Heya !
Salut aux nouveaux, nouvelles et à ceux et celles qui ont déjà lu la première version de cette histoire !
Comme promis, je reviens sur feufeunet avec la ferme intention d'y remettre les pieds, bien davantage que ces derniers mois voire cette dernière année. Je m'excuse sincèrement pour les messages laissés en attente, auxquels j'ai normalement répondu ce week-end !
Je vous avais demandé si la réécriture d'Abbynette and co vous intéressait, car je n'étais plus satisfaite de l'histoire ni du ton que prenait la fiction… Vous avez été enthousiastes pour une réécriture, et je vous en remercie, car je pense que publier va beaucoup m'aider à garder la motivation pour continuer ! Pour les nouveaux, nouvelles venu.e.s, vous ne ratez rien si vous n'avez pas lu la première version, et celleux qui ont lu la première version, eh bien certaines surprises n'en seront plus tellement, hihi !
Pour l'instant, quatre des dix chapitres prévus pour la première année sont prêts. Le chapitre 1 ne devrait d'ailleurs pas tarder à sortir, stay tuned pendant la semaine hihihi.
Concernant l'écriture, vous retrouverez dans le prologue et les deux premiers chapitres un style que j'utilisais jusque là – j'ai nommé le passé simple youhou. Par contre, à partir du chapitre 3, roulez jeunesse, j'ai décidé de m'essayer à écrire au présent. Je sais pour en avoir discuté avec d'autres auteurs/autrices du net que c'est pour certains difficile de lire au présent, car inhabituel. De mon côté, maintenant, j'en raffole, à la fois en lecture comme en écriture !
Concernant la première version, j'ai décidé de la laisser sur mon profil, si jamais.
Je ne sais pas trop quoi rajouter à part que je ne possède pas les personnages ou l'univers de J.K. Rowling, ah oui, et aussi qu'Abby et la Reine des Neiges de Disney n'ont RIEN à voir (je préfère le redire, au cas où, hein…). Même si le deuxième film est vraiment joli et les musiques sont tops (mais l'histoire nulle, et on peut en parler autant que vous voulez, je campe sur mes positions, tant pis si je perds des lecteurices pour ça haha), merci de ne pas me faire la réflexion, car c'est un peu usant, à vrai dire haha.
Sur ce, je vous laisse avec le prologue, fufufu !
Petit edit de mai 2020 : Je me rends compte que je peux mettre un petit warning tout de même, car cette histoire n'est pas sponsorisée par les trompettes et les petits oiseaux. Elle parlera de pas mal de choses pas évidentes, la relation avec la famille, l'angoisse (pas le Angst, l'autre, celle qu'on a à peu près tous et toutes vécue pendant le confinement et qu'on continue à vivre pour certain-e-s), la différence, la douleur (sans violence physique, ou s'il y a je préviendrai, ce n'est pas prévu en tout cas), la culpabilité. Je ne suis pour ainsi dire pas sûre que ce soit une fiction à lire quand vous allez mal, disons qu'elle n'est pas feel good (par moments, peut-être, mais souvent : nope).
Voilà, je ne sais pas si ça sert vraiment de faire cet edit, mais j'avais envie et besoin de faire un petit point quand même. Car rien que dans ce prologue, tout n'est pas rose, et il est même assez dur.
J'espère que vous passerez un bon moment quand même sur cette histoire qui est très chère à mon petit coeur d'autrice hihi.
Prologue
C'est au numéro 2, Meadowsweet, dans une petite banlieue tranquille de Stamford, que Ian et Alison Swann avaient décidé de s'installer peu après leur mariage. Ils y coulaient des jours paisibles, partaient chaque matin pour leur lieu de travail, avaient adopté un chien aussi aimé qu'aimant que les enfants du voisinage venaient régulièrement caresser et nourrir. Leur vie était aussi ordinaire que celle de leurs voisins, à l'exception de ce désagréable secret que Mrs Swann tentait de répudier en vain ; sa belle-sœur était une sorcière.
