Septième partie

Apres les fêtes, Eleonor retourna en Amérique et c'était la rentrée scolaire pour les enfants. Les enfants laissèrent les enfants un peu tranquille après toutes les émotions du jour de l'an.

Terry alla à l'hôpital pour voir Candy. Il ne pouvait pas arrêter de penser a elle. Elle fut surprise de le voir.

- Terry, dit-elle, bonjour…

- Bonjour, dit-il

- Je peux faire quelque chose pour toi ? C'est au sujet de Nellie ?

- Oui…

- Qu'est-ce qui ne va pas ? Demanda Candy inquiète

- Elle va bien, ne t'en fais pas. Je suis venu pour donner mon appui à vos recherches avec un chèque et je vais commencer à donner de l'argent régulièrement pour d'autres recherches, si c'est nécessaire…

- Oh, dit Candy surprise, c'est très généreux de ta part. Merci Terry, merci beaucoup

- Je veux que toi et tes collègues continuiez vos recherches ; vous avez sauvé la vie de ma fille ! Et si vous pouvez sauvez d'autres comme ça, ça serait magnifique…

- Merci pour ton support, Terry

- Merci d'avoir sauvé ma fille. C'est l'heure du déjeuner, dit-il, tu veux venir manger avec moi ?

- Oui, dit-elle en souriant, avec plaisir…

- Mais, s'il te plait ! Je t'amène dans un restaurant, tu ne vas pas me tuer encore avec la nourriture de l'hôpital !

Candy éclata de rire.

- D'accord, sortons pour le déjeuner, dit-elle, j'aimerai aussi avoir un bon repas…

- Allons-y alors !

Elle prit son manteau et elle partit avec Terry, en parlant et en riant. Stewart qui passait par là, les vit ensemble, et il pouvait sentir leur attirance mutuelle. Candy était peut être entrain de se remettre du chagrin de la mort de son mari, mais elle paraissait très très amicale avec le duc de Grandchester…

Candy et Terry se comportaient comme des amis. Ils ne parlaient pas du baiser de la nouvelle année. Terry était toujours fiancée à Livvie et Candy était toujours amie avec Stewart. Les enfants étaient ravis, mais il ne se passait rien.

- Et bien ils font du progrès, dit Mike, ils parlent et ma mère ne pleure plus…

- Mais mon père est toujours fiancé à la reine des araignées…, mais il y a un autre évènement qui vient, on pourra les laisser encore ensemble.

- Ils passent beaucoup de temps ensemble

- Dans des endroits publiques… l'anniversaire de mon père arrive et mon présent sera un dîner pour deux avec ta mère…

- Rien qu'eux deux ?

- Oui…

- Mais il est fiancé, Nellie. Il ne voudra peut être pas dîner avec ma mère à ta demande…

- Après la façon dont il l'a embrassé le jour de l'an ? Je pense que oui, justement…

- Il est toujours fiancé à Livvie, peut être qu'il voudra passer son anniversaire avec elle…

- Tu as raison, elle va tout gâcher… laisse-moi m'occuper de ça…

Mike dit à sa mère que c'était bientôt l'anniversaire de Terry et que Nellie voulait lui faire une surprise-partie.

- Une surprise partie ? Dit Candy

- Oui, tu ne peux rien lui dire… nous allons être au château en fin d'après midi pour tout arranger dans un des salons… c'est dimanche

- D'accord, dit Candy, je vais lui acheter un cadeau…

- Tu l'aimes bien n'est-ce pas ? Demanda Mike en souriant

- Je t'ai dit que nous étions amis jadis, dit Candy

« Des amis amoureux qui voulaient passer leur vie ensemble… » Dit Mike dans sa tête.

- Maman, ça ne me dérangerait pas de te voir avec le duc, dit Mike

- Quoi ? Dit Candy surprise

- Oui, maman. Depuis que tu passes tu temps avec lui, tu es plus heureuse… il te rend heureuse…

- Il est fiancé à une autre femme…

- Vous êtes de vieux amis ; tu le chiper…

- Mike !

- Je ne plaisante pas. Pense un peu ; si tu épouses le duc, Nellie et moi devenons frère et sœur… ça sera super de tous vivre dans la même maison ensemble…

- Michael Durand Junior ! Qu'est-ce que tu radotes ?

- Maman… je suis désolé, si je t'ai offensée. C'est seulement une suggestion… c'est parce que je ne t'ai jamais vu aussi heureuse et le duc est celui qui te rend si heureuse. Il est de meilleure humeur aussi, dernièrement…

- Vraiment ?

- Oui. Avant il était gentil seulement avec Nellie, mais maintenant, il est gentil avec tout le monde ; moi, le personnel…

- Sa fiancée…

- Euh apparemment, d'après Nellie, elle ne passe plus la nuit au château…

- Mike !

