cette fic n'est pas de moi mais de kits, j'adore cette fic alors je vous la fait partager...
Shinsetsu Keredomo Abunai
chap 1: le calme de la paix
Dans une jolie compagne ensoleillée, dans une belle villa, Bulma, ainsi que Végéta (ce qui est surprenant de sa part) sont tous les deux couchés côte à côte, il se font dorer au soleil, en poussant de temps en temps un soupir de béatitude.
« Et si je téléphonais à la maison ? » Demanda-t-elle en se redressant soudainement.
« Pourquoi faire ? » Répondit son mari sans bouger de sa position.
« J'sais pas, pour avoir des nouvelles... Trunks a peut-être un problème ! »
Végéta lui agrippa le poignet pour la recoucher « laisse-le un peu, il sait ce qu'il fait, c'est plus un bébé ! Et c'est lui qu'a choisis ! »
« Hum ! T'as raison ! Je m'inquiète pour rien ! » Fit-elle après une courte réflexion, en se recouchant l'oreille contre le torse de son mari.
« Où sont Kakarotto et Chichi ? » Demanda Végéta après un moment de silence.
« Heu… Prêt du lac, je crois… »
« Tans mieux ! Laissons-les là ! » Conclut-il en serrant un peu plus Bulma contre lui.
En effet, plus loin, dans le lac :
« Non, Goku, si tu fais ça, je te… AHH ! » Menaça Chichi quand Goku la projeta dans l'eau en riant. Il la rejoignit en un saut. Ils se mirent à rire tous les deux.
« Ahh, ça fait longtemps que je ne me suis plus amusée comme ça ! » S'esclaffa la femme. « Non ! Arrête ! » Fit-elle en mettant ses mains devant le visage, quand San Goku commença à l'asperger d'eau, toujours en riant. Elle joua au même jeu que lui, elle lui envoya de l'eau comme des enfants. Après une certaine lutte, ils s'arrêtèrent en continuant de rire aux éclats. Soudain, Chichi sentit quelque chose passer entre ses jambes.
« Quoi ? » Demanda Goku en s'essuyant les yeux.
« J'ai senti quelque chose passé en dessous de moi… »
Bien vite, le saiyen repéra et se mit à rire. « C'était un poisson ! Attends ! » Et il plongea.
« Où vas-tu ? » Cria-t-elle. Soudain, le saiyen remonta en maintenant le poisson par la queue, Chichi éclata de rire quand son mari le fit gigoter dans tous les sens autour de lui. Il en attrapa un autre et fit pareil simultanément avec le premier, sa femme éclata encore plus de rire. Goku lâcha les poissons en même temps et ils partirent tous les deux, loin des deux époux. Chichi vint se blottirent les bras de son mari. Et ils restèrent un moment comme ça à se bercer l'un l'autre.
« Je suis tellement contente que tu sois revenu… » soupira-t-elle.
« Moi aussi » avoua-t-il « mais, c'était pas une raison pour taper Gohan et Goten dehors » continua-t-il en riant.
« Ben dis ! Gohan à une maison, il n'a qu'à y aller ! » Répondit-elle sérieusement.
« Mais, il venait pour te tenir compagnie ! »
« Ben maintenant, t'es là, j'ai plus besoin de lui ! Et Goten, j'en avais marre ! Il est majeur, autonome, il était fiancé et avait un projet de mariage, alors, je vire ! Il allait quand même pas croire qu'il allait vivre à mes crochets et aux crochets de son frère, toute sa vie, lui ! Et puis, c'était un véritable nomade ! Il était tant que ça cesse, il dormait à la maison, puis chez Trunks, puis chez son frère, puis à la maison, grrr……»
Et son mari éclata de rire au sérieux de sa femme.
Quelque part en ville. Un bébé éclata en sanglot.
« Anh non… Bébé… Ne pleure pas, ça va passer… » fit Goten en prenant le bébé dans ses bras.
« Qu'est-ce que tu fais ? » Demanda une femme aux yeux bleus, aux cheveux blonds, retenu par deux tresses, pendant de chaques côté de la figure, elle avait un très joli visage, une jolie petite poitrine et de longues jambes fines.
Goten soupira en faisant sautiller le bébé sur un de ses genoux. Sa femme s'approcha de lui et lui enlaça de cou par derrière.
« Tu as l'air fort absorbé par ton travail mon amour… » Fit-elle d'un ton ironique.
« Ouais… Les psychopathes, j'adore ça ! » Répondit-il en prenant une voix macabre. Mady, sa femme, le rejeta doucement, avec un air de dégoût.
« Donne-moi mon bébé, père indigne ! » Lâcha-t-elle ironique en reprenant son enfant. Goten et Mady s'étaient rencontré au lycée, et ça avait été le véritable coup de foudre ! Elle avait un an de plus que lui, c'était en fait Trunks qui lui avait présenté.
« Baba… » fit le bébé.
« Ahh ! Il a dit 'papa' ! » fit le père en question d'un ton réjoui et en riant, et sachant que ce balbutiement ne signifiait pas papa.
