Harry Potter, mage gris? Livre 1: L'école des sorciers

Disclaimer : Tous les personnages appartiennent à J.K.Rowling. Aucun argent n'est fait sur cette histoire, celle-ci a pour but que de divertir.

Cette fic a pour base les 6 tomes de Harry Potter. Elle contiendra donc des informations sur le tome 6. Si vous n'avez donc pas lu ce livre, et que vous ne voulez pas savoir certaines choses, je vous déconseille de lire cette histoire.

Laissez moi une petite review, cela fait toujours plaisir.

NDA: Amis lecteurs, voici ma nouvelle potterfiction inspiré des oeuvres fabuleuse de JKR. Je vous promets que cela n'affectera en rien mon autre fic en cours d'écriture, Harry Potter et la chasse aux Horcruxes. Cette nouvelle histoire parlera d'un Harry bien différent des livres et couvrira les sept livres de JKR, c'est un peu les sept livres à ma manière. Un Harry s'intéressant à la magie noire, à la magie blanche et à l'amour et détestant par dessus tout Voldemort et le vieux fou de Dumbledore. Je vous laisse avec deuxième chapitre.

Bonne lecture :

Mellon

Résumé du chapitre précédent : Harry, 10 ans, vient de découvrir un don merveilleux, il peut contrôler les Dursley rien qu'avec sa voie. Le jour de l'anniversaire de Dudley, Harry va au zoo, il se découvre un nouveau don : il peut parler au serpent, grâce à cet découverte, il se lie d'amitié avec Dûr anor, un serpent qui lui fait découvrir la communauté magique. Pétunia lui donne la lettre de Dumbledore, qui l'a abandonné au pied de la porte. Sa haine se tourne sur Dumbledore et Voldemort. Au moment d'acheter ses affaires, il fait la connaissance de Draco Malefoy avec lequel il devient ami. Il continue ses coures et achète un magnifique oiseau qu'il appelle Mellon. Il se fait placé à Serpentard où il revoit Draco et fait la connaissance de ses deux gardes du corps, Crabbe et Goyle, de Pansy Parkinson et de Millicent Bulstrode. Draco lui promet de lui prêter les quelques livres de magie noire qu'il possède.

Chapitre 3 : Le maître des potions :

Harry se leva le lendemain frais et dispo, prêt à affronter les professeurs. Il s'étira dans son lit, se retourna d'un air vif et regard la froide chambre où il était installer. La chambre était toute en longueur, des fissures parcouraient le plafond et le sol était en pierre froide. La pièce était occupée par cinq lits entourés de table de chevets. La porte qui rejoignait la salle commue était entre ouverte et une seconde porte menait vers la salle de bain.

Harry se leva, passa une main dans ses cheveux et vit qu'il était le dernier dans le dortoir. Il partageait son dortoir avec Draco, Crabbe, Goyle, Nott et un certain Blaise Zabini. Il prit une douche glacée et se sentit enfin réveiller. Il s'habilla à la mode moldue mais restant en noir et monta les marches pour atteindre la salle commune où tous les autres l'attendait. Ils se saluèrent et se dirigèrent vers la grande salle, les premières années suivant derrière eux.

- Là, regarde.

- Où ?

- A côté du blond.

- Avec ses lunettes.

- Tu as vu sa cicatrice.

- Et ses vêtements.

Les murmures avaient poursuivit Harry jusqu'à la grande salle mais il ne s'en préoccupa en aucune façon. Il était célèbre après tout, ça à ses avantages et ses inconvénients. Ils allèrent s'asseoir et mangèrent rapidement. Le préfet en chef de la nuit dernière leurs donna leurs emploi du temps et il se précipitèrent dans les dortoirs pour prendre leurs affaires. Il était très difficile de se repérer dans le château mais il y'avait toujours un tableau ou un fantôme pour les remettes sur la bonne route et les aider à éviter les pièges comme les portes avec qui on doit être polie ou les marches piégent. Peeves n'arrangeait en rien en tirant les tapis sous leurs pied ou venir discrètement derrière eux et leurs attrapait le nez en hurlant : « JE T'AI EU ! ». Très désagréable se dit Harry en se frottant le nez.

