Harry Potter, mage gris? Livre 1: L'école des sorciers

Disclaimer : Tous les personnages appartiennent à J.K.Rowling. Aucun argent n'est fait sur cette histoire, celle-ci a pour but que de divertir.

Cette fic a pour base les 6 tomes de Harry Potter. Elle contiendra donc des informations sur le tome 6. Si vous n'avez donc pas lu ce livre, et que vous ne voulez pas savoir certaines choses, je vous déconseille de lire cette histoire.

Laissez moi une petite review, cela fait toujours plaisir.

NDA: Amis lecteurs, voici ma nouvelle potterfiction inspiré des oeuvres fabuleuse de JKR. Je vous promets que cela n'affectera en rien mon autre fic en cours d'écriture, Harry Potter et la chasse aux Horcruxes. Cette nouvelle histoire parlera d'un Harry bien différent des livres et couvrira les sept livres de JKR, c'est un peu les sept livres à ma manière. Un Harry s'intéressant à la magie noire, à la magie blanche et à l'amour et détestant par dessus tout Voldemort et le vieux fou de Dumbledore. Je vous laisse avec deuxième chapitre.

Bonne lecture :

Mellon

Résumé du chapitre précédent : Harry, 10 ans, vient de découvrir un don merveilleux, il peut contrôler les Dursley rien qu'avec sa voie. Le jour de l'anniversaire de Dudley, Harry va au zoo, il se découvre un nouveau don : il peut parler au serpent, grâce à cet découverte, il se lie d'amitié avec Dûr anor, un serpent qui lui fait découvrir la communauté magique. Pétunia lui donne la lettre de Dumbledore, qui l'a abandonné au pied de la porte. Sa haine se tourne sur Dumbledore et Voldemort. Au moment d'acheter ses affaires, il fait la connaissance de Draco Malefoy avec lequel il devient ami.

Chapitre 2 : Harry Potter arrive à Poudlard, ça va faire des dégâts.


Bonjour dit-il au vendeur, ça serait pour acheter deux balais.

Première année demanda le vendeur.

Non, je suis américain dit-il en appuyant sur les « r ».

Bien, que vous faut-il comme modèle.

Deux nimbus 2000 fera parfaitement l'affaire répondit Harry. Le vendeur partit en arrière boutique et revint deux minutes plus tard avec deux balais.

Parfait, vous pouvez les emballé demanda Harry.

Bien sûr, cela fera 120 galions. Harry tendit la monnaie sous l'œil étonné du vendeur. Au revoir dit-il.

Au revoir dit Harry. Harry revint fièrement vers Draco et lui tendit un balai sous l'œil avide du blond mais il le retira d'un coup sec.

Eh ! Mon balai.

C'est pas encore noël Malefoy dit Harry d'une voix cinglante. Il se retourna vers son père qui lui tendit 60 galions.

Merci répondit Harry, le compte est bon Draco.

Pas mal le coup de l'américain dit Draco.

Ami demanda Harry à Draco sous l'œil du père de ce dernier.

Ami répondit Draco…


Après que son nouvel ami, Draco Malefoy soit partit. Harry reprit sa marche dans le chemin de traverse, il lui restait après tout, plein de choses à faire et la rencontre avec Draco l'avait beaucoup retardé. Il fallait qu'il s'achète rapidement un hibou, pour que Poudlard et le vieux fou de Directeur reçoivent sa lettre. C'est donc avec un certain empressement qu'il se dirigea vers la ménagerie magique, qui n'avait pourtant pas une odeur attirante. Le magasin était rempli de hiboux, de perroquet, de chat, de crapauds, de serpents et dans le fond du magasin, près d'un feu de cheminés qui dégageait une très forte chaleur, des œufs, de différentes tailles étaient posées sur une énorme grille en fonte. Il aperçut également sur le comptoir des rats qui se balançait de barreaux en barreaux par leurs queues. Harry était très intéressé par les œufs car il se doutait que cela devait être des animaux hors du commun.

- Excusez-moi Monsieur. Quels types d'animaux y a-t-il dans ces œufs demanda Harry à un vendeur.

- La plupart des œufs sont habités par des serpents et je ne pense pas que les serpents sont autorisés à Poudlard.

- Non! Non! Monsieur, je ne vais point à Poudlard et je ne veux point de serpent, j'en possède déjà un dit-il en pensant à Dûr Anor. Non, je préfèrerait un animal volant, y'en as t-il un.

- Il y'aurait bien un oiseau qui vient de naître il y' a maintenant deux mois, c'est un Dirico mais faîtes attention, il peut disparaître à tout moments. Je vais vous le montrer, suivez-moi.