- Et bien tu veux savoir s'ils dorment dans la même chambre, n'est-ce pas ?

- Je…

- Je te dis seulement qu'elle ne passe plus la nuit. Il a changé et c'est grâce à toi, j'en suis sure…

Candy ne répondit pas. Elle était heureuse de passer du temps avec Terry. Il était gentil avec elle, et elle aimait beaucoup être en sa compagnie. Mais ça n'était rien de romantique ; il était un ami, ils parlaient du passé, mais seulement des souvenirs drôles, et elle lui parlait aussi des autres en Amérique.

- Et bien, je ne suis qu'une vieille amie, dit Candy et je suis contente qu'il soit plus gentil…

Mike la regarda en souriant. Elle ne lui avait toujours pas dit que Terry et elle avaient été amoureux dans le temps ; elle ne voulait certainement pas trop le troubler après la mort de son père.

Le jour de l'anniversaire de Terry, le temps était très mauvais. Il neigeait fort et il y avait du vent. Nellie avait tout arrangé pour un dîner aux chandelles, pour son père et Candy. Candy pensait qu'il y aurait une surprise partie, mais quand elle arriva au château, personne n'était là…

- Ou se trouvent les autres ? Demanda-t-elle à Nellie

- Tout le monde se cache, mais tu dois attendre papa. Tu vas le faire entrer au salon, alors attends-le dans son bureau. Mike et moi devons aller quelque part, mais on sera là juste à temps pour la surprise…

Candy pensait que c'était un peu étrange mais elle fut d'accord. Elle alla attendre Terry dans son bureau. Elle était entrain de lire un livre pour passer le temps et elle tomba sur un manuscrit ; c'était une histoire pour une pièce de théâtre, plusieurs histoires en fait… il pensait toujours au théâtre pour qu'il écrive de la sorte. Elle se sentit toute heureuse, il allait peut être redevenir acteur un jour ; sa passion. Il avait tellement tu talent. C'était dommage de gaspiller un tel talent. Elle ne savait pas combien de temps elle resta dans le bureau, quand elle entendit du bruit. Elle remit le manuscrit sur le bureau. Terry entra.

- Candy, dit-il en souriant, qu'est-ce que tu fais ici ?

- Et bien je suis venue te voir, dit-elle en souriant

- Oh, quelle bonne surprise, dit-elle en souriant, le temps est très mauvais dehors. Il y a une tempête…

- Vraiment ? J'espère que je n'aurai aucun problème pour retourner à la maison

- S'il y a un problème, tu peux passer la nuit ici…

« Passer la nuit ? Et tous les invités alors ? » Se dit Candy dans sa tête.

- Merci, Terry. Allons au salon, dit Candy

Elle se demanda où étaient les enfants. Ils n'étaient pas revenus la voir, ils se cachaient probablement dans le salon…

Ils ouvrirent les portes du salon et Candy alluma la lumière et dit :

- SURPRISE !

Mais le salon était vide. Il y avait une table pour deux personnes, avec deux assiettes, deux verres, deux chandeliers, et des serveurs qui les attendaient. Une musique douce était entrain de jouer. Candy était aussi surprise que Terry.

- Wow ! Candy, quelle belle surprise ! Dit-il

- Bon anniversaire Terry ! Dit-elle un peu incertaine

Que diable se passait-il ? Où était tout le monde ? Et les enfants ? Elle se souvint de sa conversation avec Mike… Oh, il était entrain de la piéger avec Terry ! Lui et Nellie ! Elle ne savait pas si elle devait être contente ou en colère… elle allait dîner avec Terry.

- Merci, Taches de son, dit-il en souriant, comment as-tu su ?

- Nellie…

- Bien sur…

Les serveurs les attendaient et ils les aidèrent à s'asseoir à table en tirant les chaises pour eux. Il y avait une carte pour Terry sur la table. Il la prit et la lut.

« Bon anniversaire papa ! Je voulais tu aies un bon dîner avec Dr. Candy. S'il te plait, c'est mon cadeau pour toi ; un bon dîner avec une jolie femme aux taches de son… Je t'aime. Nellie »

P.S. Dr. Candy doit être aussi surprise que toi, je lui ai dis q'elle t'amenait à ta surprise-partie avec beaucoup de gens…

Terry sourit, sa fille était la plus gentille et elle lui avait fait le plus beau cadeau qui soit ; un dîner et du temps avec sa dame aux taches de son.

Le dîner fut superbe. Terry était adorable, et le vin aussi était très bon. Le dessert était bien sur un beau gâteau aux fraises avec de la crème fraîche. C'était délicieux. Candy en mangea beaucoup.

- Ce gâteau est fantastique ! Je veux la recette…

- Pourquoi ? Demanda Terry, tu ne sais pas préparer !

- Comment oses-tu dire ça ? Dit-elle en souriant, viens chez moi et je vais préparer pour toi…

- Vraiment ?

