Et voilà, dans la foulée, je vous poste le dernier chapitre... j'espère qu'elle ne vous décevra pas trop... bonne lecture
Chapitre 13 :
V : C'était Alice, elle a eu un accident, elle… Sydney ?
La jeune femme se retourna vers l'homme, surprise.
S : Je… je regardais le contenu du parchemin.
V : Ah… ok. Ca dit quoi alors ?
S (en ouvrant un peu plus le coffre) : Qu'on pourrait faire revivre les morts.
V : Rambaldi est vraiment fou !
S : « Ca dépend pour qui ! »
V (reprenant) : Franchement Sydney, qui voudrait faire revivre les morts ?
S : Tu n'aimerais pas que ton père revienne à la vie ?
V (comprenant enfin ce qu'il pouvait vraiment faire avec) : Euh… si… je sais pas… mais qui dit que ça marche réellement ? Que ça ne donne pas de faux espoirs ?
S : J'en sais rien… mais si ça marche, nous pourrions éviter beaucoup de morts inutiles…
V : Quel serait le prix à payer pour ça ?
Ils fixaient tous les deux le parchemin pensant à ce qu'ils pouvaient faire avec.
Vaughn détourna la tête. Ce parchemin était dangereux s'il s'avérait vrai.
V : Syd, range-le. On va atterrir.
La jeune femme s'exécuta alors qu'elle refermait la boîte, elle vit Vaughn sortir de la cabine…
Los Angeles, 17h
Salle de briefing
K : Bien. Bravo pour cette mission agent Vaughn et Bristow. Le parchemin est en route pour les labos de Langley. Vous avez une nouvelle mission.
Vaughn s'enfonça un peu plus dans son siège, Alice allait encore le tuer…
K : Vous allez extraire un agent infiltré da-
M : Monsieur !
K (exaspéré) : Quoi ?
M : Langley vient d'appeler… oui… euh… j'ai répondu à votre place (grand sourire)… j'ai utilisé un appareil que j'ai programmé pour prendre la voix d'une autre personne enregistrée dans sa mémoire… vous m'en voulez pas ?
K : Abrégé !
M : Oui euh… donc… c'est quand même une vraie merveille !
K (criant): Flinkman !
M (direct) : Le parchemin a été volé.
K : Quoi ? Comment ? Qui ? (dont ? où ? )
M : On ne le sait pas monsieur.
Les autres personnes présentes écoutaient attentivement l'échange. La bombe que Marshall avait lâchée fit intervenir un silence dans la salle. Sydney sentit un regard sur elle. Vaughn.
Kendall abrégea le débriefing.
V : Sydney !
S : Oui ?
V : Qu'est-ce que t'as fait ?
S : Je n'y ai pas touchée ! Tu m'entends ? Je n'y ai pas touché !
Vaughn la regarda dans les yeux, cherchant le mensonge. Il avait toujours su y trouver la vérité.
V : D'accord.
2 mois plus tard
C'était fin prêt, le jour J.
Cela faisait 1 mois et demi qu'elle préparait tout ça dans le plus secret des secrets. Elle avait tout d'abord vérifiée que personne ne la soupçonnait être à l'origine du vol du parchemin. Mais tout était calme.
La CIA la faisait toujours partir en mission importante. Vaughn lui avait fait confiance.
S : « Quel idiot ! »
Elle avait pu mettre son plan à exécution.
Elle avait eu du mal à réunir tous les « ingrédient » qu'il fallait pour préparer la « potion » mais elle y était arrivée. Elle avait dû parcourir le monde, activer tous ses contacts, marchander avec les bons comme les terroristes. Elle s'était fait de nouveaux contacts, de nouveaux amis, de nouveaux ennemis… elle s'était fait connaître du monde à travers les murmures du silence.
Et maintenant tout était prêt.
Il ne manquait plus qu'une chose. Ou plutôt quelqu'un.
