intéressé pas vraiment…
Depuis que la majeures partie des élèves de 6 et 7ème années était partit l'ambiance de Poudlard s'était attristée. Personne ne savait où les jeunes hommes étaient allés. C'était secret.
(pensée Harry)
En direction de Dunkerque dans le Nord Pas-De-Calais :
Un jeune homme assit parmi tant d'autre dans un wagon de train était en train d'écrire quelques mots dans un petit livre. Peut-être un journal. Peut-être autre chose…
« En nous en allant de Poudlard, Mr Becker nous a donné quelques informations. Nous irons sur un champ de bataille en Allemagne. L'armée Allemande étant en difficulté nous devions aller les aider. C'était peine perdu avait dit un général compatissant. Je ne pense pas pouvoir revenir et je ne crois pas que beaucoup de personne reviendront. Nous allons sûrement mourir. Mais je n'ai pas peur. »
NarrateurLes 6ème et 7ème années de Poudlard qui se font appeler maintenant « Les aller simple » ou encore « la troupe des désespérés » et autres étaient arrivés à Dunkerque vers les 15h. Personne ne leur avait encore donné d'information sur la bataille qui aurait lieu en Allemagne.
La seule qu'ils savait, c'était qu'ils avançaient. Vers où ? Là n'était pas la question. Ils avançaient c'est tout. Vers la mort, vers la guerre, vers les autres, vers la fin.
Après avoir passé Dunkerque le wagon s'en était allé vers la Belgique. Ils s'étaient arrêtés à Furnes pour se reposer, ainsi qu'à Gand, Malives, Hasselt et à Liège pour se reposer et déjeuner dans la dernière ville. Mais toutes ses villes n'avaient aucune importance. Ils ne les voyaient pas. Ils étaient enfermés dans leur wagon. Une vingtaine de personnes par wagon. Seul le noir était présent dans les wagon. Aucune trace de lumière. Aucune trace de vie. Seulement une petit bougie avait trôné quelques temps dans le wagon du survivant. Il en avait profité pour écrire dans son petit carnet. Ecrire quelques mots. Seulement. Une petite trace de vie dans ce wagon. Mais son action avait très vite été interrompu par un garde qui avait ouvert la porte pour leur annoncer qu'ils étaient en Allemagne, à Cologne plus précisément. Quand le garde avait vu la bougie il l'avait prise, sans raison apparente. Leur du jeune homme, du survivant, n'avait pas pu être achevée.
Quelques heures plus tard le train était arrivé à Francfort où ils avaient passé une nuit. A tenter de dormir dans un si petit wagon qui ne pouvait supporter autant de personne pour une nuit.
Le matin le train était repartit. En direction de Cobourg. Là bas, on les avait fait descendre et emmener dans une salle se trouvant dans une école de la région maintenant déserté à cause de la guerre incessante qui était dans le pays. Mais l'Allemagne n'était pas le seul pays à devoir faire face à leurs ennemies.
Après les avoir guidés dans la salle de classe, les gardes les avaient fait asseoir. Mr Becker était alors apparu. Il était en tenu de guerre moldi. Il commença alors un discourt :
« Messieurs, tout à l'heure vous allez faire votre première bataille. Vous n'avez pas été entraîné, oui, je vous l'accorde. C'est pour ça que vous irez sur le champ de bataille à pied. Ca vous fera un entraînement et puis le bataille le continura. Ce combat se déroulera à Suhl. Une ville qui est dans la région de Thuringe à l'est du fleuve Weser tout près de sa source et à l'ouest de la forêt du Thuringe. C'est une forêt très grande. Ne vous laissez pas entraîner dedans. »
Il s'arrêta quelques secondes. Les laissant dans leurs pensées. Toutes ses informations ne leur serviraient probablement à rien étant donné qu'ils ne connaissaient rien aux armes ni à autres choses de la guerre moldu pour la plupart d'ailleurs. Il les sortit de leur rêverie et continua :
« Comme je vous disais tout à l'heure vous irez à pied. Je vous conseil de courir, comme ça vous arriverez avant l'ennemie et vous aurez des avantages. La ville est à 25 kilomètres d'ici. La bataille se fera sûrement en centre ville. Faites attention aux civils. Le camp ennemi se fera une joie de tuer toutes personnes se mettant en travers de leur chemin. Que se soit des enfants ou des adultes. Inutile de vous rappeler que tout déserteur sera exécuté sur le champ. »
Deux heures plus tard :
(pensée Harry)
On n'a couru pendant longtemps. Nous sommes arrivé à 11 heures du matin à Suhl. Nous avons commencé par mettre les civils à l'abris, les avertissent du danger. Pas tout le monde a pu être prévenu bien sûr. Le temps nous a manqué.
