- Entrez.

Assis dans son salon privé, Voldemort toisa durement le Médicomage qui se présenta à sa porte. Agé mais talentueux, il avait gagné le respect du Mage en diagnostiquant plus de maléfices noirs que n'importe qui d'autre dans le Pays. Aussi, c'est les dents serrées et l'œil curieux qu'il le vit s'avancer mallette en main et figure défaite. De toute évidence, son entretien avec sa nouvelle Initiée avait porté ses fruits.

- Je vous écoute. Dit-il froidement. Le rapport de la Tutrice de mon Initiée est-il fondé ?

- Fondé et j'en ai bien peur, en deçà de la réalité Maître.

Surpris par la gravité de son ton, une inquiétude le gagna subitement. Cette sorcière était la seule capable de l'aider dans leur quête impossible. Il la lui fallait en pleine disposition de ses moyens et parfaite santé ! Mais une fois encore, Potter avait de toute évidence contrecarrer ses plans… une nouvelle interférence qui le fit serrer les poings dans un grondement sourd.

- Que voulez-vous dire ?

- Que cette jeune femme est une véritable rescapée. Maléfices de désensorcellement de niveau cinq, poisons de purification, artefacts de soins Moyenâgeux, Sortilèges de Tortures… je n'avais jamais vu autant de pratiques magiques sur un seul et même patient. Déclara-t-il sombrement. Inutile de dire que sa survie est un véritable miracle.

Bouche bée devant pareille énumération, Voldemort ne put cacher sa sidération. Des maléfices de désensorcellement et des poisons de purification ?! Quels sorts avait bien pu frapper l'Ordre pour qu'ils en viennent à une telle barbarie ?! Hermione était l'une des leurs ! Une sorcière dévouée à leur cause, talentueuse et bornée qui n'avait eu de cesse de se battre à leurs côtés depuis ses 11 ans ! Et pourtant ça n'avait pas suffi… quoi qu'elle ait pu faire pour les sauver au cours de ces dix dernières années, rien n'avait suffi. Et ils l'avaient torturé. Une idée qui le dérangea aussi sûrement qu'elle réveilla une haine sourde et lancinante au fond de son cœur. Potter avait fait preuve d'une inventivité malsaine et déroutante pour faire payer sa défiance à Hermione. Un constat qui poussait à s'interroger sur ses sacrosaints principes...

- Ses blessures datent de plusieurs mois mais son corps reste encore imprégné d'énormément de magies contraires et parasites. Bien entendu, sa malnutrition n'a pas aidé. Je lui ai donc prescrit de nombreuses potions et onguents à appliquer régulièrement, mais je doute qu'elle s'en remette avant encore plusieurs mois.

- Par Merlin… siffla-t-il entre ses dents.

- Néanmoins, il me semble nécessaire de vous informer que je soupçonne également des séquelles d'ordres… psychologiques.

- Psychologiques ?!

- Oui, je… j'ai constaté sa gêne ainsi que sa honte pendant mon examen. Elle n'a pas répondu à la majorité de mes questions et s'est obstinée à nier la gravité de ses blessures. Je ne suis pas Psychomage, mais j'ai toutes les raisons de croire que certaines de ses expériences l'ont bien plus marqué qu'elle ne le laisse penser.

- Hermione Granger a combattu de nombreuses années. Elle a survécu à la guerre, la Bataille finale et à plusieurs années de traque. Nul doute que si quelqu'un est responsable d'un quelconque trouble psychologique, c'est moi-même. Tonna-t-il sèchement.

- Oh non Maître, ce n'est pas ce que j'insinuais… bafouilla-t-il subitement. Mais je pense justement que c'est tout le contraire.

- Que voulez-vous dire ?!

- Eh bien… il y a une nette différence entre combattre un ennemi et voir ceux que l'on aime nous trahir. Ce que Monsieur Potter et Weasley ont fait n'a… n'a pas de mot ! Ce genre de traumatismes, sont plus bien durs à surmonter. Aussi, je ne peux que vous recommander la plus grande des bienveillances à son égard.