Le monsieur et lui passèrent derrière le comptoir du magasin et le fit entrer par une petite porte. La pièce était grande et le plafond haut, les murs étaient tapissés d'une couleur vert forêt. Une grande fenêtre était ouverte pour aérer la pièce. La salle était remplie de petites tables où était posés des cages qui contenaient divers animaux. Le vendeur l'emmena dans le fond de la pièce, devant une cage vide. Il regarda le vendeur et dit:

- Je suis désolé mais je ne vois rien ressemblant à un être vivant dan cette cage, dit Harry en restant poli.

- Je vous ai prévenu jeune homme, le Dirico à la faculté de disparaître quand bon lui semble, ce qui à ses avantages et ses inconvénients.

- Je vous le prends Monsieur, dès qu'il sera en confiance, je pense qu'il ne disparaîtra pas à tout bout de champs.

- Très bien mon petit, cela fait 35 galions. C'est un oiseau devenu rare et il est très dur à capturer. Tiens! Voilà qu'il vient d'apparaître.

Harry ne put que le confirmer, un grand oiseau aux couleurs jaunes veinées de bleu électrique sur le bout des ailes. Il était aussi grand qu'un bébé aigle royale d'Amérique. Il faisait un demi mètre de haut et toujours d'après le vendeur, il avait une envergure de 5 mètres. Le vendeur ouvrit la porte.

- Et dans quelques mois, il atteindra sa hauteur maximale de 90 cm et de 10 mètre d'envergure. Il est très pratique pour transporter des colis. Si il vous fait entièrement confiance, vous n'aurez qu'à lui demander de se rendre invisible et il le fera.

- Comment obtient-on sa confiance, monsieur, demanda Harry.

- Prendre soin de lui…

L'oiseau s'envola et se posa avec délicatesse sur l'épaule de Harry. Il baissa son bec, l'oiseau demandant implicitement des caresses. Harry satisfit l'animal qui sembla apprécier les caresses.

- Je crois qu'il me fait confiance, monsieur, dit Harry avec joie.

- En effet… c'est… incroyable et inimaginable. Vous avez dans votre cœur des intentions pur dit le vendeur avec de gros yeux. Je ne vais pas vous donnez de cage, il n'aime que la liberté. Vous n'avez qu'à lui demander de disparaître. Et donner lui un nom.

- Mellon! Disparaît! Ordonna Harry. L'image de l'oiseau se troubla et finit par disparaître.

- Parfait! S'exclama le vendeur, je vous le fait à 30 galions pour la peine.

- Merci beaucoup Monsieur.

Harry ressortit donc de la boutique avec un peu moins d'argent mais un poids invisible en plus sur l'épaule. Harry remonta toute la rue et s'installa chez le glacier Florian Fantarome. Il prit une glace au citron et écrivit sa lettre au Pr. Dumbledore disant qu'il accepter de venir dans son école. Il murmura à Mellon sa destination:

- Mellon, va donner ça à Dumbledore à Poudlard en restant invisible, d'accord. L'oiseau fit une brève pression et prit la lettre qui devint elle aussi invisible.

- « Avec un peu de chance, le petit vieux sera tellement surpris qu'il aura une crise cardiaque.» pensa Harry en pouffant légèrement.

Il était maintenant cinq heure de l'après midi. Il acheta rapidement les ingrédients pour les potions, une balance et un chaudron en or. Il avait enfin fini. Le soleil commencé à se coucher. Il ne lui restait que 10 minutes pour atteindre le bus qui était à l'autre bout de Londres quand il eu une idée. Il sortit une de ses deux baguettes, la leva en l'air puis la redescendit brusquement vers le sol. Un bus mauve apparut dans un BOUM sonore et il faillit se faire écraser. Le bus s'était arrêté à 2 centimètres de ses genoux.

- Bienvenue à bord du Magicobus, transport d'urgence pour sorciers et sorcières en perdition. Faites un signe avec votre baguette et montez, montez, nous vous emmènerons où vous voudrez. Je m'appelle Stan Rocade et je serais votre contrôleur cette journée.

L'homme mit fin à sa tirade. L'homme était très jeune. Il devait avoir dix-sept ans. Ses oreilles étaient légèrement décollées et il avait pas mal de boutons sur la figure.

- C'est combien, grogna Harry. Il était affreusement chargé, surtout à cause du chaudron.

- Cela dépend de ta destination, jeune homme.

- 4 Privet Drive, Little Whinging, vous pourriez m'aider s'il vous plaît.