Elle regarda le cercueil. Le plus dur restait à faire… l'ouvrir et avoir à le regarder…
Elle s'en approcha, ses tremblements augmentaient au fur et à mesure que l'écart se réduisait. Sa main toucha le cercueil, il fallait qu'elle le fasse. Elle prit son courage entre ses mains et l'ouvrit…
hr
Flash back (je fais concorder que quand Sark rentre au SD-6, la mission de Jack, Sydney et Irina en Inde vient de se dérouler et qu'Irina s'est échappée pendant cette mission)
A : Irina, ravie de te revoir.
I : Arvin.
A : Comment t'es-tu échappée ?
I : Arvin, je ne dévoilerais pas mes secrets, tu le sais bien.
A : Tu n'as pas changée.
I : Pourquoi je l'aurais fait ? (changeant de sujet) Alors ? Comment ça se passe ?
A : Il est en place, ils s'aiment toujours autant.
: La survie de l'Elue dépend de ses Gardiens. Ils seront au nombre de 4, 4 Gardiens choisis pour veiller sur elle, pour la protéger de la mort. Mais l'ombre sera leur seul lieu d'action. Son Opposé sera l'artisan de sa perte et qui porter le seul mal infâme qui pourra la sauver.
Fin Flash Back
hr
Il avait l'air serein. Les yeux fermés il apparaissait tel un ange.
Elle prit soudain peur.
S : « Et s'il était mieux comme ça ? Mort ? Il préfère peut-être ça que vivre dans ce monde-là ?... Non. Rambaldi ne fait jamais rien au hasard… »
Elle s'aveuglait volontairement, égoïstement, elle avait besoin de lui. Elle espérait juste qu'il ait besoin de vivre, qu'il ait besoin d'elle…
Elle suivit scrupuleusement ce que Rambaldi dictait de faire.
Alors qu'il aurait dû se produire quelque chose, rien ne fut fait.
Tout espoir était perdu.
Il ne pouvait pas revivre.
Rambaldi avait failli.
Elle s'écroula à terre. Elle avait tant espérée, elle fut déçue.
hr
L'endroit était lugubre, il y avait que peu de lumières. Seule la lune à travers les fenêtres brisées du hangar permettait d'apercevoir le visage de leurs interlocuteurs. Ils étaient réunis autour d'une boîte. Ils la regardaient, ils se regardaient.
Tout se résumait en cette boîte, c'était elle qui avait décidée de leurs actions, c'était elle qui les avait guidée et… maintenant ils s'apercevaient que ce qu'elle leur avait dévoilée n'avait été qu'un tissu de mensonges…ils avaient fait tout ça, ils avaient fait souffrir tant de monde, dans de leurs proches pour… rien. Ce qu'il y aurait du y avoir, c'était tout le contraire de ce qu'elle disait. Elle aurait du leur dire dès leur départ, il n'y aurait pas eu tant de souffrances, tant de pleurs, tant d'animosité, tant de crimes, tant de déception… et pourtant il en avait été autrement, elle leur avait dit ça pour arriver au contraire, elle avait dit qu'il ne fallait pas ça pour en arriver à le faire.
2 : Qu'allons-nous faire ?
A : Pour une fois…
I : … nos rôles de…
: … Gardiens sont…
A/I/2 : …terminés.
A : Devons-nous encore la protéger ?
2 : Les protéger. Tous.
A : Pourquoi ?
2 : C'est mon fils ! Et l'Elue et l'Artisan ne feront bientôt plus qu'un…
: Il est mort.
I (se retournant vers ?) : Qui ?
: Julian.
Les trois autres Gardiens se retournèrent vers lui.
A : Depuis quand le sais-tu ?
: Depuis que la CIA a demandée à Sydney et Vaughn d'aller chercher ce parchemin qui permettait de faire revivre les morts.