- Oui, vraiment ! J'étais mariée et je préparais…

- En étant docteur ? Allons tu avais certainement une bonne ou une cuisinière

- Oui, mais je préparais… parfois, dit-elle en riant, et je peux faire un gâteau

- Faire un gâteau ? C'est encore plus difficile !

La musique qui jouait était la valse du Festival de mai, celle qui l'avait mise en colère parce qu'elle avait pensé à Anthony…

- Tu veux danser, Taches de son… ?

- Pour que tu me pousses encore parterre ?

- Je suis désolé, c'était enfantin de ma part… laisse-moi me racheter

- Mais la musique…

- La musique est très belle ; et c'est aussi la première musique sous laquelle nous avons dansé…

- Et c'est important parce que…. ?

- C'est mon anniversaire, Taches de son. Tu dois être gentille avec moi aujourd'hui… allons, Princesse Juliette…

Elle le regarda et il souriait…oh pourquoi pas ? C'était son anniversaire !

- D'accord Roméo, ne me pousse pas parterre…

Il prit sa main et il l'attira contre lui, très près.

- Ne t'en fais pas, dit-il doucement, ça c'était un adolescent jaloux d'un garçon qui était déjà mort… il n'est plus là maintenant…

- Oh c'est dommage… dit-elle doucement, j'avais un faible pour lui…

- Même s'il t'a poussée parterre ?

- Ce n'était pas de sa faute, c'était la mienne. Je n'aurai pas du parler de tu sais qui, pendant que je dansais avec lui…

- Sa réaction était un peu brutale…

- Il était blessé, c'est compréhensible…

- Tu es très compréhensible alors…

Ils dansaient comme s'ils flottaient dans les airs. Ils se sentaient bien ; souriant, riant. L'amour était dans l'air. Le dîner surprise, le vin, la musique, la danse…

Quand la musique s'arrêta…

- Voici ce qui aurait dû arriver, au lieu de te pousser parterre…

Il se pencha et il mit ses lèvres sur les siennes. Elle ferma les yeux et répondit au baiser… oui, la première fois, c'est ce qu'il aurait dû faire… il s'arrêta et ils se regardèrent.

- Je crains que si tu avais fais ça, je t'aurai giflé, dit-elle avec une petite voix

- Et je t'aurai giflé en retour…

- Moi aussi, dit-elle en souriant

- Et bien c'est une bonne chose que nous sommes tous les deux plus murs et pouvons apprécier la chose à sa juste valeur…tout le plaisir

- …et les sensations délicieuses qu'un baiser éveille en nous…

Il se pencha et l'embrassa à nouveau. Elle le serra plus près d'elle et elle était sur un nuage. Il la porta et il monta les escaliers avec elle en l'emmenant dans sa chambre sans lâcher ses lèvres. Dehors, la neige tombait fort et le vent soufflait aussi fort, c'était une tempête de neige. Il faisait très froid dehors ; personne n'osait mettre son nez dehors. Pour Candy et Terry, ils étaient à l'intérieur, dans les bras de l'un et l'autre, entrain de savourer, ce qui aurait dû être il y a des années, pour la première fois…

Le désir qu'ils avaient l'un pour l'autre avait grandi avec leur sentiments au cour des années… Terry déshabilla Candy doucement et elle le déshabilla aussi. Il l'embrassa au cou et elle gémissait. Il défit le lit à baldaquin et ils étaient tous les deux dessus, sans se lâcher. Candy pensait qu'elle était folle, mais tout semblait si juste, elle était avec Terry, l'homme qu'elle aimait, l'homme de ses rêves, surtout depuis qu'elle avait revu en Angleterre. L'amour était dans l'air. Terry avait la femme de ses rêves dans ses bras et il arrivait à peine à y croire. Elle était si belle, elle était comme dans ses souvenirs, comme il y a toutes ces années, mais elle était bien sur plus formée et plus voluptueuse et il se mit a caressé sa poitrine doucement avec ses mains, avec sa bouche, comme s'il voulait que la sensation dure, comme s'il n'arrivait pas à croire qu'elle était vraiment dans ses bras et qu'elle répondait à tous les mouvements que faisaient son corps. La sensation était exquise ; aucun des deux n'avaient ressenti ça auparavant, la sensation que tout était comme ça devait être, qu'ils se complétaient...les amena doucement, mais sûrement et intensément au sommet de la volupté en les faisant crier leur plaisir mutuel. Ils restèrent dans les bras de l'un et l'autre sans dire un mot.