- Bien sûr, vous avez de la chance, il n'y a personne, on ira directement à votre destination. Cela fera onze mornilles.

Harry lui tendit l'argent et monta dans le bus, Stan portant la plupart de ses bagages. A l'intérieur, le bus était rempli de fauteuils confortables alignés derrière les fenêtres, les rideaux n'étaient pas tirés, laissés entrer le jour. Tous ce que put dire Harry à l'arrivé, c'est que le Magicobus et rapide mais un peu trop secouant.

Il rentra rapidement dans la maison, sans se préoccuper de sonner. Il passa en coup de vent dans la cuisine, prenant une pomme une corbeille en papier, omettant d'entendre sa Tante qui lui cria de revenir immédiatement. Il s'enferma dans sa chambre. Il devait tout apprendre et tout savoir, il devait devenir puissant et il devait surtout tuer ceux qui avaient empêché de vivre avec ses parents, tuer tout ceux qui se mettront en travers de sa route. Il en faisait le serment.

Les jour se passèrent toujours ainsi, Harry se levait, mangeait, lisait puis allait dormir, sautant plusieurs fois les cours mais il n'en n'avait cure, ce n'était pas son prof de math qui aller lui apprendre à tuer quelqu'un.

Le premier jour de août, la routine se changea. Un hibou grand-duc venait d'entrer dans sa chambre, il avait les plumes marron, il lui tendit la patte devant l'œil désintéressé de Mellon. Harry prit la lettre faîtes de parchemin neuf, la retourna et brisa le sceau de Poudlard. Il lut:

Cher Harry,

Je suis Albus Dumbledore et je suis le directeur de l'école de Poudlard. Je ne sais pas si tu le sais encore mais j'étais un grand ami de ton père et de ta mère. Leurs pour moi fut un grand malheur mais ta survie ma réjouie. Tu es très connue de la population sorcière (tu l'a déjà peut-être remarqué). La disparition de Voldemort était aussi une bonne nouvelle.

Nous avons bien prit en compte ton inscription et un billet pour la voie 9 3/4 est joint avec la lettre. Pour traverser la voie, il faut traverser entre la voie 9 et 10 de la gare King Kross.

Au plaisir de te revoir.

A.D.

P.S: Jolie Dirico, il m'a agréablement surpris.

Harry était déçu, Dumbledore n'avait pas eu sa crise cardiaque. Depuis ce jour là, il était retourné plusieurs fois au chemin de traverse, prenant des livres de seconde année; surtout en potion. Il trouvait cette matière très intéressante, mettre la mort dans un flacon et d'autres trucs comme ça. Il apprenait donc par cœur les ingrédients et leurs effets et où les trouver. C'est ainsi que le mois d'août passa, un mois de dur labeur pour Harry.

1er septembre.

Le jour-J était enfin arrivé, cela faisait déjà une semaine qu'il avait fini sa valise et tous ses livres était fini et apprit. Il avait donc profité de sa dernière semaine pour sortir dehors et prendre un peu de couleurs. Harry avait beau être grand et bien former pour son age, il avait la peau aussi pâle que Draco maintenant et cela l'horrifié. Il rester ainsi allongé des heures dans le jardin des Dursley sur une grande serviette bleu. Le premier septembre, il fit donc sa rentrée dans l'école de sorcellerie de Poudlard avec une peau légèrement hâler.

Ce matin ci, il s'était donc réveille de bonne humeur à huit heures, avait enfilé ses vêtements moldus acheté chez Mrs Guipure et prit son petit déjeuner ainsi que sa toilette. Il mit son serpent autour de son cou et rabattit sa capuche. A neuf heures, il était déjà en dehors de la maison, sa grosse malle et Mellon sur l'épaule. Il sortit une de ses deux baguette d'un étui sur son poignet qu'il avait acheté au chemin de traverse, une bref pression et la baguette se trouver dans sa paume. Cela éviter aussi de la casser en la trimbalant par exemple dans la poche de derrière de son jean's. Avec la baguette, il fit apparaître le Magicobus qui arriva aussitôt avec toujours autant de bruit.

- Bienvenue dans le Magicobus, entonna aussitôt Stan sans le regarder.

