Disclamer: Aucun de ces personnages ne sont à moi. L'univers de Harry Potter provient de l'imagination de J.K. Rowling (même si je suis sûre que j'aurai pu faire tout aussi bien qu'elle… Elle m'a juste devancé, lol). L'inconnu de Las Vegas (Oceans Eleven de sa version original) provient de l'imagination Lewis Milestone, mais sans Steven Soderbergh, qui a fait le remake avec Georges Clooney, je n'aurai jamais cliqué sur ce film. Le seul personnage qui est tiré de mon imagination est Seina Pia Caldwell. L'intrigue est aussi de mon cru.
Auteur : L. Oceans
Titre : Harry Oceans
Chapitre 5 :La formation imprévue
Harry dormait tranquillement dans son lit, malgré la chaleur cuisante du New York. Il n'y avait pas un son, excepté celui des automobiles et rien d'anormal. Mais ce fut un simple bruit qui transforma définitivement la vie assez paisible de Harry.
« Toc, toc, toc »
Harry se réveilla brusquement et attendit quelques instants, pour s'assurer qu'il avait bien entendu quelqu'un cogner à sa porte. Une nouvelle fois, il entendit des coups.
- Tu n'aurais pas commandé de la bouffe sans ma permission, rigola Harry à Black Eye tout en s'habillant.
Sans un bruit, Harry s'avança jusqu'à la porte et observa l'intrus qui le dérangeait, par l'œil de sa porte. C'était son propriétaire… Mais il semblait assez mal à l'aise. Soupçonneux, Harry se coucha sur le sol et observa, par la craque sous la porte, et remarqua d'autres ombres. Cela sentait les flics à plein nez.
- Merde, jura Harry. Bon ben Blackie, je vais devoir filer quelques instants, prévint-il en se rendant dans sa salle de bain.
Harry ensorcela la brique qui cachait tous ses secrets, afin que ces poulets ne puissent pas les trouver. Ensuite, il sortit par sa fenêtre. Mais dès qu'il fut sortit, il dû se cacher derrière un amas de poubelles. Les flics l'attendaient aussi au bout de la ruelle. Là, Harry était pris au piège. Mais comment?
Harry ferma les yeux, serra les poings et les dents. Il allait encore avoir recours à la magie… Non… Il ne pouvait pas… C'était trop risqué, quoi que…
Mais il n'eut plus le temps de réfléchir, car la police venait d'enfoncer la porte de son studio. En moins de deux, un policier le repéra et Harry prit la fuite, par réflexe, mais il fut stoppé bien vite.
Moins d'une demi-douzaine de policiers l'agrippèrent et le maîtrisèrent. Parmis tout les bruits, les confusions et les questionnements, Harry réussit à entendre ceci :
- Vous êtes en état d'arrestation, pour vols, usurpations, immigration illégale et escroqueries. Vous avez le droit de garder le silence et si vous n'avez pas d'avocats, l'état vous en fournira un…
Puis, pour Harry, ce fut comme s'il eut un court-circuit dans son cerveau. Il ne se souvint pas d'être entré dans l'auto de police, d'avoir traversé la moitié de la ville et d'être entré dans le centre de police. Tout ce qu'il pensait, c'était : « Qui s'occupera d'Hedwig quand elle reviendra… Comprendra-t-elle? Et Black Eye? Qui le nourrira… Seul, il mourra… Hedwig, Black Eye… »
Lorsque enfin Harry reprit conscience avec le vrai monde, il était maintenant assis dans une petite salle aux quatre murs d'un gris-vert, avec une caméra de surveillance. Mais cette caméra, Harry ne la remarqua pas. Il était seul, quand un policier entra avec un dossier, un crayon et un magnétophone.
- Bonjour monsieur, salua le policier aussi respectueusement qu'un policier le faisait avec un criminel. Monsieur comment?
- C'est pas de vos affaires, répondit Harry. Enlevez-moi ces menottes.
- Pas avant de savoir votre nom. Vous n'êtes dans aucun fichier, votre propriétaire ne connaît pas votre nom complet ou votreorigine… C'est bien étrange qu'il ait accepté de vous hébergerd'ailleurs…
- Parce que j'avais du fric, ricana Harry. Vérifiez les étages au-dessus du mien, il accepte n'importe qui en autant qu'il a du fric.
