Disclaimer : On est vraiment obligé de le dire à chaque fois ? De toute façon, ils appartiennent à personne alors c'est pas la peine de se torturer pour rien. Bref, les personnages de Gundam Wing ne m'appartiennent pas et le personnage de James Bond appartient à Ian Flemming tandis que les autres personnages faisant partie du monde de James Bond, je sais pas à qui ils appartiennent mais je peux vous dire qu'ils ne sont pas à moi non plus.

Titre : Demain ne sera pas

Auteur : Ephemeris

Résumé : Duo Maxwell, l'agent secret 007 se voit confier la mission de mettre la main sur un dangereux criminel qui a la fâcheuse manie de semer des explosions.

Couples : 1x2, 2xR (ah ah, je rigole, vous allez comprendre)

Genre : James Bond, donc je dirais que c'est de l'action (ce que je vais essayer de rendre) et de la romance avec James Bond le bourreau des coeurs...

Rating : On va dire T, je me protège. Les films de James Bond classés dans la catégorie Action, je crois que c'est la meilleure chose à mettre.

Warnings : AU, Yaoi. Je me suis basée sur le concept des films de James Bond. Ce sont les même personnages mais incarnés par les personnages de Gundam Wing. Sans vous dévoiler la distribution dès le début, je laisse les connaisseurs découvrir par eux-mêmes à qui j'ai subtilisé les G-Boys et Cie.

Chapitre 11

MI 6, 21h

L'assemblée qui se constituait de trois personnes resta bouche bée en entendant ces paroles qui leur semblaient tout à fait absurdes.

« Comment ça, c'était Duo ? » demanda Wufei qui commençait à perdre le peu de patience qui lui restait. « Ça ne peut pas être Duo, vous vous trompez forcément. »

L'homme assis en face de lui eut un petit sourire sarcastique.

« Un homme brun avec un sourire collé au visage et une longue tresse dans le dos, oui, c'est vrai que ça court les rues. Je dois m'être trompé, vous avez raison chef, » répondit l'agent sur un ton ironique.

Wufei, pour toute réponse, le fusilla du regard. Là, il exagérait. En laissant partir Duo avec cet homme, il voulait simplement le libérer pour lui permettre de vivre comme il l'entendait son histoire d'amour sans avoir le problème de devoir le tuer. Mais de là à s'acoquiner avec ses idées de destruction et d'y participer activement, il n'en était absolument pas question.

« Chef, ça va ? » demanda Quatre qui ne percevait pas comme un bon signe les poings serrés de son patrons dont les jointures prenaient une couleur blanchâtre.

« Mais comment veux-tu qu'il aille, hein ? » s'exclama Hilde qui était dans tous ses états. « Tu te rends compte que Duo, notre Duo, et qui plus est le meilleur agent secret qu'on ait jamais eu à l'agence, est passé de l'autre côté et qu'il a failli faire explosé un de ses meilleurs amis ! »

Ces paroles n'arrangèrent pas l'état de Wufei, bien au contraire. Il se retourna brusquement et sortit de son bureau, claquant la porte si fort que ses subordonnés en restèrent choqués un bon moment avant de réagir. Ce fut Quatre qui, le premier, revint à la réalité.

« Il faut vraiment faire quelque chose. On ne peut pas laisser Duo faire n'importe quoi comme ça. Mais on n'arrive pas à trouver quoi que ce soit sur lui ou sur ce terroriste qui est devenu son nouvel ami. »

« Ben, on sait qu'ils sont en Russie, » dit Hilde tout en observant les blessures de l'agent 005. « As-tu une idée de l'endroit où ils pourraient se cacher ? » lui demanda-t-elle.

« Je tiens à préciser que si j'étais à l'aéroport prêt à revenir ici, c'est parce que je n'avais rien trouvé en Russie et que j'en étais venu à la conclusion que Duo ne se trouvait pas là-bas. Tu comprendras donc que je n'ai aucune idée de l'endroit où il se trouve, étant persuadé qu'il n'était même pas dans ce pays. »

Hilde le regarda, stupéfaire.