- Je sais, je sais, montons voulez vous bien, je suis assez pressé, dit précipitamment Harry en tendant 20 mornilles dans la main du contrôleur. En s'asseyant, il put voir que le bus était plus remplie que l'autre fois. Il teint fermement la barre en fer qui était devant lui en prévoyance du départ. Le bus repartit dans un CRAC et tout le monde se rétama sur le sol sauf lui et Stan. On était apparut sur une petite route de campagne et il pleuvait, Ernie monta plusieurs fois sur le talus et plusieurs gros chênes s'écartèrent vivement de sa route. Il s'arrêta dans un long crissement de pneu devant une petite ferme de campagne et fit descendre Mrs Dagdega avec douceur.

- Prochaine destination, cria Stan, Londres avec un arrêt à la gare King Kross.

Ils passèrent donc de la vieille route de campagne au périphérique de Londres dans un grand CRAC. Ernie conduisant comme un fou dans la ville, il s'arrêta devant la gare au plaisir de tous ceux qui avait mal au cœur. San l'aida avec sa valise, la mettant sur un chariot de la gare et lui lança un bref «bon voyage» et s'en alla sur d'autres routes. Il poussa son lourd chariot avec Mellon sur l'épaule et passa sans s'arrêter devant les voies 1; 2; 3; 4; 5; 6; 7et 8, il commença à ralentir à partir de la voie numéro 9 puis s'engagea entre cette voie et la 10. Il vit le mur dont Dumbledore lui avait parlé, il s'arrêta devant. Il tendit sa main qui disparu aussitôt dans le mur. Il regarda autour de lui mais personne ne faisait attention à lui, il fit donc passé le reste de son corps et le chariot à travers le mur.

La gare était vide mais le train fonctionnait déjà, de grosse nappe de vapeur s'échappant de la locomotive. Il avait une heure d'avance. Il se dirigea vers la fin du train et monta dans le tous dernier wagon du train; il aimait la solitude et voulait ne pas être déranger dans son voyage. Il plaça son chariot devant la porte et réussi à faire monter sa lourde valise au bout d'un énorme effort qui lui coûta un quart d'heure. Il la mit dans le filet à bagages puis ressortit, soi volatile toujours sur l'épaule.

- Tu peux réapparaître Mellon, dit Harry. L'oiseau obéit. Il avait bien grandi, il faisait un peu moins d'un mètre de haut et avait une envergure de 10 mètres. Il commençait à devenir lourd à porter.

- Va à Poudlard Mellon, je t' y rejoindrais ce soir.

Harry le posa sur le sol et s'éloigna. Il le regarda déployer ses ailes et s'envoler, passant et disparaissant à travers la fumée de la locomotive. Il rentra dans le dernier compartiment du wagon et s'enferma dedans, attendant le départ du train. Il mit ensuite son serpent dans sa malle qu'il avait percé de trou. Sur le quai, les gens commençaient à arriver en nombre et monter dans les wagons. Harry dormait et rattraper ses heures de sommeil. Il ne sentit pas le train démarrer et n'entendit encore moins quelqu'un entrer dans son compartiment et s'asseoir, faisant le moins de bruit possible. Une deuxième personne entra, une fille, et s'assoit dans le compartiment. Ils commencèrent à parler tout bas. Harry se réveilla et eu la vision de deux jeunes devant lui.

- Qui êtes vous et que voulez vous? S'écria Harry en sursautant. Il avait sortit ses deux baguettes en moins de temps qu'il le faut pour le dire et les pointait sur les deux intrus. Les deux firent de gros yeux apeurés. Harry éclata de rire.

- On peut savoir ce qui te fait rire, dit le rouquin.

- On dirait que vous aviez vu Voldemort en personne, dit Harry, toujours en riant. Le rouquin eut un frisson. Je suis Harry Potter et vous.

- Je m'appelle Hermione Granger et lui, c'est Ron Weasley, dit la fille en parlant pour la première fois.

- Vous désiriez quelque chose, les enfants? Interrompit une vieille dame qui poussait un chariot. Harry sortit aussitôt son portefeuille et acheta un peu de tout sous le regard envieux de Weasley et désapprobateur de Granger.

- Mes parents sont dentistes, fait attention, c'est plein de sucres, dit Granger.

- Tu connais le sort pour se détartrer les dents, dit Harry d'une voix froide.

- Euh! Non, c'est quoi demanda-t-elle, avide de savoir. Harry renifla et murmura.

- Fille de moldus, c'est un sort pour détartrer les dents. Granger se refroidit quelque peu. Il sentit le regard de Weasley et lui dit.

- Tu veux une choco.

- Je veux bien, dit-il d'une voix timide. Il lui en tendit deux. Harry regarda la carte qu'il avait, puis la déchira sous les yeux incompréhensif de Weasley. Pour lui, ça devait être un sacrifice de déchirer une carte.

