See who I am

Je vais essayer de réduire un peu la taille des chapitres, parce que je trouve que j'en fais des de plus en plus longs, et ça, ça va pas…
Voilà… désormais je vais uniquement écrire cette fic, pour la finir, je pense, comme ça, ça sera ça de fait. Mais, elle me manquera quand elle sera terminée, mais, toutes les bonnes choses ont une fin... même les mauvaises, heureusement d'ailleurs. Hum, ça c'est de la phrase philosophique xD
Bonne lecture, enjoy.


Chapitre neuvième : Je t'aime, moi non plus


- Legilimens !

Le décor de la pièce environnante disparut. Hermione était à présent au Terrier et levait sa baguette en direction de Harry. Elle se revoyait le jour de l'enlèvement de Ron. Elle vida son esprit avec une facilité déconcertante, et réussit à résister sans problème aux autres tentatives de Snape.

- Voilà qui est surprenant, s'étonna Snape en baissant sa baguette. La dernière fois j'ai pu accéder à ton souvenir assez facilement, mais là, tu me repousses sans problèmes.

Hermione remercia intérieurement William.

- Je me suis entraînée à faire le vide dans mon esprit.

- Tu sembles très douée. Mais, recommençons.

Snape leva de nouveau sa baguette, plongea ses yeux sombres dans ceux d'Hermione et lança le sortilège.

Cette fois-ci, Hermione se revoyait en train de libérer Lucius Malfoy, et de tuer les hommes du Ministère. A cette vision, elle repoussa de toutes ses forces l'intrusion de Snape en criant "Experliarmus !". Lorsqu'elle reprit totalement conscience, elle avait les larmes aux yeux.

- C'est très bien Nina, tu es très douée… mais… tu pleures ? dit-il en ramassant sa baguette.

Hermione se releva et essuya d'un geste brusque les larmes naissantes aux coins de ses yeux. Snape baissa sa baguette et la fit asseoir sur le canapé.

- Ecoute Nina, je pense que j'ai tué plus de gens que toi dans ma vie…

- Je suis une tueuse. J'ai tué des innocents…

- Lucius l'aurait fait à ta place si tu ne l'avais pas fait…

- J'aurais préféré que ça soit lui ! J'ai délivré… cet homme horrible… c'est à cause de lui que Draco est chez les Mangemorts !

- Tu…

- J'ai tué ces gens ! Je m'en veux !

Hermione ne pleurait plus, mais elle étalait tous ses remords à cet homme qui la dégoûtait quelques jours auparavant.

- NINA ! J'ai tué des gens plus importants que des Aurors, je suis responsable de choses horribles, et pourtant, Dumbledore me faisait confiance !

- Et tu l'as tué !

- Mais tous ces gens ne sont pas morts en vain !

- Ah oui ? Tu les as tués pour la bonne cause peut-être ? Comme moi ?

- Nina, j'ai tué ces gens pour pouvoir réussir à tuer les véritables responsables de tous ces massacres ! De cette époque de ténèbres !

- Qu'est-ce que…

- Nina, tu ne comprends donc pas ? Comment aurais-tu avoir la moindre chance de devenir Mangemort si tu n'avais pas fait tout cela ? Comment aurais-tu pu approcher le Seigneur des Ténèbres sans commettre tous ces actes ? En te présentant en tant que factrice peut-être ? Non, ce que tu as fait tu l'as fait pour atteindre ton but !

- Mais quel but ? Je n'ai pas de but ! Je suis juste une simple Mangemort ! mentit Hermione.

- Arrête de raconter n'importe quoi ! Tu crois que je suis dupe peut-être ? Je sais très bien que tu ne portes pas le Seigneur des Ténèbres dans ton cœur !

Hermione ne répondit rien, et se contenta de regarder Severus.

- Nous sommes pareils, dit-elle.

- Nous ne sommes pas vraiment loyaux, voilà tout.

D'accord, mais dans tous les cas, il ne faut pas qu'il sache que je suis Hermione… tout sauf ça…

Hermione se releva, et monta en courant dans la pièce qui lui servait de chambre. Elle redescendit avec hâte, tenant un sac avec quelques affaires.