« Tu croyais que Duo n'était pas en Russie ? Mais t'es bien nul comme agent secret ! »

« Hilde, je t'en prie ! » s'exclama Quatre, ne trouvant pas cette remarque appropriée.

La jeune fille fit une moue désappointée, mais ne dit rien de plus. Toute cette histoire la dépassait. Duo, celui qu'elle aimait tant, était devenu un fou dangereux alors qu'eux le cherchaient partout, inquiets au maximum pour lui.

« En tout cas, il doit se cacher dans la région de Moscou. Il ne vient sans doute pas de l'autre bout de la Russie pour faire exploser l'aéroport de la capitale, » dit Trowa qui venait d'entrer dans le bureau et qui était déjà au courant de l'affaire.

D'un coup d'œil, Hilde, Trowa et Quatre s'entendirent pour se remettre au travail, ayant de nouvelles données pour leurs recherches. L'agent 005, son état ne lui permettant pas d'aider ses collègues, retourna chez lui en prévision de faire une longue sieste.

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Sibérie, Russie, 21h45

Près d'une cheminée qui répandait une douce chaleur, Heero observait les flammes avec un grand intérêt. Le feu avait un grand pouvoir sur lui, il l'hypnotisait et lui inspirait un profond respect. Il vivait une vraie histoire d'amour avec le feu, une histoire dangereuse autant pour lui que pour ceux qui osaient s'y frotter.

Dorothy, à quelques mètres de lui, connaissait parfaitement bien ce côté de l'esprit de son ami et était là justement pour contenir tout le désir que Heero ressentait pour cet élément. L'arrivée de Duo dans leur vie avait changé quelque peu la vision que Heero avait du feu, mais l'envie était toujours présente, elle le serait toujours.

Duo avait été presque une bénédiction pour ces deux jeunes gens qui aspiraient à de si grandes choses. Malgré l'animosité que Dorothy avait témoignée à Duo dans les débuts de leur cohabitation, elle n'aurait pu dire sans mentir qu'elle s'était beaucoup attachée à lui et qu'elle le considérait comme un ami, presque au même titre que Heero.

Heero, lui, avait beaucoup changé intérieurement depuis l'arrivée de Duo. Il n'en laissait rien paraître, évidemment, mais de grands changements s'étaient opéré en lui, mis à part son désir de destruction qui était toujours aussi fort. Il l'aimait, elle en était sûre, mais ce n'était pas assez pour faire dévier le jeune homme de ses objectifs. Mais Duo leur apportait un grand bien-être par sa joie et son enthousiasme qui leur réchauffaient le cœur dans ce pays si froid.

Autant Heero que Dorothy furent sortis de leurs pensées qui se rejoignaient par un claquement de porte qui retentit dans tout le manoir. Ils se tournèrent vers l'entrée et virent apparaître Duo, couvert de neige, qui venait de rentrer de sa mission. Il n'avait pas l'air d'aller très bien. Il lança un regard à Heero que le destinataire ne comprit pas, puis il continua son chemin, montant les escaliers menant à sa chambre.

Pas un mot, pas un signe, pas un sourire. Duo n'allait sans doute pas bien et Heero ne savait pas comment réagir. Il regarda Dorothy, cherchant en elle la réponse qu'il attendait. La jeune fille lui fit signe qu'elle s'en chargeait, croyant comprendre ce qui se passait dans la tête de Duo et trouvant préférable de s'en charger elle-même.

Dorothy gravit les marches avec une appréhension de ce qui allait suivre. Avait-elle vu juste dans le comportement de Duo, se pouvait-il que la situation dans laquelle s'était embarqué le jeune homme ne ressemblait pas à ce qu'il s'était imaginé au moment de changer de voie ? Mais que pensait-il vraiment ? Comment voyait-il la chose ?

