Auteur : bon, j'avoue tout. L'auteur, … c'est moi !

Titre : je ne sais plus. Il n'y en a peut-être pas. Regardez plus bas si j'en trouve un dans le feeling ou pas.

Genre : Pour changer, Yaoi ( Homosexualité, slash ou tout ce que vous voulez signifiant qu'il y aura du contact « trop » rapproché (tout est relatif…) entre DEUX hommes donc des personnes appartenant au même sexe.), pseudo-humour.

Rating : PG-13 parce qu'il y a présence d'homosexualité.

ATTENTION : Cette fic blablabla, histoire HOMOSEXUELLE, blablabla, DEUX HOMMES QUI S'AIMENT, blablabla…

Malade imaginaire.

"Potter?

Oui Malfoy, je suis là.

Je... je voulais te dire que...

Chut Malfoy, économise tes forces! Chut! Calme toi s'il te plait.

Potter-non. Harry, il faut absolument que je te le dise.

Malfoy...

Appel moi Draco. »

Nous officialisons une coupure pour vous décrire la scène dans son ensemble et de façon assez vague.

Draco Malfoy le seul et l'unique repose dans un lit de l'infirmerie et adresse actuellement un sourire made in colgate (désolée pour la marque) à un Harry Potter (dernier du nom il faut bien l'avouer) mort d'inquiétude, les yeux brouillés par la présence de larmes, les lèvres resserrées dans une moue d'une tristesse accablante.

Nous tenions à vous préciser que pour les besoin de la fanfiction, l'infirmerie est vide. C'est plus pratique pour nos souhaits. Quand à Madame Pomfresh, elle est partie prendre des potions, des ustensiles de dissection, des berlingots, que sais-je ? Retenez simplement que l'infirmerie est vide.

Et pour ceux qui se demandent d'où provient la musique, et bien… le Titanic a coulé, les musiciens aussi et ils se trouvent dans la chambre d'à côté à jouer inlassablement et depuis des lustres (c'est le cas de le dire) leurs morceaux.

« Draco... ne dis pas ça. Ce n'est pas la fin. Ce n'est pas TA fin!

Ah, ... je voulais tant que tu m'appelles par mon prénom..

Draco... Non Draco! Ne meurs pas! Qui pourra m'emmerder si ce n'est pas toi?

Harry, ... s'il te... plait...

gloup Oui?

S'il te.. plait. Laisse moi... t'embrasser...

Malf- Draco mode étoiles dans les yeux avec un regard dégoulinant d'amour dans lequel on peut lire "Oh oui Draco, prends moi sur ton lit alors que tu es agonisant, dis moi que tu m'aimes, moi je t'aime, moi je suis à toi, je ne t'oublierai jamais, je mouillerai encore mes draps pour toi" car effectivement, il est possible de lire tout ça dans un seul regard »

Draco Malfoy, plus pâle que d'habitude (autrement dis, il est passé du vampire légèrement en manque à la blanche colombe asthmatique morte) attira le visage de son bien aimé (c'est nouveau ça) vers lui (bin oui. pas contre le mur!). Déjà, les fabuleux yeux verts qu'il avait la capacité de lire comme un livre ouvert (voir plus haut) se fermaient. Et leurs souffles enfin unis...

Et ça y est. Leurs lèvres se frôlent. Se touchent. La pâleur de la peau de Draco Malfoy contre le teint halé (naturel et sans UV) d'Harry Potter, les cheveux bruns et indisciplinés de l'un, la blondeur et la coiffure organisée de l'autre, regardez ce baser!

C'est tout un symbole, toute une symbiose!

Le Ying et le Yang, Dieu et Satan, le soleil et la lune, l'ange et le démon, la pureté et la luxure, les lunettes et 10/10 aux deux yeux, la chance et la poisse, le sexe et l'innocence, la techno et la musique classique, le chocolat poulain 1848 et le Galak (encore désolée pour les marques), le bien et le mal, le-

"Monsieur Malfoy, je vous ai déjà dis milles fois qu'on ne mourrait pas de l'appendicite! Et grâce à la magie, vous n'en conserverai aucune-... trace?

Un long silence lui répondit. Pesant. Le genre à couper au couteau. Mais un seul regard vers Celui qui survécu, ressurvécu, rere, rerere, rererere, rerererere, rererererere survécu, et tua, et la lame de votre couteau fondait.

"Ma- MALFOY!

C'est mon nom mon coeur mode angélique pas réussis du tout quand on ressemble à un pigeon asthmatique craché sur le sol?

Si tu ne t'expliqu-

Harry Potter, quoiqu'il arrive durant cette opération ,quoiqu'il se passe, ne m'oublis pas. Car je t'aim-"

clack

Draco regarda la porte qui venais de clac-quer brusquement pour réaliser qu'Harry n'était plus dans l'infirmerie et qu'en conséquence, il pouvait ranger la bague qu'il venait de dégainer plus vite que son sex- sa baguette! Il ne lui restait plus qu'à survivre à la terrible et dangereuse épreuve qui l'attendait.

Il devait épouser Harry Potter et donc le contraindre à l'abstinence s'il prenait l'envie à son beau brun de le quitter.

Ah, c'est pas beau l'amour ?

Happy End !

Je me trouve sans humour (le premier qui dit que c'est vrai, je le torture. Et croyez moi, j'ai de l'imagination), d'une fadaise incontestable (voir la parenthèse précédente), d'un pathétisme toujours renouvelé (voir la parenthèse précédente qui vous renvoie à la parenthèse précédente), … bon, vous me flattez oui ou non ?