I : Tu veux dire…
: Oui Irina… Sydney a bien volée ce parchemin pour faire revivre Julian… elle était bizarre depuis qu'elle était rentrée de vacances…
2 : On a fait tout ça pour qu'ils soient ensemble…
: Nous étions là pour les protéger…
2 : De quoi ? C'est de nous qu'il fallait les protéger ! Julian et Sydney ont souffert bien plus que chacun d'entre nous ! Combien de fois ont-ils été trahis ?
I : Arrêtez ! Nous n'avons plus aucun rôle à jouer dans cette histoire, nos vies nous attendent. Ce à quoi nous aspirons tous depuis plus de 27 ans.
2 : Quelle vie Irina ? Je n'ai plus de vie ! J'ai-
La boîte « remuait » anormalement… Lorsqu'ils ouvrirent la boîte, le papier qui jadis étaient vierge de tout écriture avait à présent quelques mots.
: Aux Gardiens qui par leur courage, par leur ténacité, ont suivi mes écrits, ont permis aux véritables âmes sœurs de ce monde de se retrouver je vous dois toute ma gratitude. Le sang coulé, la tristesse engendrée, la colère animée, rien n'a de réel prix que d'apporter l'élément qui ramènera en ce monde la paix. Seul cet amour pourra nous sauver tous du désespoir, de la mort. Le monde vous doit leur salut.
hr
: aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhnnnnn
S : Julian !
J : Où je suis ? Qu'est-ce … Sydney ?
Sydney s'était reculée, elle était pétrifiée. Ca avait marché. Ce vieux fou avait encore raison.
Mais elle n'arrivait pas à le réaliser… il était revenu à la vie.
J : Sydney ?
Il essaya de se lever mais il s'écroula.
S : Julian !
Elle vint à côté de lui et ce qu'elle vit l'étonna. Il était mort de rire. Elle ne comprenait pas. Du regard, elle le lui fit comprendre.
J : Tu m'as bien piégé n'est-ce pas ? Tu comptes faire quoi ? Me soutirer des infos ou me torturer puis me les soutirer.
S : Tu étais mort.
J : Quoi ?
S : Quel est ton dernier souvenir ?
J : On était au restaurant et… il y a eu une fusillade. Qu'est-ce que c'était ?
S : Je n'ai pas réussi à l'apprendre. Pendant cette fusillade, tu as été touché. Le foie. Le docteur nous a dit qu'il ne pouvait rien faire. Fran et moi… t'avons enterré en Nouvelle-Calédonie…
Elle le voyait, il était perturbé. Elle avait lâché cette information sans aucune protection.
Elle vit ses yeux se refermer, encaissant la nouvelle, puis ils se rouvrirent pour se plonger dans ceux marron de la jeune femme.
J : Pourquoi ?
S : Pourquoi quoi ?
J : Pourquoi m'avoir rendu la vie ? Et comment ?
S : Rambaldi.
J : Rambaldi ?
S : Regardes. (elle lui tendit le parchemin) J'ai tenté et… regardes le résultat.
J : Pourquoi ?
Elle ne répondit pas, elle laissa le silence prendre place dans la pièce. Tout passer par le regard. Il comprit. Il avait réussi à la faire changer d'avis.
J : Je voudrais voir ma tombe.
S : T'es sûr ?
J : Oui.
Cimetière
« Julian McCallister
1981-2005
'L'ange démon' »
J (un sourire aux lèvres et se tournant vers Sydney) : C'est toi la dernière phrase ?
S : Oui.
J : Il faut qu'on parle.
hr
: Agent Vaughn !
V : Oui ?
: Savez-vous où est passé Bristow ?
V : Fille ?
? (impatient) : Oui !
V : Non pourquoi ?
: Ca fait une semaine qu'elle a disparu !
hr
I : Elle l'a réveillée.
2 : Comment ?
: Le parchemin de Rambaldi.
2 : Je ne comprends pas.
: Ton fils nous a appris le contenu du parchemin. Rambaldi aurait trouvé le moyen de faire revivre les morts.
