Disclaimer : parce qu'il le faut, je rappelle, au cas où certains ne le sauraient pas encore, que tous les personnages appartiennent à J.K.R. Je ne possède encore moins Severus, bien que la lectrice fidèle que je suis le mérite amplement.

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Genre : Parodie/Humour

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RAR :

Flo-Fol-Œil : Je suis vraiment navrée, mais je n'y arrive toujours pas ! Du coup, j'arrête de dire ton surnom et je l'écris : Flo-Fol-Oeil, Flo-Fol-Œil, Flo-Fol-Œil, Flo-Fol-Œil, Flo-Fol-Œil, Flo-Fol-Œil, Flo-Fol-Œil, Flo-Fol-Œil, Flo-Fol-Œil, Flofffflofloeilfff ! AARGH ! Même à l'écrit j'y arrive pas! Je suis maudite ! MDR ! Merci et bizzzzz.

Amducias : Ben c'est bon les surgelés ! lol ! En ce qui concerne la chauve-souris, la prochaine fois je la viole ! Mouahahahaha ! Hum ! Faut que je me calme, vais prendre mes pilules. (Un moment après) SHUUUUSSS ! Ma sœur ! Merci pour ta review et ta fidélité !

Syrianne : Syrianne ! LA Syrianne de Une journée avec Dark Side ? Mouhahaha ! Mais c'est un honneur ! Effectivement ma fic est une OOC. Je ne connaissais pas ce terme et j'ai dû aller chercher ce que cela voulait dire. Quant aux fautes, entre autres, j'ai confondu passé simple et imparfait du subjonctif dans le supermarché. C'est la faute à Word ! Ou alors, mais alors vraiment éventuellement, c'est un manque de vigilance de ma part. Enfin, j'espère m'être rattrapé sur le camping. Voilà ! Je te remercie pour tes reviews, et en espérant que tu repasses par ici !

DarkMione : Boah ! Salut l'alcoolo ! lol ! Ca va depuis la dernière fois ? T'as les aisselles qui sentent bon ! MDR ! Merci pour ta review, bises et à +.

Ilys : C'est vrai que le Saut de l'Ange a de bons goûts ! On ne peut pas lui reprocher de faire de mauvais choix en ce qui concerne les fics ! lol ! Ravie que mon histoire te plaise, et je te remercie. Bises.

Le Saut de l'Ange : On ne se connaît pas par hasard ! On ne s'est pas déjà vu ? T'es pas la tarée du forum (un peu de pub !) Moonlight of Remus. Celui où je viens de m'inscrire ? T'as vu, je suis reconnaissante, lol ! Je ne suis pas comme Dumby ! Ce traître ! A mort ! Comme Peter ! (Ps : je n'aime pas la philo Même si j'ai bien rigolé à ce cour !)

Aeria : Ola ! Que tal ? Muy bien ! C'est normal ! Tu le lis ma fic ! MOUHAHAHA !...Hum…je m'excuse et te remercie pour ta review. Bises.

Aqualine d'Aquarius : Je t'avoue que sur le coup, je n'y ai pas pensé ! lol ! La prochaine fois, je le capture et je le séquestre ! Mouahahahaha ! En tout cas, merci d'avoir laissé une review ! J'espère que l'histoire t'a plu ! A la prochaine peut-être.

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Résumé de l'épisode précédent : Severus Snape, Professeur intérimaire d'Etudes des Moldus, doit amener ses élèves faire du camping sauvage. Après être arrivés à l'entrée du parc où Snape a dû s'inscrire sur le registre (révélant ainsi son deuxième prénom : Raoul), ils entrèrent dans la forêt.

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Petits tracas de la vie quotidienne d'un moldu, par Severus Snape

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Chapitre 3) Severus fait du camping : le cauchemar continue.

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Depuis presque une vingtaine de minutes, Severus Snape, tout en jetant de temps à temps un regard sur la carte du parc, marchait à vive allure et d'un pas saccadé, afin de trouver au plus vite un endroit où ils pourraient installer leur campement.

Son objectif : foncer à la rivière.

Ses moyens : ses pieds.

Son handicap : ses élèves.

Ayant des jambes nettement plus courtes que celles de leur professeur, le groupe d'élèves avait du mal à tenir la cadence imposée par ce dernier. En voyant un Neville Londubat cramoisi et au bord de l'évanouissement, la recrue Granger décida d'intervenir.

− Professeur ! haleta-t-elle en courant vers Snape.

Severus Snape, absorbé par sa carte et aveuglé par son ambition démesurée, ne l'entendit pas ou alors, l'ignorait tout simplement.

− PROFESSEUR SNAPE ! finit-elle par hurler.

L'homme véloce consenti enfin à s'arrêter, se retourna et regarda, avec un air amusé, ses élèves arriver jusqu'à lui.

− Alors les filles, on est déjà fatiguées ? se moqua Snape.

− Pourquoi ils nous traitent de « filles » ? demanda un élève, à voix basse, vers Machin.

− Ne cherche pas à comprendre, répondit celui-ci.

