Un grand merci pour les reviews ! C'est fou ce que ça fait plaisir ! J'espère que l'histoire plait aussi à ceux qui ne laissent pas de reviews, c'est tout le mal que je vous souhaite.
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Chapitre 7 : sous scellés
- Je ne savais pas qu'une sang-de-bourbe pouvait être à égalité avec un Malefoy.
Jamais Draco ne s'était senti aussi insulté. Il ne pouvait pas laisser passer cette offense à sa personne et à son rang.
- Chère miss Granger, mais qui te dit que tu es bien une sang-de-bourbe ? Si ça se trouve ta mère s'est payée du bon temps avec un sorcier. Ça expliquerait bien des choses.
- Je t'interdis de dire ça sale fouine ! Comment oses-tu ? Tu me dégoûtes ! Ne redis jamais ça !
- Ou peut-être qu'elle s'est fait violer par un mangemort qui lui a ensuite jeté un sort d'oubliette…
- La ferme !
J'en connais quelques uns qui ont un goût très prononcé pour votre race…
- FERME-LA !
Tremblante de rage Hermione pointa sa baguette contre la gorge de Draco.
- Un mot de plus… et je t'efface de la surface du monde.
Draco déglutissait difficilement. Hermione avait un regard de dément. Cette fois-ci il y était vraiment allé fort et avait dépassé les limites, il s'en rendait compte. D'habitude l'un du trio calmait le jeu mais c'était impossible ici. Il tenta le tout pour le tout.
- Granger tu comptes me « gommer » ?
- Gommer ?
Les yeux de Hermione étincelèrent. Elle sauta de joie toujours baguette en main.
- Mais bien sûr Malefoy tu es un génie ! Enfin non, je suis un génie !
Pourquoi n'y avait-elle pas pensé plus tôt ? Après tout elle n'était plus en première année, elle connaissait bien plus de sorts à présent. Gommer… Dessiner…
Elle déchira une des bandes de tissus qui recouvrait son corps. Plusieurs gnomes observaient la scène à distance.
- Transforma in Parchemin.
Le morceau de tissu devint un morceau de parchemin. Puis elle prit sa baguette, fit apparaître une plume pour faire un dessin.
- Voilà ! Dit Hermione.
Draco observa son chef d'œuvre.
- C'est quoi cette horreur ? Un auto-portrait ?
- Un balai Malefoy ! Un balai de course.
- Ooooooh ! Ingénieux… observa Cristal ; tu es la première personne à utiliser cette méthode.
Les petites joues de la griffondor s'empourprèrent de joie. Elle visa le parchemin :
- Creatorum nocti.
Le balai dessiné se matérialisa. Il était à peine digne d'une Comète mais ferait l'affaire.
Des dizaines de gnomes accoururent vers eux et ils eurent à peine le temps de monter sur le balai et de décoller, Draco devant, Hermione à l'arrière.
A présent à 15 mètres du sol ils ne distinguaient plus les minuscules créatures et c'était tant mieux.
- C'est dommage que tu n'y ais pas pensé AVANT, ça nous aurait fait gagner du temps et des vies. fit remarquer toujours aussi sarcastiquement Draco.
- Au moins j'ai fait quelque chose ! riposta-t-elle.
Draco se mit à faire des pirouettes dans les airs. Cheveux au vent, il était dans son élément. Cependant il fut surpris de ne pas voir une Hermione effrayée comme il se l'imaginait.
- Je croyais que tu avais peur de voler.
- C'était le cas jusqu'à l'année dernière quand j'ai été obligée de voler sur un Sombral que je ne voyais pas. Je crois que j'ai eu suffisamment peur pour toute une vie.
Draco fut quelque peu déçu, il avait espéré qu'elle se collerait à lui sous la peur. Il se mit en route vers le château.
Splouf.
