Disclamer: Aucun de ces personnages ne sont à moi. L'univers de Harry Potter provient de l'imagination de J.K. Rowling (même si je suis sûre que j'aurai pu faire tout aussi bien qu'elle… Elle m'a juste devancé, lol). L'inconnu de Las Vegas (Oceans Eleven de sa version original) provient de l'imagination Lewis Milestone, mais sans Steven Soderbergh, qui a fait le remake avec Georges Clooney, je n'aurai jamais cliqué sur ce film. Le seul personnage qui est tiré de mon imagination est Seina Pia Caldwell. L'intrigue est aussi de mon cru.
Auteur : L. Oceans
Titre : Harry Oceans
Chapitre 1 : Dans la vie du chat
Une sonnerie désagréable et insistante résonna dans un studio, au sous-sol d'un immeuble miteux et malfamé. À taton, une main chercha le bouton pour éteindre le vacarme. Une fois la mission accompli, il sortit sa tête de sous les draps et regarda son cadran pour voir l'heure. Il dû déplacer quelques vêtements qui bloquait l'affichage de l'heure, mais le jeune homme fini par voir qu'il était 6:15 du matin.
Le jeune homme grogna et retomba sur son oreiller. Il se retourna sur son matelas, mais le sommeil ne le rattrapa pas. C'était inutile d'insister, mais que voulez-vous, Harry était comme ça, il était obstiné, il voulait dormir, son corps le réclamait, mais son esprit était envahit par une foule de pensées, empêchant son cerveau de se reposer. Vaincu, il tira ses draps et se leva.
Malgré le fait que le soleil faisait état de sa présence depuis belle lurette, le une pièce de Harry était toujours sombre. Un imposant bloc d'appartement bloquait la lumière du soleil. Jour et nuit, il devait allumer des lampes, pour éclairer son logement.
Après s'être éclairé, Harry prépara machinalement son déjeuner et s'assit sur la chaise de métal branlante qu'il avait, et posa son assiette sur sa table usée, qui avait une patte plus courte que les trois autres. Le seul livre que Harry possédait se trouvait justement sous la courte patte de table.
D'un oeil désintéressé, il regarda son appartement. C'était une pièce qui contenait son salon, sa cuisine et sa chambre. La cuisine dans un coin, la chambre dans l'autre et le salon se trouvait dans la chambre. Le lit de Harry était un matelas, à même le sol, qui était aligné en face de la petite télévision qu'il possédait. Il s'était bricolé des étagères, qu'il avait posé au-dessus de son lit, et où trônait une radio, une lampe de chevet, divers babioles et un album de photo. Harry avait aussi une petite salle de bain modeste : lavabo avec un miroir, douche-bain et toilette.
Si on observait attentivement le logement, on verrait quelque chose d'assez étrange. Non, ce n'était pas le fait qu'Harry avait seulement deux assiettes, des ustensiles en plastiques, un seul et unique verre, mais six bols en aluminium. Non, ce n'est pas le fait que sa minuscule bibliothèque ne comportait que des revus et que son seul livre (un livre sur les chats) soit sous une patte de table. Ce n'est pas non plus le fait que l'un de ses carreaux de salle de bain cache un paquet de journaux bien étranges. Non, ce qui était vraiment étrange et contradictoire, c'était le fait que sa porte contenait au moins cinq systèmes de verrous, mais que sa seule et unique fenêtre était grande ouverte, tout le temps, 365 jours par année (366 les années bissextiles).
Si quelqu'un lui posait la question, il avait le droit à un regard sévère de la part de Harry, qui indiquait clairement à l'interrogateur de se mêler de ses affaires. Pour Harry, la réponse était personnelle et tout le monde l'ignore. Il faut dire que pour Harry, toutes les réponses le concernant sont personnelles.