− Professeur Snape, vous allez beaucoup trop vite pour nous, se plaignit Hermione. A cette allure là, vous allez tuer la moitié de vos élèves !

− Ne me tentez pas, Miss Granger!. Mais puisque j'ai la nette impression que tout le monde s'est ligué contre moi, nous allons prendre un raccourci.

− Est-ce bien raisonnable, Monsieur ? sermonna Hermione. Je vous rappelle que la dame de l'accueil nous a hurlé de ne pas sortir des chemins balisés, et en plus, nous n'avons même pas de boussole ! Nous allons à notre perte, c'est sûr !

− Mais non ! Mais non ! Faites-moi un peu confiance Miss Granger. Je suis un homme d'expérience ! De terrain ! J'ai du nez ! se vanta Snape en se frappant le torse.

− Vous n'êtes qu'un modeste Professeur de potions et vous passez votre temps enfermé dans vos cachots, Monsieur. Et Merlin seul, sait ce que vous y fabriquez pendant tout ce temps, Monsieur.

− Pourquoi dites-vous ça, Granger ? On vous a dit quelque chose ? SE NE SONT QUE DES RAGOTS, VOUS M'ENTENDEZ! s'emporta Snape en pointant du doigt Hermione. IL NE FAUT PAS CROIRE TOUT CE QUE L'ON RACONTE! J'AI ETE INNOCENTÉ ! ON NE PEUT PLUS RIEN CONTRE MOI!J'AI ÉTÉ LA VICTIME DANS CETTE HISTOIRE! PARFAITEMENT! LA VICTIME!

− PROFESSEUR ! CALMEZ-VOUS ! OÙ EST DONC PASSÉ VOTRE SANG FROID DE SERPENTARDS ? VOYONS !

Réalisant soudainement le ridicule de la situation, Severus se tut. Et, c'est le souffle court qu'il ordonna à ses élèves :

− Réanimez cet idiot de Londubat, et suivez-moi.

Et il bifurqua sur la droite, quittant ainsi le sentier balisé, pour prendre, ce qui était selon lui, un raccourci.

Etrangement, il n'eut pas tort.

Bien qu'il n'arrêtait pas de s'accrocher la cape aux fougères, que ses chaussures soient inadaptées à l'univers boueux et glissant des forêts, qu'il ne cessait de trébucher sur des racines sortant de terre et que les femelles moustiques le pompaient avec félicité, le Professeur réussi à amener ses élèves à bon port.

Ils débarquèrent prés d'une rivière où l'eau était si claire et si pure, que l'on pouvait y voir le fond. Elle était bordée de rives constituées de petits galets et longées par d'immenses arbres au feuillage vert émeraude. Seuls les remous de la rivière venaient perturber le silence qui régnait dans ce lieu paradisiaque, où l'on pouvait voir les rayons du soleil se refléter dans l'eau. Parfois un papillon ou un oiseau, se risquait à frôler la surface de l'eau, afin d'étancher sa soif.

− C'EST ICI QU'ON SE POSE, BANDE D'HUÎTRES CHAUDES! beugla un Snape victorieux.

Epuisés, dans un soupir de soulagement, les élèves laissèrent tomber à terre leur lourd fardeau et s'écroulèrent.

− Toujours fatiguées les filles ?

− Je n'ai toujours pas compris pourquoi ils nous appelaient les « filles », fit le garçon de toute à l'heure.

− Neville, expliques-lui, fit Machin d'un ton las.

− Ben, c'est-à-dire que je ne comprends pas non plus !

Sur ces mots, Machin tenta de se suicider à coups de figues molles.

Sans succès, il faut bien l'avouer, même s'il resta traumatisé à vie, ayant des sueurs froides à chaque fois qu'il voyait un pot de confiture Bonne Maman aux figues.

− Nous allons procéder à l'installation du campement. La première étape consistant à (il prit le livre « Prendre un campeur par la main » et l'ouvrit page 8, Chapitre Premier, Verset 9, Amen) monter une tente. Cela ne m'a pas l'air bien compliqué, fit-il en tournant les pages avec une moue de dédain. C'est l'affaire d'une dizaine de minutes, tout au plus.

− Monsieur ? l'interrompit un élève.

− Quoi ?

− Ma tante n'a pas voulu venir, j'ai seulement une photo d'elle, c'est grave ?

Un ange passe.

Ignorant son élève et réprimant une crise de nerfs douloureuse, Snape attrapa le sac contenant sa tente et vida le contenu au sol. Puis il attira l'attention de ses élèves, afin que ceux-ci observent et reproduisent ses gestes.

− La tente est un objet complexe et sournois, composé de différents éléments. Ils sont au nombre de trois : le tapis de sol, des piquets, et enfin, il y a la chambre−

− Excusez-moi, Professeur. Mais il s'agit là d'une tente traditionnelle dite de Patrouille. De nos jours, il est possible de trouv−

− Granger ? Qui est le Professeur ici ? Vous ou MOI ?

− C'est vous, Monsieur. Mais−

Il l'arrête d'un geste de la main.