Mais pire encore que Peeves, il existait Rusard, Argus Rusard, concierge de l'école de Poudlard. Harry et Draco avait réussi à se le mettre à dos dès la première journée en essayant d'ouvrir une porte qui s'avérait être celle du deuxième étage de l'aile droite et non de l'aile gauche. Ils avaient pu en profiter pour faire connaissance avec la chatte de Rusard, Miss Teigne, une créature grisâtre et décharnée, Harry se dit que ce serait une bonne idée de laisser Dûr Anor tuer la chatte. Il faudrait y repenser.

Rusard connaissait les passages secret mieux que personne (à part peut être les jumeaux Weasley) et pouvait apparaître aussi soudainement que les fantômes ; bon nombres d'élèves détestait Rusard et sa chatte.

Les cours de magie étaient très intéressants et Harry buvait littéralement les paroles de ses professeurs et avait hâte de faire ses preuves. Alors qu'il passait devant le Pr. McGonagall pour entrer dans sa classe et écouter son cours sur les transformations, elle le retint dans le couloir et lui dit :

- Ce n'est pas une tenue réglementaire, Potter, c'est bien préciser dans la lettre des robes, des robes, répéta-elle furieusement, et non des jeans et des sweat-shirts de couleur noir.

- Je n'est pas acheté de robe, dit Harry d'une vois froide, et je vous le dis tout de suite professeur, je n'en n'achèterais jamais. Je ne suis pas une fille.

- Arrêter de jouer l'enfant Potter, où sinon, je vous dispense de mes cours, dit McGonagall d'une voix aussi froide que lui.

- Je vais donc m'en aller, il paraît qu'il y 'a de très bonne école aux Etat Unis et en Australie où nous sommes par resté aux temps médiévaux, répliqua Harry.

Elle commençait à l'embêter la vieille. Il vit que tous les autres élèves les regarder de la classe et que certains, Weasley et Granger en tête souriait. Alors que tous semblait désespéré pour Harry, une voix intervint en sa faveur.

- C'est bon professeur, je m'occupe de Mr Potter. Suivez moi ! Mr Potter.

Celui qui avait parler était un vieil homme, il avait un longue barbe blanche et portait une robe bleu ciel avec de petites étoiles. Albus Dumbledore, le directeur de Poudlard lui avait sauvé la mise. Il ne manquait plus que ça. Il le suivit dans un dédale de couloirs puis s'arrêta devant une grande statue.

- Chocogrenouille, dit le vieux fou.

La statue se déplaça et un escalier apparut. Ils le montèrent et entrèrent dans le bureau du directeur. Harry prit place dans un fauteuil sans attendre de permission et Dumbledore resta debout, en face de lui. Le bureau du directeur était une pièce circulaire, pleine de bruits bizarre. Les tables étaient recouvertes d'étranges instruments en argent qui bourdonnaient. Les murs étaient recouverts de portraits d'anciens directeurs qui le regardaient d'un air curieux, on était après tout qu'un jour après le banquet. Il y'avait également un énorme bureau aux pied en formes de serres et derrière, sur une étagère, le choixpeau magique reposait là. Debout, sur un perchoir en or posé derrière la porte se tenait un véritable phénix, c'était la première qu'il en voyait un en vrai, ces créatures étaient très rares. L'oiseau s'envola soudainement et se posa sur les genoux, surprenant Harry et Dumbledore. Harry le caressa, comme il le faisait avec Dûr Anor ou Mellon, le phénix sembla apprécier.

- C'est Fumsek, mon phénix, dit Dumbledore, les phénix sont des créatures fabuleuses. Bon ! Pour ton problème de vêtement, ça ne me pose aucun problème, le temps est au changement après tout. Je reconnais bien là le caractère de ta mère.

- Vous avez connu mes parents ! s'exclama Harry en oubliant sa haine envers celui qu'il l'avait abandonné.

- J'étais leur directeur, en effet. Ta mère était très intelligente et on pouvait se demander pourquoi elle est allée à Gryffondor, comme pour toi où on se demande pourquoi tu es allé à Serpentard. Ta mère était très brillante et très gentille envers les autres, même avec ses ennemies ; il faut que tu saches, Harry, que ta mère était quelqu'un de formidable et qu'elle nous manque terriblement, ainsi que ton père qui dans de rare situation était comme ta mère. Je me rappelle d'un jour où il sauva ton maître des potions des griffes d'un loup-garou. Que de bons souvenirs, dit Dumbledore en fermant les yeux. Tu veux un bonbon avant de partir ?