Alison Swann abhorrait depuis toujours tout ce qui pouvait déranger son quotidien rationnel et ordonné. Quand son mari lui avait annoncé, l'air empreint d'une gravité décidée, qu'il avait besoin de lui parler de quelque chose d'important, elle avait naturellement pensé que quelque chose le chagrinait dans leur couple. Elle avait même été prête à se remettre en question, pourvu qu'il ne décidât pas de la quitter après seulement quelques merveilleux mois de mariage. Au lieu de l'affreuse conversation qu'elle s'était imaginée, il lui avait pris les mains et l'avait regardée dans les yeux.
— Ma sœur est une sorcière.
Ce à quoi elle n'avait d'abord rien répondu, hésitante et trop confuse pour réagir. Ian avait guetté le moindre signe d'horreur ou de surprise, mais elle lui avait seulement posé une main sur la joue.
— Toutes les sœurs sont insupportables, Ian, mais ça ne fait pas de Coleen une sorcière.
Après un instant à la scruter, son mari avait fermé les yeux et soupiré. Alison, très vite agacée, avait essayé de se remettre au gâteau qu'elle préparait pour l'anniversaire de sa sœur. Ian s'était alors confondu en excuses grotesques, avait tenté de lui expliquer la venue de ce très vieil homme à la barbe si longue et argentée qu'il eût pu avoir au moins cent ans, qui, assis dans le canapé de ses parents, avait expliqué à son aînée qu'elle était dotée de pouvoirs magiques et qu'elle était inscrite à l'école de Sorcellerie Poudlard, où elle était restée pendant sept longues années, partant en septembre et ne revenant qu'en juin de l'année suivante.
Refusant de croire à pareilles âneries, Alison lui avait ri au nez mais plus jamais elle ne considéra Coleen comme auparavant. Son comportement envers elle, ses enfants et son mari se transforma au fur et à mesure que les mois passaient - elle les invita moins à dîner, refusa poliment leurs invitations et faisait en sorte de ne jamais se présenter aux repas familiaux, allant même jusqu'à hésiter à leur annoncer sa première grossesse, ce qui entraîna des disputes virulentes entre Ian et elle. Pourtant, elle niait aveuglément que la magie pût exister dans son monde - elle ne se trouvait que dans les livres pour enfants, tout le monde le savait, et même si certains émettaient l'idée qu'elle se trouvât parmi eux, ce n'était qu'une tentative onirique et désespérée d'échapper à un quotidien trop morne. Non, décidément, elle n'y croyait pas et n'y croirait jamais.
À la naissance de leur fils, Coleen leur offrit avec fierté un petit balai.
— C'est un balai-jouet, l'entendit-elle expliquer à son frère sans remarquer son teint soudainement livide. Je sais qu'il est bien trop jeune mais je me suis dit qu'un jour peut-être, avec un peu de chance, il fera un magnifique joueur de Quidditch.
— Merci, répondit misérablement Ian sans croiser le regard outré que lui lançait Alison.
Et il s'empressa de renvoyer Coleen dehors avant d'abandonner l'objet dans un coin de la pièce. Il avait peut-être espéré qu'Alison n'avait pas entendu mais c'était trop tard, l'horreur l'avait déjà frappée. Se pouvait-il que leur fils devienne un sorcier ? Était-il possible qu'il développe des pouvoirs magiques alors qu'elle n'en avait aucun et que son mari non plus ? Elle tenta de rire. La magie n'existait pas, n'est-ce pas ? voulut-elle dire mais le regard éteint de son mari l'empêcha de prononcer un seul mot. Elle jetterait ce maudit balai dès sa sortie de la maternité, et ils n'en parleraient plus jamais.
Ils n'en parlèrent plus. Alison refusa de donner le moindre cadeau quand, un mois plus tard, au début de janvier, le fils de Coleen fêta sa première année. Elle guettait constamment des réactions de son enfant prouvant qu'il possédait des pouvoirs magiques mais le petit William Swann était, fort heureusement, tout ce qu'il y avait de plus normal. Ian ne parlait plus de magie et d'école de sorcellerie. Il s'occupait de son fils normalement, le traitait comme tous les enfants normaux. Le quotidien des Swann n'était pas dérangé par des quelconques histoires cabalistiques, merci bien.