Le policier le regarda avec étonnement, mais se raviva.
- Hem… Et bien, mon cher, un certain Linus Caldwell a porté plainte parce que vous auriez volé sa montre, expliqua l'officier.
- Quoi!
Harry ne pouvait pas le croire… Ce Linus était vraiment un minable de la pire espèce! Lui et toute sa bande!
- Il nous aurait aussi révélé que vous seriez le Chat…
- Un des chats, corrigea Harry. Il y en a plusieurs, mais savez-vous qui est ce Linus, demanda Harry décidé de remettre la monnaie de la pièce à ce dernier. Il est l'un des Oceans Eleven, annonça-t-il. Il est…
- Un citoyen respectable, termina le policier. Nous l'avons fiché, car, ici, de la dénonciation entre criminel est fréquente, mais il est un honnête comptable pour une firme respectable, révéla-t-il.
Harry était abasourdit et figé. Il secoua la tête et reprit avec plus d'ardeur que jamais :
- Mais c'est de la falsification, s'emporta-t-il. Il ment, il…
- Écoutez mon cher, tenta de calmer le policier. Gardez votre histoire pour le juge, mais je vous conseil de dire la vérité, car aucun juge ne croira un escroc immigrant non-répertorié, face à respectable comptable.
En d'autres mots, Harry en conclut qu'il était coincé… Maudit Danny et toute sa clique. Harry réfléchissait à vive allure… Il devait y avoir une solution, une porte de sortie… Ses réflexions furent coupées par un homme qui appela le policier.
- Le chef Willeman veut vous voir, déclara celui qui les avait interrompu.
- Qui?
- Le chef Willeman! Grouillez-vous!
Le policier se leva rapidement et quitta la salle à toute vitesse. Le policier qui les avait interrompu observa Harry, mais Harry, lui, n'y prêta pas attention. Pourtant, s'il l'avait fait, il aurait reconnu l'homme comme était Rusty… Mais Rusty s'en alla avant que le jeune homme ne se sente inconfortable par lui.
Lorsque Rusty eut fermé la porte, Harry ferma fortement les yeux et tâcha de ne pas pleurer. Il allait devoir le faire, malgré ses promesses et ses convictions. S'il ne le faisait pas, il allait pourrir en prison.
Résigné, il se leva et se concentra. En quelques secondes, Harry n'était plus, mais il y avait un chat noir aux yeux verts. Et oui, Harry était un animagus non-répertorié. Il avait appris seul et cela s'est presque fait par hasard.
Soudain, la porte s'ouvrit, et Harry se cacha sous la table. Il entendit le policier jurer et, sans qu'il ne s'en rende compte, Harry se faufila hors de la salle et se rendit dans le poste. Partout, ça grouillait de flics et on dirait que leur simple odeur dégoûtait Harry.
Il se cacha sous un bureau vide… Personne en vue, Harry fila sous une chaise occupée, mais dont le propriétaire était trop occupé pour lui prêter attention. Un, deux, trois… Parfait, il y va… Un autre bureau, une autre chaise, bureau, bureau et finalement, dehors!
Harry se trouvait enfin dehors, à l'air libre… Ça y'est, une partie du problème était réglée. Maintenant, il restait celui des policiers qui squatteraient sa maison un certain temps et Danny… La priorité, pour Harry; Black Eye.
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Toujours sous sa forme féline, Harry pénétra dans son studio, infesté de flics…
- Ils sont pires qu'une infection de cafards, pensa Harry en cherchant ses amis.
- Charlie, s'exclama un homme, encore une autre bestiole!
- Laisse-le et continue de chercher!
« Bestioles vous-mêmes » songea Harry.
Après une courte recherche, il finit par retrouver Black Eye, caché sous la baignoire de sa salle de bain.
- Hé, Blackie Eysie, appela Harry. Viens avec moi, je t'amène ailleurs.
Comme s'il avait reconnu son maître, Black Eye suivit Harry hors du studio. Ce ne fut pas chose aisé, car le matou aveugle eut beaucoup de misère à sauter à la fenêtre. Il retombait toujours, ce qui faisait énormément rire les flics présents. Harry cracha contre eux, plein de rage et de mépris contre ces gens stupides et idiots.