- Qu'est-ce que tu…

- Je m'en vais.

- Tu t'en vas ? Définitivement ?

- Non Severus. Je reviendrai. Je vais rejoindre Draco.

- Draco Malfoy ? Pourquoi ?

- Tu m'as dit que tous ces gens ne devaient pas être morts en vain. Je vais donc aller atteindre mon but.

- Lequel ?

- Sauver Draco Malfoy et participer à la chute du Seigneur des Ténèbres. A ce soir.

Sans ajouter un mot, elle lança un sourire à son ex-professeur, qui la regardait complètement déboussolé. Il acquiesça, et Hermione transplana.

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Elle se trouvait à nouveau au quartier général des Mangemorts. Vraiment pas aussi bien que celui de l'Ordre du Phénix. Elle parcourut les sombres couloirs à la recherche des Malfoys qui devaient venir ce jour là. Mais il n'y avait personne.

Elle du se rendre à l'évidence qu'ils n'étaient pas encore arrivés. Soudain, un bruit la surprit. Elle se retourna, et tomba face à face avec Bellatrix Lestrange. Elle sentit son ventre se contracter et sa gorge se nouer à cette vision.

- Alors, qu'est-ce qu'on fait à une heure aussi matinale ici ? demanda-t-elle d'une voix menaçante.

- Je devrais te demander la même chose !

- Je veux dire… après ce que tu as fait ! s'écria Bellatrix. Tu n'es qu'une traîtresse ! J'en suis sûre !

- Enfin Bellatrix, si le Maître dit que je n'en suis pas une… il a raison…

- Je le sais, voilà tout !

- Tu contredis le Maître alors ? dit Hermione.

- Je… NON ! JAMAIS !

- C'est ce que tu es en train de faire pourtant…

Bellatrix ne répondit rien et se contenta de lancer un regard assassin à Hermione.

- Tu es jalouse parce qu'on parle de moi dans le journal et pas de toi ? ajouta Hermione, comme pour la provoquer.

Mais Bellatrix ne répondit rien et se contenta de s'en aller, maudissant cette Nina Eadles.

Et un point pour moi.

Hermione reprit sa recherche, mais il n'y avait personne à part cette Bellatrix qui ne lui inspirait guère la joie et l'allégresse. Non, c'était plutôt un sentiment proche du « loin de moi tu resteras et mieux je serai ».

Elle tomba sur Queudver qui avançait d'un pas fébrile.

- Peter ? demanda Hermione à voix basse.

- Oui Mademoiselle Eadles ?

- Les Malfoys ne sont pas encore là ?

- Non, ils arriveront quand le Maître les appellera ! Il devait vous appeler aussi, enfin vous êtes déjà là…

Hermione regarda son bras pour voir la Marque, plus nette que jamais.

- Ca va brûler, lui dit Queudver.

- Ah. Charmant.

Hermione se dirigea donc dans la grande bibliothèque, alluma la lumière d'un geste machinal, attrapa le premier livre venu, et lut. Elle aurait tant voulu se rendre dans la maison des Malfoys, pour voir Draco tout de suite, mais c'était impossible, elle ne savait même pas où ils habitaient.

Puis, son bras se mit à la brûler avec intensité. Elle reposa le livre, et courut au dehors de la bibliothèque. Elle courut le long des couloirs, et tomba sur les Malfoys réunis qui entraient dans une pièce. Ils l'aperçurent et lui lancèrent un grand sourire. Elle les suivit et entra rapidement dans la pièce où Voldemort les attendait. Peu après, la douleur de son bras disparut.

Elle se retourna vers Draco qui la regardait dans un sourire. Il portait une magnifique robe vert foncé, et avait une écharpe argentée enroulée autour du cou. Mais cette fois-ci, ce fut lui qui s'approcha d'elle et la serra dans ses bras.

- Tu vas bien ? s'empressa-t-il de lui demander.

Mais Lucius tira Draco par l'épaule pour lui faire faire face au Seigneur des Ténèbres qui attendait.