Le discours de son Médicomage ne rassura pas Voldemort. Il avait beau exécrer les baratins psychologiques de certains médicomages, il n'était pas ignorant des impacts de certains traumatismes. La torture, l'abandon ou la trahison… que de choses qu'il ne connaissait que trop bien et dont il avait lui-même dû s'accommoder. Mais le pourrait-elle ? Elle, cette guerrière passée à l'ennemi ? Il ne sut pas et ne put calmer son inquiétude grandissante. Il devait être certain de la fiabilité de son élève. C'était une nécessité ! Pour ne pas dire vitale.

- Hier encore, cette jeune femme était prête à mourir mon Lord… et ce sans chercher à négocier. Je pense que c'est à prendre en considération.

- A prendre en considération, en effet…


Etriquée, mal à l'aise et au bord de l'asphyxie, Hermione arriva difficilement jusqu'aux portes de la Salle à manger privée de son nouveau Maître. Le souffle court, jamais les couloirs de Poudlard ne lui avait paru aussi longs. Et pour cause… jamais elle ne les avait encore parcourus sur une paire de talon de aiguilles. Une main accrochée à son abdomen en feu, le laçage de son corset lui avait donné un avant-goût de ce que Narcissa appelait ironiquement le « fardeau des dames », mais ces chaussures… ces sadiques objets de torture, n'avait rien à envier au Sortilège Doloris. La plante des pieds en feu et les orteils douloureusement recourbés sur eux-mêmes, c'est à peine si elle arrivait à faire deux pas sans manquer de se rompre le cou ! Elle qui croyait que chevaucher un Dragon n'était qu'une question d'équilibre, n'avait de toute évidence jamais pris en compte l'exceptionnelle exploit d'acrobate que réalisait la majorité des femmes du monde. Un exploit dont la finalité lui échappait profondément mais dont les consignes de Narcissa résonnaient avec force dans son esprit.

Le dos droit, la tête haute, le regard vers l'avant, le fessier bombé, le ventre serré, les épaules relâchées, le menton relevé… tant d'ineptie et pourquoi ? Pour marcher ! A croire que le monde perdait la raison. Et encore, elle n'était pas parvenue à retenir les milles autres conseils de sa chère Tutrice. Car bien entendu, cela aurait été trop beau qu'elle ne doive porter que des chaussures ridiculement hautes. Mais non ! Le protocole voulait que pour un repas privé avec son Maître, une Initiée d'Honneur revête une jupe taille haute droite noire lui tombant jusqu'aux genoux accompagné d'un chemisier couvert d'un corset. Un chemisier et corset ! Soit l'étau de broderie le plus redoutable pour asphyxier n'importe quelle femme. Aussi c'est avec la plus grande peine du monde et mille et une grimace, qu'Hermione avait mis plus de trente minutes pour se rendre à la bibliothèque. Car oui, aussi surprenant que ce soit, la salle à manger privée du Seigneur des Ténèbres se trouvait dans la bibliothèque de Poudlard. Un trajet éprouvant dont chaque pas fut un véritable jeu d'équilibre, de respiration et de prières.