- Bon ça va les gars, vous avez assez ri, déclara une policière.
En faite, c'était la seule femme de l'escadron. Doucement, en chuchotant des paroles réconfortantes à Black Eye, elle le prit délicatement et le déposa à côté de Harry. Ensuite, elle fit en grand sourire et caressa la tête de Black Eye et de Harry.
- Désolé pour votre maître les petits, s'excusa-t-elle. Mais il a été un vilain garçon. J'espère que vous vous trouverez une meilleure famille.
- Hé les gars, Carter est devenue Docteur Dollitel, ricana un des policiers suivit par les autres.
- Docteur Dolittle, imbécile, pensa Harry.
- Docteur Dolittle, imbécile, déclara ladite Carter.
- Wow, pensa de nouveau Harry. Cette flic-là, en plus d'être sympa, peut lire dans mes pensées, cool!
Puis, il entraîna Black Eye hors de la ruelle. Harry était devenu son chat-guide, en quelque sorte. Il se tenait à gauche de son copain infirme et le poussait vers la droite quand il fallait tourner à droite et il frôlait ses moustaches avec les siennes quand il fallait aller à gauche. Lorsqu'ils devaient s'arrêter, Harry miaulait et aussitôt, Black Eye s'assoyait. Cela ne faisait que conformer ce que Harry avait toujours dit : Les chats sont des êtres fascinants. Black Eye l'avait reconnu et, sans une parole, il comprenait tout ce que l'animagus lui disait.
Finalement, après trois coins de rues, Harry décida de faire une halte près d'un fast-food. Là, il y avait toujours plein de restants. Bon d'accord, ce n'était pas de la fine cuisine et s'était carrément dégoûtant, mais il n'avait pas d'autres solutions. Lorsqu'ils s'arrêtèrent, d'autres matous sortirent leur tête des poubelles et Harry en reconnu certains :
- Tiens, tiens, Rupin, Merrillon et Ronny, s'exclama Harry. Je vois où vous traînez quand je ne suis pas là. Y'a même Jenny et Drick!
Lesdits chats s'approchèrent de Harry, avec prudence et le reniflèrent minutieusement, chacun leur tour. À la fin, ils l'avaient tout reconnu et se cajolèrent contre lui, en ronronnant. Vraiment, les chats étaient des créatures extraordinaires. Harry mangea un repas… un repas qui passerait la côte du pas-si-mauvais-pour-un-fond-de-poubelle.
Puis, finalement, il se retransforma en humain et prit Black Eye dans ses bras. Il caressa la tête de tous ses amis et les remercia, avant de se rendre au Jolly Blue, pour casser la gueule à ce Linus.
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De nouveau septième étage, mais, cette fois-ce, devant la porte de chambre de Linus (car lui non plus n'a pas jugé utile de prendre un faux-nom), Harry glissa le passe-partout d'une des femmes de chambres qu'il avait volé. Il était furieux, encore plus que lorsque Linus était entré chez lui. Il devait presque retenir Black Eye par le cou, pour ne pas qu'il s'enfuit, tellement le pauvre chat avait peur de l'énergie magique de son maître.
Ce Linus avait le don de mettre Harry de très mauvaise humeur.
Lorsque la porte s'ouvrit, Harry y pénétra avec fracas, faisant sursauter l'occupant, qui écoutait un match de basket-ball à la télévision. Lorsque Linus reconnu Harry, il pâlit un peu.
- Ja-James, mais comment as-tu?
Harry fit descendre Black Eye, qui ne bougea pas désorienté par ce nouveau lieu, et s'avança à grandes enjambées vers le responsable de son emprisonnement. Avant que Linus ne pu réagir, Harry lui avait déjà empoigné le collet de sa chemise blanche et l'avait déjà plaqué contre un des murs de la chambre.
- Espèce d'enculé, explosa Harry. C'est quoi ce jeu de con? Tu n'es pas mieux que mort si tu ne m'explique pas dans trente secondes pourquoi les flics ont débarqué chez moi ce matin!
Linus était muet et tout ce qu'on entendait, c'était la respiration bruyante de Harry, qui ressemblait à un taureau en furie. Soudain, le reste de la bande d'Oceans Eleven entra dans la chambre de Linus. Ils observèrent la scène sans un mot. Finalement, Danny brisa le silence :
- Roscoe, Frank, séparez-les.