Elle arriva enfin à la porte close de la chambre que Duo partageait avec Heero. Dorothy frappa deux petits coups, mais elle ne reçut aucune réponse. Elle appela Duo, mais il ne répondit toujours pas. Alors, elle tourna la poignée et la porte s'ouvrit, dévoilant le jeune homme assis sur le lit, les yeux agars, les genoux ramenés sous son menton, tel un enfant.

Dorothy s'approcha de lui et vint s'asseoir à ses côtés, posant une de ses mains sur l'épaule du garçon. Celui-ci se retourna vers elle, le regard confus. Elle interrogea ce regard, mais n'y vit qu'un profond désespoir dont la source lui était encore inconnue.

« Qu'est-ce qu'il y a ? » demanda-t-elle.

Duo ouvrit la bouche pour répondre, mais aucun son n'en sortit, comme s'il n'arrivait pas à exprimer sa pensée. Après plusieurs tentatives, il réussit à articuler :

« C'est trop dur, je craque. »

De l'autre côté de la porte que Dorothy avait laissée entrouverte, Heero écoutait la conversation qui avait lieu dans la chambre, n'ayant pu se retenir de rester dans le salon, sachant que quelque chose d'important était en train de se dérouler à l'étage. Il arriva donc à ce moment de la conversation et écouta avec attention tout ce qui sortait de la bouche de son amant.

« Je… je fais de mon mieux pour tenir le coup, pour ne pas penser à ma vie passée, mais c'est tellement difficile. Je n'ai pas la volonté et le courage de Heero. Je fais tout ce que je peux pour le soutenir, mais ce n'est pas mon combat. Sans arrêt, je repense à mon ancienne vie et ça me fait mal. »

Il s'arrêta un instant, reprenant son souffle et remettant de l'ordre dans le fil de ses pensées pour que son discours ait un sens. Il reprit, cette fois-ci avec des sanglots dans la voix.

« À Moscou, j'ai vu… j'ai reconnu un de mes anciens amis du MI 6, mais il était trop tard. La bombe était enclenchée et je n'ai pas pu lui faire signe de sortir. Je ne sais même pas s'il est toujours en vie… »

Il tenta de se reprendre et ravala ses larmes avant de continuer.

« Je sais que je ne devrais pas avoir ce genre de pensées pour quelqu'un qui est contre moi, même s'il a déjà été de mon côté et que c'est moi qui ai choisi cette situation. Je sais aussi que je devrais, au contraire, souhaiter qu'il ne s'en soit pas sorti, simplement pour la sécurité de notre plan, mais je ne peux m'y résoudre. Le fait est que ce mec est important pour moi et que je me sens comme si je l'avais trahi. Mais cette pensée me fait trahir Heero en même temps. »

Dorothy écoutait ce que lui disait le jeune homme, se rendant compte que la situation était pire que ce qu'elle avait imaginé. Mais elle ne l'interrompait pas, le laissant se vider le cœur.

« Heero, lui, il veut tout détruire, il dit que demain ne sera pas… Demain ne sera pas… C'est un peu son mantra. Mais si moi j'ai envie que demain soit, si j'ai envie d'avoir un avenir… »

Il s'arrêta encore une fois, ne pouvant empêcher une larme de couler sur sa joue. C'en fut assez pour Heero qui s'éloigna de la porte et qui redescendit au salon avec la douleur qu'il ressentait à cet instant. Il n'entendit donc pas la fin de la phrase de Duo que ce dernier prononça dans un faible murmure.

« Si moi, j'ai envie d'avoir un avenir avec lui, avec Heero… »

Dorothy le fixa dans les yeux, son regard passant à travers celui du jeune homme.

« Que veux-tu faire ? Nous quitter ? »

« Je ne sais pas. »

Il avait un regard tellement désespéré qu'elle sentit qu'il allait peut-être faire une bêtise. Elle se revit alors lorsqu'elle avait rencontré Heero, plusieurs années auparavant. À cette époque, elle était à la recherche de sensations fortes, de nouveauté. En s'acoquinant avec Heero, elle n'avait aucune idée dans quoi elle s'embarquait, mais lorsqu'il lui avait expliqué ce qu'il projetait de faire et pourquoi il voulait le faire, elle avait pris conscience de bien des choses et avait décidé de le suivre, de l'aider à exécuter son plan.