La gorge sèche et le front moite après tant d'efforts, Hermione fit une pause devant les portes dorées et déglutit. Elle savait d'avance que le médicomage avait rendu son rapport à Voldemort, galvanisant son envie de prendre ses jambes à son cou mais bien entendu… on l'avait chaussé pour qu'elle ne puisse pas fuir. Les dents serrées, elle se résigna donc et frappa à la porte dans un ultime frisson. Ces lieux représentaient tant de souvenirs, tant d'heures de sa vie et tant de découvertes incroyables, qu'elle peinait à croire qu'elle allait y passer le plus claire de son temps avec Voldemort. Pourtant la bibliothèque qu'elle avait connue n'avait rien à voir avec ce que le Mage lui avait fait visiter la veille… Réaménagée de toute part et considérablement agrandie, les allées désordonnées et poussiéreuses avaient laissé place à plus de cinq étages entièrement recouverts de plusieurs milliers d'ouvrages tous aussi rares les uns que les autres. Elevé au titre de véritable sanctuaire du savoir, Hermione était resté bouché bée devant la hauteur inégalable du nouveau plafond, les lustres de cristaux brillants, l'immense table en bois massif, les fauteuils en soie et autres tapisseries magiques. Il n'était plus question de petites étagères, de réserve cachée ou de quota de livres à emprunter, non ! C'était… un paradis ; soit le seul aspect positif que revêtirait sa mission en ces lieux. Aussi Voldemort avait souri devant son air ahurit. Pas peu fière de pouvoir partager sa passion pour le savoir, il lui avait fait visiter chaque étage et allée avec entrain, lui présentant chaque sections et domaines abordés. Un étrange moment d'échange entre passionnés, suivit d'une recherche d'ouvrage à étudier en priorité ainsi qu'un débat sur l'astronomie magique. En soit, ils n'avaient pas davantage avancé mais avait brisé la glace. Un détail tout aussi surprenant qu'impressionnant, dans la mesure où le Mage l'avait laissé exprimer ses théories, idées et impressions sans l'insulter ni même la moquer. Peut-être arriveraient-ils à travailler ensemble tout compte fait ? Peut-être trouveraient-ils des réponses ? Du moins, si elle les habits de Narcissa ne la tuaient pas avant…

- Entrez.

Ne pas tomber. Ne pas tomber. Ne pas tomber. Ne pas tomber… telle fut sa rengaine en poussant les portes de la bibliothèque. Sans surprise le Mage noir l'attendait, attablé au bout de l'immense table en acajou dressée de leurs couverts. Toujours autant intimidée devant la grandeur des lieux, elle fut heureuse de voir les immenses fenêtres laisser entrer la lumière du jour et faire briller les cristaux des trois imposants lustres flottant au plafond. Comme quoi même les Sorciers les plus Maléfiques, savaient apprécier la lueur du jour levant.

- Tu es en retard. Tonna-t-il durement.

- Veuillez m'excuser, je… j'ai eu du mal à trouver mon chemin.

C'était un mensonge, ils le savaient tous deux. Pourtant et devant l'étrange rigidité de sa démarche, Voldemort ne put s'empêcher d'esquiver un sourire. Cette chère Narcissa n'avait pas perdu de temps. Bien plus que grande que la veille, il vit son Initiée les joues roses et le souffle court. De toute évidence, ses nouvelles obligations protocolaires lui étaient douloureuses à appliquer. Pourtant il ne put le nier… cette nouvelle garde-robe la flattait plus n'aurait pu l'imaginer. La détaillant dans un haussement de sourcils surpris, il vit ses cheveux relevés un chignon tressé et sa taille douloureusement enserré dans un corset. Les contours de sa jupe cintrée dessinèrent ses courbes autrefois cachées par ses haillons troués, tandis que ses fines jambes parurent interminables sur ses talons aiguilles. La tête haute et le cou dégagé, elle s'avança lentement dans un léger froissement de tissus, la pâleur de son teint de lait contrastant avec le noir de son étoffe. Aussi, c'est presque fier qu'il se levât à sa rencontre. Oui… derrière ce sang impur, cette hargne naturelle et ce tempérament de feu, Hermione Granger était d'une grande beauté. Le genre de beauté précieuse, douce et fragile, que l'on veut préserver de la cruauté du monde et garder pour soi. Malheureusement pour elle, aucun de ses anciens compagnons n'avait semblé de cet avis.

- Prend place. Dit-il alors après plusieurs secondes de silence.

