Fanfic : Draco Malefoy et Pansy Parkinson
Qu'est ce que l'amour ?
Il neige dehors. Il fait froid. Il n'est plus la. Facile d'oublier si l'on a pas connu. Il est sortit aujourd'hui. Mes cheveux noirs lissent autour de mes oreilles et ma frange retombe tristement. Mariée à 15 ans, ma destinée a été formée et planifiée depuis ma naissance. Mais, un imprévu a détonné dans ma vie ; je suis tombée amoureuse de lui. Cet étrange Mangemort blond, prétentieux, égoïste, égocentrique ; c'est à cause de toutes ces raisons que je l'aime. Je l'ai toujours aimé .Je l'aimerais toujours.
Il rentre. Je dois penser à reprendre ma voix aigue.
-Bonjour mon amour, comment c'est passé ta journée ? - Tu as préparé le repas ? Me grogne il sans autre préambule.
- Oui chéri, tout est dans la cuisine.
Il ne répond rien, balance sa cape à l'autre bout de la pièce et vas retrouver son entrecôte.
Je soupire silencieusement. Il lui faut un héritier et c'est la seule raison qui le retient. Il adore se sentir admiré, même si c'est par moi. Il n'a jamais eu l'affection d'une mère, enfin…je pense.
Mais aujourd'hui, je me venge. Aujourd'hui, la honte tombera sur lui et toute sa lignée de sang pur.
Ah. Il va se coucher ; sur la pointe des pieds je m'approche du sabre de Salazar Serpentard, qui orne la cheminée. Je le décroche. D'un coup sec, je me l'enfonce dans l'estomac, à un endroit précis, juste au dessus de l'estomac, Sa me laisse 10 minutes avant de mourir. Sa brûle mais je m'y attendais… J'ai fait des études de potions, et beaucoup étudié le corps humain : tout peut être contrôlé.
Je me dirige à grand peine vers la chambre commune. Il dort. Tant pis, j'aurais voulu qu'il me voit sourire. Ma baguette a la main, je murmure : « soknores », il ne faut pas laisser ses manuscrits de magie noire traîner, mon petit mari ! Il se rappellera la sensation que lui as procuré m'enfoncer cette lame dans le corps. Ce ne sera qu'une suggestion de son cerveau mais tout le monde y croira.
« Même toi » je lui souffle dans l'oreille. Je lui agrippe les mains, au sabre. Ses doigts prennent une couleur rouge, à cause de mon sang. Avec son index écarlate, je trace en capitale sur le mur face au lit : « Voldemort est un crétin » Et la je ris, je ris, je meurs de rire. J'étouffe un peu à cause de la douleur en bas de mon abdomen. Plus que 3 minutes environ. Je le repose a grand mal sur le grand lit a badalquins vert. Je le regarde et les larmes s'échappent…. Il est si beau, si pâle, si sombre, allongé sans défense et sans son rictus habituel…
Je suffoque. Alors dans un dernier soupir, j'exhale : « je te l'ai jamais dit, sale enflure. » Je gémis et expire sur un « je t'aime » plaintif.