Lorsqu'elle avait rencontré Zechs, il lui sembla que sa vision des choses, moins extrême que celle de Heero, lui convenait plus. Ayant vu un grand rapprochement entre les deux hommes, elle avait songé que le plan de Heero aurait un peu changé, mais non. La période Zechs n'avait été qu'un interlude, le temps de bien placer les pions sur l'échiquier.

« Écoute Duo, » finit-elle par dire. « Je comprends très bien ce qui se passe dans ta tête parce que je suis passée par là moi aussi. Tu crois que je suis entrée dans le plan de Heero parce que je partageais ses opinions ? Pas du tout. Et je ne pourrais pas te dire comment ça se fait que je suis encore là. Ça a été très dur pour moi de me faire à l'idée que j'allais aider à provoquer la mort de toute la population terrestre et la mienne du même coup. Mais j'ai compris pourquoi Heero désirait cette fin même si je n'étais pas d'accord. Quand on a rencontré Zechs, j'ai cru qu'il changerait, mais non. Je me suis fait de faux espoirs sur lesquels je me suis reposée pendant longtemps pour les voir s'effondrer avec la mort de Zechs. Ça m'a fait mal, mais je suis toujours là… »

Duo la fixait de son regard violet, captivé par le discours de la jeune fille qu'il trouvait si beau de fidélité tout en débordant de contradiction. Si elle n'était pas d'accord avec le dénouement de cette affaire, pourquoi faisait-elle tout pour la mener à terme ? Dorothy comprit l'interrogation que se posait Duo et y répondit sans qu'il eut à ouvrir la bouche.

« Je sais que c'est ce qu'il y a de mieux à faire. J'ai une telle confiance en Heero que je ne peux pas croire que ses pensées fondamentales puissent être erronées. »

À ces mots, les larmes roulèrent librement sur les joues de Duo.

« Mais moi, je n'ai pas cette confiance qui me dit qu'il a raison et que j'ai tort. J'ai l'impression que la confiance que j'ai en lui n'est pas assez forte pour me convaincre que c'est moi qui ai tort. »

Dorothy hocha la tête et se leva. Elle se dirigea vers la porte, mais avant de la franchir, elle se retourna vers Duo une dernière fois.

« Si tu crois que tu as fait une erreur, explique-lui. Je ne sais pas s'il comprendra, mais il préférerait sans doute que tu sois honnête avec lui plutôt que de le faire douter de toi par ton comportement étrange. »

Et elle sortit, laissant Duo à ses réflexions tourmentées. Il devait réfléchir, trouver toutes les possibilités qui se présentaient à lui. Premièrement, la plus simple, tout dire à Heero et partir, espérant qu'il ne veuille pas le tuer de rage. Ensuite, il pouvait essayer de le convaincre de renoncer à son plan en lui démontrant que demain devait être pour leur amour, parce que l'amour était quelque chose de beau dans ce monde où la guerre et la violence avaient pris beaucoup de place. Il avait aussi la possibilité de chercher un compromis sur la fin en question ; peut-être pas tout détruire, seulement une partie. Ou bien, il pouvait faire comme si de rien n'était et tenter par tous les moyens de l'arrêter au dernier moment…

Et soudain une illumination éclaira son esprit. Voilà, il avait trouvé ce qu'il devait faire. Ça lui semblait si simple finalement et il s'en voulut de ne pas avoir compris plus tôt. Presque heureux, il se leva à son tour et sortit de sa chambre. Il alla retrouver Heero dans le salon qui avait repris sa place à côté de la cheminée, toujours en train de regarder le feu amoureusement.