Harry refusa et demanda :

- J'ai aussi un problème de chaudron, je n'aie pas correctement lu ma liste et j'ai acheté un chaudron en or. C'est Draco qui me l'a fait remarqué, si vous pouviez prévenir votre professeur de Potion, je vous en serai grès.

- Aucun problème, Harry, je préviendrais le professeur Rogue, au revoir Harry. Il reprit sa voix froide et répondit :

- Au revoir.

Chaque mercredi soir, ils observaient les étoiles et le ciel au télescope et apprenait les noms des étoiles ainsi que le mouvements des planètes. Trois fois par semaine, ils étudiaient les plantes dans les serres situées à l'arrière du château, sous la direction du professeur Chourave. Les cours les plus ennuyeux étaient ceux d'histoire de la magie qui était enseigné par le seul professeur fantôme de l'école qui endormait tout le monde avec sa voix soporifique sauf Harry et Granger qui semblaient immuniser et prenaient quantité de note sur les révoltes barbares des Gobelins.

Flitwick, le professeur d'enchantements plaisait beaucoup à Harry. C'était un minuscule sorcier et parlait d'une voix passionnée de son cours, ce qui le rendait très vivant. La deuxième rencontre avec McGonagall fut un massacre, lui reprochant tout et n'importe quoi et en enlevant nombres de points à la maison de Serpentard, sous les yeux rieurs des Gryffondorcs. Rogue le leur fit ravaler illico presto, les cours se passer dans l'un des cachots. Il y faisait encore plus froid que dans la salle commune des Serpentards et les animaux qui flottaient dans des bocaux au formol n'arrangeaient pas la décoration. Rogue commença à faire l'appel. Lorsqu'il arriva au nom de Harry, il leva des yeux noirs et le regarda d'un regard calculateur et froid. Harry lui jeta le même type de regard et il sembla apparaître un sourire sur la bouche du professeur Rogue. Il acheva de faire l'appel et releva la tête.

- Vous êtes ici pour apprendre la science subtile et l'art rigoureux de la préparation des potions, dit-il.

Sa voix était à peine plus élevée qu'un murmure, mais on entendait distinctement chaque mot. Harry adorait ce prof, il maniait ses mots avec une telle adresse qu'on pouvait excusé ses cheveux gras.

- Ici, on ne s'amuse pas à agiter des baguettes magiques, je m'attend don à ce que vous ne compreniez pas grand-chose à la beauté d'un chaudron qui bouillonne doucement, laissant échapper des volutes scintillantes, ni à la délicatesse d'un liquide qui s'insinue dans les veines d'un homme pour ensorceler peu à peu son esprit et lui emprisonner les sens… Je pourrais vous apprendre à mettre la gloire en bouteille, à distiller la grandeur, et même à enfermer la mort dans un flacon si vous étiez autre chose qu'une de ces bandes de cornichons à qui je dispense habituellement mes cours.

Cette entrée en matière fut Suivie d'un long silence. Harry et Draco échangèrent un regard satisfait en voyant les Gryffondors ravalaient leur salive.

- Weasley ! dit soudain Rogue. Qu'est-ce que j'obtiens quand j'ajoute de la racine d'asphodèle en poudre à une infusion d'armoise.

Weasley eu un regard perdu et jeta ensuite à Granger un regard ahuri. La main de Granger avait fusé et elle sautait littéralement sur la table. « Pitoyable, elle est pitoyable » se dit Harry. Il leva la main et attendit. Weasley répondu d'une voix chevrotante :

- Je ne sais pas, Monsieur. Rogue ne prêta pas attention à Granger et se retourna vers lui et lui dit :

- Mr Potter.

- Le mélange d'asphodèle et d'armoise donne un somnifère si puissant qu'on appelle la Goutte du mort vivant, répondit Harry, en jetant un rictus à Weasley qui devint cramoisi.

- Parfait ! 10 points pour Serpentard ! s'exclama Rogue. Essayons encore une fois, Weasley, reprit Rogue. Où iriez vous si je vous demandais de me rapporter un bézoard ?

- Je ne sais pas, Monsieur, répondit Weasley.

- Vous n'alliez quand même pas vos donner la peine d'ouvrir un de vos livres avant d'arriver ici, n'est-ce pas, Weasley. La réponse Mr Potter, ajouta-t-il en se retournant vers lui.

- Un bézoard est une pierre que l'on trouve dans l'estomac d'une chèvre et constitue un antidote à la plupart des poisons, dit Harry d'une voix morne comme s'il lisait un livre particulièrement ennuyeux.