Mais bon, pour en revenir à la fenêtre, la réponse est quand même simple, voir idiote ou mignonne, tout dépandant du point de vue. C'est que Harry a un amour inconditionnel pour les chats. Ça l'enrage de voir de pauvres et fragiles créatures vivre dans la rue. Chez lui, c'est comme un refuge pour tous les matous errants qui veulent un toit pour un nombre de temps indéfinie. Les chats vont et viennent comme bon leur semble et Harry a toujours de quoi les nourrir ou les abreuver.
Une fois, il a recueilli un chien errant, mais ce dernier est parti la nuit suivante et il n'est jamais revenu. Les chats, ce n'est pas pareil. Ils reviennent toujours au moins une fois et Harry les reconnaît toujours. Les plus réguliers ont le droit à un nom et les autres ont le surnoms affectueux de « grand », « petit » ou « vieux ».
Le plus régulier et celui qui n'est jamais parti de chez Harry depuis le jour où ce dernier l'a ramassé dans un caniveau, c'est Black Eye. Harry est tombé sous le charme de ce petit chat fétiche, maigrelet, sale, mais au regard fier et pétillant. Une fois propre on peut admirer son beau poils noir et blanc et ses grands yeux verts pâles, tirant sur le jaune. Harry l'a appelé Black Eye en raison de ses deux taches noires qu'il aborde sur ses yeux. Aussi car ce chat-là est aveugle. Du moins c'est ce que Harry croit et s'il n'est pas aveugle, il voit très mal. Black Eye s'oriente par le son et l'odeur, cependant, cela ne l'empêche pas d'être un chat enjoué, vif et cajoleur.
Justement, Harry sentit quelque chose se frotter contre sa jambe. Il sourit :
-Je sais Blackie, c'est l'heure de manger.
Harry se leva et rempli un de ses bols des restants de bacon qu'il avait mangé. Il n'avait plus de nourriture à chat et son frigo était vide.
-On va devoir faire l'épicerie mon vieux, fit remarquer Harry à son compagnon qui avalait goulûment son repas. Et je ferais bien d'y aller avant que la meute s'amène. Tu les fais patienter, hein?
Black Eye ne lui répondit pas, évidement. Pendant ce temps, Harry enfila un jogging noir, un t-shirt bleu marine et aplatit ses cheveux de sa main droite. Il attrapa son large blouson kaki et déverrouilla tous ses verrous et ouvrit la porte quand il tomba nez à nez avec son propriétaire.
-Monsieur Harry, c'est le jour du loyer, annonça le propriétaire en roulant ses « r » avec un fort accent qu'Harry n'arrivait pas à définir.
Harry soupira. Comme d'habitude, il n'avait pas un sou. L'homme à la peau malt le regarda d'un oeil mauvais et croisa ses bras, habitué aux excuses du jeune homme anglais.
-Monsieur Nagasakion, je n'ai pas d'argent maintenant, mais ce soir, vous aurez votre loyer, promis, jura Harry.
-Ainsi que le loyer du mois passé et de l'autre mois suivant, laissa entendre monsieur Nagasakion. Vous aurez bientôt trois mois de loyer en retard.
-Je sais, mais vous allez les avoir, mentit Harry. Je vais me faire payer aujourd'hui même.
Ne pouvant pas l'empêcher de sortir, monsieur Nagasakion se poussa sur le côté et laissa Harry passer. Harry alla pour sortir, mais son propriétaire le retenu pas le bras.
-N'oubliez pas, si je n'ai pas mon loyer, j'appelle les flics.
-Bonne idée, approuva Harry. Ils pourront faire un tour au deuxième étage, je crois qu'ils feraient une belle saisie.
Harry se dégagea de l'emprise de l'homme et s'en alla en claquant la porte. Une fois dehors, Harry inspira profondément, l'air plus frais et savoura la douce caresse du soleil sur sa peau déjà un peu bronzé. La menace du propriétaire ne lui faisait pas peur. La réputation du quartier et de l'immeuble où Harry vivait était si mauvaise que personne ne voulait y vivre. Monsieur Nagasakion ne pouvait se défaire d'un client, qui sont si rares. Mais le quartier et ses voisins ne dérangeaient guère le jeune Potter, qui voulait se faire oublier plus que tout.