- Pourquoi tu as fait ça?

- Je n'aime pas ce sorcier, répondit simplement Harry.

- Hier, j'ai essayé un sort sur mon rat, je vais vous montrer. Il sortit de sa valise une vieille baguette et un rat en piteux état de sa poche de son gilet. Harry regarda d'un air désintéresser entonner son sort.

Soleil, jonquille et canari,

Que ce gros gras rat gris

En jaune soit colorié

De la tête jusqu'au pied

Le rat gris était toujours gris.

- Un sort, ça, c'est plus une incantation, je vais t'apprendre, moi, à en jeter un, petit rouquin. Il sortit sa baguette.

- Accio dit-il en pointant le rat qui arriva tout droit dans sa paume grande ouverte. Coloria ajouta-il en pensant à la couleur jaune fluo.

- ô miracle, il est jaune dit Harry d'une voix moqueuse. Tient expulsio et le rat jaune fluo retourna dans la main du rouquin.

- Magnifique démonstration, Pr. Potter dit une voix. Harry se retourna.

- Draco! dit Harry en voyant la chevelure blonde de son ami, sauve moi de ces incapables.

- Crabbe, prend la valise de Monsieur. Un garçon solidement bâti prit sa valise sans effort visible.

- Au revoir, dirent Draco et Harry en même temps puis ils éclatèrent de rire et partirent.

- Je suis dans le premier wagon, on y va? demanda Draco.

- C'est partit! Alors, tu as fait quoi du reste de tes vacances.

- J'ai essayé le nimbus 2000…

- Alors, demanda Harry…

- Il est trop bien, j'ai fait des trucs avec…super, tu verras quand tu le testera, il réagit tout de suite et sa pointe de vitesse… exquis.

- Ah oui, quand même, dit-il en voyant le visage rêveur de Draco. Ils entrèrent dans un compartiment où deux filles de leurs âges discutées.

- Je te présente Pansy Parkinson, dit-il en pointant une fille au cheveux noirs et Millicent Bulstrode en montrant une fille assez grande. Les deux là, elle ont du mal à cohabiter, si tu vois ce que je veux dire. Il se retourna vers Pansy et Millicent. Eh! Les filles, vous pouvez sortir deux minutes, on va se changer.

- D'accord, mais seulement deux minutes, si vous n'êtes pas habillerdans deux minutes ; tant pis pour vous dit Pansy en sortant du compartiment.

- Complètement taré cette fille, si tu veux mon avis, dit Draco.

- Je suis du même avis que toi, répondit Harry. Harry enfila (rapidement) un pontalon noir en tissu, un tee-shirt noir assez serré et remit son blouson noir par-dessus.

- Tu vas bien t'entendre avec Rogue, toi. Vous vous ressemblez, dit Draco.

- C'est une insulte, Draco, dit Harry. J'ai vu sa photo et j'ai pas un nez si crochu, n'est-ce pas, ajouta-il, inquiet.

- Non, non, le rassura Draco. Quoique fait gaffe, avec le quidditch, ça pourrait se rectifier. Par contre, McGonagall ne va pas être contente. Tu n'as pas une tenue réglementaire.

- Si je te dis que j'ai un chaudron en or…

- Quoi! Cria Draco, mais Rogue va être furieux en voyant ça.

- Nous arrivons en vue de la gare de Pré au Lard, dit une voix sortant de nulle part, laissez vos bagages dans le train, ils seront acheminés séparément. J'espère que vous avez fait bon voyage à bord du Poudlard Express.

- Allez, tout le monde dehors dit Harry.

Le train finit par s'arrêter et tout le monde sortit dehors, le vent frais soufflait fort. Une lampe se balança au dessus de sa tête, l'homme qui la tenait était très grand. Il le regarda attentivement et reconnu le monsieur qu'il avait croisé quand il était à Gringotts.

- Les premières années, par ici, suivez moi, faîtes attention, le sol est glissant. Je suis Hagrid, gardien des clefs et garde chasse à Poudlard.

Harry fut soufflé devant la beauté de Poudlard. Il devait traverser le lac pour rejoindre le château. Il se mit avec Draco, Crabbe et Goyle. Ils traversèrent le lac, puis un tunnel. Le géant frappa trois gros coups sur la porte devant eux. La porte s'ouvrit aussitôt, une grande sorcière au visage sévère aux cheveux noirs, vêtue d'une longue robe vert émeraude. Hagrid partit et les laissa en élégante compagnie.

