Disclaimer : Severus Snape appartient à JKR. Le reste est à moi !
Rating : boah ! On va dire M. C'est surtout pour le langage et me laisser une marge de manœuvre pour la suite (et me protéger aussi !). Mais il faut bien avouer qu'il existe quelques allusions à des sex toys (enfin, quand je dis allusions, c'est un peu plus que ça ! lol !)
Genre : Parodie. Remarquez ce n'est même pas de la parodie puisque ça n'a strictement rien à voir avec Harry Potter à part l'emprunt de personnages. C'est surtout un grand délire qui fait intervenir un certain nombre d'auteuses sévissant sur feufeunet.
AVERTISSEMENT : Je tiens à préciser que cette fic reste fortement déconseillé aux plus jeunes d'entre vous.
Remerciements à Zazaone qui a accepté de bêta reader cette fic. Merci aussi pour ton inestimable collaboration et tes apports qui, faut bien le dire, me font bien rire ! lol !
DERNIER AVERTISSEMENT : comme toutes mes fics, il n y a rien d'intellectuel ! Donc si vous méprisez ce genre d'histoire ou que vous vous trouvez au dessus de ça, je ne vous retiens pas, la sortie vous est grande ouverte.
Merci et bonne lecture.
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SEVERUS SNAPE : SA VIE, SON ŒUVRE.
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Les policiers, un peu mal à l'aise tout de même, sortent de la salle la queue basse…enfin, quand je dis basse.
− Ben du coup, je suis complètement paumée, moi ! se désespère Fanette31 en trifouillant dans ses notes comme une perdue entre deux fanarts érotiques de Snape. Bon alors, la naissance c'est fait. Le premier anniversaire aussi. Le coup de l'hémorroïde itou…ah ! J'en suis là , fait-elle victorieuse.
− On a vu plus compétente tout de même, râle Amducias dans son petit coin.
− Je vous ai entendu, Amducias, la gronde la conférencière. Mais je ne vous en tiendrai pas rigueur…nous connaissons les problèmes que vous rencontrez en ce moment, qu'ils soient sexuels, sentimentaux ou…esthétiques, termine-t-elle dans un murmure.
− Excusez-moi , s'indigne la dessinatrice en bondissant de sa chaise. Vous pouvez répéter ce que vous venez de dire ! s'emporte de nouveau la jeune femme. CEST A MOI QUE TU PARLES POUFIASSE! rugit-elle sans aucune élégance, brandissant son godemichet tel une arme de catégorie six.
− Mais je n'ai strictement rien dit, se défile Fanette31, malgré le jouet si attirant. Bon alors ! Je peux continuer ? Parce que là, franchement, je commence à en avoir plein le c−
Elle n'a pas le temps de continuer sa phrase que les deux officiers refont surface dans l'amphithéâtre.
− On peut dire qu'ils rappliquent au bon moment ceux-là, siffle l'Agent Djei.
− Il y a un problème, Mademoiselle , interroge un des policiers en jetant des coups d'œil à l'essoufflée et cramoisie Amducias, ainsi qu'à l'objet d'une dimension enviable.
− C'est déjà réglé, Messieurs. Cette personne va se faire un plaisir de se rasseoir calmement, continue Fanette31 en défiant Amducias du regard de ranger sa quincaillerie. Et surtout, de se taire.
Cette dernière, ne souhaitant pas faire la connaissance avec la matraque des agents, autre que dans un cadre strictement privé et sadomasochiste, obéit à la conférencière. De rage, elle ne peut s'empêcher malgré tout, de montrer son majeur à Fanette31. Face à cette attaque grotesque et facile, cette dernière préfère poursuivre son exposé, qui, avouons-le, stagne depuis un certain nombre d'épisodes déjà. Et à cette allure là, on n'est pas vrai de voir le début de Julie Lescaut (1), même si c'est la quinzième rediffusion.
− Lors de sa première année, Severus en défèque grave! Nous pouvons l'affirmer. Mais de vous à moi, cela n'est rien comparé à ce qui l'attend lors de son deuxième anniversaire. En effet, un second traumatisme se prépare.
− On ne peut pas dire qu'il ait vraiment de la chance ce pauvre enfant! se désole une personne de l'assistance.
Apparemment, son intervention ne plaît guère à nos trois célébrités, habituées généralement à attirer l'attention sur elles.