Elle s'exécuta non sans grimacer et prit enfin le temps de respirer malgré sa gêne. Même si elle l'avait côtoyé plusieurs heures la veille, il lui était étrange de s'assoir à la même table que l'homme qu'elle avait désespérément tenté de tuer pendant des années. Une ironie de plus, dont le destin devait certainement rire à gorge déployée... Pourtant, Hermione n'eut pas le temps d'y penser d'avantage et vit soudainement apparaître une myriade de fruits, breuvages, beignets et autres pâtisseries. Décidément la magie des repas de Poudlard ne changerait jamais.

- Mange. Nous avons beaucoup à faire aujourd'hui.

- Oh si… si c'est urgent, le repas peut attendre.

- J'en doute.

L'irrévocabilité de son ton la fit déglutir. Bien entendu… elle doutait qu'il la laisse délaisser son alimentation après les observations alarmistes de son Médicomage. Gênée, elle détourna le regard et se servit quelques fruits dans un silence pesant. Pourtant, s'il lui était étrange de manger en compagnie de Lord Voldemort en personne, elle fut davantage surprise en le voyant se saisir d'une grande tasse de café et d'un beignet. Dans son inconscient, elle s'était imaginée que sa nouvelle immortalité le délesterait du poids des modalités de survies des simples mortels. Mais à juger l'appétit avec lequel il mordit dans sa pâtisserie, la jeune femme dû admettre son erreur. A croire que même la toute-puissance ne savait calmer l'appétit d'un homme.

- Alors ! S'exclama-t-il. Ta Tutrice remplie-t-elle correctement son rôle ?

- Dans la mesure où je ne sens plus mes pieds et que respirer est devenue une véritable épreuve, je suppose que oui. Sourit-elle amusée. Narcissa est très enjouée à l'idée de m'apprendre votre… votre protocole.

- Détrompe-toi. Grimaça-t-elle. Les manières des Sangs-Purs me sont aussi indigestes que leurs insupportables niaiseries.

Surprise d'une telle réponse, Hermione le regarda sans y croire. Il était le Sorcier le plus puissant de tous les temps ! Pourquoi s'encombrerait-il de telles manières ?!

- Mais… pourquoi ne pas les abroger dans ce cas ?

- Parce que dans ce monde ma chère, des règles se doivent d'être respectées. Elles sont contraignantes, avilissantes et pour la plupart insupportablement inutiles, mais elles existent pour de bonnes raisons. Dit-il énigmatiques.

- Pourtant, vous avez brisé la plupart des règles de la magie. Fit-elle remarquer.

- C'est exact. Dit-il dans un sourire amusé. Mais ne fais pas l'erreur de confondre la recherche du pouvoir absolu avec l'étiquette des bonnes familles du pays. On peut briser quelques règles, soumettre le monde et défier la mort, mais tout cela serait vain si l'on plongeait le monde dans l'anarchie. Or et sache-le, j'exècre l'anarchie.

Son discours ne manquait pas de sens et pourtant, il stupéfia Hermione d'incompréhension. Il était difficile d'imaginer Voldemort se plier aux règles vestimentaires que Narcissa lui avait répété toute la matinée, tout en mettant tout en œuvre pour asservir le monde à sa volonté.

- Et puis, sois reconnaissante. Dit-il. Sans ce protocole, tu n'aurais pas eu droit à ton audience, ni même à un jugement équitable. Mes mangemorts se serraient simplement contenter de te tuer et ce monde aurait été voué à disparaître.

- Je doute qu'ils se seraient gênés de me tuer s'ils m'avaient trouvé avant Drago… déglutit-t-elle.

- C'est fort probable… mais le protocole m'aurait permis de les châtier pour ça.

Sa réponse les laissa échapper un rire ironique avant que l'étrangeté de la situation ne frappe la jeune femme. Elle discutait manières et usages avec Voldemort. Plus encore, elle en riait avec lui. A croire que tout était possible finalement... Plus apaisée qu'elle ne l'aurait cru, Hermione se détendit et commença à savourer son premier petit déjeuner depuis des années. Muette, ils mangèrent tranquillement pendant de longues minutes pendant lesquelles le Mage détailla chacune de ses bouchées. Minutieuse et délicate, il la vit savourer chaque aliment et breuvage avec soin mais fut cependant surpris de ne la voir que manger la moitié des quatre fruits de son assiettes. Un détail qui l'agaça autant qu'il attisa sa nouvelle curiosité. Il n'avait oublié aucun des mots de son Médicomage, aussi c'est dans un soupir qu'il s'enfonça dans sa chaise et grimaça.

