DISCLAIMIER : tous les personnages de l'histoire sont à la merveilleuse J.K Rowling. Je n'en touche aucun argent, je l'écris pour mon propre plaisir et celui des lecteurs. Donc cette fan fiction s'appelle Harry Potter et les mystères du destin, c'est ma première fic. Bonne lecture (une petite review ne sera pas de refus.)
Chapitre 5 : face à face déplaisant !
Tous étaient très pressés, anxieux... Quand Dumbledore appuya sur la sonnette et que celle-ci retentit, on vite apparaître une once d'étonnement sur le visage du chien, mais celui-ci redevint aussitôt de marbre quand il entendit, grâce à son ouïe fine, des pas provenant de l'autre côté de la porte.
Un homme d'apparence énorme, avec une moustache de grande taille, quasiment pas de cou, et un gros menton, entrouvrit la porte.
- Euh...oui ?...Bonj...Aaaah ! hurla l'individu.
Le propriétaire de la maison du 4 Privet Drive venait de s'apercevoir qui se tenait devant le palier de sa porte.
- Hum ! Bonjour Mr Dursley, commença Dumbledore devant l'air terrorisé de l'oncle Vernon qui le dévisageait comme s'il était un monstre, je suis Albus Dumbledore, Directeur de l'école de sorcellerie Poudlard, nous désirons voir Harry, s'il vous plaît.
Vernon Dursley était devenu vert de peur, en passant par toutes les couleurs : rouge, blanc..., quand il entendit les paroles du vieil homme qui ressemblait pour lui à un personnage de conte, avec sa longue barbe blanche : un certain Merlin l'enchanteur.
- Sor...sortez de chez moi IM-ME-DIA-TIA-TE-MENT ! cria-t-il.
Il s'apprêta à leurs claquer la porte au nez mais se désista lorsque Remus sortit sa baguette de la poche gauche de sa robe.
On aurait pu croire, sur l'instant, que l'oncle Vernon avait eu une crise cardiaque. Sa respiration s'était momentanément arrêtée, son visage était devenu d'une pâleur extrême et il avait aussitôt reculé de plusieurs pas, jusqu'à atteindre le mur du couloir.
Ce qui était certain, c'était qu'il n'en menait pas large avec la baguette de Remus tendu vers lui, Dumbledore sur qui on apercevait une pointe de colère et Patmol lançant quelques grognements furieux.
- Vernon, appela la tante Pétunia en se dirigeant vers la porte d'entrée, dépêche-toi ! Le feuilleton va bientôt commen...Aaah !
En apercevant les étranges individus postés devant sa porte, Pétunia Dursley avait aussitôt poussé un cri suraigu qui avait le don de casser les tympans. Elle rejoignit aussitôt Vernon qui n'avait pas bouger depuis.
- Nous voulons voir votre neveu, monsieur, répéta le vieux directeur.
- Par...Partez, balbutia Mr Dursley, je ne veux pas de monst...de gens de votre espèce dans ma maison !
Patmol lança un aboiement de colère, suivi de grognements qui en faisait froid dans le dos, avec, en plus, un retroussement des babines dévoilant ses crocs.
- Calme-toi, intervint Dumbledore.
L'animagus avait obéit à la demande du vieil homme et ne portait plus son attention sur les deux adultes Dursley. Il avait levé le museau, reniflant l'air.
Remus et Dumbledore essayaient vainement de parler avec le couple de moldus. Malgré le fait qu'ils étaient terrorisés, la tante Pétunia était rassurée que son fils ne soit pas à la maison puisqu'il passait ses journées à fréquenter les rues avec ses amis.
Deux ou trois minutes venaient de s'écouler, un aboiement sonore, provenant de Patmol, se fit entendre. A la plus grande surprise de tous, celui-ci ce retransforma en homme.
Reconnaissant l'horrible criminel recherché qui avait mis l'Angleterre sans dessus dessous, il y a de cela quelques années, les Dursley se mirent à hurler.
- Mais taisez-vous ! s'exclama Remus, Sirius, tu es fou ma parole !qu'est-ce qui te pr...
Mais l'animagus ne l'écoutait pas et avait emprunté l'escalier, à droite du couloir, qu'il escaladait à grandes enjambées.
- Harry ! Harry ! appela-t-il d'une voix inquiète.
Son ami lycanthrope allait l'interrompre pour lui demander ce qu'il faisait mais l'animagus lui répondit :
- Il est ici, Remus ! Harry se trouve à l'étage ! Je l'ai senti avec mon flair !
- Bien, dans ce cas allons-y ! Quant à vous, dit Dumbledore en désignant les Dursley, je vous pris de rester ici.
Le loup-garou et le directeur de Poudlard suivirent Sirius, à l'étage. Ils furent devant plusieurs portes mais...
- Laquelle est-ce ? interrogea Remus.
- Sûrement celle-ci, remarqua Dumbledore.
En effet, la porte désignée par le vieil homme était plus abîmée que les autres. Elle était quelque peu écaillée par endroit, de plus, on apercevait une trappe en bas de celle-ci.
« Comme celles que l'on utilisent dans les prisons pour nourrir ses occupants », pensa Sirius, ressentant un léger frisson.
Mais il ne se fit pas attendre et entra directement dans la pièce, suivit des deux autres. Les trois personnes furent plus ou moins choqués parce qui se dévoilait sous leurs yeux.
Une chambre un peu sale, avec quelques affaires traînant au sol, par-ci par-là. L'odeur n'était pas très agréable, un mélange de poussières, de renfermé se faisait sentir. Mais ce qui attrayait davantage l'attention avant tout, était le jeune homme allongé sur son lit, qui se trouvait dans un mauvais état.
Il était habillé, seulement, d'un tee-shirt et d'un jeans, un peu trop grand pour lui. On apercevait sur les parties laissant voir sa peau, donc ses bras et son visage, quelques hématomes et plaies ouvertes qui saignaient
Sirius était devenu très pâle et terrifié, il s'agenouilla rapidement près de son filleul.
- Harry ! appela-t-il, Harry !
Mais le Survivant ne lui répondait pas et d'ailleurs il ne se réveillait pas. Sa respiration se faisait faible. Son parrain essayait de lui faire reprendre conscience en le secouant légèrement, mais c'était en vain.
- Professeur Dumbledore ! Remus ! Il faut faire quelque chose ! supplia l'animagus, terriblement inquiet.
- Nous ne pouvons utiliser de la magie sur lui tant que nous ne savons pas ce qu'il a, même si une idée me traverse l'esprit. Mais il vaut mieux qu'il passe entre des mains de professionnels. Emmenons-le, donc, à l'hospital Ste- Mangouste sans tarder, évoqua Dumbledore.
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N'hésitez pas à me mettre des reviews, ça me fait énormément plaisir même si ce n'est que quelques mots.