L'amour est dans l'air

Partout où je regarde

L'amour est dans l'air

Tous les regards et tous les bruits

Et je ne sais pas si c'est de la folie

Je ne sais pas si je suis sage

Mais c'est quelque chose a la quelle je crois

Et c'est la lorsque je te regarde dans les yeux

L'amour est dans l'air

Dans les murmures des arbres

L'amour est dans l'air

Dans le tonnerre de l'océan

Et je ne sais pas si je rêve

Je ne sais pas si je suis saine

Mais c'est quelque chose à laquelle je crois

Et c'est la quand tu m'appelles

Ils s'endormirent pour quelques minutes et ensuite… ils recommencèrent… Ce nouveau plaisir, dont ils étaient privés, pour la plupart de leur vie, était quelque chose, qu'ils passèrent la majorité de la nuit à savourer au maximum.

Candy se réveilla de son long sommeil seule sur le lit. C'était le matin et le soleil entrait par une des fenêtres de la chambre du maître du château. Où était Terry ? Il sortit de la salle de bain adjacente, torse nu.

- Bonjour, dit-elle en souriant

Il ne répondit pas. Elle était un peu surprise. Que se passait-il ? Il lui battait froid ?

- Terry, qu'est-ce qui se passe ?

- Tu devrais t'habiller et rentrer chez toi, ton fils doit être inquiet…

- Mon fils est un grand garçon. Il peut se débrouiller sans moi pour un moment… Terry qu'est-ce qui se passe ? Et hier soir ?

- Quoi ça hier soir ? Dit-il brusquement, ça n'aurait pas dû arriver

- Quoi ?

- Je suis fiancé…

- Tu es fian…alors qu'est-ce que j'étais ? Une aventure d'un soir ? Ta prostituée pour la soirée ! Cria-t-elle

- Ma fille m'a demandé de dîner avec toi…

- Oh… alors tu as couché avec moi pour faire plaisir à ta fille !

Elle se sentit tellement blessée, elle était en rage, elle avait des larmes qui coulaient sur ses joues.

- Candy, ne rend pas les choses plus difficiles qu'elles ne le sont…

- Difficile ? Difficile ? Difficile c'était te laisser à ta collègue qui était follement amoureuse de toi, qui avait perdu sa jambe en te sauvant la vie ! Ça…c'est méchant, pathétique !

- Qu'est-ce que tu croyais ? Que j'allais tout laisser tomber pour être avec toi ? J'ai ma vie, et tu le sais…

- Je ne t'ai rien demandé ! Je suis venue pour ta surprise-partie sans savoir que j'étais ton cadeau pour la nuit ! Comment peux-tu me traiter de la sorte ! Dit-elle en pleurant, comme une vile prostituée, une traînée ?

- Candy, s'il te plait, je t'ai pas forcé à monter ici…

- Oh mon Dieu ! Tu m'as fait mal quand tu es resté avec Susanna, mais ça n'était rien comparer à ce que je tu me fais maintenant !

Elle se leva, nue et elle ramassa ses sous vêtements, et elle se mit à les porter et ensuite elle s'habilla.

- J'ai ma vie, tu as la tienne… une partie de jambe en l'air ne signifie rien, dit-il froidement

- Ouais, tu fais ça tous les soirs, n'est-ce pas ? C'est insignifiant pour toi ! Ne t'en fais pas, je ne vais pas faire de scène, tu peux épouser ta chère Livvie ! Je me suis trompée en pensant que nous étions sur la même longueur d'ondes. Mais plus jamais !

- Tu crois que parce que j'ai couché avec toi que je vais retomber miraculeusement amoureux de toi ? On a déjà essayé, ça n'a pas marché ! On a couché ensemble, ça arrive tous les jours ! Remets-toi de tes émotions !

Candy se sentit comme si on lui avait enfoncé un couteau en plein cœur.

- Je ne veux plus jamais te revoir ! Dit-elle en pleurant et en sortant de la chambre

Elle sortit de la chambre et elle chercha son manteau et son sac à main et elle sortit du château. Il ne neigeait plus et elle fut en mesure d'arrêter un taxi qui la ramena à la maison. Elle alla tout droit dans sa chambre et elle prit un long bain sans arrêter de pleurer. Elle sortit de son bain et elle s'habilla. On frappa à sa porte.

- Maman ? Appela Mike de la porte

- Mike, dit-elle avec un sanglot dans la voix

- Maman, dit Mike en entrant, qu'est-ce qui ne va pas ?

- C'est rien…

- Que s'est-il passé hier soir ?

- C'est rien. Ne t'en fais pas pour moi…

- Mais tu es bouleversée…

- C'est des choses de grandes personnes, ça va aller

- Je peux faire quelque chose pour toi ? Tu n'as besoin de rien ?

- J'ai seulement besoin de me reposer, bébé. Va à l'école…

- D'accord. Appelles-moi à l'école si tu as besoin de moi…

- D'accord. Aurevoir bébé

- Aurevoir maman.

Elle resta dans sa chambre et elle continua à pleurer ; elle n'arrivait pas à croire ce qui venait de se passer…