Will n'avait que dix mois quand Alison se rendit compte qu'elle était de nouveau enceinte. Lorsqu'elle l'annonça à Ian, paniquée à l'idée de s'occuper d'un deuxième enfant alors que leur premier était si jeune, il la prit tendrement dans ses bras, une main posée sur son ventre encore plat.
— C'est une petite fille, chuchota-t-il, ému.
— Comment le sais-tu ? bougonna-t-elle en se serrant contre lui.
— Je le sens.
À ce moment, Alison n'avait jamais été aussi amoureuse de son mari.
Cette deuxième grossesse s'annonça plus dure que la première : d'abord, Alison eut froid. Elle dut enfiler des pulls épais dès le milieu du mois d'août, désespérant de se réchauffer. Plus les mois passaient, plus elle se sentait geler. C'est avec horreur qu'elle se rendit compte qu'elle se sentait geler de l'intérieur. Elle était persuadée que ses étranges symptômes provenaient du bébé qu'elle portait — un enfant malintentionné, un… sorcier ? Quand elle en parla à Ian, il s'en inquiéta mais ne put donner d'autre explication à ce phénomène qu'un hiver particulièrement rude cette année-là, et elle se persuada finalement qu'elle se montait certainement la tête avec ces histoires de sorcellerie après tout, c'était impossible.
Impossible, oui, se répétait la jeune femme en claquant des dents et en sentant ses forces l'abandonner quand elle n'arrivait plus à supporter ces vagues gelées l'assaillir de l'intérieur. Le bébé était une fille, lui avait-on appris en décembre. Elle n'avait pas ri de joie, même pas souri, de la nouvelle. Elle s'était mise à haïr cette enfant avec force, cette sorcière qui lui engourdissait le corps.
Constamment gelée, elle se trouva bientôt dans l'incapacité de s'occuper de William. Sa tristesse et sa colère ne firent qu'accroître davantage envers la sorcière qu'elle portait. Les dernières semaines furent les plus éprouvantes ; Alison restait dans sa chambre, recroquevillée pour maintenir les dernières chaleurs de son corps, pleurant des larmes qui se figeaient, gelées, sur ses joues, incapable de faire autre chose que se lamenter et dormir.
— Il y a un détail dont nous n'avons pas discuté, remarqua Alison un soir de mars, alors que Ian lui massait les orteils pour qu'ils perdent cette abominable couleur bleue et redeviennent roses et chauds.
— Lequel ? demanda-t-il doucement.
— Comment allons-nous l'appeler ? Je veux que tu décides, ajouta-t-elle rapidement.
Elle ne pouvait pas lui avouer qu'elle ne voulait surtout pas décider quoi que ce fût dans l'avenir de cette enfant. Lui donner un nom lui aurait fait beaucoup trop mal.
— J'aime bien Abigail.
Il l'avait prononcé avec tant de tendresse en regardant le ventre rond sous la dizaine d'épaisseurs qu'avait enfilées Alison qu'elle fut saisie de colère. Comment pouvait-il — comment osait-il — aimer cette petite chose quand elle faisait tant d'efforts pour faire souffrir sa mère ?
— Qu'en penses-tu ?
Il ne remarqua pas la crispation de sa mâchoire, provoquée par le sourire rêveur qu'il lui adressait, et qu'elle s'imaginait lui faire avaler avec colère.
— Je n'en pense rien.
Elle s'était considérablement éloignée de Ian et de William, et glacée jusqu'aux os durant les derniers jours de sa grossesse, elle maudissait Abigail avec tant de colère qu'elle en pleurait davantage. Une enfant allait la tuer, une enfant qui n'était pas encore née — non, pas une enfant, une sorcière. Cette idée lui était insupportable.
Début avril, elle accoucha avec souffrance d'une petite fille aux yeux identiques à ceux de Will — des yeux bleu clair dans lequel un vert tendre se mélangeait — et aux cheveux tout aussi noirs et ébouriffés. Aussitôt que le cordon fut coupé entre elles, Alison ressentit une douce chaleur courir le long de sa peau et de ses veines : elle était enfin libre, après neuf mois d'emprisonnement, de cette enfant si froide. Comme si elle n'avait plus rien à voir avec cette boule de chair blanche. La sensation était si agréable qu'elle refusa de prendre sa fille dans ses bras et ferma les yeux pour mieux apprécier la chaleur de son corps. Elle sourit malgré elle quand les infirmières s'affolèrent de trouver cette petite aussi glacée et la plongèrent dans l'eau tiède. Rien n'y fit, la petite resta résolument gelée.