- Suivez-moi! Le professeur les guida dans le château et s'arrêta devant une autre porte. Bienvenue à Poudlard, le banquet de début d'année va bientôt commencer mais avant que vous preniez place dans la grande salle, vous allez être répartis dans les différentes maisons. Cette répartition constitue une cérémonie très importante. Vous devez savoir, en effet, que tout au long de votre séjour à l'école, votre maison sera pour vous comme une seconde famille. Vous y suivrez les mêmes cours, vous y dormirez dans le même dortoir et vous passerez votre temps libre dans votre salle commune. Les maisons sont au nombre de quatre. Elles ont pour nom Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigles et Serpentard. Chaque maison a sa propre histoire, sa propre noblesse et chacune d'elles a formé au cours des ans des sorciers de premier plan. Pendant votre année à Poudlard, chaque fois que vous obtiendrez de bons résultats, vous rapporterez des points, mais chaque fois que vous enfreindrez les règles communes, votre maison perdra des points. A la fin de l'année scolaire, la maison qui aura le plus de points gagnera la coupe des Quatre Maisons, ce qui constitue un très grand honneur. J'espère que chacun et chacune d'entre vous aura à cœur de bien servir sa maison quelle qu'elle soit. La cérémonie de la répartition aura lieu en présence de tous les élèves de l'école. Je vous conseille de profiter du temps qui vous reste pour soigner un peu votre tenue.

Le regard du professeur s'attarda sur Neville dont la cape était attachée de travers et sur Ron qui avait toujours une tache sur le nez. Harry s'esquiva rapidement derrière Goyle et Crabbe pour pas que le regard u professeur voit ses vêtements. Ils franchirent la double porte et entrèrent dans la grande salle. L'endroit était étrange et magnifique avec ses milliers de chandelles qui éclairaient quatre longues tables remplies d'étudiants. Au bout de la salle, les professeurs avaient pris une place autour d'une autre table. Granger récitait ses cours:

- C'est un plafond magique, il a été fait exprès pour ressembler au ciel. Je l'ai lu dans L'histoire de Poudlard. Harry grogna « une miss je sais tout, la chance». Harry porta son regard sur le choixpeau dont une bouche se forma et chanta:

Je n'suis pas d'une beauté suprême

Mais faut pas s'fier à ce que l'on voit

Je veux bien me manger moi-même

Si vous trouvez plus malin que moi;

Les hauts-d'forme, les chapeaux splendide

Font pâl'figure auprès de moi

Car à Poudlard, quand je décide

Chacun se soumet à mon choix.

Rien ne m'échapp'rien ne m'arrête

Le choixpeau à toujours raison

Mettez moi donc sur votre tête

Pour connaîtrre votre maison.

Si vous allez à Gryffondor

Vous rejoindrez les courageux,

Les plus hardis et les plus forts

Sont rassemblés en ce haut lieu.

Si à Poufsouffle vous allez,

Comme eux vous s'rez juste et loyal

Ceux de Poufsouffle aiment travailler

Et leurs patience et proverbiale.

Si vous êtes sage et réfléchi

Serdaigle vous accueillera peut-être

Là-bas, ce sont des érudits

Qui ont envie de tout connaître.

Vous finirez à Serpentard

Si vous êtes plutôt malin,

Car ceux-là sont de vrais roublards

Qui parviennent toujours à leurs fins.

Sur ta tête pose-moi un instant

Et n'aie pas peur, reste serein

Tu seras entre de bonnes mains

Car je suis un chapeau pensant!

Harry applaudit poliment la prestation de chapeau puis McGonagall commença à énoncer les noms de sa longue, très longue liste.

- Abbot Hannah!

- Poufsouffle, hurla le vieux choixpeau. La table des Poufsouffles éclata en applaudissement.

- Bones, Susan!

- Poufsouffle!

- Boot Terry!

- Serdaigle!

- Brocklehurst, Mandy!

- Serdaigle!

- Brown, Lavande!

- Gryffondor!

- Bulstrode Millicent!

- Serpentard! Harry applaudit bruyamment la jeune fille, accompagné de Draco et Pansy.

- Flinch-Fletchey Justin!

- Poufsouffle!

- Granger Hermione!

Harry la vit courir pathétiquement jusqu'au tabouret et enfoncer frénétiquement le chapeau. Harry se doutait bien que Poudlard était accueillant mas il y'avait des limites.

- Gryffondor! dit le chapeau après un temps d'hésitation.

- Londubat, Neville! Le chapeau mit un bout de temps à choisir avant de s'écrier:

- Gryffondor!

- Malefoy, Draco!