Mémézaza lui balance son énéma à la tête mais elle arrive à l'esquiver. Trop occupée à narguer l'instit, la jeune femme ne voit pas arriver l'Agent Djei du NC 17 qui lui met un formidable coup de tête. La coup-de-têtée est sur le point de répliquer à l'aide du talon de sa chaussure mais un des officiers la stoppe à temps et lui retire l'arme des mains. Il lui demande calmement de quitter la salle. Face à l'impressionnante matraque de l'homme, elle n'ose rien dire et part en boitillant. En effet, l'objet contondant (la chaussure, pas la matraque) a été confisqué.
− Je persiste à dire que j'en ai vraiment plein le c−
Mais Fanette31 est coupée dans ses propos par la jeune femme qui vient de quitter, non sans tenir quelques propos injurieux à l'égard de nos célébrités dont une certaine nympho du troisième âge, l'amphithéâtre en claquant la porte. La conférencière sursaute. Son soutif pète, s'échappant sur le côté de la tenue légère de la jeune femme, et tente d'éborgner l'un des membres des forces de l'ordre. Il arrive cependant à le rattraper au vol et se propose pour aider la conférencière à le remettre.
Elle décide d'interrompre la conférence le temps de régler ce léger mais incommodant incident.
Après maintes tentatives pour remettre le soutien-gorge en place et une flopée de mains baladeuses et titilleuses, Fanette31 arrive à débloquer la situation. Tandis que le policier animé de bonnes intentions ressort, afin de débloquer sa propre situation plus que tendue, la conférencière aux joues empourprées, reprend son discours.
− Je disais donc qu'un second traumatisme snapien se préparait. En effet, lors de son deuxième anniversaire, − notons au passage que, suite au fiasco de l'année précédente, les parents ont évité de faire une fête et ont préféré, pour leur usage personnel, investir l'argent dans un banc de musculation − l'enfant assiste à un rescussitage…heu…un rescussitement …ou un résurectage…enfin, à un miracle.
− Mais le miracle est impossible, s'exclame Amducias. Sinon, il y a longtemps que je sera grandie après moult appels de détresse auprès de la Grande Bernadette S cachée au fin fond de sa grotte à faire je ne sais quoi avec je ne sais qui!
− Oui alors, pour votre taille ridicule je ne crois pas qu'on puisse y faire quelque chose, Tendre Amducias, mais alors pour les fautes de français, je vous conseille fortement Sainte Zazaone ! se moque une Fanette31 hilare.
La dessinatrice n'apprécie pas cette remarque et jette à la conférencière un regard empli de haine et bouffi pas l'alcool. Il ne lui manque plus que quelques cacahuètes à jeter à l'être simiesque sur l'estrade. Se sentant soutenue par ses camarades, elle n'hésite pas à en rajouter, en mimant, à l'aide de son pouce, un égorgement digne des plus grands serials killers de notre époque : Annie Belle Lectrice ou Voldy la Mort.
− Si tu crois que tu me fais peur, patate ! s'emporte Fanette31 à court d'arguments, en attirant le second policier contre elle.
− JE NE SUIS PAS UNE PATATE ! rugit la suce-nommée ou la lèche-nommée comme vous préférez en bondissant de sa chaise. J'AI COUCHÉE AVEC THÉRÈSE ! Celle qui rit quand on la b….
− Heu…on peut savoir ce qu'elle vient faire là, celle-là ? s'étonne la conférencière déjà atteinte par le gâtisme précoce car ayant tout simplement oubliée qu'elle est l'auteuse de cette répartie ! (cf Petits tracas de la vie quotidienne d'un moldu).
− Je l'ignore moi-même, tente de s'expliquer la jeune femme en se rasseyant. Je ne comprends pas ce qu'il s'est passé, murmure-t-elle le regard dans le vide.
Un dédoublement inquiétant vient de voir le jour. A force de se passionner pour ce divin maître des Potions, Amducias venait de se prendre pour lui et avait sorti une de ses répliques cultes. Ses deux commères comprennent aussitôt ce qui passe devant elles. Elles regardent un instant Amducias avec des yeux remplis d'envie et de lubricité… Elles avaient espéré pendant un instant une métamorphose séverusienne.