- Que t'as dit mon médicomage ? Demanda-t-il subitement.

Surprise, Hermione posa sa fourchette dans un frisson. La véritable question serait plutôt : que ne lui avait-il pas dit ?

- Plein de choses. Mais je ne souhaite pas m'attarder sur ma santé…

- Pourquoi ?

- Je vais bien. Dit-elle simplement. Mes blessures cicatrisent et mes incidents du passé ne seront bientôt plus qu'un lointain souvenir alors… je préfère me tourner vers l'avenir.

- Des incidents ? Répéta-t-il. Voilà un choix de mot bien… léger pour décrire ce que le Médicomage le plus reconnu du pays appel lui-même, « des actes d'une barbarie aussi déconcertante que profondément terrifiante ».

- Il exagère…

- J'en doute. Insista-t-il. En particulier quand ce médicomage à lui-même soigné les victimes des quelques fantaisies de cette chère Bellatrix.

Hermione déglutit et contempla son assiette sans trouver quoi répondre. Oui, elle avait souffert. Et oui, Harry et Ron avaient tenté l'impossible par la sauver d'un mauvais sort qui n'avait jamais existé. Mais que pouvait-elle y faire ? Ils étaient persuadés de faire ce qu'il y avait de mieux pour elle et même si les souvenirs de leurs efforts ne lui insufflaient que dégoût, colère, rancœur et nausées de haine… ils n'étaient plus là aujourd'hui. Ne restaient que les vestiges de leur passage ; des vestiges qui ne tarderaient pas à disparaître et qui l'affranchiraient enfin du poids de leur souvenir.

- Je préfère l'oublier. Souffla-t-elle du bout des lèvres. Harry et Ron font partie de mon passé. Ce qu'ils m'ont fait aussi.

Etonnement intrigué par la paix qu'habitait son regard, le Mage ne renchérit pas. Si elle parvenait à ne pas laisser ses deux démons interférer dans sa concentration et sa détermination… alors Merlin soit loué ! Il n'avait pas le temps de la laisser suivre une thérapie.

- J'ai réfléchi à notre conversation d'hier soir. Déclara-t-elle soudainement. Je sais que nous ne l'avons pas évoqué, mais je pense que nous devrions nous pencher sur l'Histoire de Morgane.

- Son histoire ?

- Nous savons déjà qu'elle était la sœur du Roi Arthur et l'ennemi juré de Merlin, mais elle était également une reine et une guérisseuse. Si nous arrivons à retracer les évènements de sa vie, nous serons à même de mieux comprendre la rédaction de ses recueils.

Surpris par une telle proposition, Voldemort acquiesça songeusement. Il était vrai que Morgane était une sorcière célèbre, mais avec le temps les faits s'étaient transformés en légendes… et les légendes étaient tombées dans l'oubli.

- Cette idée est pertinente. Dit-il alors dans un sourire. Elle remettrait ses travaux dans leurs contextes.

- Et dans l'éventualité où la prophétie ou l'Eclipse seraient abordées, nous serions en mesure de déterminer où, comment et à quelle période de sa vie Morgane aurait eu connaissance de ces informations.

- Et nous pourrions donc remonter leurs sources… comprit-il.

Le voir aussi surpris de son génie lui laissa échapper un sourire. Il lui était agréable de voir qu'elle pouvait encore épater ses professeurs...


Et voilà ! Chapitre un peu plus court que les autres mais ce n'est que partie remise ;) j'espère qu'il vous aura plu ! A mercredi prochain 3