Il s'élança d'un pas conquérant vers le tabouret. Harry lui souhaita «bonne chance». Ils n'eurent pas à attendre longtemps, dès que le chapeau avait frôlé ses cheveux, il avait hurlé:

- Serpentard!

La mine satisfaite, il alla rejoindre ses amis Crabbe et Goyle qui avaient à Serpentard eux aussi. Moon, Nott et Pansy rejoignirent bientôt la table des Serpentards. Harry allait bientôt y passer.

- Harry Potter! Harry prit tout sont temps pour sortir du rang, marchant calmement et gardant son regard pointé sur le choixpeau. Des murmures s'élevèrent dans toute la salle.

- Elle a bien dit Harry Potter?

- Le Harry Potter. McGonagall allait lui poser le chapeau quand ce même chapeau cria:

- Serpentard!

Le choixpeau avait à peine touché ses cheveux. Juste avant qu'elle retire complètement le vieux bout de tissu, il lui murmura:

- Tes intentions, mauvaises pour la plupart des sorciers, sont nobles. Je te soutiendrais.

Harry se leva sur ces paroles énigmatiques et alla s'asseoir entre Draco et Pansy qui lui avait garder une place. Il ne remarqua pas le silence de plomb, toujours à réfléchir sur les paroles du choixpeau.

- Zabini Blaise! dit le Professeur, surprenant tout le monde, même le directeur qui s'était relevé de son siège et regarder Harry d'un œil perçant.

- Serpentard!

Harry ne comprenait pas, tuer Voldemort, c'était noble mais tuer Dumbledore, un homme que tout le monde aime, c'était déjà un peu moins noble à moins qu'il pense comme lui que Dumbledore est aussi manipulateur que Voldemort. Il sortit de ses songes pour entendre Dumbledore dire:

- Bienvenue, Bienvenue à tous pour cette nouvelle à Poudlard. Avant que le banquet ne commence, je voudrais dire quelques mots. Les voici: Nigaud! Grasdouble! Bizarre! Pinçon! Je vous remercie!

- Il ne lui manquerait pas quelques cases au vieux, demanda Harry à Draco.

- C'est possible mais mon père dit qu'il ne faut pas se fier aux apparences et que chaque chose que dit Dumbledore à un sens caché sauf pour ceux qui savent les décrypter.

- Je crois que ton père à raison, il fait quoi dans la vie?

- Il travaille au ministère et ma mère, Narcissa Malefoy née Black reste souvent au manoir. Elle est assez sympa par rapport à mon père.

- Tu as des elfes de maisons? Si tu habites dans un manoir, tu dois bien en avoir quelques uns.

- Oui, il y a Dobby, Mossy, Baddy et Betty. Tu veux des pommes de terre?

- Non, je préfère les légumes, passes moi les haricots verts et la salade, s'il te plaît. Harry se mit à manger avec appétit, parlant de tout et de rien avec Pansy.

- Alors les jeunes, j'espère que vous allez nous faire encore gagner la coupe, Severus Rogue y tient tout particulièrement.

- On fera de notre mieux, Mr…demanda Harry.

- Le baron sanglant, répondit le fantôme tâché de sang, les yeux vide.

- Comment êtes vous fait ça, monsieur le baron demanda Harry.

- Cela remonte en 1O17, jeunes hommes, un baron Allemand, Van der strass qui s'appelait est venue me rendre visite dans mon manoir en Cornouailles avec sa garde rapproché. Moi et lui étions ennemies et sorciers. Il m'a torturé maints jours et maintes nuits, il faisait ça juste pour le plaisir de me voir souffrir, j'eu finis par mourir un 25 décembre 1018 et décida de le hanter jusqu'à la fin de sa pauvre mort puis je suis revenue dans ma première maison, Poudlard.

- C'est horrible, dit Pansy.

- En effet, et je reporte cette souffrance sur son neveu le demi fantôme Peeves.

Harry prit un morceaux de tarte au fruit et détailla les professeurs, Hagrid vidait son Goblet, McGonagall la sévère discutait avec le vieux fou et Quirrell parler avec Rogue, un type aux cheveux noirs et gras, le nez crochu, le teint cireux. Tout se passa en un instant Rogue le regarda dans le yeux et celui-ci ressentit aussitôt une douleur aigue, fulgurante, à l'endroit de sa maudite cicatrice. Il serra des dents et plaqua sa main contre son front.

Tu vas bien? Lui demanda Draco.

- Ca va, un peu fatiguer…

La douleur avait disparu aussi vite qu'elle était apparut. Les desserts disparurent et Dumbledore se leva une nouvelle fois pour parler.