William Vaughn : Vous croyez vraiment que ça a pu marcher ?
I : William, jamais une prophétie de Rambaldi n'a été fausse-
A : On n'en sait rien pour ce qui est de la prophétie ultime.
: Mais le destin n'est plus entre nos mains.
hr
Ils étaient dans une maison au bord de la mer. Il y avait une baie vitrée d'où on pouvait l'apercevoir ; c'était le salon.
Julian était assis sur le canapé, lisant un livre en russe. Lorsque Sydney passa derrière le canapé, il l'attrapa et la fit basculer sur le canapé. Il la guettait depuis le matin.
S : Qu'est-ce qui te prend ?
J : Il faut qu'on parle !
S : De quoi ?
J : Du sujet que tu évites depuis plus de 2 mois !
S : Je n'ev-
Elle ne put finir sa phrase, il l'embrassait (vous êtes content ? ). Elle tenta de le repousser mais il ne la laissa pas faire. Il ne cherchait pas à aller plus loin, il attendait juste qu'elle réponde. Elle ne voulait pas, elle ne pouvait pas…
Ses bras trouvèrent facilement la nuque du jeune homme. Elle ne pouvait pas repousser ce qu'elle désirer depuis ces vacances.
Il se recula pour plonger ses yeux dans les siens.
J : Tu es prête à parler ?
S (une lueur de malice dans les yeux) : On sait tous les deux ce qu'il en est alors…
Alors qu'elle s'approchait de lui, il l'en empêcha.
J : Sydney. Sois franche, sincère avec toi-même…
S : A quoi tu joues ?
J : Sydney… je te dois la vie. Je te dois ce sentiment que tu as fait naitre en moi. Non tais-toi ! Laisses-moi finir. Tu crois vraiment que pour moi ça a été facile quand j'ai senti ça ? Devoir cacher ça à Irina qui me connait mieux que quiconque, tu crois que ça avait été facile ? A chaque mission, ne jamais devoir faillir, mais me déchirant à chaque fois que je te ferais dessus, que je te faisais du mal, que tu me haïssais. Tu n'imagines pas ce que c'est de toujours devoir porter un masque sur soi, de mentir à tout le monde de-
S : Tu n'as pas le droit de dire ça ! Tu ne sais rien de ma vie ! Tu-
J : Tu crois en connaître plus de la mienne peut-être ?
Elle baissa la tête, il avait raison.
J : Sydney, de nous deux, je suis le seul qui soit honnête avec lui-même. Malgré notre passé, malgré la haine qu'il y a pu y avoir, je t'aime. Tant que tu ne mettras pas tes sentiments à plat avec toi-même…
Il se leva et sortit de la pièce. Il la laissait réfléchir seule.
Elle le détestait. Elle s'était dévoilée et… il la rejetait. Il l'aimait… et…
Il était dans le bureau, devant l'ordinateur, Sloane le demandait. Il ne voulait pas repartir, la quittait… ça faisait 5h qu'elle y était. Il dîna seul et alla se coucher. Il ne l'avait pas croisé.
La porte s'ouvrit, la lumière du couloir éclaire le lit et la forme qu'il y avait. L'ombre s'en approcha et se glissa sous le drap. Deux yeux bleus la fixaient. Elle l'embrassa. Ces yeux le questionnaient.
S : Je t'aime Julian.
Un sourire vint éclairer le visage du jeune homme. Sa voix, ses yeux exprimaient sa sincérité. Il l'embrassa.
Son baiser était doux, il voulait lui faire ressentir à travers ce baiser tout son amour.
Cette nuit-là fut la nuit où ils se découvrirent, où chacun apprit à aimer de nouveau, à se préoccuper de quelqu'un d'autre.
Lorsque Julian se réveilla le lendemain matin, il sentit un poids sur son torse. Il sourit c'était la première fois qu'il souriait autant depuis longtemps.
Sa main parcourra le dos de la femme. Un frisson la réveilla.