− Bon alors, c'est quoi ce miracle , s'impatiente l'Agent Djei, revenant finalement au sujet de la conférence.
− Mes Amies, j'ai la tristesse de vous annoncer que…le nounours ressuscita. Quel ne fut la stupeur du petit Severus en revoyant celui qui avait été le principal acteur de ses pires cauchemars ! Celui qu'il croyait avoir dégommé à vie ! Mais c'était sans compter l'incompréhension de ses parents. Ces derniers, croyant que le pauvre enfant était attristé par la disparition de son meilleur ami, n'avait rien pensé de mieux que de lui en racheter un autre.
− M'enfin ! Ils sont cons ou quoi ses parents ! s'énerve Zazaone. On n'a pas idée de faire ça à un pauvre enfant si innocent, continue-t-elle en tremblant de rage. JE VAIS LEUR PÉTER LA GUEULE MOI !
− Calmez-vous, Zaza ! Il ne sert à rien de s'emporter. Répondre à ce type de provocations par la violen−
Mais elle fut brusquement interrompue par l'ouverture intempestive des portes de l'amphithéâtre. Quelle ne fut la surprise de Fanette31 et de son auditoire quand ils virent entrer précipitamment dans la salle, un groupe d'une vingtaine de personnes déterminées et munies de badges, de prospectus, de mégaphones et de grandes banderoles.
− Mais…mais qu'est-ce que c'est cette intrusion, bafouille la conférencière déstabilisée. SORTEZ-D'ICI IMMEDIATEMENT !
− Laissez-moi faire, fait bravement le policier en s'approchant des extrémistes. Vous là ! tente-t-il d'interpeller celle qui, par son regard belliqueux, semblait être la chef. Qui êtes-vous ? Que faites-vous ici ? Vous n'avez par le droit de vous introduire dans ces lieux ! Il s'agit d'une conférence privée !
Mais Celle-au-regard-belliqueux à l'air de se foutre royalement de ce qu'il lui dit. Portée par un élan de rage et de folie, cette dernière prend dans un geste rapide son mégaphone et hurle à pleins poumons :
− SIRIUS PRESIDENT ! SNAPE RETOURNE DANS TES CACHOTS !
La guerre venait d'être déclarée.
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A suivre….
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Hé hé hé ! Je continue d'être hors-la-loi et je vous fais mes remerciements ici ! Niark ! Niark !
Tout d'abord, merci à toi, Titus de Mystique ! Je crois que c'est la première fois que j'ai UN lecteur. Un peu de virilité ça ne fait pas de mâle ! Je suis vraiment ravie que ce petit délire t'ait plu et j'espère que la suite (un peu courte je l'avoue) a eu le même effet que la première fois. Je cite « écroulé de rire de début jusqu'à la fin ». Le bonjour à ta môman ! Et remercie-la d'avoir fait un gars bien sympathique ! Il ne m'a pas été difficile de croquer les auteurs. Il faut bien avouer qu'elles sont assez gratinées naturellement. Je n'ai eu qu'à décrire ce que je voyais. Pour le Couillu Severus, apparemment je suis détentrice du seul exemplaire! Mildiou ! Ya du pognon à se faire dans cette histoire ! M'en vais le diffuser à travers la France et le reste du Monde ! Merci beaucoup pour ta review et n'hésite pas à en laisser une autre ! Signé : une auteuse en manque de reconnaissance…lol !
Ensuite, je vais m'attaquer à cette Chère Pattemol. Ce pseudo est ignoble…il me rappelle vaguement un être infâme et aux dents pourries dues à un long séjour à Azkaban sans douche ni Wc. Bonjour l'odeur ! Bonjour l'angoisse ! Merci pour la review ! Merci pour les compliments ! Je te fais de gros bisous Ma Puce ! (hi hi hi ! Puce quand on a un surnom de clébard…Hum…ok, je stoppe là)
Enfin, je te remercie Toi ! Zazaone ! Que j'aime et que j'adore ! Je n'irai pas plus loin, ma timidité maladive me l'interdit. Pourtant, si tu savais tous les outrages que j'ai envie de te faire subir…malheureusement, tu n'as d'yeux que pour Severus. Quoique un petit trio…Oula, calme-toué Fanette ! On n'est pas chez les DSA ! Gros bisous Ma Mémé !