- Excellant, Mr Potter, 10 autres points pour Serpentard. Weasley ! Quelle est la différence entre le napel et le tue-loup ?

Cette fois, Granger se leva, la main tendue vers le plafond en poussant des petits cris aigues pour ce faire remarquer.

- Elle fait pitié, dit Draco en la voyant. Harry ne fit qu'affirmer de la tête, voulant écouter la suite du spectacle.

- Je ne sais pas, répondit Weasley, hargneux et furieux, mais vous aurez peut-être plus de chance avec Hermione.

Il y eut quelques rires. Rogue, en revanche, n'avait pas l'air content.

- Asseyez-vous Miss Granger ! Aboya-t-il. Il se retourna vers Harry qui répondit d'une voix lasse en ne lâchant pas Weasley des yeux.

- Il s'agit de la même plante que l'on connaît aussi sous le nom d'aconit et qui sert dans la préparation dans la potion tue-loup.

- Exactement Mr Potter, 15 points pour Serpentard grâce à cette réponse très complète. Ce qui n'est pas votre cas, Weasley, dit-il en se retournant. J'enlève 10 points à Gryffondors pour vos mauvaises réponses et votre insolence. Alors ? Qu'attendez-vous, prenez des notes.

Il y'eu soudain un bruissement de plumes et de parchemins. Il répartit alors les élèves deux par deux et leur fit préparer une potion destinée à soigner les furoncles. Il n'avait rien dit à propos de son chaudron en or et Harry jeta un regard à Weasley et vit que ses yeux étaient fixés sur son chaudron. Il lui fit passer une note dans laquelle il lui demander si c'était la première fois qu'il voyait de l'or. Quand il finit de lire, il jeta un regard furieux à Harry et lui tourna le dos. Il passait et repasser entre les élèves et leur adresser de sévères critiques, sauf lui et Malefoy dont la potion était parfaite, il leurs donna d'ailleurs 5 points pour cette réussite.

Brusquement, un nuage de fumée verte accompagné d'un sifflement sonore emplit le cachot. Londubat c'était débrouillé pour faire fondre le chaudron de Finnigan. La potion se répandait sur le carrelage en rongeant les chaussures des élèves. Un instant plus tard, tout le monde était debout sur les tabourets et Neville, aspergé de potion lorsque le chaudron avait fondu, gémissait de douleurs lui poussant sur les bras et les jambes.

- Imbécile ! Gronda Rogue en faisant disparaître la potion d'un geste de la main. J'imagine que vous avez ajoutez les épines de porc-épic avant de retirer le chaudron du feu ? Emmenez le à l'infirmerie, ordonna Rogue à Finnigan.

Lorsqu'ils remontèrent du cachot une heure plus tard, Harry était content, il avait largement rattrapé les points qu'il avait perdus en métamorphose. Harry proposa à Draco un tour dans le parc, ce qu'il accepta aussitôt. Il était maintenant à la lisière de la forêt interdite et il se reposer contre un arbre.

- J'ai adoré le cours de potion, voir la belette se faire ridiculiser ainsi par Rogue était trop marrant, dit Draco.

- Oui, et le professeur Rogue est sympa si on le prend par le bon bout, pas comme cette vieille chouette de McGonagall, dit Harry.

- Il t'a dis quoi, le vieux fou, demanda Draco, mon père dit que le jour où il fut directeur de Poudlard, c'était la pus grosse erreur faîtes par l'ancien directeur, Mr Dippet.

- Il m'a parler de mes parents, répondit Harry, tu savais que mon père a sauver Rogue d'un loup garou.

- Non, père n'était pas au courant. Au fait, j'allais oublier, voilà un livre avec quelques sorts classé magie noire. Bonne lecture. Harry prit le livre et le mit au fond de son sac.

- C'n'est pas très prudent de rester là, les jeunes, elle est dangereuse, la forêt dit une voix rauque et puissante. Hagrid se tenait devant eux.

- Bonjour Mr Hagrid, répondit Harry. Je m'appelle Harry Potter et lui, dit-il en pointant le blond, c'est Draco Malefoy.

- Appelez moi Hagrid. Tu sais Harry, j'ai bien connue ta mère, c'était la seule qui me rendait visite quand j'étais garde chasse. Et aller te chercher dan les décombres de ta maison et voir son corps fut un gros choc pour moi, dit-il, les larmes aux yeux.