J : Bien dormie ?
Mais elle ne répondit pas. Sur son torse, Julian sentit sa peau s'humidifiait. Il se tortilla du mieux qu'il put pour voir le visage de Sydney.
Elle pleurait.
Ca lui déchira le cœur.
Il sortit de lit, s'habilla et quitta la maison.
Sydney, quand à elle, était toujours dans le lit, en pleurs.
Quelques jours plus tard
Le même scénario se reproduisit quand elle revint à L.A. Elle se renferma sur elle-même et se forgea un masque afin que personne ne voie sa détresse.
C'était sa faute, elle le savait, mais elle n'avait pas pu s'empêcher sur le moment de regretter ce qu'elle avait fait. Alors qu'en fait… elle ne le regrettait pour rien au monde. Elle était encore étonnée de toute la douceur dont Julian était capable. Elle avait passée une de ses meilleures nuits dans ses bras, sous ses caresses…
Elle n'avait été qu'une idiote. Et c'est ça qu'elle regrettait le plus. Elle n'avait plus eu aucune nouvelle de lui.
Au même moment
Une voiture venait de se garer devant un entrepôt désaffecté. Une berline noire. Un jeune homme blond, costard cravate, en sortit. Il avait l'air hautain, sûr de lui ; un masque. Il souffrait. Depuis cette nuit, il souffrait incroyablement. Il ne s'était ouvert que deux fois dans sa vie, la première fois on lui avait volé la femme qu'il aimait, cette fois-ci, elle le rejetait.
: Ah Mr Sark ! Quel plaisir de vous revoir ! Vous avez été absent si longtemps ! Pourquoi ?
J : J'avais mes raisons Mr Sloane.
A : Hum je vois. J'ai une mission à vous confier. Etre le contact d'un de nos agents qui va s'infiltrer pour une certaine durée.
J : Qui ? Où ?
A : A Los Angeles. A la place de Francie Calfo.
J : Je ne comprends pas. Comment ?
A : Grâce à une sorte de clonage. En introduisant une quantité d'ADN de Mlle Calfo dans l'ADN d'une personne pouvant accepter ce brin d'ADN, son corps va changer et devenir celle de Mlle Calfo.
J : Mais qui est prête à faire ça ?
: Ca faisait longtemps Julian.
Le jeune homme se retourna et resta bouche bée.
J (dans un souffle) : Allison…
D (comme Doren lol) : Qu'est-ce qu'il y a Julian ? Tu as vu un fantôme ?
A : Allison va bientôt prendre l'apparence de Francie Calfo, et elle pourra s'infiltrer à Los Angeles.
J : Mais la meilleure amie de Sydney n'est pas morte.
D : Plus pour très longtemps.
J : Recontactez-moi dès que la mission d'infiltration sera prête.
Il les quitta. Ils souriaient tous les deux, mais pas pour la même raison. Elle avait toujours jouée avec Julian, il en avait été touché, il l'était encore. Cela l'amusait.
A : « Alors Julian, qui choisiras-tu ? Sydney ou Allison ? »
DING DONG DING DONG
- : Une minute !
La personne ne précipita vers la porte et l'ouvrit.
? (criant): Oh mon Dieu !
: Fran qu'est-ce qu'il y a ? (voyant la personne sur le pas de la porte) Julian ?
J : Fran est en danger, Sloane veut la tuer et infiltrer un de ces agents à sa place pour avoir des infos sur toi Sydney. Venez avec moi, je vous protégerais de lui. Nous disparaîtrons pour tout le monde, plus aucun de nous ne sera en danger. Vous venez ou vous restez ?
Les deux jeunes femmes se regardèrent. Fran s'occuperait de plus tard de ce qu'il se passait réellement, elle pouvait faire confiance aux deux, même s'ils lui avaient cachés beaucoup de choses, elle le sentait. Sydney et Fran avaient leurs réponses, elles voulaient toutes les deux la même chose…
Fin