Bon, au travail, pensa le jeune homme en se frottant les mains et en se dirigeant vers le centre de la ville de New York.
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Au centre-ville de New York
Harry arriva enfin à son lieu de travail. En descendant de l'autobus, il fit un rapide coup d'oeil au quartier. C'était un endroit où grouillait et s'amassait presque tous les touristes. Harry marcha un peu, observant les gens. Près d'un bar, il entendit un groupe d'allemand qui parlait et riait fort. Un sourire de vainqueur se dessina sur la bouche du jeune homme aux yeux émeraude. Comme les allemands n'ont pas la même notion de la valeur de l'argent américains, ils étaient les proies les plus faciles pour les commerçants.
Harry s'arrêta et s'adossa sur un mur non loin de la terrasse où le groupe allemand se trouvait. Lorsque les touristes européens eurent finis, ils s'en allèrent, laissant un gros pourboire, comme à leur habitude. Rapidement, avant que le serveur ne revienne, Harry fonça sur la table et empoigna la monnaie qui traînait sur la table. D'un calcule rapide, Harry estima qu'il devait y avoir au moins vingt dollars ou plus.
Restant à une bonne distance des touristes allemands, Harry ramassa quelques roches et une planche de bois qui se trouvait dans une poubelle. Il attendait le bon moment…
Enfin, le groupe dû s'arrêter à un coin de rue pour attendre la lumière verte et Harry décida de se lancer :
-Excusez-moi, accosta poliment Harry. Mais vous êtes européens non?
Le groupe ne semblait pas le comprendre. Normal, ils ne parlaient pas anglais, sauf un qui semblait se débrouiller. Il devint donc le traducteur :
-Eum… Yes, were européens. Allemands, précisa-t-il avec un fort accent qui rendait le dialogue difficile.
-C'est bien, poursuivit le jeune brun. J'ai pour vous un souvenir extraordinaire, dont vous ne pouvez vous passez. Tous vos amis en seront jaloux.
L'homme qui comprenait l'anglais semblait intéressé et traduisit à ses amis. Eux aussi devinrent excités.
-Quel produit être, demanda l'allemand.
-Mon frère travaille pour la ville de New York.
-Ahh, New York, s'écria le groupe comme si c'était la plus belle ville.
-Et lors de l'attentat du 11 septembre 2001, il a dû nettoyer le World Trade Center des décombres.
-World Trade Center, s'écria une des femmes du groupe.
Harry dû se retenir de ne pas sourire. L'affaire était dans le sac :
-Ceci sont des morceaux des décombres des tours, que mon frère m'a fait venir personnellement.
Impressionné, l'homme traduisit et Harry venait de conclure son affaire. Tous le groupe voulait un morceaux des tours. Mais il n'y avait pas assez de roches pour tous le monde, donc les enchères montèrent et ce fut le plus offrant qui eut le dernier morceau. Saluant et remerciant Harry, le groupe le quitta, alors que Harry les saluait de grand signe de la main. Lorsque que le groupe de touriste disparu de sa vue, il poussa un cri de joie et entama une petite danse de joie, s'attirant quelques regards suspicieux, mais Harry s'en fichait.
Il venait de se faire 145$ pour dix vulgaires roches trouvées par terre. Sept roches à 10$, une à 15$ et deux à 30$. Et il avait ramassé 27$ de pourboire tout à l'heure. Alors en moins d'une heure, il venait de se faire 172$. Si tout les journées pouvaient être aussi bénéfiques.
Enfin, Harry décida de se relancer. Mais c'était trop tôt et les foules n'étaient pas denses… Trop risqué, il décida d'attendre un peu… Il choisit d'aller faire son épicerie pour tuer le temps. Justement, de l'autre côté de la rue. Harry attendit que la circulation devienne moins dangereuse et traversa la rue, évitant un taxi qui ne l'avait pas vu et qui manqua de l'écraser. Enfin, il pénétra et se dirigea vers l'endroit qui comptait vraiment : la nourriture pour chats!