- Bonjour Lucius, content de te revoir. Toi aussi Narcissa. Tu es venue avec Draco, ce n'était pas nécessaire, mais soit. Ah, et te voici Nina.

Les quatre Mangemorts ne répondirent rien, attendant.

- Je vous ai fait venir tous les quatre – enfin trois à la base – car j'ai, comme vous vous en doutez, une mission à vous confier.

Nagini siffla quelque chose d'incompréhensible à Voldemort qui lui répondit.

- Nagini me dit que Bellatrix t'a vue ce matin, dit-il à Hermione.

- Heu… oui.

Le Lord plongea ses yeux dans ceux d'Hermione, mais elle fit tout ce que lui avait conseillé Snape. Vider son esprit, et le repousser.

- Bref. Il y a un sorcier du nom de Patil qui…

- Le père de Parvati et Padma Patil ? s'exclama Draco.

- Oui. Il semblerait qu'il soit en rapport avec l'Ordre du Phénix…

Mais qu'est-ce qu'il raconte ce vieux gâteux ?

- … mais je n'en suis pas sûr. Lucius, Narcissa ou Nina, je veux que l'un de vous aille l'interroger. Utilisez tous les moyens de persuasion possibles et inimaginables, je suis presque sûr qu'il sait quelque chose.

Elles faisaient parties de l'AD… mais je ne pense pas que son père soit un fervent combattant de Voldemort…

- Nina, cette mission est pour toi si tu le veux, dit Voldemort.

Mais Hermione n'était pas très partante pour aller maltraiter voire tuer un sorcier du côté du bien. Elle en avait déjà trop fait. Mais si elle refusait…

- Si Nina ne peut pas, je peux y aller, proposa Lucius.

- D'accord, répondit Nina. Vas-y si tu veux…

- Très bien. Merci Lucius. J'attends ton rapport pour ce soir – ou le corps de Monsieur Patil.

Sur ces mots, Lucius s'inclina et transplana. Puis les trois autres sortirent de la pièce.

- On rentre à la maison Draco, dit sèchement Narcissa.

- Heu… je n'ai pas vu Nina depuis… depuis hier, et j'aimerais bien… commença Draco.

- Bon, oui, oui, tu peux rester. Nina, je compte sur vous pour prendre soin de lui. Mon fils chéri.

- Oui mère, tout ira bien.

- Bon, je vais aller voir Bella alors.

Narcissa Malfoy tourna les talons et partit. Draco attrapa Hermione par le bras et la tira jusque dans la bibliothèque. Une fois arrivés, Draco ferma la porte et reprit Hermione dans ses bras.

- J'ai eu si peur…

- Tout… tout va bien, assura Hermione, qui n'osait pas bouger.

- Quand je t'ai vue partir… j'ai eu si peur que Snape fasse quelque chose de pire que ma tante…

- Oh non, il a été bien plus sympathique.

- Tu me rassures…

- C'est vraiment la galère comme job… dit Hermione.

- Job ? s'étonna Draco, en desserrant son étreinte.

- Je voulais dire, être Mangemort…

- … c'est vrai. C'est difficile.

- Tu n'en veux pas un peu à ton père ? demanda Hermione.

- Pourquoi je lui en voudrais ?

- C'est à cause de lui que tu es Mangemort…

- C'est un peu vrai... mais si Tu-Sais-Qui n'existait pas, il n'y aurait pas eu de soucis comme ça… quand je pense qu'il aurait pu te tuer… te tuer toi ! Nina ! Depuis ça… je crois que mon avis sur le Maître a changé… Il aurait vraiment pu te tuer… il n'aurait pas hésité.

- Oui, c'est vrai, enfin ce n'est pas le plus grave… j'ai peur pour toi Draco. Tu n'es pas fait pour être Mangemort, malgré certains traits de ton caractère… tu n'es pas un tueur…

- Tu en es une pourtant.

C'était comme un coup de couteau. Elle sentit des larmes monter dans ses yeux.

