Disclaimer : On est vraiment obligé de le dire à chaque fois ? De toute façon, ils appartiennent à personne alors c'est pas la peine de se torturer pour rien. Bref, les personnages de Gundam Wing ne m'appartiennent pas et le personnage de James Bond appartient à Ian Flemming tandis que les autres personnages faisant partie du monde de James Bond, je sais pas à qui ils appartiennent mais je peux vous dire qu'ils ne sont pas à moi non plus.
Titre : Demain ne sera pas
Auteur : Ephemeris
Résumé : Duo Maxwell, l'agent secret 007 se voit confier la mission de mettre la main sur un dangereux criminel qui a la fâcheuse manie de semer des explosions.
Couples : 1x2, 2xR (ah ah, je rigole, vous allez comprendre)
Genre : James Bond, donc je dirais que c'est de l'action (ce que je vais essayer de rendre) et de la romance avec James Bond le bourreau des coeurs...
Rating : On va dire T, je me protège. Les films de James Bond classés dans la catégorie Action, je crois que c'est la meilleure chose à mettre.
Warnings : AU, Yaoi. Je me suis basée sur le concept des films de James Bond. Ce sont les même personnages mais incarnés par les personnages de Gundam Wing. Sans vous dévoiler la distribution dès le début, je laisse les connaisseurs découvrir par eux même à qui j'ai subtilisé les G-Boys et Cie.
Chapitre 5
Hôtel Atlante, Rome, 7h00
Duo venait juste de quitter l'hôtel pour repartir là où il était attendu. Bien sûr, il n'avait rien dit de sa destination à Heero qui était resté avec lui le temps qu'il ramasse ses affaires. Même si le jeune terroriste lui avait accordé la plus grande confiance, chose qui ne lui était pas arrivé depuis des années, il avait un très mauvais pressentiment au sujet de ce départ précipité et ne souhaitait qu'une chose ; qu'il revienne au plus vite.
Il sortit de la chambre qu'habitait Duo pour se rendre dans la sienne. À peine venait-il de refermer la porte que le téléphone sonna et qu'il alla décrocher.
« Bonjour Monsieur Yuy, » dit la voix dans le combiné. « Je suis très heureux du rapport que vous m'avez remis hier soir. Vous avez fait du bon travail, comme toujours. »
C'était Zechs dont le discours était déguisé au cas où la ligne soit sous écoute, et ce que ce code voulait dire, c'était que l'explosion qui avait été prévue avait eu le résultat escompté et que son patron était très content de Heero qui avait, encore une fois, fait aller ses jouets préférés avec grande maîtrise.
« Je vous envoie ma secrétaire pour qu'elle vous explique en quoi consistera le prochain rapport que je dois vous confier. Dorothy sera là dans la matinée. Bonne journée. »
Et il raccrocha. Dorothy allait donc arriver pour lui confier une nouvelle mission. Ça tombait bien, Heero sentait un grand besoin de se confier à quelqu'un et sa meilleure amie pourrait l'aider dans ses interrogations et ainsi lui éclaircir l'esprit. Mais pour exprimer ce qu'il ressentait, il fallait tout d'abord qu'il sache ce qu'étaient toutes ces émotions qui se bousculaient dans sa tête et il devait arriver à déchiffrer les messages contradictoires qu'elles se hurlaient d'un côté à l'autre de son crâne.
Mais après cinq minutes de réflexions sur ce qu'il ressentait, il décida de laisser tomber de peur de devenir complètement fou. Et par chance, Dorothy arriva peu de temps après. Heero reçut d'abord un coup de téléphone de la réception, annonçant une jeune fille qui désirait monter. Il permit l'accès à sa chambre et elle se retrouva devant sa porte en quelques minutes. Elle n'eut pas besoin de frapper à la porte ou de s'annoncer car Heero, qui avait senti sa présence dès qu'elle fut arrivée à l'étage de sa chambre, lui ouvrit la porte tout de suite.
En se retrouvant face à face, Dorothy le trouva changé depuis leur dernier tête-à-tête, comme s'il s'était passé quelque événement tournant, ayant fait basculer sa vie entière. C'était la première fois également qu'il lui semblait heureux. Cette métamorphose la déconcerta et, pour cacher son trouble, elle tenta la plaisanterie.
