DISCLAIMIER : tous les personnages de l'histoire sont à la merveilleuse J.K Rowling. Je n'en touche aucun argent, je l'écris pour mon propre plaisir et celui des lecteurs. Donc cette fanfiction s'appelle Harry Potter et les mystères du destin, c'est ma première fic. Bonne lecture (une petite review ne sera pas de refus.)
Chapitre 2 : massacre in extremis
C'était un matin comme les autres, depuis le début des vacances il n'avait pas arrêté de pleuvoir à Little Whinging. Le ciel était gris et composé de gros nuages sombres qui ne laissait passé aucun rayon du soleil quand celui-ci voulait se montrer, ce qui était très rare.
Au n°4 de la rue Privet Drive, vivait un jeune homme. Celui-ci était silencieux et souffrait en silence dans une petite pièce qui semblait être sa chambre.
Il avait les cheveux d'un noir de jais, allant dans tous les sens. Ses yeux étaient d'un vert émeraude envoûtant. Il avait beau avoir une allure fragile, il n'en était pas moins d'une taille moyenne pour un garçon de son âge et assez musclé grâce sans doute au sport.
Ce jeune homme n'était autre qu'Harry Potter : survivant malgré son jeune âge et héros pour une grande partie de la communauté sorcière.
Mais en ce moment Harry souffrait, il souffrait de ne pas être en présence des personnes qu'il aimait mais il souffrait surtout des coups que Vernon Dursley lui donnait. Oui, son oncle le battait, mais pourquoi ?
Flash-back :
Cela faisait plus de deux semaines que les vacances étaient commencées et Harry ne pouvait pas faire ce qu'il voulait car les Dursley l'avaient surchargé de tâches ménagères.
Au début, il n'en avait eu que 2 ou 3 et il s'était dit que du moment que ce n'était que ça, il n'allait pas sans plaindre. Mais au fil des jours les Dursley lui en imposait encore et encore et là il était déborder. Il n'avait pas une minute à lui pour faire ses devoirs de vacances ou même écrire à ses amis.
De plus, s'il refusait, Vernon Dursley le privait de nourriture. Cela n'était pas un problème, dans sa chambre l'attendait quelques gâteaux envoyer généreusement par ses amis et son parrain. Mais sinon, son oncle l'interdisait de sortir et là Harry obéissait car quand il n'était pas dans sa chambre il se promenait dans les rues de Little Whinging. C'était pour lui le seul moyen de se sentir tranquille loin des gens qui lui servait de famille.
Donc, surcharger de travail, Harry était en ce moment entrain de couper les roses du jardin sous un temps pluvieux pendant que les Dursley prenait le thé dans le salon ou regardait un feuilleton à la télévision. « Aïe ! » Il venait, une fois de plus, de se piquer un doigt sur une épine de rose. Il avait les doigts en charpies !
Là, ç'en est trop ! J'en ai plus que marre ! Ils vont m'entendre ! dit Harry pour lui-même.
Il se dirigea à grands pas vers la porte, l'ouvrit brusquement et la claqua violemment. Les Dursley tournèrent immédiatement la tête vers l'individu responsable de cet acte.
Qu'est-ce qu'il te prend de fermer la porte ainsi ? Tu n'es pas tout seul, ici ! aboya l'oncle Vernon énervé que l'on vienne le déranger.
Je m'en fiche ! répondit son neveu en colère.
Ne me parle pas sur ce ton jeune homme ! As-tu fini de couper les roses du jardin ?
Non ! cria presque Harry.
Comment-ça, non ? Que fais-tu ici alors ! Retourne dehors et reviens seulement quand tu auras terminé ! S'exclama l'oncle Dursley qui commençait à devenir rouge de colère.
Je ne veux pas ! hurla Harry, j'en ai plus qu'assez de travailler ! Je ne suis pas votre esclave !
Ecoute-moi bien, toi ! Tu n'as jamais été le bienvenu ici et malgré tout nous t'offrons un toit pour dormir et de la nourriture alors tu as intérêt à faire ce que je t'ordonne, c'est bien compris !
Non, je ne le ferai pas ! répondit Harry qui comme son oncle, devenait de plus en plus en colère, sinon je...euh...j'écrirai à mon parrain pour le prévenir de la façon dont vous me traitez !
Aussitôt le visage de l'oncle Vernon passa du rouge au blanc et il murmura quelques mots tout bas :
Sale gosse, tu es comme ton fichu parrain, une vermine. Ca ne m'étonne pas que tes parents fréquentait un criminel, il n'était tous que des vauriens.
Au plus grand malheur de Vernon Dursley, Harry avait tout entendu malgré le ton bas qu'il avait utilisé et celui-ci devint très énervé.
Ne parle pas d'eu comme ça ! hurla-t-il, mes parents non jamais de leur vie fréquentés un criminel.
C'est après ces paroles qu'il vit qu'il avait fait une énorme gaffe et comme il s'en doutait, son oncle loin d'être bête, allait répliquer dans l'instant
Que dis-tu ! Tu nous as menti depuis le début ! s'exclama brusquement l'oncle Dursley. Si tes bons à rien de parents n'ont jamais côtoyé un criminel, ça veut dire que ton parrain n'en est pas un ! Sale garnement !
Fin du flash-back
Harry frémit en repensant à ces images. Cela faisait quelques jours que ça s'était passé et depuis son oncle n'avait cessé de le frapper, l'insulter...
Il était allongé sur son lit, n'ayant ni le droit de manger ou sortir. Il avait fini la dernière part du gâteau qu'il lui restait, il y a 2 jours. De plus, il lui était impossible de se lever pour écrire à ses amis ou autres depuis le coup de poing, que lui avait donné son oncle, dans le ventre.
Il entendit un bruit et vit sa chouette entrer par la fenêtre, une lettre accroché à la patte. Elle se posa sur le bureau et fit quelques pas vers son maître pour lui donner son courrier.
Harry réussi tout de même à l'enlever et la déplia. La lettre venait des Weasley s'inquiétant du fait qu'il ne répondait pas aux courriers qui lui avait été envoyés ces derniers jours. Il aurait bien aimé leurs répondre mais il ne pouvait se déplacer ayant un mal pas possible aux côtes
Il savait que s'il restait dans cet état là, son cas allait empirer. C'est alors qu'une idée lui vint à l'esprit.
Hedwige ! Retourne chez les Weasley pour chercher du secours, vas-y le plus vite possible , s'il te plaît. Je ne me sens vraiment pas bien, alors fais vite, je conte sur toi.
Aussitôt dit, la chouette blanche s'envola à tire d'aile par la fenêtre