- Pourquoi tu ne demandes pas à Rusty ou Yen, demanda Frank. Hein, c'est parce qu'on est noir, tu nous prends pour des gardes du corps! Hein!
- Frank, ferme ta grande gueule de black et va aider ton pauvre ami blanc, répliqua Rusty en riant suivit des autres Oceans.
Mais Harry ne l'entendait pas de cette manière. Il lâcha Linus après une dernière secousse contre le mur et fixa la bande avec mépris et fureur.
- Danny, tu pourras ajouter la force à sa liste de qualités, déclara Linus en se massant le cou.
- J'y veillerai, assura Danny.
- C'est quoi ce cirque, siffla Harry.
- Et bien mon gars, tu as réussit ta formation avec brio, annonça Roscoe. Et en plus, tu as collé une baffe à Linus, ce qui te donne des points supplémentaires, rigola-t-il.
- Ma quoi!
- Écrit sourd ou lent sur la détente dans sa liste de défauts, déclara Seina.
- Personne n'écrira rien nulle part tant que je n'aurai pas des explications, s'écria Harry.
- Ou sinon quoi, déclara Frank.
- Vous n'avez pas envie de le savoir, assura ce dernier.
Harry était tout autant en colère. Sa magie crépitait et, inconsciemment, les autres autour de lui le ressentait, alors Danny finit pas tout expliquer :
- Nous voulions nous assurer que tu étais assez débrouillard pour t'échapper des policiers, donc on s'est arrangé pour que tu voles la montre de Linus, déclara-t-il. Ça faisait parti d'un plan, d'une épreuve et tu as réussit avec brio, même Rusty ne t'as pas vu t'enfuir.
- Rusty était là?
- Je suis le flic qui vous a interrompu, annonça ce dernier dans un geste théâtral.
Harry ne répondit pas. Il commença à avoir mal à la tête. Il posa sa main sur son front, à l'endroit où se trouvait sa cicatrice et fit une faible grimace. Personne ne la vit et les Oceans croyaient qu'Harry ne faisait que réfléchir.
- Écoute, petit, tu as réussit, répéta Roscoe. Tout se passe comme prévu et tu es dans la bande.
Harry avait maintenant très mal à la tête. Voldemort éprouvait un fort sentiment… De la joie… Ou de la haine, peu importe, la douleur était insupportable. Harry prit appui sur le dossier d'une chaise, sous le regard incertain des ses nouveaux « collègues ».
- On lui annoncela nouvelledu siècleet c'est comme ça qu'il réagit, fit remarquer Frank un peu déçu.
- Il est peut être ému, supposa Linus.
- Hé, petit, appela Danny en posant une main sur l'épaule de Harry.
Mais Harry repoussa violemment la main de Danny et s'effondra sur le sol, en criant, les deux mains sur sa cicatrice, tellement elle faisait mal.
- James, s'écrièrent des voix autour de Harry.
Pas de doute, maintenant, Harry savait ce que Voldemort ressentait. Il était en colère… Non, ce n'était pas de la colère, mais de la haine et de la fureur de première qualité. Harry avait l'impression qu'on lui brûlait le cerveau de l'intérieur. Sa vue se brouillait, ses membres s'alourdissaient et il avait l'impression que sa gorge se rétrécissait, car il éprouvait de la difficulté à respirer. Il entendait le vague murmure de Danny, qui ordonnait à dieu sait qui, qu'il aille chercher un médecin, les protestations des uns et les indécisions des autres, mais ce qu'il entendait le plus, c'était la voix clair, sifflante et horrible de celui qu'il déteste le plus au monde : Voldemort!
« Trouvez-le, disait-il. Il me le faut! Le vieux fou ne doit pas le savoir! Trouvez-le et tuez-le sur le champs. Je veux avoir sa tête devant moi! »
- James, appela une seconde fois Danny penché par-dessus lui.
Ce fut la dernière chose que Harry entendit, car il sombra dans une noirceur éprouvante et peu reposant, mais au moins, il ne criait plus. Danny regarda les autres, d'un regard interrogateur, et Rusty prit l'initiative de prendre Harry et de le déposer sur le lit de Linus.