- Mais tu ne comprends donc rien ! J'ai fait tout ça pour…

Elle s'arrêta, de peur de révéler la vérité. Et si Draco allait tout raconter à son père ? Non, il ne le ferait pas…

- Tout ça pour… ? dit Draco, curieux.

- Rien. Laisse tomber.

Hermione se laissa tomber dans un fauteuil, démoralisée. Draco s'approcha d'elle.

- Tu sais, il y a des jours où je me demande vraiment qui tu es… ce que tu fais là…

- Qu'est-ce que tu veux dire par là ? demanda Hermione, surprise.

- J'ai l'impression que tu n'es pas là pour aider le Seigneur des Ténèbres véritablement, dit-il d'un ton légèrement accusateur.

- Ta tante t'a parlé après que je sois partie et t'a convaincue que j'allais tous vous étriper ?

- Non, non… rien, laisse tomber toi aussi. Non, sur cette action, je la déteste. Elle aurait pu te faire tuer ! Je lui en aurais voulu toute ma vie !

- C'est vrai ? demanda Hermione dans un sourire.

- Oui.

Un long silence suivit ce simple mot qui était d'une importance majeure pour Hermione.

Il faut que je lui dise.

- Bon, heu, Draco, je ne suis pas très douée en déclarations en général… mais heu… voilà, en fait, moi aussi, j'ai eu peur de ne jamais te revoir… tu es très important pour moi, dit Hermione, en regardant ailleurs.

Draco tendit sa main à Hermione, qui la regarda, étonnée. Elle attrapa sa main, et Draco la leva de son fauteuil. Il l'attira contre lui. Il avait vraiment grandit ces derniers temps, et il faisait la même taille qu'Hermione version Nina Eadles. Hermione pouvait sentir le souffle du garçon, et n'osait pas bouger. Celui pour qui elle faisait tout ça… celui qu'elle avait haït, et qu'elle aimait à présent.

- Toi aussi, tu es très importante pour moi, lui dit-il dans un sourire.

Puis sans prévenir, sans éfléchir, Hermione attrapa la tête de Draco dans sa main droite, et déposa ses lèvres sur les siennes. Hermione se sentit envahie par une onde de chaleur, comme si elle goûtait au meilleur fruit du monde. Draco, d'abord surpris, répondit par la suite au baiser. Après une dizaine de seconde qui lui semblèrent une éternité, Hermione rompu le baiser et serra Draco dans ses bras de toutes ses forces.

- Désolée, je n'ai pas pu me contrôler…

- Ce n'est rien…

- Je ne sais pas pourquoi, mais je t'aime… c'est bête… mais je tiens trop à toi.

- Moi aussi, je t'aime, Nina.

Cette dernière réplique eut l'effet inverse d'une pareille déclaration.

Il aime Nina, il ne m'aime pas moi…

Elle ne répondit rien, et resta dans ses bras.

- Moi aussi, je ferais tout pour te protéger.

- Draco…

Hermione relâcha son étreinte et s'assit. Draco en profita pour s'asseoir à côté d'elle. Il bailla, et lui demanda s'il pouvait s'allonger sur elle. Elle acquiesça, et Draco s'allongea sur le canapé et posa sa tête sur les genoux d'Hermione.

- Draco… tu ne mens pas ?

- Comment je pourrais mentir, Nina.

- Je veux dire… j'ai tout de même dix ans de plus que toi.

- Et alors ? Ca ne se remarque même pas.

Hermione passa sa main dans les cheveux blonds du garçon.

Après tout, s'il aime Nina, il aurait très bien pu aimer Hermione…

- Dis-moi… si je te disais réellement qui je suis, tu m'aimerais encore ? demanda-t-elle d'une petite voix.

- Qui tu es réellement ? Mais tu es Nina Eadles.

- Oui, enfin…

- Ecoute Nina, je m'en moque. Je veux rester avec toi, voilà tout.

Un sourire se dessina sur les lèvres d'Hermione. Elle l'avait tant détesté, il l'avait tout autant détestée, mais là, elle pouvait le prendre dans ses bras, il lui répondrait autre chose que « sale sang de bourbe ». Non, il lui disait qu'il l'aimait, peu importe qui elle était. Elle était Nina Eadles.