« Alors comme ça, on s'envoie en l'air ? »
Une rougeur intense s'empara du visage de Heero qui se détourna pour cacher la honte qu'il ressentait à l'idée d'être découvert. D'un coup, il n'avait plus envie de parler de toute cette histoire. Dorothy, qui espérait simplement une réprimande de la part de son meilleur ami pour discours anti-mission s'en retrouva sans voix. Depuis quand parler de sexe en présence de Heero le rendait mal à l'aise ? Il n'avait quand même pas… mais non.
« Attends, je rigolais. Je te savais pas si puritain. »
« Ça n'a rien à voir, » répondit Heero, faisant toujours dos à la jeune fille. « Et ça n'a rien de drôle. »
C'était vraiment ça, Heero était devenu un homme et sans même lui en avoir parlé avant. Mais d'un autre côté, elle le considérait comme son petit frère ; un petit frère, c'est asexué, non ? Elle eut besoin du soutien du mur le plus proche pour ne pas tomber. Cette idée lui paraissait si étrange, surtout venant de Heero, qu'elle ne trouvait rien à dire. Mais comme elle était curieuse de nature, elle posa quand même la question qui lui brûlait les lèvres.
« Avec qui ? »
Heero se retourna brusquement, franchement agacé par l'attitude de son amie.
« On est vraiment obligé de parler de ça ? »
Déjà qu'il ne comprenait pas les sentiments qui l'avaient envahi et qu'il n'était pas très heureux du départ de Duo, il ne voulait pas s'étendre sur le sujet et étaler sa vie au grand jour. Mais Dorothy était très tenace et voulait savoir.
« Comment elle s'appelle ? »
« Qui ? » lui répondit Heero qui ne semblait pas comprendre ce qu'elle lui demandait.
« Celle qui t'a volé ton innocence. »
À ces mots, Heero ouvrit des yeux effarés. D'abord, personne ne lui avait volé son innocence étant donné qu'il l'avait perdu depuis bien longtemps, et le elle était en fait un lui. Il se rendit alors compte de l'énormité de la chose et se sentit encore plus honteux. Comment allait-elle réagir, sa meilleur amie, en apprenant que celui qu'elle croyait immunisé à toute sociabilité, soit tombé amoureux d'un garçon. Parce que oui, il aimait Duo du plus profond de son être. Mais comme elle avait toujours été là pour lui et qu'il savait ses secrets en sécurité dans son oreille, il lui dit tout simplement :
« Il s'appelle Duo. »
Dorothy le regarda, incrédule. Déjà qu'elle ne s'attendait pas à ce qu'il lui réponde, il lui donnait le nom de la fille qui se trouvait à être un garçon. Mais ce nom lui disait quelque chose.
« Attends, tu dis Duo ? C'est pas le gars qui a fait explosé la base de Vienne ? »
« Si. »
« Mais Heero, tu te rends compte que tu as couché avec l'ennemi ? Et tu l'aimes ? »
« Oui. »
« Oh non, je sens que ça va se finir en drame cette histoire. Tout ce que tu sais de lui c'est qu'il fait le même genre de travail que nous mais on ne connaît pas ses vraies intentions, et toi tu le laisses te sauter dessus. »
« En fait, c'est plutôt le contraire… »
« Chut ! Je n'ai pas besoin de détail. Mais je voudrais comprendre ce qui t'a poussé à faire une bêtise pareille, ça ne te ressemble pas de te compromettre comme ça. Et il ne faut surtout pas que son Excellence apprenne ce qui s'est passé, tu pourrais avoir des problèmes et- »
« Arrête de parler de ça ! Je t'en ai parlé parce que j'ai confiance en toi, mais ce n'était qu'à titre indicatif. Alors, si tu veux bien, parle-moi de ma prochaine mission. »
« Bon, d'accord. Alors, pour commencer, son Excellence tient à te féliciter pour ton travail parfait, comme d'habitude. Les trois bombes ont explosé exactement en même temps et ça a provoqué le résultat escompté. Maintenant, la dernière phase du plan va s'enclencher et nous croyions avoir été repérés par des agents secrets anglais dont un se trouverait dans cet hôtel. Ta mission est de le trouver et de récolter le plus d'informations sur lui et sur son agence pour arriver à les coincer ou à les empêcher de nous coincer. »
« Simple. De quoi a-t-il l'air ? »
« Aucune idée, ce sera à toi d'enquêter auprès des clients. Ça ne devrait pas être trop difficile pour toi, tu es le meilleur. Je dois repartir, mais je te contacterais dans les prochains jours. »
Et elle sortit, laissant Heero de nouveau seul dans sa chambre d'hôtel. Ce dernier se vêtit d'un costume noir et descendit pour commencer son inspection. Il avait un agent secret à dépister.
