Chapitre 2: premières larmes

La pénombre dominait Brokeback mountain, pendant que Jack suivait le Pick up d'Ennis qui se dirigeait vers Signal comme il avait fait tant de fois au paravent. Chacun semblais indiferent à la présence de l'autre comme s'il était deux étranger qui empruntait le même chemin. Une paix et un agéable silence régnait sur la route. Chaqu'un analysait ses propres sentiment. Ceux de Jack était bien simple, il ne pouvait rien n'éprouver d'autre qu'une intense joie. L'inquiétude s'emparait d'Ennis comme un vulgère objet sans valeurs aparente. Pour lui, ce que serais demain était un mystère entrein de se dévoiler petit a petit, prenant tout son temps et cela l'effrayait au plus au point.

La piteuse demeure d'Ennis découragait Jack, il ne voulait pas croire que celui qu'il aimait s'était rédui à habiter cet horrible et petit taudis. En entrant, Ennis inspira un bon coup. Cette odeur famillère allait terriblement lui manqué. Il ramassa quelques affaire sans trop faire attention et il les fourra dans son sac de voyage, sous l'oeil exaspéré de Jack.

Avant de quitté Signal Ennis demanda à Jack de s'arrêter afin qu'il puis avertir Alma de son départ .

"- Alma ! C'Ennis !

- Hee... B'jour

- Je pourrai pas prendre les filles...

- Ennis, j'ai besoin de ses jours de congé, pourquoi tu les prendrais pas ?

- Je part en voyage et c'est pour longtemps.

- Merde Ennis !

- J'essayerai de venir les voir !"

Ennis lui avait racrocher le téléphone au nez. Il détestait parler au combiné encore plus avec Alma ou même Jack. Deplus, la culpabilité et l'amertume l'avait envahi. Il se sentait affreusement mal face à ses deux charmantes jeunes filles.

Dans l'étroit Pick up de Jack, Ennis alourdissait le silence en l'emplissait de culpabilité, d'amertume et d'égoïsme. Le temps leur semblait affreusement long, dans se lourd silence privée de toute radio. À chaque deux heures, ils échangaient de rôle afin que chaqun puis dormir un peu.

Ils avaient fait le trajet d'une traitre. Ennis qui n'avait jamais vu le Texas ressemblait à un enfant devant une tounes de cadeau inspéré. Quant à Jack, le Texas était comme Signal pour Ennis, un endroit familler. La chaleur acceuillante du Texas carressa leur visage visiblement fatigué par par leur quatorze heures intensive de route.

La fragilité du silence était facilement brisé par le faible bruit des éprons des deux cow-boy à chaque pas qu'ils fessaient . Lureen et Boby dormait à point fermé. Dans un silence remplit de respect pour les deux âmes endormit, Jack insita Ennis à prendre la chambre d'amis pour un temps. Ce qu'il accepta à contre-coeur, ne voulant pas mettre la femme de Jack mal-à-laisse. Ce qu'il fit sans l'avoir vraiment voulu. Quelque jours s'était écouler et Ennis travaillait avec acharnement, Jack lui avait trouvé un petit boulot pour qu'Ennis ne s'enmerde pas trop pendant que Jack travaillait. Bobby apprésait énormément la présence d'Ennis au grand désarois de sa mère.

Un jours où il partageait la tâche de réparé un des tracteur qu'il venait de vendre, quatre homme assez compullents leur tombèrent dessus. Sans raison apparente, Ennis se doutait de se qui était pour arriver. Il l'avait imagé, tant de fois après la mort de Jack, comment les coups avait-il pu être aussi fort. Une violence accablante s'était abbattu sur eux. Ils en avaient chacun deux. Malheureusement pour Ennis, il était tomber sur ceux qui avait le démonte pneu. Il su immédiatement le sort qu'il l'attendait.

Les coups poings que recevait Jack étaient chaque fois plus fort que le précédent. Il réussiait à les repousser tant bien que mal, mais lorsqu'il vit Ennis, incapable de se défendre,coucher au sol , rué de coups de pied et couvert du sang qui ématais de chaque coups du démonte pneu plus cruelle les uns que les autres, un sentiment completement indescritible l'avait gagné...