En jetant des coups d'oeil furtifs au commis, Harry cachait des boîtes de pâtées pour chats au thon, saumon, boeuf, poulet, alouette! dans les poches intérieurs de son blouson. L'habit avait beau être laid, mais il était utile. Il pu, en tout, entasser dix boîtes. Harry devait aussi penser un peu à lui. Il bifurqua dans une autre rangée et chipa quelques pommes, oranges, patates et autres fruits ou légumes pas trop gros. Cependant, rendu au lait, oeufs et viande, il ne pouvait pas cacher ces aliments.
Le brun se résolut donc à payer les deux pintes de laits, la boîte d'oeufs et le steak haché le moins cher. Cela lui coûta, en tout, 37, 28$.
Il était rendu à 134, 72$…
C'était mauvais… Par chance, la foula s'était remplie et la sonnerie du retour au travail résonnait dans la tête de Harry. Il marcha dans la foule, heurtant les gens, les accrochant délibérément et, s'il le pouvait, subtilisait les portefeuilles des gens qui ne les cachaient pas assez.
À 1h30, Harry avait volé 13 portefeuilles, 173, 96$, 15 cartes de crédits, 10 permis de conduire différents, 5 cartes d'appels et 12 cartes de guichets. Il n'y avait aucun doute, la journée avait été bonne pour Harry.
Maintenant, il jugea qu'il avait assez travaillé et retourna chez lui. De toute façon, l'air piquant, avec l'arrière senteur d'essence usé, lui donnait mal à la tête.
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Devant l'immeuble
Lorsqu'il fut en face du bloc appartement, Harry s'enfonça dans la ruelle voisine de l'immeuble. S'il passait par la porte d'entrée, monsieur Nagasakion allait l'interpeller et Harry ne voulait pas dire adieu à ses 308,68$.
Une fois en face de sa fenêtre toujours ouverte, Harry s'y engouffra avec grâce et agilité. Voilà une autre raison de pourquoi Harry laissait toujours sa fenêtre ouverte. Cela lui permettait d'éviter le propriétaire les jours de payes.
-Bonsoir Black Eye, salua Harry en caressant la tête de son chant aveugle. Je vois qu'il y a du monde d'arrivé pour le brunch, remarqua-t-il en comptant une dizaine d'autres matous.
Il reconnu certains d'entre eux, mais ils y avaient deux ou trois nouveaux. Tout en servant la nourriture, il salua les chats qui attendaient avec impatience leur repas du jour.
-Bonjour Rupin, dit-il en servant un bol rempli de pâté au thon à un chat noir avec des taches roux. Je vois que tu t'es amené un ami, réalisa-t-il en voyant un autre matou gris partager la patée.
Il servit un autre bol et c'était toujours le même refrain. Même si aucun des chats ne lui répondaient, parler lui faisait du bien:
-Salut Jenny, tu as l'air en pleine forme. Tiens, Ronny, ça faisait longtemps que je ne t'avais pas vu. Je croyais que tu avais trouvé un autre fournisseur, taquina Harry en voyant le gros chat orange avec un cicatrice sur l'oeil et sur le museau.
-Merrillon, heureux de te voir. Tiens, du saumon de première qualité.
Et lorsqu'il eut servi tout le monde, il apporta un bol de pâté à Black Eye et s'assit à côté de lui, pour ne pas qu'un autre matou ne vienne lui chipper son repas. Avec son handicap, Harry devait veiller sur lui, pour qu'il puisse s'en sortir.
-Bon, je vais aller porter l'argent dans le coffre-fort, lorsqu'il vu que Black Eye avait fini son brunch. Je vais servir à boire après.