Vers 12h30, nous avons commencé à entendre des cris et des bombardements. Il y avait aussi le son des mitraillettes qui fusé de part et d'autre. J'étais au fond de la rue quand j'ai vu à l'opposé, des soldats, mes amis, mes compagnons, tomber, touchés par des balles. Je ne voyais qu'eux. Les ennemis étant caché par le mur vu qu'ils étaient dans la rue en face des jeunes, mort au combat.
Nous nous sommes alors tous précipité dans des immeubles maintenant abandonnés par les habitants qui s'étaient réfugiés dans les catacombes qui datées des deux guerres mondiales précédentes.
Il ne voyait que sang. Il était entouré de personnes mortes, de ses amis aussi. Leur corps maculé de sang lui donnait envie de vomir. Harry était dégoûté.
La bataille prenait une tournure plutôt menaçante. Beaucoup trop de personnes tombées. D'un seul mouvement. Mort.
La vie n'était plus d'actualité. L'espoir de toute une vie…
Alors que tous espoirs semblaient perdus pour les jeunes guerriers, vers 13h45 il n'en n'était plus pareil. Une grande armée s'approcha. Plusieurs personnes se dirigèrent vers eux. Parmi cela. Le survivant. Il s'approcha et leur dit :
« Qui êtes vous ? »
Son arme levée. Près à se battre, à mourir. Pour la vie de toutes ses personnes, pour la vie, pour sa vie…à elle, pour elle.
Cependant, l'armée ne riposta pas, au contraire. Le général qui était à sa tête leva son arme en l'air en hurlant :
« Nous sommes l'armé de renfort ! »
L'espoir regagna les cœurs.
Sept heures plus tard à Cobourg :
Un jeune homme seul à un table écrivait une lettre.
Il n'avait pas revu son meilleur ami depuis quelques temps déjà, il avait peur mais il n'en laissait rien paraître. De plus, à ce moment là, même pas une bombe atomique faisant des dégâts tel qu'à Hiroshima n'aurait plus l'enlevait de sa rêverie.
Ce jeune homme était seulement amoureux…
A Poudlard au même moment :
Depuis son discourt, Hermione tentait de se faire le plus discrète possible. Ce qui n'était pas une masse à faire. La plus part des personnes se retournaient quand Hermione passait devant eux. Et les serpentard ne s'empêchaient pas de lui lancer des remarques qui la faisaient immédiatement passer sous une teinte rouge.
Il était maintenant 20h45, Hermione se dirigea vers la grande salle. Il ne servait à rien de mourir de faim à cause du regard des autres ou même de la guerre qui se faisait beaucoup plus remarquer maintenant qu'elle était totalement déclaré. Au monde entier.
Alors qu'elle mangeait, Hermione releva la tête et vit comme toutes les personnes présentes à ce moment là dans la grande salle une chouette blanche fendre l'air à toute allure pour venir se poser devant elle. Ce n'était pas l'heure du courrier. Mais ce courrier là était très spécial.
C'était une lettre d'Harry.
Elle avait reconnu toute de suite son écriture. Elle l'a pris. La chouette resta devant elle la regardant de ces grands yeux jaunes. Tout le monde avait le regard sur Hermione. C'était la première à recevoir une lettre d'un des « désespérés ». Ils savaient que c'était Harry Potter. Sa chouette était unique.
Elle enleva lentement le cache de l'enveloppe. Et elle commença sa lecture…
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Fini ! Vous voulez me tuer ? Bah pourquoi ? lol ! J'espère que vous avez aimé même si ce chapitre est assez différent des autres. Vous préféraient lui ou les autres ? Et sûr le style d'écriture ? Lequel est le mieux. Celui de ce chapitre ou des autres ? Merci d'avance !