- Voici quelques points important du règlement intérieur de Poudlard, les premières années doivent savoir que la forêt qui entoure Poudlard est interdite, que les tours de magies sont bannies des couloirs entre les cours. Les sélections des joueurs de Quidditch se feront dans deux semaines, ceux qui veulent faire partie de l'équipe de leur maison devront prendre contact avec Mrs Bibine. Enfin, je dois vous avertir que l'accès accès au deuxième étage de l'aile droite est formellement interdit à moins que vous souhaitiez mourir dans d'atroces souffrances.

Harry fronça des sourcils et entendit quelques premières années éclater de rire, si Dumbledore interdisez cette aile, il devait cacher quelque chose de rare.

- Et maintenant, nous allons chanter l'hymne de Poudlard. Rogue devint encore plus blanc et regarda d'un air furieux Dumbledore. Chacun chantera sur son air préféré rajouta Dumbledore. Ils se levèrent.

Poudlard, Poudlard, Pou du lard du Poudlard

Apprends-nous ce qu'il faut savoir,

Que l'on soit jeune, vieux ou chauve

Ou qu'on ait les jambes en guimauve,

On veut avoir la tête bien pleine

Jusqu'à en avoir la migraine

Car pour l'instant c'est du jus d'âne,

Qui mijote dans nos crânes,

Oblige-nous à tout étudier,

Répète-nous tous c'qu'on a oublié

Fait de ton mieux, qu'on se surpasse

Jusqu' c'que nos cerveaux crient grâce

Tout le monde termina la chanson à des moments différents. Les jumeaux Weasley, Harry et Draco furent les derniers à chanter, au rythme de la marche funèbre qu'ils avaient choisie. Dumbledore marqua la cadence et quand ils eurent terminé, il fut l'un de ceux qui applaudirent le plus fort.

- Ah, la musique, elle est magique. Et maintenant au lit. Allez, tout le monde dehors.

Les nouveaux de Serpentard suivirent le préfet hors de la grande salle puis descendirent derrière lui un escalier qui plongeait à l'intérieur du château. Il leurs firent parcourir une longue distance, traversant des tapisseries et des portes cachées. Il s'arrêta devant un mur nu et humide.

- Voici la porte de la salle commune, dit le préfet, le mot de passe est Sang-pur!

La salle commune des Serpentards était une longue pièce souterraine aux murs et au plafond de pierre brute. Des lampes ronde, verdâtres, étaient suspendues à des chaînes et un feu brûlait dans une cheminée au manteau gravé de figures compliquées. Quelques élèves de Serpentard étaient assis près des flammes dans des fauteuils ouvragés.

- Les dortoirs des garçons sont en bas à droite et celui des filles en bas à gauche. Bonne nuit! Harry et Draco allèrent s'asseoir dans un fauteuil près du feu. Pansy, Millicent, Crabbe et Goyle étaient partie se coucher.

- Alors, tu en penses quoi de Poudlard? demanda Draco.

- C'est superbe et cela serait encore plus magnifique si ce n'était pas Dumbledore qui dirigerait l'école, répondit Harry.

- Oui, et tu penses faire quoi pendant cette année dit Draco.

- Allez découvrir Poudlard, violer le règlement, trouver les cuisines…

- Tu compte faire ça comment, parce que c'est grand Poudlard réfuta Draco.

- Les jumeaux Weasley, tu connais, j'en aient entendu parler moi et ils rapporte souvent à manger sans savoir comment ils font alors je leurs demanderais. Sinon, tu connais un peu la magie noire?

- Oui, mon père m'en a appris un peu sur le sujet, pourquoi? Demanda Draco, soupçonneux.

- Je pense que je vais l'apprendre, tu connais des sorts de magie noire.

- J'ai quelques livres que j'ai rapporté du manoir, je te les donnerais, si tu veux.

- Merci, tu es vraiment un ami dit Harry.

- Toi aussi Harry. Bonne nuit murmura Draco en baillant.

-Bonne nuit…

TO BE CONTINUED…

NDA: Alors voilà le nouveau chapitre de cette fic, il est un peu moins long mais il est un peu moins copié-colé du roman à part le discours du Pr. McGonagall. Sinon, je vous souhaite des bonne fin de vacances, un bon noël (moi, j'ai eu des livres, on pourrait m'appeler Dumbledore), des ennuyants repas de famille, une bonne année, une bonne santé et le plus important: plein de review pour moi. Sinon, je ne suis pas devenue égocentrique, mellon veut dire en elfique «ami».

Salut

Mellon