MI 6, 10h15
Dans le laboratoire de l'agence, Trowa, Quatre et Wufei épluchaient les dossiers et passaient en revue toutes les données. Le patron était toujours aussi furieux du manque de fiabilité de l'agent 007 et ruminait de sombres paroles dont personne n'aurait voulu en être l'inspiration. Quatre se battait avec les bandes vidéo des caméras de surveillance des deux bâtiments qui avaient explosés à Berlin et à Tokyo, regardant deux écrans à la fois, reculant, avançant, appuyant sur pause, quand il appela les autres et leur pointa quelqu'un sur les deux écrans qui étaient devant lui.
« Vous voyez cet homme, et celui-là. Je crois que c'est le même. »
Trowa se pencha pour mieux voir et distingua un homme brun aux cheveux en bataille qui semblait être plutôt bien bâti et qui fouillait dans un sac. Les deux silhouettes se ressemblaient trop et les circonstances étaient trop étranges pour ce que cette ressemblance ne soit qu'une coïncidence. Quatre se dirigea ensuite vers un ordinateur et commença à faire une recherche dans les fichiers de l'agence pour voir s'ils n'avaient pas déjà eu affaire à lui.
Il ne trouva aucun fichier sur lui, mais, dans le dossier d'un autre criminel, il trouva des photos de la dernière réception à laquelle il avait assisté. En arrière plan, on voyait l'homme qui figurait sur les bandes vidéo. Wufei s'approcha à son tour et reconnut l'endroit de la réception comme étant l'Hôtel Atlante, là où il avait envoyé Duo. Il en conclut que le poseur de bombes avait dû se rendre à Rome après être passé par Berlin et Tokyo et qu'il devait s'y trouver encore.
Wufei se jeta sur le téléphone et composa le numéro de l'Hôtel Atlante. Dès qu'il eut quelqu'un au bout du fil, il demanda le nom des clients qui avaient quitté l'hôtel depuis la veille. La réceptionniste, après avoir consulté son livre de réservation, répondit que seul Monsieur Maxwell était parti le matin même en laissant la consigne de ne pas toucher à sa suite car il allait revenir. Ce renseignement permit au patron de s'assurer que le poseur de bombes se trouvait toujours dans l'hôtel et que son agent l'avait quitté.
« Bien, il ne nous reste plus qu'à attendre 007. »
Duo débarqua dans le bureau de Hilde, mais il regretta tout de suite ce geste qu'il avait commis sans précaution. Une sangsue se jeta sur lui en hurlant.
« Duo, vous êtes de retour ! Vous m'avez tellement manqué. Je vous interdis de partir sans moi à présent. Votre absence a été un vrai calvaire. »
« Relena, tu veux bien me lâcher. »
Mais elle ne lâchait pas. Duo lança un regard désespéré à Hilde qui se retenait de ne pas éclater de rire. Déjà qu'il allait se taper la plus grande engueulade de sa vie, il n'avait même pas le temps d'arriver qu'il se faisait attaquer par le pot de colle géant.
« Dites-moi Duo, vous préférez le diable en colère ou le pot de colle amoureux ? » lui dit Hilde calmement.
« Définitivement, le diable en colère. Au moins, je sais pourquoi je me fais engueuler, mais ça, » il regarda Relena, toujours pendu à son bras et qui le regardait en souriant bêtement. « Je n'ai pas mérité ça. »
Mais Hilde restait assise sur sa chaise, le regardant essayer de se défaire de l'emprise de la jeune fille sans rien faire pour l'aider. Duo en eut assez.