A peine s'étaient-ils mis en route qu'une enclume était tombée de nulle part ; seuls les réflexes de Quidditch de Draco les avaient sauvés. Ils avaient maintenant l'impression d'être dans un jeu de Touché-Coulé où ils étaient la cible. Leurs virages étaient de plus en plus serrés et Cristal s'accrochait au bout du balai.
- Dépêche-toi Malefoy ! Ce sortilège ne marche pas longtemps ! Le balai va redevenir une feuille !
Ils voyaient à présent nettement la grille d'entrée du château et sa grande porte. Draco rasa le sol et fonça vers la porte. Arrivés au-dessus de la grille ils sentirent un courant glacé les submerger et le sortilège prit fin. Ils s'écrasèrent au sol, roulant sur le gravier.
Les gnomes ne pouvaient franchir la grille.
Après s'être relevés, dépoussiérés et guéris divers éraflures ils se postèrent devant la grande porte.
- Nous y voici, souffla Draco.
- Snif snif, couina Cristal. Je ne peux pas rentrer dans le château. C'est à vous qu'il incombe la suite de cette aventure ; sauvez Liliane, il le faut. Trouvez les cachots. Ooooh vous allez me manquer ! Gémit-t-elle. Bonne chance ! Sniiiif.
- Merci beaucoup Cristal, dit Hermione, embarrassée. Tu nous as… pas trop mal aidés.
Draco se contenta de souffler de mépris. Cette espèce de libellule était une vraie peste, il n'était pas peu content de s'en débarrasser.
- C'est si gentil Hermione ! Merci, merci, merci ! Ce que vous allez me manquer.. Je m'ennuie tellement ici toute seule… N'hésitez pas à revenir ! Et à faire jouer vos amis !
- Ouais c'est ça, on reviendra avec des tas d'amis…
Et on te fera ta fête. Attends un peu que je sois rentré à Poudlard… pensa très fort Draco.
La petite boule lumineuse s'envola dans les cieux, le soleil se couchant elle se confondait peu à peu avec les étoiles.
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Hermione testa un nombre incalculable de formules anti-pièges sur la grande porte. Pendant ce temps le serpentard la raillait et la priait d'ouvrir cet amas de bois.
- Bon maintenant ça suffit ! cria-t-il. Je préfère encore perdre une seconde vie que de continuer à t'entendre baragouiner sur cette fichue porte !
- Mais…
Draco fonça devant, mit sa main sur la poignée, prit une profonde inspiration et l'ouvrit… Rien. Aucun piège.
- Je te l'avais bien dit. sourit Draco en entrant dans le château.
Une grande salle s'élevait devant eux, ovale et en marbre. Mais ce détail était sans aucune importance car dès que Hermione eut à son tour franchi la porte, celle-ci se referma sur eux et dans un nuage de fumée à l'autre bout de la salle apparût un gigantesque dragon.
- Aucun commentaire. marmonna Draco les yeux écarquillés.
Le dragon avait quelque chose de familier.. Il était tout blanc, avec une longue barbe blanche, des écailles brillantes et des lunettes ! C'était Dumbledore façon dragon ! Cela aurait fait sourire Hermione si seulement ce dragon ne leur barrait pas le chemin.
Le dragon blanc enfonça sa main dans un tonneau à coté de lui et en sortit des Fizwizbiz qu'il dévora goulûment. Après ce repas sucré il prit la peine de regarder les deux élèves.
- Bonsoir jeunes gens. Je peux vous aider ?
Draco était pétrifié.
- Eh bien, se décida Hermione. Oui. Nous aimerions rentrer dans le château. Pouvons-nous… s'il vous plait ?
Le dragon les observa plus attentivement, le regard perçant. Ce regard si dérangeant que prenait parfois Dumbledore.
- Oui. Peut-être.
Ouiiiiiii.
-Mais avant cela.. reprit-il.
Nooooon.
- Il vous faut passer une petite épreuve.
Il leur indiqua de sa grosse patte une table sur leur droite sur laquelle étaient disposés divers ingrédients.