− Dans ce cas, vous pouvez garder vos conseils pour vous, Granger. Donc, je disais, avant d'être interrompu intempestivement par cette touffe de cheveux emmêlés qui vous sert de camarade, que la tente est composées de trois élèments principaux. A ceux-ci, et afin de pouvoir fixer lesdits élèments au sol, se rajoutent, ce qu'on appelle communéments les nardines.

− Excusez-moi, Professeur ? Mais est-ce que nardine n'est pas plutôt une insulte ? lança un élève.

− Non, Monsieur Haumouque, nardine n'est pas une insulte ! (1)

− Je suis désolée, Professeur, mais je pense que Nick a raison ! s'exclama Hermione. (2)

− ÇA SUFFIT MAINTENANT !

− Mais, Monsieur !

− J'AI DIS STOP, GRANGER !

Vexée,elle s'en alla, à quelques mètres de là, faire du boudin.

− Pendant que Miss Granger nous fabrique le repas de ce soir, nous, les honnêtes gens, allons monter notre (il lance un regard méfiant au garçon de la photo), … abri.

Sous l'œil attentif de ses élèves, Snape entama la première étape de l'installation (3).

− Il faut, avant toute chose, choisir un emplacement. (Il jette un regard circulaire). Ici, ce sera parfait !

− Ne le prenez pas mal, Professeur, mais il s'agit d'un creux. N'avez-vous pas peur que s'il pleut, l'eau coule vers vous ?

− Idée grotesque, Machin. 10 points en moins pour Griffondor. Comme chacun sait, un sol creux c'est plus confortable qu'un sol bombé. Vous fréquentez trop Miss Granger, Machin ! ET PUIS, ENLEVEZ LE MORCEAU DE FIGUE QUE VOUS AVEZ SUR LE VISAGE, À LA FIN !

Machin obtempéra et Snape put continuer.

− Ensuite, on fixe le tapis de sol par terre en mettant des nardines à chacun des coins. Heu, quelqu'un a un marteau pour enfoncer les nardines ?

− Il y a un maillet à côté de vos pieds, Monsieur, le sauva une élève.

Il prit le maillet, sans remercier au préalable l'élève et enfonça, avec beaucoup de difficulté car il s'agissait d'un sol fait de galets, les nardines.

− Après, il faut monter les piquets au milieu de chaque extrémités du tapis de sol. Bien, il me faut deux volontaires pour tenir les piquets !

Machin et Londubat commencèrent à s'avancer mais, pas fou, le Professeur dit :

− Surtout pas vous, Londubat ! Puis il appela Granger à la rescousse. GRANGER ! ARRETEZ DE CUISINER ET VENEZ ICI ! VOS CAMARADES ONT BESOIN DE VOTRE AIDE !

− LA BOURGEOISE S'EN FOUT ! hurla Hermione le poing levé. Il se trouva que Granger était terriblement rancunière. (cf. Chapitre 2)

− Puisqu'on ne peut pas compter sur votre coéquipière dans des moments aussi durs, Monsieur Haumouque, vous allez tenir le deuxième piquet. Pendant ce temps, je vais monter la chambre (toile pour les non initiés et ceux qui n'ont pas de manuel) sur les piquets.

Il passa alors, le haut des piquets dans des trous et commença à fixer les quatre coins.

− Vous pouvez lâcher les piquets, ordonna Severus.

Le silence se fit. Tout le monde observait les deux élèves. La tente allait-elle tomber ?

Ils lâchèrent les piquets.

Rien ne se passa.

− Après ce succès (il était fier), je vais passer à la dernière étape : tendre la toile par les ficelles et l'attacher avec des nardines.

Ils s'exécuta brillamment, sous le regard dégoûté des ses élèves. En effet, chacun d'eux s'attendait à ce que cela se passe mal, comme d'habitude. C'était comme si Snape avait bu une potion qui lui permettait de tout réussir. Snape pris son sablier, le regarda, et dit sur un ton conquérant :

− 8 minutes et 56 secondes ! Je suis le meilleur !...BON ! A VOTRE TOUR MAINTENANT !... ET GRANGER, VENEZ PAR LÀ !

Celle-ci obéit. Toujours furieuse, elle ouvrit le sac contenant sa tente, qui se déplia automatiquement. (4)

− 2 secondes ! le nargua-t-elle, sourire en coin.

Mine déconfite du Professeur de Potions.

− PARFAIT ! ON PASSE À LA DEUXIEME ETAPE ! ON VA ALLUMER UN FEU ! rugit Snape vexé, puis il reprit sur un ton doucereux en fixant Hermione. Avec un peu de chance, ce soir, on aura… une sorcière à faire brûler sur le bûcher.

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A suivre…

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(1) Je présente mes excuses pour cet horrible jeu de mots

(2) Je réitère mes excuses !

(3) Et dire que j'ai fais des recherches pour cette fic, n'ayant jamais monté de tente ! Vive les sites de Scouts !

(4) Ça existe ! Je l'ai vu chez Bonaldi !

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