La peau marmoréenne de leur fille détonait affreusement avec la couleur ébène de ses cheveux. Alison la trouvait laide, glaciale comme un corps dont la vie lui aurait été ôtée, et pourtant, Ian la traitait avec tendresse et amour. Il avait beau frissonner quand il touchait sa peau, il la caressait et l'embrassait, lui parlait de sa voix douce et aimante. Mais Alison était incapable de voir cette boule blanche comme sa fille.
Chaque jour devint un supplice pour le jeune couple. Alison refusait catégoriquement d'avoir affaire à sa fille, était dégoûtée à l'idée de la toucher ; elle avait abandonné l'idée de la nourrir au sein lorsqu'à la première tentative, elle avait senti une vive douleur alors que la bouche de la fillette l'avait effleurée. Elle désespérait de la voir dormir et pleurer comme un nouveau-né était censé le faire. Lorsqu'ils l'approchèrent de la baignoire pour lui faire prendre son premier bain, l'eau se mit doucement à geler avant qu'elle eût pu la toucher. Si Ian ouvrit seulement de grands yeux et la garda dans ses bras, ahuri, Alison s'enfuit de la salle de bains pour se réfugier dans la chambre de William qu'elle berça en pleurant, le suppliant de ne pas à son tour se transformer en monstre.
Quand la famille leur rendait visite, ils s'intéressaient davantage à Will qu'à cette petite fille à la peau glacée. Alison s'arrangeait pour mettre Abigail au lit dès qu'elle recevait ses parents, la cachait aux rares amis qui leur restaient. Elle commença à éprouver du mépris pour son mari, lui reprochait d'avoir attendu qu'ils soient mariés pour lui avouer son secret. Elle se sentait prise au piège dans un monde auquel elle ne voulait pas appartenir, écœurée par les minauderies de Coleen envers cette petite sorcière, fatiguée du regard fier de son mari qu'elle trouvait aussi larmoyant que celui de leur chien, lassée d'un combat contre l'irrationnel tournant qu'empruntait sa vie.
Elle se concentra sur Will, sur sa normalité, ravie de pouvoir se raccrocher à un semblant de naturel dans sa vie de femme moldue. Moldue. Coleen avait employé ce mot tout naturellement, mais il avait frappé Alison avec force — c'était pour elle l'insulte suprême. Du jour au lendemain Alison devint irascible, écrouée de frustration et d'incompréhension.
Seul William pouvait la calmer elle ne parvenait plus à s'approcher d'Abigail. À l'âge d'un an, tout ce qui passait entre les mains de la petite se trouvait partiellement recouvert d'une couche de glace. Alison restait sans voix devant ces démonstrations, clouée sur place, des frissons de panique lui parcourant l'échine. Elle fermait les yeux et se répétait que la magie n'existait pas. Ce n'était qu'un fantasme pour les enfants. Quand elle ouvrait les yeux de nouveau, elle sentait son sang-froid la quitter et s'éloignait de la petite avec hâte. Sa propre fille l'effrayait. Elle avait donné naissance à un monstre qui faisait apparaître des tourbillons gelés sur les meubles auxquels elle s'appuyait pour ne pas tomber, debout sur ses petites jambes blanches et frêles. Quand elle commença à marcher, des petites spirales glacées se formèrent sous ses minuscules pieds. Si Ian l'encourageait à grandir normalement, Alison ne pouvait que se crisper de terreur chaque fois que la fillette essayait de lui tendre un objet ou la main.
Quand on lui annonça qu'elle était enceinte, deux mois après le deuxième anniversaire d'Abigail, elle s'écroula. Ses traits étaient tirés, pâles, elle avait perdu énormément de poids, ses joues étaient creusées, mangées par des cernes noirs. Ian aussi semblait avoir pris dix ans en seulement quatre. Après avoir appris la nouvelle, ils ne parlèrent pas tout de suite, conscients que leur mariage ne tiendrait pas une fois qu'Alison aurait accouché — si ce n'était pas avant.