- Il vous faut trouver ce que l'on obtient lorsque l'on réunit tous ces ingrédients. Lorsque vous aurez la réponse venez me la dire. Mais si vous vous trompez, vous perdrez une vie. Tous les deux.
Bon, ne paniquons pas. Après tout je suis la meilleure élève en potion, peut-être pas en note mais en connaissance.. se dit Hermione.
Draco aussi était rassuré, les potions étaient son cours préféré.
La table contenait de la bave de crapaud, du huilin, de la colchique, une poudre blanche qu'ils n'arrivèrent à identifier et du sucre.
Durant près de 2 heures chacun se renvoya un nom de potion dont les ingrédients correspondaient mais toujours au moins un des ingrédients ne correspondait pas ou l'un manquait. De plus, en ignorant ce qu'était la poudre blanche… Ah la galère !
- C'est pas vrai ! J'en ai ras-le-bol !
- Patience petit Dragon. se moqua Hermione
- La patience n'est pas ce qui caractérise le mieux les serpentards. Ni les griffondors d'ailleurs !.. Et il va arrêter de se gaver de bonbecs ce lézard !
Ça le rendait malade. Ils ne leur restaient que deux vies, ils ne pouvaient pas se permettre de les gaspiller. Qu'est-ce que pouvait bien être cette fichue potion… Mais après tout pourquoi une potion…
- Mais oui… murmura-t-il.
Il courut vers Dumbledore.
Mais c'est pas vrai ! Qu'est-ce qu'il fait cet idiot ! hurla le fort intérieur de Hermione. Elle se précipita sur lui pour le faire taire. Trop tard.
- Fizwizbiz. dit le serpentard au dragon.
- Mais qu'est-ce qui te prend Malefoy, tu es fou !
- Bravo jeune homme. Ce sont en effet les ingrédients pour fabriquer ces délicieux bonbons.
La jeune femme en resta coi. Elle pensa un instant à se suicider devant sa stupidité puis se ravisa en se disant que c'était l'énigme en elle-même qui était ridicule.
Dumbledore disparut en fumée laissant visible une porte qui conduisait au grand hall. Ils étaient enfin en terrain connu.
Draco guidait Hermione vers les cachots. L'ambiance du château la nuit était bien différente, ils avançaient à pas de loup tout en tendant l'oreille. Alors qu'il avançait, Draco crut entendre quelque chose, il s'arrêta pour mieux entendre, Hermione se cogna alors dans le Serpentard.
- Aïe ! Qu'est-ce que tu fais ? grommela-t-elle.
- Chut.
- Ne me dis pas ch…
- Méou.
Draco coutumier des sorties nocturnes eut le temps de se cacher derrière une statue mais Hermione, trop habituée à la cape d'invisibilité de Harry, manquait de réflexe. Le chat aux lunettes imprimées s'approcha de la jeune fille puis se transforma en la directrice de Griffondor le professeur Mc Gonagall. Celle-ci lui réserva son regard le plus sévère, ses lèvres pincées s'ouvrir pour maudire la jeune fille :
- Miss Granger ! Je dois dire que je n'ai JAMAIS et je dis bien JAMAIS été aussi déçue par l'une de mes élèves ! Vous êtes la honte de votre maison ! Moi qui vous aimais comme ma propre fille… Croyez-moi vous ne recommencerez pas, et pour m'en assurer je vous le dis : vous êtes ren-voy-ée !
Renvoyée. Le long couloir qui lui faisait face tournoya, sa pire peur était arrivée. Avant de s'évanouir elle n'entendit plus son cœur qui de battre s'était arrêté.
Mc Gonagall la laissa pour morte et s'en alla courir la souris ailleurs. Lorsqu'elle fut hors de vue Draco sortit de sa cachette et s'assit à côté de Hermione : elle était blanche comme un linge et les yeux grand ouverts, s'il n'avait pas vu la scène il aurait cru qu'on lui avait jeté le sort impardonnable. A cet instant Hermione sortit de son corps en ange et reprit contenance humaine comme la dernière fois. Cette fois-ci elle n'avait pas vu sur le serpentard un visage effrayé mais au contraire amusé.