« Non, il a dit 'baba', et il dit tout le temps ça, quand il est content ! »
La porte sonna, Mady rendit le bébé à Goten et alla ouvrir.
« Bonjours Mady, Goten est là ? » demanda Trunks en passant la tête dans la maison.
« Oui, entre ».
Il fit deux pas en avant, mais il se retourna vers la femme de son ami. « As-tu déjà licencié quelqu'un Mady ? »
« J'ai déjà envoyé des élèves en retenue, mais rien de plus… »
« Ah ! Avoue que t'aimes ça ! En tout cas, moi, j'adore. 'Vous êtes viré ! Vous avez vingt-quatre heures pour vider votre bureau' ahh ! Ce que j'adore dire ça ! » Déclara-t-il un bras en avant, tel une star. « Et puis, je me suis barré de mon bureau par la fenêtre ! Peut-être qu'on allait me virer moi aussi… Oh… Suis-je bête… C'est moi, le chef… ! C'est moi… qui vire… AHAHAHAHAHAHA »
« Anh non, moi, j'aime pas ça, ça me donne un profond sentiment d'injustice » répondit Mady. Trunks tourna doucement la tête vers elle et eut un rictus d'irritation.
« Pu ! Humaine ! » cracha-t-il en s'asseyant devant Goten.
« Ben dis ! Je t'en prie ! C'est pas parce que t'es le PDG que j'ai pas le droit de te virer de chez moi ! » s'énerva la femme de San Goten, sous les rires de ce dernier.
« Je plaisantais… » s'excusa-t-il, sentant l'adrénaline monté. Goten se leva et déposa le bébé sur les genoux de Trunks. « Il veut son parrain ! ». Le parrain en question leva les yeux vers son ami, sans toucher le bébé.
« Il va pas me faire pipi dessus ? » se risqua-t-il.
« Bien sûr que non ! » répondit Goten les bras croisés.
« Ne donne pas mon bébé à un abruti pareil, Goten ! » cria Mady.
« Et quand est-ce que Yann, va avoir une marraine, hein ? » demanda sournoisement Goten en faisant tourner ses doigt autour de la figure de son bébé.
« Euh… Je sais pas ! Je suis quelqu'un de difficile moi ! » se venta Trunks, sans bouger.
« Comment ça ? Tu veux dire que j'ai choisi Mady facilement ? » demanda Goten.
« Mais, j'ai jamais dis ça ! » se défendit l'autre, quand la 'femme facile' lui tira l'oreille.
« Pourtant ça a l'air de bien marcher avec Tamarra ? » lâcha Mady d'un ton hypocrite.
« Ouais… Appart qu'on ne se voit pas… »
« Encore ! » dirent simultanément les parents de Yann.
« Tu n'as jamais été capable de garder une fille plus d'une semaine, tu fais pitié ! Et puis, finalement tant mieux, cette pimbêche me pompait l'air ! » fit Goten.
« Mais, j'ai pas dis qu'elle m'avait lâché, j'ai dis qu'on ne se voyait plus beaucoup ! C'est pas pareil ! »
Cette fois, ils entendirent de grands coups sur la porte.
« C'est quoi ça ? » demanda Trunks.
Goten se dirigea vers la porte et l'ouvrit, Videl lui sauta au cou. Mady, elle, fit des yeux ronds.
« Décompresse, c'est juste Videl… » la rassura Trunks.
« Mais, je ne vois pas ce que tu veux dire… » répondit Mady, irritée.
« Goten, je suis tellement contente ! C'est génial ! » s'écria Videl, « Tu vas être tonton pour la deuxième fois ! »
« Quoi ? t'es enceinte ? »
« Oui ! »
« Wah ! Félicitations ! » dit Mady en s'approchant.
« De qui ? » demanda bêtement Trunks, toujours sans bouger.
« A ton avis, abruti ? » s'écrièrent en chœur les deux femmes.
« Beuh… Tout le monde est marié, tout le monde a des gosses, tout les monde est heureux, sauf moi… on va finir par penser que je suis homosexuel… » dit Trunks, lassé
« Qu'est-ce qu'il a ? » demanda Videl.
« Rien, laisse tomber ! Gohan est au courant ? » demanda Goten.
« Non, je veux lui faire la surprise, mais il fallait que je le dise à quelqu'un ! »
« Tu sais si c'est une fille ou un garçon ? » s'empressa Mady en maintenant le bout des doigts de Videl.
« Non, ça fait trop peu de temps »
« Ah, ah ! Abrutie ! » se moqua Trunks. « Tout le monde sait qu'il faut un certain temps avant de pouvoir dire si c'est une fille ou un garçon ! »
« Et tu le sais toi, à partir de quand ? » demanda Goten en sachant qu'il ne saurait pas répondre. En effet, il ne répliqua pas et croisa les bras, en laissant Yann battre des bras sur ses genoux.
« Mais qu'est-ce qu'il a ? » répéta Videl.
« Je ne sais pas, trop de travail sûrement. Il est surmené ! » répondit Goten
« N'importe quoi… » soupira le 'surmené'.