« J'ai un secret à raconter. Si tu m'en défais, je te le dis. »
Au simple mot de secret, elle s'était déjà levée et parlait à Relena pour qu'elle s'en aille. Elle savait employer les bons mots pour la faire partir. Il faut avouer que depuis que Relena était entrée dans l'agence, elle travaillait souvent avec Hilde et que celle-ci avait eu tout le temps de comprendre le fonctionnement de cet être étrange qu'était Relena. Elle savait donc exactement quoi dire pour se débarrasser d'elle à tout moment. Même Wufei appelait sa secrétaire à l'aide quand il n'arrivait pas à s'en débarrasser. Une fois le monstre dehors du bureau, Hilde se rassit sur sa chaise et fixa Duo dans les yeux, l'encourageant à dévoiler son secret. Il s'assit à son tour sur le bureau et lâcha comme une bombe. »
« Je suis amoureux. »
D'abord, elle resta silencieuse sans qu'un trait de son visage ne change, comme si elle analysait ce qu'elle venait d'entendre. Ensuite, elle fronça les sourcils et dit, sur un ton de reproche :
« Pourquoi tu me racontes n'importe quoi ? Je n'aime pas qu'on me mente, surtout pour utiliser mes compétences. »
« Mais je ne te mens pas, je suis vraiment amoureux. »
« Ah oui ? Alors comment elle s'appelle ? »
« Elle s'appelle… oh pardon, l'habitude, il s'appelle Heero. »
Hilde ne crut pas plus cette phrase qu'elle n'avait cru la première, mais après observation minutieuse du visage en face d'elle et de l'expression qu'il affichait, ses doutes sur la véracité de ses propos s'estompèrent. Ce n'était pas une expression de séducteur qu'il affichait, non, son visage rayonnait de bonheur et ses yeux pétillaient de joie. Elle ne l'avait jamais vu dans un tel état et se rendit compte qu'il était vraiment amoureux. C'est à cet instant que le il ressurgit de la phrase de Duo.
« Il ? Tu veux dire que c'est un homme ? »
« Ouais, et alors ? Ça te dérange ? »
« Non, pas du tout, j'ai juste un peu de mal à m'imaginer Duo Maxwell, le tombeur de ces dames, avec un homme. »
Duo allait répliquer quand la porte du bureau s'ouvrit et que Trowa apparut. Dans sa promenade, Relena était allée au laboratoire et avait exprimé sa joie d'avoir vu Duo dans le bureau de Hilde et Wufei avait envoyé Trowa chercher « cet imbécile qui ne pense qu'à s'amuser au lieu de travailler ». A la vue du regard perplexe de Duo, le scientifique dit :
« Relena t'a dénoncé. »
« Saleté ! » s'écria Duo. « Pas moyen d'avoir la paix dans cette agence ! »
Trowa l'attrapa par le bras et le fit sortir de la pièce. Duo suivit docilement, sachant sa position délicate et se rendant bien compte que la récréation était finie. Au tournant d'un couloir, il se fit plaquer contre le mur par Trowa qui le regarda droit dans les yeux pour y déceler le moindre mensonge de sa part. Duo comprit très vite ce que voulait savoir le scientifique et répondit à son interrogation muette tout de suite.
« Ce n'était pas une femme, je t'assure. »
« Qu'est-ce qui t'a déconcentré alors, si tu n'as pas couché ? »
« Attends, j'ai jamais dis que je n'avais pas couché, je n'ai pas couché avec une femme, nuance. »
Trowa semblait très contrarié, il n'était pas fier de lui, s'étant fait avoir par l'enfant qu'était Duo.
« Disons que ce n'était pas le but de la manœuvre. »
« Mais tu n'avais donné aucune instruction pour ce qui est des hommes. Et en fait, je n'y avais pas du tout pensé et je commençais à paniquer avec toutes ces femmes autour de moi qui me voulaient, et je l'ai vu. »
« Bon ça va, je ne veux pas de détail. Suis-moi. »
Vraiment un enfant.Trowa lâcha Duo et l'entraîna à sa suite. L'agent secret fut soulagé, mais la pression se rabattit sur lui à la pensée qu'il allait devoir affronter un poisson beaucoup plus gros : Wufei !
Il entra dans le laboratoire pas rassuré du tout. Il regarda Quatre qui lui fit un petit sourire de compassion et ne s'en sentit pas mieux. Quand Wufei le vit, il se leva, tentant de se contenir du mieux qu'il le pouvait.
« Bon retour au pays, 007. Vous vous doutez sans doute que je ne suis pas du tout content de votre attitude- »
« Comment elle s'appelle ? » murmura Quatre à Duo, coupant par la même occasion la parole à Wufei.
« C'est pas une fille. »
« Comment, c'est pas une fille, » s'écria l'informateur. « C'est un garçon ? »
« Ça suffit vous deux ! » hurla Wufei. « Je disais, 007, que je n'ai aucune raison d'être clément à votre égard, mais, selon ce que nous avons découvert, même si vous aviez pu empêcher l'explosion qui a eu lieu à Rome, vous n'auriez pas pu empêcher les deux autres. »
« Quoi, il y a eu deux autres explosions ? »
« Oui, une à Berlin et une à Tokyo. Nous travaillons en ce moment sur les intentions de ces terroristes, mais nous connaissons l'endroit où se trouve le poseur de bombe. Il s'agit du même qui est à l'origine de la destruction des bases militaires que nous avons déjà traitée. Votre mission est de retrouver ce terroriste qui est à Rome dans le même hôtel que vous et que vous l'éliminiez. »
En disant ceci, il passa à Duo la photo qu'ils avaient trouvée quelques heures plus tôt. Un visage y était encerclé et Duo reconnut sans difficulté le visage de Heero.
