Auteur : Saaeliel.
Titre : Juste une illusion. (nom de la musique que j'écoute à l'instant)
Genre : Lettre, texte, parole, je ne sais pas vraiment. Est-ce que ce message parvient au destinataire ? Sachez juste que cette fanfiction traite de relations HOMOSEXUELS sous-entendus et très atténuées entre Harry Potter et Draco Malfoy. Que dire d'autre… ce n'est qu'un message que je souhaite faire parvenir à une personne très importante à mon cœur. Oh, et ceci peut aussi être vu comme un simple POV (point de vue).
Rating : PG-13 pour le slash.
Avertissement : Je crois que vous êtes au courant maintenant ? SlashHomosexualitéYaoi. Et oui, je trouve ça beau deux hommes qui s'aiment ! Non, je ne suis pas malade mentale. Ou pas parce que je tolère l'homosexualité.
A peine une sensation
Et bien voilà.
Je suis revenu sur mes pas, j'ai fais demi-tour. Tu sais, j'ai vraiment espéré te revoir.
Je pensais que tu serais là.
Vraiment.
Parce
que, je voyais les larmes dans tes yeux. Parce que je voyais ta
douleur, inexplicable.
Oui, je sais tout cela. Oui, moi même
je ne comprends pas ni comment ni pourquoi.
Mais, je le savais.
Je savais que tu n'allais pas bien. Et je n'ai pas su comment réagir.
Comme toujours, n'est-ce pas ? C'est ce que j'ai fais bien sur. Comme toujours.
Parce
que j'espérai que te rétablir dans une situation…
dans un contexte connu t'aiderait. Piques, répliques,
arsenic, poison. Punition.
Mais je me suis trompé. C'est
peut-être moi le problème alors ? Et je ne savais
pas. Et je ne sais toujours pas. Alors tu sais, je te cherche. Un peu
partout. Même là où tu ne risque pas
d'apparaître. Je te cherche simplement car avec un peu de
chance, je te trouverai.
De la chance…
Tu dis en manquer. Tu sais ? Depuis quelque temps, on dirait que tu as beaucoup perdu. De ton innocence aussi. De ton innocence qui te faisait tant de mal et te protégeait en même temps.
Alors, que t'arrive-t-il ? Je te le demanderai bien en face. Mais je suis lâche. Mais je suis las. De chercher mes réponses, de prononcer mes répliques. De te pleurer silencieusement. Toi et toi seul.
Parce que je te cherche. Parce que parfois je te trouve. Parce que ce soir je ne te vois pas au détour des couloirs de Poudlard.
Tu sais, si tu me demandais de changer nos routines, de quitter, de blesser, de mourir, je le ferai. Je le ferai. Promis.
Mais, tu ne me le demandes pas. Crois-tu que je ne voudrai pas ? Cela m'étonnerait. Tu me connais tout de même.
Tu sais, ma mère m'a parlé de toi. Tu sais, elle te connaît. Elle sait ce que je pense de toi. Et elle voudrait ta mort. Peut-être. Elle est très forte pour cacher ses émotions. Je ne sais pas à qui elle les confie. Severus peut-être ? Oui, ce professeur que tu hais tant.
Mais
voilà. Ma mère te connaît. Elle m'écoute
parler de toi. Inlassablement. Parce que je parle toujours de toi.
Parce que c'est toi. C'est ta beauté. C'est l'amour
que je te porte. Que je te porte à toi et seulement toi.
Mais
tu ne le sais pas.
Mais tu ne le devine pas.
Mais tu ne le
comprends pas.
Vois ce « juste toi ». Vois
le. Il est là. Juste là. Dans mon cœur, dans le tien,
dans notre âme.
Peut-être dans nos rencontres, sans que tu le saches ? peut-être.
Tu sais, nous sommes juste humains. Nous cherchons.
Les
réponses.
L'amour pour toi.
La liberté.
La connaissance.
Le meilleur balais rire.
Nous sommes justes humains.
Alors, peux-tu m'accorder le pardon ?
Non,
laisse moi reformuler.
Peux-tu m'accorder ton pardon ?
Juste le tien. Parce que je le désir plus que tout. Parce que même si je n'ai pas compris, je crois que j'en ai besoin…
Si pour quelques raisons que ce soit tu demandes le mien, si tu me demandes quelque chose, sache que me le prononcer suffirait à l'obtenir.
Alors, pardonne moi.
Pardonne moi.
Pardonne moi de vouloir t'enlacer, t'embrasser.
Happy end.
Mais de qui est ce point de vue entre Draco et Harry ? Oh ! Mais quel mystère intense, n'est-ce pas Nikita (mon ordinateur)
Nikita : mais arrête d'écrire ce genre de choses !
Hum… bon, quel mystère !
Cette fanfiction, je viens juste de l'écrire. Comme ça. Sur un coup de tête. Pour une personne qui se reconnaîtra peut-être. Pour une personne qui m'en voudra peut-être de la comparer à une gryffondor (comment ? si j'ai donné la réponse à la question ? … navrée).
Mais avec de la chance, elle m'accordera son pardon, ma plus belle rédemption.