- Par Merlin, Granger, tu es pathétique. Tu es morte de peur, au sens littéral du terme.
- C'était un vrai cauchemar… trembla-t-elle. Elle m'a renvoyée… Moi, renvoyée...
Hermione mit quelques minutes à se remettre du choc et elle remercia au fond d'elle Draco de ne pas plus se moquer d'elle, surtout qu'il ne lui restait qu'une vie à laquelle elle tenait.
L'atmosphère devenait électrique, on ressentait la nuit, la peur, le désespoir, électriser la chair. Hermione se demanda comment les lieux pouvaient être aussi chargés d'émotions. A présent ils n'étaient plus loin de la salle commune des serpentards où ils pensaient trouver Todd et Liliane. Soudain des feulements devant eux les alertèrent du danger, Miss Teigne n'allait pas tarder à arriver accompagnée de Rusard. Draco agrippa le bras de Hermione et la conduisit à la porte la plus proche d'eux. Il la referma juste à temps. Apparemment Miss Teigne n'avait rien remarqué.
Draco commençait à vraiment détester les chats !
Ils restèrent plusieurs secondes les oreilles dressées à guetter le moindre bruit. Finalement Draco se décida à ouvrir la porte, comme avait déjà été dit précédemment la patience n'était pas son fort.
Arg..
- Mais qu'est-ce que.. Elle ne s'ouvre plus ! Gémit Draco.
- Arrête Malefoy ! Ce n'est pas drôle !
- Mais je t'en prie Granger, à toi l'honneur. dit–il en lui cédant la place devant la porte.
Hermione dut bien avouer qu'il avait raison, ils étaient enfermés. Elle tenta le sort Alohomora en vain et d'autres sorts qu'elle avait appris mais en vain. Elle regrettait le couteau de Sirius.
Coincés ils observèrent leur cachot. C'était une sorte de placard à balais mais un peu plus grand. Il faisait environ 2 mètres sur 3 et n'avait pas de fenêtres. A terre se trouvèrent deux malles cote à cote qu'ils ne réussirent pas non plus à ouvrir, ils soupçonnèrent qu'il s'agissait d'une quête annexe. Chacun s'assit sur une des malles et fouilla dans son esprit à la recherche d'une solution.
- Si seulement Cristal était encore là… souffla Hermione, elle aurait pu passer par le trou de la serrure…
- Et pour quoi faire ? siffla Draco. Cette luciole ne nous aurait pas aidés, pas plus que les autres fois.
Hermione souffla de nouveau l'air. Elle se sentait lasse. Son Poudlard lui manquait, ses amis lui manquaient, sa famille lui manquait, tout ce qui faisait sa vie. Elle avait l'impression d'être dans ce jeu depuis des semaines. Bizarrement elle se dit qu'elle était contente d'y être avec Malefoy. Toute seule cela aurait été intolérable.
Draco lui trépignait sur place. Ce mini cachot lui rappelait des souvenirs qu'il aurait aimé effacer de sa mémoire. Il frissonna au souvenir de son père et des cachots du manoir. Machinalement il se caressa l'épaule droite sentant ainsi la cicatrice que lui avait laissé son paternel lors d'une violente dispute. L'air devenait étouffant, il faisait chaud. Ce n'était pas une sensation habituelle, chez les serpentards il faisait toujours froid, c'était leur élément.
Cela ne faisait que quelques minutes qu'ils étaient là. Il était 19h13 mais c'était une information qu'ils ne pouvaient pas savoir.
Hermione commençait à avoir peur. Et si elle mourrait de faim ici. Elle mourrait sûrement plutôt de la main de Draco à rester enfermée là dans ce six mètres carré ! Cette pensée la rassura. Elle n'était pas seule.