Pourtant, que se passerait-il s'il apprenait la vérité ?

S'il t'aime vraiment, il s'en moquera…

- Draco, j'aimerais que tu quittes les Mangemorts, c'est trop dangereux pour toi, finit par dire Hermione.

Draco se releva d'un coup, et se tourna vers Hermione.

- Je ne vais pas te laisser toute seule ici !

- Je pourrais te suivre…

- Tu es folle, on se ferait tuer tous les deux. Non, je préfère endurer la vie de Mangemort et rester avec toi. Tu sais, le Maître, c'est servir ou mourir. C'est trop tard. Nous avons la Marque.

- Mais ce n'est jamais trop tard…

- Tais-toi, idiote ! Tu ne sais rien de tout cela. Et maintenant approche-toi que je t'embrasse, Nina la suicidaire.

Hermione s'approcha et Draco l'embrassa à nouveau. Qu'allait-il advenir, maintenant ?

- Draco, je veux rester avec toi…

- Nous ne nous sommes même pas encore quittés, répondit le blond.

Draco fit s'allonger Hermione sur le canapé et reprit le baiser. Il passa une main sous la robe de la sorcière, qui du retenir un petit cri de surprise. Mais un craquement sonore les arrêta. Draco se releva lentement, et se tourna face aux nouvelles venues.

- … je dérange peut-être ? demanda Narcissa.

- Non mère, je…

- Que faisais-tu avec elle ! s'écria Bellatrix qui se tenait à côté de sa sœur.

- Je fais ce que je veux, répliqua Draco d'un air de défi.

- Tu embrassais cette… commença Bellatrix.

- Cette adorable Nina, termina Narcissa.

- Enfin, Cissy !

- Elle a délivré mon mari ! Elle protège mon fils ! Je ne vois vraiment pas ce que tu lui reproches ! répondit Narcissa d'un ton brusque.

- Mais enfin, c'est une jeune adulte en plus…

- Mon fils se met en couple avec qui il veut, du moins ça ne te regarde pas !

- Cissy…

- Bella, quand vas-tu cesser d'être jalouse et de ne faire confiance à personne ? Tu ne fais même pas confiance à Severus !

- Non, je ne lui fais pas confiance ! Et à elle non plus !

Hermione et Draco regardaient les deux sœurs se disputer, et échangèrent un regard complice. Draco tira Hermione du canapé, et se dirigea vers la porte.

- Où aller vous ? rugit Narcissa.

- On vous laisse vous disputer, mère. Mais sachez ma tante, que ma mère a raison, ça ne vous regarde pas. J'aime Nina et rien ne me séparera d'elle.

- Bien dit, mon fils, dit Narcissa. Et maintenant, Bella, s'il te plaît, je n'aime pas me disputer avec toi…

Bellatrix se tu, et sortit de la pièce, le regard noir. Narcissa la suivit en l'appelant.

- Mais enfin, c'est une Mangemort très fidèle, elle est très gentille… BELLA !

- Viens, laissons-les régler ça entre elles, dit doucement Draco.

- Pourquoi est-ce qu'elle ne m'aime pas ?

- Elle est jalouse. Jalouse… de ta beauté… de ton charisme… de ton intelligence… de toi.

Draco la prit par la taille et la colla à nouveau contre lui. Il passa sa tête sur son épaule.

- Rien ne nous séparera, Nina.

- Rien…

- Je t'aime Nina…

Et Hermione aussi t'aime…

- Peut-être qu'un jour, tu m'aimeras vraiment…

Draco ne comprit pas le sens de ces dernières paroles, mais ne répondit rien, préférant rester dans les bras de la femme qu'il aimait.

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Mais y avait quelqu'un qui n'était définitivement pas prêt à les laisser tranquille. Et elle aussi, rien ne la séparerait de son avis et de ses choix…


A suivre...

J'espère que vous avez bien aimé, je trouve ça pas trop trop mal moi... on a vu pire, disons. Bon, on a vu mieux, j'admets. Mais... des 'tites reviews, non ? xD