— Peut-être qu'il sera normal cette fois, dit-elle d'une voix éteinte, après plusieurs jours de silence, en s'asseyant au coin du lit.
Ian la regarda un instant, la gorge nouée. Elle était méconnaissable, les yeux brillant de peur et de douleur.
— Alison, dit-il d'une voix basse et brisée, tu ne m'as pas laissé te toucher depuis la naissance d'Abigail.
— Peut-être qu'il sera normal, cette fois, répéta Alison en esquissant un sourire tremblant.
Six mois passèrent comme les deux années auparavant. Ian s'occupait d'Abigail, ne pouvant s'empêcher de ressentir de la tendresse à l'égard de cette petite créature souriante à son approche, autant que la tristesse profondément ancrée en lui. Ce n'est pas ta faute, répétait-il à sa fille à chaque fois qu'il la prenait dans ses bras.
Le jour des trois ans de Will se déroula la chose la plus invraisemblable qui eût pu arriver. Les quelques bribes du monde rationnel d'Alison explosèrent en milliers de morceaux, détruits par le seul être qui la maintenait en vie. William se mit à flotter dans les airs en compagnie des ballons de baudruche et Tobias, le mari de Coleen, dut le décrocher de son perchoir en sortant sa baguette magique qu'il tendit dans la direction du garçon. Alison fondit en larmes et prétexta un mal de crâne pour se réfugier dans sa chambre et pleurer de rage autant que de déception.
Le lendemain, elle trouva Abigail sur le tapis en train de caresser leur vieux cocker en souriant doucement. Elle l'observa de loin, méfiante. Elle n'avait jamais vu leur chien s'approcher de la fillette auparavant - comme elle, il la fuyait dès qu'elle entrait dans la même pièce que lui. L'animal respirait la fillette d'un air intéressé. En riant, Abigail le prit dans ses bras et le serra contre elle. Alison s'approcha doucement, légèrement adoucie. Le cocker se figea, ses poils roux se décolorèrent soudainement, et quand, étonnée, Abigail le relâcha, il tomba à terre, crispé et gelé. Alison se figea, bouchée bée devant la petite Abigail qui poussa doucement de ses doigts blancs l'animal pétrifié.
— Il dort ? demanda la fillette à sa mère abasourdie.
Alison s'approcha à petits pas et comprit, en voyant le museau gelé et les yeux encore ouverts, que l'animal n'était pas simplement endormi.
Son cri d'horreur résonna dans toute la maison.
Je tiens déjà à vous dire merci, car vous êtes déjà arrivé-e-s au bout de ce prologue, et pour vous ce n'est peut-être pas grand-chose, mais pour moi ça veut dire beaucoup ! Ce n'est pas super joyeux les p'tits oiseaux et les trompettes, c'est vrai, haha. Les autres chapitres seront un poil plus long, mais en général ils ne dépassent pas les dix mille mots… Ça dépendra, j'imagine.
Je profite aussi de ce petit mot pour faire un petit point review : je sais que c'est parfois difficile d'en laisser car on ne se sent pas légitime de le faire, ou qu'on ne sait pas trop quoi dire et on a l'impression que l'auteur/autrice va se plaindre que nos reviews sont nulles : pas du tout ! Un petit mot, une notification de votre passage vaut tout l'or du monde ! C'est encore plus doux qu'un plaid, plus agréable qu'un chocolat chaud en plein hiver, vraiment, n'hésitez pas, même si c'est juste pour dire 'salut, j'ai beaucoup aimé / un peu aimé / vraiment beaucoup aimé !'. Vous avez le droit de ne pas aimer, au contraire, mais merci de mettre un peu les formes par contre haha.
Merci d'avoir lu jusqu'au bout de ce premier chapitre / prologue ! J'espère sincèrement que la suite vous plaira tout autant que je prends plaisir à l'écrire. C'est avec bonheur que je publie de nouveau !
Je remercie d'ailleurs très fort Docteur Citrouille, my partner in crime (suis-je encore obligée de vous conseiller ses merveilleuses fictions ?), et Sun Dae V (pareil, allez voir son profil c'est goldé) !
Des bisous, une pluie de cupcakes et autres joyeusetés sucrées !
Apple