- On va attendre qu'il se réveille… Ce n'était pas…
- Non, coupa Danny.
- Est-ce qu'on…
- Oui, approuva Danny.
- Alors on y va. Venez, déclara Rusty à Yen, Frank et Seina.
- Mais, voulu protester cette dernière.
- Pas de mais, répliqua Rusty. On suit le programme comme prévu. Danny, Linus et Roscoe vont s'assurer que James aille bien et si tout va pour le mieux, on devrait pouvoir rentrer avant qu'il ne se réveille.
En bougonnant, Seina suivit les autres, qui sortaient de la chambre. Pendant ce temps, Danny remonta les draps du lit sur Harry et alla chercher un linge mouillé, qu'il mit sur le front du malade… Mais quelle maladie, au juste?
- Un mystère de plus à ajouter sur sa liste, fit remarquer Roscoe.
- Encore un, déplora Danny en s'assoyant sur le rebord du lit. J'appelle Tess, elle pourrait peut être nous aider pour savoir ce qu'il a, décida-t-il en décrochant le combiné.
- Elle est infirmière, demanda Linus.
- Non, c'est une femme, rigola Roscoe.
- C'est MA femme, répliqua Danny en composant son numéro.
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Alors, vous avez aimé? Avez-vous hâte de savoir la suite? J'ai rien entendu! Ok, là je vous ai entendu, lol. Excusez-moi, mais mon travaille de monitrice de camp de jour commence à déteindre sur moi, lol. Bon ben je vous laisse et j'espère que vous avez aimé ce chapitre. Le prochain est en cours d'écriture.
Bisous
L.Oceans
RéPoNsE AuX ReViEwS :
Underphoenix : Merci! J'espère que tu as aussi aimé ce chapitre.
Onarluca : Voilà la suite et je te rassure, la prochaine va arrivé plus vite… Du moins, je fais ce que je peux, lol. Merci pour ta review!
Elaur : Oui, Harry va s'en resevir, même s'il ne le veut pas, comme dans ce chapitre. Vois-tu, Harry s'est fait une promesse, que tu apprendras plus loin dans la fic. Mais… Mais tu le verra plus loin, lol. Merci pour ta review et est-ce que je t'ai dit que je trouvais ton nik super cool?
Khisanth : La pluie de tes insultes n'atteint pas ma tête de cochon et de sadisime. Je sais, tout le monde a été mystifié, haha, la pauvre petite L.Oceans n'est pas celle qu'on croyait! Et puis, si tu fais de l'insomnie, prend des somnifères, ça marche, lol. Allez, voilà la suite, en espérant que tu pourras dormir ce soir… Ou, non, je ne veut pas que tu dors, ce soir, hahaha!
Jaja : Comme tu as pu le lire, la montre n'était qu'un leurre. C'est tout… Je sais, ça pète les illusions, mais bon, avec Danny, tout est minutieusement calculé. Merci pour ta review et à la prochaine.
Spirit.w.w. : Tout doux, on est pas dans James Bond ici, lol. Un Gps, pourquoi? Ils savent déjà où il habite. Une caméra… ça aurait été possible, mais non, trop technologique pour eux, ils préfèrent la simplicité. Il sont fous hein? Tu comprendras pourquoi plus tard. Entre-temps, merci pour la review et à la prochaine.
Amini : Merci, tes compliments me font vraiment chaud au cœur. J'espère que ce chapitre t'a plu et que je te reverrai dans ma boîte aux lettres. Merci encore.
Black-sun : Merci! Et j'aime ton nik. Ça pourrait devenir le nom d'un chat de Harry, lol.
Eiliss : Merci, merci, merci, voilà la suite et j'espère que tu as aimé ce chapitre. À bientôt!
Chleom : Oui, se tenir avec Hermione a réussit à porter ses fruits. Il faut dire que devenir autonome et responsable d'un seul coup a aider beaucoup, surtout qu'il est dans un métier très difficile : voleur! Il n'a pas suivit de formation, le pauvre… Y'a aucun cours à l'école qui peut t'entraîner à la devenir. Pauvre eux, de si grands hommes… C'est bon, je divague. J'espère que tu as aimé ce chapitre et qu'on se reverra bientôt. Merci encore pour la review.