- C'est vous qui m'avez apporter chez les Dursley, supposa Harry, n'est-ce pas.

- En effet, Dumbledore m'a envoyé te chercher et je t'ai emmené chez les Dursley en moto volante.

- C'n'est pas prohibé, çà, demanda Draco. Hagrid se tourna vers Draco, puis vers Harry et sourit.

- On ne peut pas dire que ton parrain, Sirius Black, accepter les règles… Oups, oublie ça, ce n'est pas important.

- Et pourquoi ? Demanda Harry, furieux qu'on lui cache quelque chose.

- Ton parrain, Sirius Black, est prisonnier à Azkaban, pour avoir trahi tes parents, dit Draco, en ne passant pas par quatre chemins. Harry renifla et dit simplement :

- Encore un homme à abattre. Ils quittèrent Hagrid, Harry lui promettant de revenir le voir et filèrent vers la grande salle pour aller manger. Draco lui tendit la gazette et lui dit de regarder l'article en page 2.

« LE CAMBRIOLAGE DE GRINGOTTS »

L'enquête sur le cambriolage qui s'est produit le premier juillet dans les locaux de la banque de Gringotts se poursuit. La piste suivit par les enquêteurs devrait les mener dans les milieux de la magie noire.

Les gobelins de Gringotts ont répété que rien n'avait été volé. La chambre forte (713) fracturée avait été en effet vidée le même jour.

« Mais nous ne vous révélerons pas ce qu'elle contenait et, dans votre propre intérêt, nous vous conseillons vivement de ne pas vous mêler de cette affaire », a déclaré le porte-parole des gobelins.

Rita Skeeter.

Le premier juillet, pensa Harry, le jour où je suis aller retirer mon argent. Harry relut l'article entièrement et fronça des sourcils. Le coffre 713, ça lui rappelait quelque chose. Il se plongea dans ses souvenirs et revit la scène de Gringotts.


FLASH BACK :

- Il passa devant plusieurs gobelins et arriva à un comptoir vide où un gobelin trié des grosses pièces en argent.

- Excusez –moi, dit Harry.

- C'est pour quoi, grogna le gobelin.

- Je suis Harry Potter, j'aimerais savoir si j'ai un compte dans votre banque.

- En effet Mr Potter, le Pr. Dumbledore nous a donné votre clé pour vous permettre d'entrer, suivez-moi.

Harry suivie donc le gobelin et monta dans une sorte de chariot, à un virage, le chariot ralenti et Harry eu le temps de voir un grand homme prendre quelque chose dans le coffre 713. Il arriva enfin à son coffre et fut époustoufler de la montagne de gallion qu'il avait sous les yeux, il prit beaucoup de gallion et sortit. Le gobelin lui donna sa clé, lui disant de ne pas la perdre. Quand il revint dehors, il se précipita chez Ollivander pour s'acheter une baguette magique.

FIN DU FLASH BACK/


Le grand homme, ça devait être Hagrid, ça ne courre pas les rues des personnes aussi grande, et le coffre, 713, c'est bien le même coffre. Hagrid n'a sûrement pas quelque chose de valeur, il ne serait pas garde de chasse sinon. Dumbledore lui fait confiance, peut-être qu'il l'a pris quelque chose pour lui et l'a rapporté ici, à Poudlard. D'où l'interdiction de l'aile droite au deuxième étage. Il faudra que je lui tire les vers du nez, se dit Harry. Il fit part de ses conclusions à Draco et il fut d'accord avec lui.

Ils finirent de manger puis repartirent vers leur salle commune et leur dortoir. Harry alla se coucher bien après Draco, il avait commencé à lire le livre que Draco lui avait prêté et il était très, très intéressant. Il se coucha donc, plein de sorts de magie noire plein à la tête. Il avait hâte de les essayer…

TO BE CONTINUED…

NDA : Et voilà le troisième chapitre qui est un peu plus cours que les deux autres mais bon, ils sont ainsi plus rapides à écrire et vous permette de vite savoir la suite. Je ne sais pas quand je posterais la suite, étant donné que j'ai mon brevet blanc à passer dans 2 semaines. Si j'ai le temps, ce sera avant cette date, sinon ce sera après. J'ajoute aussi que les réponses au reviews sont maintenant interdite et il faut que vous soyez soit enregistré, soit laissé votre mail avec votre pseudo pour que je puisse vous répondre. J'espère que ce chapitre vous a plu et je vous dis à la prochaine.

Mellon