Le coffre-fort de Harry se trouvait derrière le carreau branlant de sa salle de bain. Il avait creusé dans le mur, pour faire un assez grand espace pour y entass. Son argent et certains journaux. Mais en entrant dans la salle de bain, il marcha sur un journal…
Harry prit l'exemplaire et s'apperçu qu'il s'agissait de celui d'il y a deux jours, en voyant la date. Une large sourire sincère apparu sur ses lèvres et il retourna dans la salle principal, en cherchant la personne qui avait apporté le journal. Comment avait-il fait pour ne pas la voir.
Effectivement, elle était là, sur le lit d'Harry :
-Hedwig, s'exclama le brun avec joie.
La chouette blanche vola sur son épaule et lui tira affectueusement une de ses mèches noires. Harry la caressa tendrement, enlevant la poussière du long voyage de son amie.
-Hedwig, ma belle, le voyage s'est bien passé?
La chouette roucoula. Le voyage s'était bien passé.
-Tu dois avoir faim? Viens, j'ai acheté du steak haché.
Malgré le fait que Harry ait voulu couper tout lien avec le monde des sorciers (il avait même enterré sa baguette avec sa lettre d'adieu, cependant, quelques fois, il le regrettait un peu), il y avait certaines choses dont il n'avait pû se défaire. Hedwig fut la première. Harry n'a jamais su comment elle l'avait retrouvé, mais bon, elle l'avait fait, traversant tout l'océan pacifique. Le brun n'a pas eu le coeur à la renvoyer une autre fois. Et comme Hedwig n'avait rien a faire, Harry lui avait demandé d'aller chipper un ou deux journaux en Angleterre. Tel maître, tel animal de compagnie, comme il dit.
-Tiens, mange, insista Harry en tendant un peu de viande haché à sa chouette.
Cette dernière avala tout d'un coup et lappa quelques gorgées d'eau que Harry lui tendit dans un bol.
-Désolé, ma belle, s'excusa Harry en déposant Hedwig sur la table. Mais je dois retourner au boulot. Sinon, comment je vais nourrir tout ces petits estomacs sur pattes. Occupes-toi bien d'eux, demanda Harry en plaçant une chaise sour la fenêtre pour y monter et sortir.
-Mais s'il y en a un qui fait du trouble, qu'il embête Black Eye ou qu'il essaye de te manger, tu le fous dehors, d'accord?
Hedwig émit un cri aïgu et secoua ses ailes. Harry la salua, ainsi que ses amis félins et s'en alla. Il n'était pas inquiet. Les chats habitués n'étaient pas des troubles-fêtes.
Bon, au boulot, se dit Harry encore une fois.
Mais l'ancien sorcier, le Survivant-Qui-Fut, le célèbre Harry Potter, était loin de se douter que ce coup-ci allait être un coup qui changerait le reste de ses jours….
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Voilà, un autre chapitre de fini. Je sais, il n'y a pas beaucoup d'action et Harry n'a toujours pas rencontré Danny Oceans, mais c'est à venir, tout cela au prochain épisode, foi de L. Oceans
Bisous et à bientôt! L. Oceans
Réponse aux Reviews :
OWLIE WOOD : Je sais, j'y suis pas allée de main forte, mais il fallait que Harry n'ait plus d'attache et pour les biens faits de l'histoire, il le fallait. Tu verras plus tard. Et j'espère que tu aimeras cette fic. Bienvenue et merci de me lire!
SPIRIT.W.W : L'histoire se situe à l'été, entre sa sixième et sa septième. Il a 17 ans et pour l'année, c'est que dans les livres, je n'ai pas trouvé de date et merci pour l'info. À la prochaine.
TAKOMA : Merci et j,espère que tu as aimé ce chapitre. Merci aussi pour la review.
LILYNETTE : Non, ce n'est pas son nouveau nom de famille, c'est juste pour faire le lien entre Harry Potter et Oceans Eleven. Quoique… Qui sait, tu viens peut être d'ouvrir une nouvelle voie à cette histoire. En tout cas, j'espère te revoir bientôt dans ma boîte aux lettres.