Draco sortit sa baguette et fit apparaître deux verres d'eau, c'était un sort simple et bien utile.
La sensation de fraîcheur coulant dans leur gorge les détendit.
- Merci… murmura Hermione.
- Ne me remercie pas. dit-il d'une voix lasse.
- Tu crois que l'on va mourir ici ?
- Ne dis pas n'importe quoi ! Tu t'es tellement empiffrée de chocolat qu'avec un peu d'eau tu pourras bien tenir 3 jours ! rigola-t-il.
Hermione se joignit à son rire. Ça lui faisait du bien.
- Et puis quelqu'un va bien finir par s'apercevoir de notre absence. Tu es une amie du balafré, tu dois être un minimum surveillée. Après tout tu es une cible de choix pour le Seigneur des ténèbres.
- Oui, peut-être, murmura-t-elle.
Elle ne se sentait plus la force de penser à tout ça. Elle avait passé une longue journée. Sans s'en rendre compte elle laissa tomber sa tête contre l'épaule de Draco et s'enferma dans ses songes. Pourtant elle ne dormait pas. Draco souffla bruyamment puis comme résigné il colla sa tête contre la sienne. Cette scène aurait fait mourir de rire Hermione si on le lui avait dit 2 jours plus tôt, jamais elle n'aurait pensé cela possible. Elle lui caressa le bras et se souvint de la marque des ténèbres.
- Quand l'as-tu eu ?
- Quoi ? Demanda Draco sorti de ses rêveries.
- La marque.
- Ça… A mon anniversaire, le 11 novembre.
- Je note la date.
- Tu as peur de moi ? demanda-t-il. Il tremblait légèrement et il se maudit pour cela.
- Peur, non. Sa voix n'était qu'un murmure. Triste.
C'est incroyable comme un lieu aussi sordide pouvait faire parler de façon civilisée deux personnes si différentes. Mais le terrain était glissant, Draco ne voulait pas continuer cette discussion, il dévia de sujet.
- Tu vas où en vacances ?
- A Paris. Enfin normalement.
- T'inquiète, tu vas y aller.
- Mes parents me manquent… murmura-t-elle la voix neutre.
- T'en as de la chance. dit-il dans un soupir.
-Et toi tu vas où ?
- Au manoir histoire de changer.
- Tu sais quoi, si on sort d'ici vivants tu viens avec moi en France !
- Ça ne va pas ! Pour me coltiner ta moldue de famille ! Je ne joue pas au petit gendre gentil, très peu pour moi.
- Très bien, alors où veux-tu aller ?
Draco réfléchit, où souhaiterait-il aller ? Où souhaitait-il ne pas se trouver c'était facile, mais où aller…
- Je sais ! En Finlande !
- En Finlande ? S'étouffa Hermione. Mais pourquoi ?
- Déjà il fait froid, pas comme ici, il n'y a pas mille et uns musées à visiter où tu me trimballerais j'en suis sur, ils ont une super équipe de Quidditch…
Hermione grogna à ce mot.
- Et puis il y a des saunas… ajouta-t-il avec un sourire équivoque aux lèvres.
Il tourna sa tête vers le visage de Hermione, elle rougissait. Jamais il ne l'avait trouvé aussi belle que cette nuit. Une torche au coin de la pièce illuminait ses cheveux laissant briller de beaux reflets dorés, son visage semblait doux, il avait envie de le toucher…
Il caressa cette peau délicate et fut envahi d'un sentiment nouveau. Les lèvres de Hermione l'appelaient aussi sûrement que le chant des sirènes. Il approcha ses propres lèvres et…
- EMBRASSA LA GRIFFONDOR ! Oh non…
Non ! Il ne fallait pas lire à voix haute… non… Le livre commençait à s'éclairer et la lumière l'entourait.
- HARRY ! AU SECOURS !
ooOoo
A suivre.
GNIAK GNAIRK GNIARK.
