Kawaii ko : chapitre 5
Le courant nous emporte tous les deux et le pont est déjà hors de vue. Rassemblant mon énergie, je saute hors de l'eau en portant Hinata et je me maintiens au dessus de l'onde. Une petite plage plus loin me permet de déposer Hinata sur la terre ferme. Ouf, elle respire encore. Je la vois reprendre conscience. Elle ouvre les yeux, elle me voit. . .elle a l'air si désorientée.. « Hinata, c'est moi, Neji. Tu me reconnaît ? »
« Ils . . . m'ont . . ..vendue » sa voix est recouverte par le grondement de la rivière. Elle me regarde fixement, les yeux écarquillés et continue à parler d'une voix sourde « Ils. . .se sont débarrassé de moi.ils m'ont vendue ! Vendue ! VENDUUUE ! » Elle hurle sur ce dernier mot, elle laisse éclater son désespoir et continue de hurler comme une louve à la mort. « Hinata, tait-toi ! ils vont nous retrouver! »
Mais rien ne la calme, elle pleure et crie, complètement submergée par ses émotions, tout ce qu'elle refoulait ses derniers jours. . .et sans doute depuis plus longtemps.
« Hinata ! » Je l'empoigne par les épaules et je la secoue un peu mais elle continue à hurler. Tait-toi. . .Tait-toi. . .je dois la faire taire ou ils vont la reprendre !!
Bon, j'admet qu'il existe d'autre moyen de faire taire quelqu'un. . .mais sur l'inspiration du moment. . .ben. . .
J'ai collé mes lèvres contre les siennes. Elle a eut un sursaut. Mais je la tenait fermement. Ca a marché, elle s'est tue. . .j'aurais du . . .j'aurais du arrêter. . .mais j'ai continué à l'embrasser. . .j'ai senti comme un frisson se propager dans ses épaules, elle s'est détendu. . .et a répondu à mon baiser. La, mon esprit a du disjoncter. Court-circuit. HS. Ouais, je crois que c'est à ce moment là que j'ai arrêté de réfléchir. Quand ses lèvres si douces se sont ouvertes, quand nos langues se sont entremelées.
Je ne sais pas à quel moment mes mains avait bougé des ses épaules, mais j'en ai retrouvée une dans ses cheveux et l'autre caressant son dos. . .nu. . .c'est vrai que j'avais déchiré ses kimonos avec mes kunais. . .
Une espèce de sonnette d'alarme a retentit dans ma tete et j'ai essayé de m'éloigner d'Hinata. Mais elle s'est cramponnée à moi. Non, ne me tiens pas comme ça, Hinata. N'enlace pas ma poitrine, n'entends-tu pas mon c?ur qui va exploser ? Ne me regarde pas avec tes yeux suppliants, désespérés. Non, n'arrache pas les quelque bout de tissu qui masquaient encore les plus tendres parties de ton corps.
Je ne pourrais pas te résister, Hinata. . .je ne peux pas résister à mon nom que tu chuchotes à mi-voix, entrecoupée de sanglots. . .je ne peux pas résister à tes mains qui m'attirent vers ton corps tremblant de froid. . .je ne peux pas te résister. . .Hinata
Tu ne pleures plus. J'entends ta respiration calme et regulière. Tu n'as plus froid. Je sens la chaleur de ton corps sous le mien. Mais je n'oses pas relever ma tete posée sur ta poitrine. J'ai peur de rencontrer ton regard. Je sens que tu effleures mon dos timidement avec le bout de tes doigts. Ca me redonnes du courage. Le courage de te regarder en face. Tu me souris. Ton regard est triste, mais tu me souris. . .un sourire qui n'est rien que pour moi. Je cueille ton sourire du bout des levres. Je voudrais rester comme ça jusqu'à la fin du monde.
A suivre..
Le courant nous emporte tous les deux et le pont est déjà hors de vue. Rassemblant mon énergie, je saute hors de l'eau en portant Hinata et je me maintiens au dessus de l'onde. Une petite plage plus loin me permet de déposer Hinata sur la terre ferme. Ouf, elle respire encore. Je la vois reprendre conscience. Elle ouvre les yeux, elle me voit. . .elle a l'air si désorientée.. « Hinata, c'est moi, Neji. Tu me reconnaît ? »
« Ils . . . m'ont . . ..vendue » sa voix est recouverte par le grondement de la rivière. Elle me regarde fixement, les yeux écarquillés et continue à parler d'une voix sourde « Ils. . .se sont débarrassé de moi.ils m'ont vendue ! Vendue ! VENDUUUE ! » Elle hurle sur ce dernier mot, elle laisse éclater son désespoir et continue de hurler comme une louve à la mort. « Hinata, tait-toi ! ils vont nous retrouver! »
Mais rien ne la calme, elle pleure et crie, complètement submergée par ses émotions, tout ce qu'elle refoulait ses derniers jours. . .et sans doute depuis plus longtemps.
« Hinata ! » Je l'empoigne par les épaules et je la secoue un peu mais elle continue à hurler. Tait-toi. . .Tait-toi. . .je dois la faire taire ou ils vont la reprendre !!
Bon, j'admet qu'il existe d'autre moyen de faire taire quelqu'un. . .mais sur l'inspiration du moment. . .ben. . .
J'ai collé mes lèvres contre les siennes. Elle a eut un sursaut. Mais je la tenait fermement. Ca a marché, elle s'est tue. . .j'aurais du . . .j'aurais du arrêter. . .mais j'ai continué à l'embrasser. . .j'ai senti comme un frisson se propager dans ses épaules, elle s'est détendu. . .et a répondu à mon baiser. La, mon esprit a du disjoncter. Court-circuit. HS. Ouais, je crois que c'est à ce moment là que j'ai arrêté de réfléchir. Quand ses lèvres si douces se sont ouvertes, quand nos langues se sont entremelées.
Je ne sais pas à quel moment mes mains avait bougé des ses épaules, mais j'en ai retrouvée une dans ses cheveux et l'autre caressant son dos. . .nu. . .c'est vrai que j'avais déchiré ses kimonos avec mes kunais. . .
Une espèce de sonnette d'alarme a retentit dans ma tete et j'ai essayé de m'éloigner d'Hinata. Mais elle s'est cramponnée à moi. Non, ne me tiens pas comme ça, Hinata. N'enlace pas ma poitrine, n'entends-tu pas mon c?ur qui va exploser ? Ne me regarde pas avec tes yeux suppliants, désespérés. Non, n'arrache pas les quelque bout de tissu qui masquaient encore les plus tendres parties de ton corps.
Je ne pourrais pas te résister, Hinata. . .je ne peux pas résister à mon nom que tu chuchotes à mi-voix, entrecoupée de sanglots. . .je ne peux pas résister à tes mains qui m'attirent vers ton corps tremblant de froid. . .je ne peux pas te résister. . .Hinata
Tu ne pleures plus. J'entends ta respiration calme et regulière. Tu n'as plus froid. Je sens la chaleur de ton corps sous le mien. Mais je n'oses pas relever ma tete posée sur ta poitrine. J'ai peur de rencontrer ton regard. Je sens que tu effleures mon dos timidement avec le bout de tes doigts. Ca me redonnes du courage. Le courage de te regarder en face. Tu me souris. Ton regard est triste, mais tu me souris. . .un sourire qui n'est rien que pour moi. Je cueille ton sourire du bout des levres. Je voudrais rester comme ça jusqu'à la fin du monde.
A suivre..