Cette passion qu'avait Heero faisait un peu peur à Duo, mais il l'aimait tant qu'il l'oubliait et la faisait oublier à Heero du mieux qu'il le pouvait. Appuyé nonchalamment au mur, un sourire aux lèvres, il dit sur un ton amusé :

« Si tu continues à regarder ton feu avec autant d'amour, je vais finir par être jaloux. »

Heero, qui avait entendu le jeune homme approcher, se retourna, pas le moins du monde surpris par cette apparition. Il observa quelques secondes le visage de Duo, cherchant la moindre trace de contrariété, mais il ne trouva qu'un visage joyeux, comme lorsqu'il l'avait rencontré, dans cette base en Autriche. Il se leva et vint enlacer le jeune homme tendrement, sans prononcer un mot. Duo lui rendit son étreinte, heureux que Heero ne lui en veuille pas.

« Tu ne m'en veux pas ? »

« Pourquoi je t'en voudrais ? »

« Parce que j'ai un drôle de comportement. »

Pour toute réponse, Heero serra un peu plus Duo contre lui. Il savait qu'il ne le comprenait pas, que peut-être il ne pourrait pas compter sérieusement sur son aide, mais il l'aimait. Il savait qu'il l'aimait et qu'il était aimé en retour. Il voulait au moins profiter de ça avant la fin, sa fin.

Il se détacha de Duo et plongea dans ses yeux, toujours aussi fasciné par leur couleur. Il l'observa un instant avant de le prendre par la main et de l'entraîner vers la cheminée où ils s'arrêtèrent pour s'asseoir.

« Comment s'est passé ta mission ? » demanda Heero, son regard retourné aux flammes.

« Sans problème, il ne reste plus grand chose de l'aéroport de Moscou. Ta petite bombe a magnifiquement fait son travail. Tout est parti en fumée, tu aurais adoré. »

Heero le regarda, une lueur dans les yeux.

« Décris-moi. »

Et Duo partit dans une description détaillée de la scène dont il avait été témoin une fois sorti de l'aéroport pour ne pas exploser avec. Heero était complètement captivé et Duo adorait cette lueur dans les yeux de son amant, elle lui réchauffait le cœur, lui faisant oublier l'aura de destruction qui entourait Heero habituellement. À un instant, le jeune homme ferma les yeux pour mieux visualiser la scène que lui décrivait Duo et un petit sourire apparut sur son visage. Rien ne pouvait lui faire plus plaisir que ce sourire sur le visage de Heero et il lui sembla qu'en fin de compte, la fin du monde pourrait arriver dans la seconde que ça ne l'aurait pas dérangé plus que ça.

À la fin de son récit, Heero ouvrit les yeux et les fixa sur Duo, lui témoignant une grande reconnaissance. Duo lui fit un grand sourire qui fit douter Heero de ce qu'il avait cru déceler chez le jeune homme en face de lui, mais il repoussa ses pensées, bien décidé à ne rien faire qui laisserait penser que les choses avaient changé dans son plan et son exécution. Il cherchait quelque chose à dire pour engager la conversation, ne sachant pas trop quel sujet aborder, mais Duo fut plus rapide que lui et demanda, son sourire toujours affiché sur son visage :

« Alors, quelle est la prochaine étape du plan ? »

Heero eut un petit sourire qui inquiéta un peu Duo qui ne s'attendait pas à voir une telle expression sur le visage de Heero. Essayant de ne pas montrer ce qu'il ressentait, Duo ne broncha pas lorsque le jeune homme en face de lui dit :

« La prochaine étape sera la dernière. »

A suivre…

Note de l'auteur : Bon, vous voyez, j'ai fait un effort cette fois-ci, j'ai pas mis deux mois pour écrire un chapitre. Faut dire que comme j'ai une semaine de vacances, j'en profite pour écrire et me mettre un peu à jour dans mes histoires. Je crois que je vais écrire mes chapitres à l'avance au cas où, une fois mes vacances terminées, je n'aie plus le temps d'écrire. Mais on verra ce que l'avenir nous réservera. En attendant, j'espère que ce nouveau chapitre vous a plu et que l'histoire vous intéresse toujours autant.

-Ephemeris-