Surimigirl : Non, pas un caïd, il n'ira jamais jusque là. Et maintenant, j'ai droit au mot Brio…. Wow, je suis impressionnée, mais première fic! Si j'avais su… Et pour répondre à ton autre message, j'essaye que mes chapitres soient postés quotidiennement, parce que je ne sais jamais ce qui va m'arriver : manque d'inspiration, panne d'ordi, trop occupée, etc. Mais je fais de mon mieux, je te le jure. Merci aussi pour ta review et j'ai hâte de te revoir.
Lunamoon : Je ne suis pas la genre d'auteur à faire des chapitres 20 pages, habituellement, j'en fais de 7 ou 9 pages, pour que le lecteur ne soit pas trop épuisé de lire ma fic. Je préfère faire beaucoup de chapitres de longueurs moyennes. C'est mieux je trouve, parce que des fois je lis des fic de trente pages et ça me décourage et je saute de longs paragraphes. Mais bon, c'est chacun ses goûts. Voilà la suite et j'espère qu'elle t'a plu.
Marikili68 : Merci et crois-moi, je continue. Mes doigts roulent à 100 kilomètre heures, lol.
Lounah : Si tu trouve cette fin de chapitre pas sympa, j'ai pas hâte de voir ce que tu diras des autres. Habitue-toi, je suis une auteur sadique! Mais j'espère que tu as aimé ce chapitre et merci pour ta review.
Suppy : Pour répondre à ta question, Ron est mort et Hermione est dans un profond coma(voir chapitre 1) et je prévois environ une vingtaine de chapitres, tout dépendant comment elle évolue. Je sais je n'écrie pas aussi vite que tu le voudrais, crois-moi, je te comprends, je suis une lectrice aussi, mais c'est difficile parfois et j'ai une vie aussi (et oui, figure-toi, lol) mais je me dépêche et fais de mon mieux. J'espère que ce chapitre t'a plu et qu'on se reverra bientôt.
Diablotine : Merci, que te dire de plus… Ah oui, « voilà la suite »! À bientôt!
Lunathelunatique : Merci, c'est tout ce que je peux te dire. Et aussi, à bientôt!
Luluflo4 : Émetteur? Ou as-tu vu un émetteur? Et pour Poudlard ou quelqu'un du monde des sorciers… Disons que ce n'est pas lui qui les trouvera… C'est tout ce que je peux te dire. À bientôt!
Aresse : Contente de l'apprendre! Et contente de voir que le coup de la montre est si populaire. Tout le monde veut savoir : à quoi sert la montre, à quoi sert la montre. Paf, c'est juste un leurre. Dans vos dents, lol. Je sais que lire un chapitre à la fois, c'est moche, mais que veux-tu, si elle était déjà tout là, tu n'aurais pas le même plaisir que lorsque tu vois un nouveau chapite non? Alors profite de ce chapitre et j'espère que tu l'aimeras et qu'il te fera patienter jusqu'au prochain!
Mokuren01 : Oui, c'est vrai que la nouveauté fait du bien (j'aime me donner des défis où je dois mettre des persos qui n'ont rien en commun et faire une histoire qui se tient, comme on peut le voir dans mon autre fic. Oui, je sais, je fais de la pub, mais je m'en fiche, lol). Et pour ton petit truc, et bien le voilà! Merci d'avoir reviewer et à la prochaine!
Bunny : Pas de problème pour la faute de frappe, j'en fait aussi, des fois, si tu révises mes chapitres, lol. Et oui, il refera face au monde de la magie, Harry Potter qui disparaît, ce n'est pas rien. Merci pour ta review et à bientôt!
Wilam : Regarde le film, ça ne peut que t'aider et il est pas mal… Le premier du moins… Le deuxième était soso, mais le premier, chapeau! Et non, ce ne sera pas un yaoi. Je suis nulle pour les écrire(j'en ai écrit un qui ne sera jamais publié), même si j'adore les lire. En passant, merci pour la review!
Eliwan : Oui, les décombres du WTC ont été très apprécier. Il est malin notre petit Ryry hein? Plus du tout le même! Et je suis contente de voir que tu as aimé. Ça me fait chaud au cœur et j'espère te revoir bientôt.