A suivre…
Note de l'auteur : Relena's return ! Non, je sais, je suis cruelle, mais ça me démangeait. Et pensez qu'elle se rend plus ridicule à chaque apparition et ça, j'aime ça. Sinon, je sais que je vais me faire taper sur les doigts pour avoir fini mon chapitre comme ça, mais il faut mettre du suspense dans la vie… Ça va, rangez vos matraques, je m'excuse. Le prochain chapitre devrait être explosif, pleins de surprises vous attendent.
Réponses aux reviews
Black Mirror : Je suis super heureuse que tu aimes cette histoire parce que moi, je tripe full à l'écrire. C'est mon bébé ! Et puis qu'est-ce que tu veux, la pomme a bien mûri et est rendue une grande fille (au sens figuré, je sais bien) et arrive à faire des bonnes choses selon les enseignements de son maître corbeau. Donc merci de m'encourager et merci pour ton review. En passant, mon esprit commence à cogiter et j'ai peut-être des idées pour le réveil de Heero… On s'en reparlera. Ciao.
Yuya chan : Je suis très contente que la scène du perturbé t'ait plu parce que j'y pensais depuis très longtemps et je suis finalement arrivée au moment idéal pour la mettre. Je crois que c'est la meilleure scène que j'ai écrite de toute ma carrière et j'en suis très fière. Pour ce qui est des confrontations entre Heero et Duo, une autre est prévue pour bientôt, au prochain chapitre ou bien celui qui suivra, ça dépendra de ce qui sortira en écrivant. Encore merci de me suivre si fidèlement et à bientôt.
Naia : Merci beaucoup pour ton review, ça m'a fait super plaisir. Je suis ravie de voir que mon histoire te plaît, c'est génial. J'espère que la suite aura été digne de tes attentes. A la prochaine.
Crystal d'Avalon : Effectivement, Duo n'a aucune idée de ce que je lui réserve et il en voir de toutes les couleurs. Je sais que je le martyrise, mais je l'aime. Bref, merci pour ton petit mot et merci de me lire, j'apprécie beaucoup. A plus.
Shima-chan : Heureuse de te revoir ! Et heureuse que cette histoire te plaise. Et je suis d'accord avec toi que le truc du martini est complètement débile, mais James Bond dit ça dans tous les films, il fallait que je le mette aussi, question d'authenticité… Il est certain qu'ils nous cachent chacun des choses, mais ça, c'est la touche d'authenticité de Gundam Wing. Fallait mettre les deux ! Et surtout, ne t'inquiète pas, je n'oublie pas Liberté, Égalité, Fraternité, mais nous sommes très occupé en ce moment et nous n'avons pas eu le temps de nous réunir pour en parler et pour mettre les choses au point. Mais elle n'est pas en suspend, elle mijote dans nos tête… Encore merci et à bientôt j'espère.
Babou : Je suis très contente que cette histoire te plaise. Il est certain que la relation de Heero et Duo est plutôt délicate à cause de leur métier respectif, mais tu vas voir, j'ai un petit plan diabolique en tête qui va casser la baraque. Pour Relena, je l'écris comme je la perçois, c'est-à-dire comme une courge et Wufei m'a toujours paru infect. D'ailleurs, j'adore cette expression et je suis très d'accord avec. Et si tu aimes les confrontations, il y en a une autre qui devrait arriver dans le prochain chapitre ou le suivant dépendamment de comment l'inspiration vient. Encore merci et à bientôt j'espère.
Heiji : Pardon pour Quatre et Trowa, pardon, pardon… Mais dans mon autre, ils sont ensemble, ça compense non ? Bon, j'arrête de dire n'importe quoi et au lieu, je te remercie grandement de ton soutien moral côté vie et côté fanfics. Très heureuse que je perturbé t'ait plu, en fait, il a fait fureur, c'est la joie ! Et je suis d'accord avec toi qu'il ne faut pas laisser Relena lâchée en pleine nature et envoyer Heero pour la tuer. Non, je rigole, mais tu m'as donné une idée… Allez à bientôt.
-Ephemeris-
